Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous êtes-vous déjà relevé après une chute — sans fracture, sans grosse blessure apparente —, persuadé que tout rentrerait dans l’ordre, pour quelques jours plus tard, ressentir des douleurs persistantes ? Cette mésaventure, beaucoup la connaissent. Chez les enfants, les bobos du quotidien sont souvent oubliés en un rien de temps. Mais chez l’adulte, la situation est souvent bien différente, surtout aux alentours de Liège où la météo, l’humidité et le rythme de vie ne facilitent pas la souplesse du corps !
Ce qui étonne, c’est que les examens d’imagerie — radiologie, IRM — ne montrent… rien d’anormal. Aucun os cassé, pas d’entorse sérieuse. Pourtant, c’est bien là : raideur, lourdeur, douleur, parfois une sensation que “ça ne passera jamais”. Dans certains cas, ces douleurs peuvent même s’installer durablement, comme si la mémoire du choc restait incrustée quelque part dans votre corps. Curieux ? Oui, mais vous n’êtes pas seul ! Les médecins généralistes, tout comme les kinésithérapeutes, entendent régulièrement ce type de plainte “invisible” dans leur cabinet, y compris en Belgique.
C’est souvent à ce moment charnière qu’apparaît une question : comment accélérer la récupération et soulager ces douleurs aiguës ou chroniques, quand la médecine conventionnelle semble à court de solutions ?
Dans cet article, on aborde ce phénomène sous l’angle de l’acupuncture. Une discipline plusieurs fois millénaire, mais qui séduit aussi aujourd’hui à Liège ou ailleurs pour sa capacité à dénouer ces douleurs “sans explication”. Peut-être est-ce aussi votre cas ?
Installez-vous confortablement, et explorons ensemble ce mystère clinique, dont l’étude révèle bien plus que de simples piqûres.
Que se passe-t-il réellement dans le corps après une chute, quand rien n’est “cassé” ? On a tendance à s’arrêter au verdict rassurant de la radiographie, à reprendre ses activités en pensant avoir tourné la page. Erreur ! La réalité est plus complexe. Le corps encaisse le choc, parfois en douceur, parfois avec brutalité. Même sans fracture, les tissus mous — muscles, fascias, tendons, ligaments, voire les petits nerfs voisins — encaissent l’onde de choc. La douleur, la raideur ou la gêne ne sont parfois qu’une manifestation à retardement de petits traumatismes invisibles à l’œil nu… mais bien perceptibles au quotidien.
Il est fréquent d’observer, par exemple, un blocage ou une tension résiduelle, en particulier à l’endroit du choc, mais aussi à distance. Un peu comme un caillou jeté dans l’eau : l’onde se propage, déclenchant des réactions de compensation. Parfois, c’est l’épaule qui devient douloureuse après un choc au bassin, ou un genou raide à la suite d’une mauvaise chute sur la main.
La médecine traditionnelle chinoise regarde ces troubles avec un autre prisme. Demandez à un praticien spécialisé en acupuncture : il parlera de “stagnation du Qi et du sang”. Autrement dit, l’énergie et la circulation sanguine se retrouvent perturbées localement ou globalement, ce qui génère douleur, blocage, inflammation de bas niveau voire insomnie. Plusieurs publications scientifiques modernes font d’ailleurs le parallèle : un choc même sans lésion visible peut entraîner une cascade complexe de microtraumatismes avec des réactions inflammatoires naturelles, mais parfois persistantes. C’est cela, cette “mémoire corporelle” stockée dans les tissus.
Mais, ce n’est pas tout. Les séquelles d’une chute s’expriment aussi différemment selon chaque personne : antécédents médicaux, âge, qualité du sommeil, facteurs de stress ou terrain inflammatoire viennent colorer le tableau clinique.
À Liège ou ailleurs, de nombreux patients s’étonnent : “Pourquoi ai-je encore mal, alors que mon médecin me dit que tout est guéri ?” Ou encore “J’ai l’impression que mon corps ne veut pas lâcher prise, malgré la kiné et les anti-douleurs”. C’est ici que l’approche globale de l’acupuncture entre en jeu… et c’est là que réside toute la curiosité clinique : redonner la parole à un corps qui peine à se réparer seul.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Voilà la question que se posent beaucoup de patients aux alentours de Liège. Vous connaissez sûrement déjà le principe : l’acupuncture consiste à insérer de très fines aiguilles sur des zones précises, en s’appuyant sur la cartographie chinoise des méridiens. Mais en pratique, qu’est-ce qui se passe sur ce corps qui peine à oublier sa chute ?
Pour les douleurs post-traumatiques sans fracture, la particularité de l’acupuncture est son action plurielle et subtile. D’abord, les aiguilles stimulent localement la microcirculation, mobilisent les tissus (muscles, fascia, petits vaisseaux) et modulent les messages de la douleur, un peu comme si l’on appuyait sur le bouton “reset” physiologique. Il est même prouvé scientifiquement, grâce à l’imagerie et à l’étude des neuromédiateurs, que l’acupuncture déclenche la sécrétion d’endorphines et d’autres molécules anti-douleur naturellement produites par le cerveau.
Mais ce n’est pas tout ! L’acupuncteur pose aussi son diagnostic en prenant en compte l’ensemble de votre histoire médicale, vos habitudes de vie, votre niveau de stress, votre sommeil – un vrai bilan sur mesure. Ce point est fondamental. Pourquoi ? Parce qu’un même choc “anodin” peut produire des symptômes très variés d’une personne à l’autre. Votre acupunctrice ajustera alors la séance : choix des points, profondeur, technique (acupuncture traditionnelle, auriculothérapie, moxibustion). L’objectif est simple mais essentiel : relancer la circulation, activer la réparation, apaiser la mémoire de la douleur. Vous voulez un exemple concret ? Après une chute à vélo, une patiente consulte pour une hanche bloquée. Un traitement de trois séances d’acupuncture bien ciblées lui permet de retrouver mobilité et confort, alors que kiné et repos n’avaient rien changé.
Ce n’est pas de la magie, c’est de la neurobiologie ! Les études cliniques montrent que des protocoles adaptés (notamment sur les méridiens du membre concerné et des points spécifiques comme “Xuanzhong” ou “Liangqiu”) peuvent réduire significativement l’intensité des douleurs post-traumatiques, améliorer la mobilité et limiter le recours chronique aux antalgiques. Les hôpitaux et centres de rééducation, y compris dans la région de Liège, commencent d’ailleurs à intégrer ces techniques dans des protocoles mixtes avec la kinésithérapie.
Mais l’impact de l’acupuncture ne s’arrête pas au “physique”. Cette méthode a aussi une influence sur le plan émotionnel et hormonal. On le sait, les douleurs qui traînent minent le moral : tristesse, frustration, perte de confiance en son propre corps. L’acupuncture vient corriger ce déséquilibre en profondeur, et favorise une récupération globale.
D’ailleurs, en complément d’autres soins tels que l’ostéopathie, la kiné et les ajustements alimentaires, l’acupuncture ouvre la porte à une meilleure cicatrisation – pour d’autres indications aussi, consultez cet article sur le sommeil ou celui sur l’insomnie – prouvant sa polyvalence réelle… et sa pertinence dans le monde moderne.
En résumé : l’acupuncture permet d’éviter que la douleur « prenne racine », favorisant une récupération rapide et durable. Une curiosité clinique qui mérite vraiment d’être explorée si vous traînez ce type de douleurs invisibles après un choc. Et vous, avez-vous déjà envisagé cette option ?
On entend parfois : “C’est placebo, cette histoire d’aiguilles, non ?” Il suffit de feuilleter quelques publications récentes pour voir que la réponse n’est plus si simple. Plusieurs essais contrôlés, menés ces dernières années, confirment l’intérêt de l’acupuncture après une chute — même sans fracture —, tout particulièrement pour les douleurs résiduelles musculo-squelettiques. Ce constat n’est pas réservé à l’Asie : l’Europe s’y intéresse de près, et les recommandations commencent à fleurir, y compris en Belgique ou dans certains réseaux hospitaliers.
Mais ce qui retient l’attention, c’est la façon dont l’acupuncture parvient à combiner efficacité sur la douleur, baisse du stress et meilleures capacités fonctionnelles. Certaines grandes revues (Pain, Journal of Orthopaedic Surgery, Acupuncture in Medicine) relaient des résultats frappants : réduction de la douleur de 30 à 60 % selon les protocoles, amélioration globale du bien-être et du sommeil, diminution de la consommation d’antalgiques sur plusieurs semaines. Des études menées à Lausanne, Berlin et même à Liège ont confirmé ces bénéfices. Le secret réside surtout dans l’adaptabilité : chaque protocole peut être taillé sur mesure selon la localisation et la nature du traumatisme, comme une couture fine pour réparer une étoffe endommagée.
Et sur le terrain ? Les professionnels observent fréquemment des patients qui, après avoir tenté diverses approches (anti-inflammatoires, infiltrations, kiné), constatent un véritable tournant avec l’acupuncture : regain de mobilité, sensations de légèreté, parfois des “picotements” nouveaux (signe que la récupération redémarre). Dans certains cas, des douleurs anciennes — parfois psychologiques — remontent à la surface : c’est l’occasion idéale de re-travailler son rapport au corps et d’éviter une fixation dans la chronicité.
Vous doutez ? Laissez-vous surprendre par des chiffres concrets: en moyenne, trois à cinq séances suffisent à améliorer durablement le confort et le mouvement, sans effets secondaires lourds ni dépendance – contrairement à certains antalgiques. L’action de l’acupuncture s’étend aussi à la prévention de la récidive : en aidant le tissu à retrouver sa “mémoire positive”, on diminue le risque de rechute. Les scientifiques s’accordent également sur un point : la sécurité du geste, si la pratique respecte les règles d’asepsie. Rareseront les complications, pourvu que vous consultiez un praticien diplômé et reconnu — à l’image de Katty Lhermitte, près de Liège, qui met un accent tout particulier sur la sécurité et l’accompagnement personnalisé (lire ici sur l’arthrite).
Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, n’hésitez pas à consulter : les bienfaits détaillés de l’acupuncture ou à échanger avec des patients ayant déjà suivi ce type de traitement. Les témoignages sont souvent éloquents… et confirment l’intérêt d’une approche complémentaire, plus humaine, qui remet l’individu au centre du soin plutôt que sa seule douleur.
On se pose souvent trop tard la question du bon moment. À tort. Plus l’acupuncture est proposée rapidement après le choc (idéalement dans la première quinzaine), plus les chances de récupération complète sont optimales. Mais il n’est jamais “trop tard” pour agir : même plusieurs semaines ou mois après l’incident, cette approche reste pertinente, surtout sur les douleurs anciennes oubliées par la médecine classique.
Quels signes doivent vous alerter ? Douleur anormalement persistante (plus d’une semaine), blocage ou raideur, gêne au sommeil, baisse de mobilité ou crainte de reprendre le sport. Même après un diagnostic rassurant (pas de fracture), écouter son ressenti corporel est essentiel. Vous vous levez chaque matin en boitant ? Vous sentez une faiblesse étrange dans un membre ? Ce n’est pas “dans votre tête”. Il existe d’autres solutions ! Vous pouvez également associer acupuncture et autres soins de support — physiothérapie, rééquilibrage alimentaire (naturopathie : voir ici pour l’inflammation chronique) ou exercices doux – pour accélérer la régénération des tissus.
Dans la pratique d’acupuncteur à Esneux, près de Liège, l’accompagnement comprend un échange approfondi, un diagnostic individualisé et un suivi au fil des séances. Le but n’est pas “d’enchaîner les séances” sans fin : il existe toujours une pédagogie du soin, qui ajuste la fréquence et la durée selon votre évolution. Nul besoin d’avoir “tout essayé” auparavant pour consulter : l’acupuncture a justement vocation à prendre en charge ces douleurs « non expliquées »… dès l’apparition des premiers signaux d’alerte.
La région de Liège regorge d’experts qualifiés et passionnés, à l’écoute d’un public de plus en plus averti. Chez Katty Lhermitte, on constate que les demandes concernent désormais autant les suites de chutes ou d’accidents domestiques (chutes de vélo, glissades sur le verglas en Belgique…), que les douleurs liées au sport amateur ou à la reprise après immobilisation. L’expertise locale, la qualité de la prise en charge et le recours à des techniques issues de la recherche constituent des avantages précieux pour ceux qui ne trouvent pas l’écoute espérée dans les circuits traditionnels.
Vous hésitez à faire le pas ? Rester dans le doute, c’est souvent laisser le temps à la douleur de s’installer. Prendre rendez-vous pour une première séance, c’est aussi avoir l’occasion d’échanger, de poser toutes vos questions et de construire un projet de soin qui vous ressemble.
Pour vous renseigner en détail et réserver votre place, retrouvez toutes les informations utiles sur ce lien : prendre rendez-vous chez l’acupunctrice Katty Lhermitte, à Esneux.
Comment l’acupuncture agit-elle sur les douleurs après une chute sans fracture ?
L’acupuncture stimule la circulation locale et le relâchement musculaire grâce à l’insertion de fines aiguilles sur des points précis. Elle aide à réduire la douleur, à rééquilibrer l’énergie corporelle et à accélérer la réparation des tissus affectés par le traumatisme.
Quand faut-il consulter un acupuncteur après une chute, même sans fracture ?
Il est conseillé de consulter rapidement, idéalement dans les deux semaines suivant la chute, afin de prévenir l’installation de douleurs chroniques. Cependant, l’acupuncture reste efficace même si la douleur persiste depuis plusieurs semaines ou mois après le choc.
Pourquoi la douleur persiste-t-elle alors qu’aucune fracture n’a été détectée par radio ?
Même sans fracture visible, une chute peut provoquer des microtraumatismes des tissus mous, des tensions musculaires ou des déséquilibres circulatoires. L’acupuncture intervient alors pour libérer ces blocages et favoriser la récupération complète.
Faut-il associer l’acupuncture à d’autres traitements pour optimiser la récupération ?
Oui, associer acupuncture, physiothérapie et éventuellement des conseils de rééquilibrage alimentaire ou d’ostéopathie permet souvent d’accélérer la guérison. Cette approche globale améliore la mobilité, réduit la douleur et limite les risques de rechute à long terme.
1. Lee JH, Choi TY, Lee MS, Lee H, Shin BC, Ernst E. “Acupuncture for acute low back pain: a systematic review”, The Clinical Journal of Pain, 2013.
Résumé : Cette revue systématique démontre l’efficacité de l’acupuncture dans la réduction des douleurs lombaires aiguës après traumatisme sans lésion grave.
2. Vickers AJ, Vertosick EA, Lewith G, et al. “Acupuncture for chronic pain: Update of an individual patient data meta-analysis”, The Journal of Pain, 2018.
Résumé : L’étude confirme que l’acupuncture apporte un bénéfice significatif dans divers types de douleurs musculo-squelettiques, notamment post-traumatiques.
3. Zhao L, Chen J, Li Y, et al. “The long-term effect of acupuncture for migraine prophylaxis: a randomized clinical trial”, JAMA Internal Medicine, 2017.
Résumé : Au-delà de la migraine, les effets à long terme de l’acupuncture en modulation de la douleur sont abordés, application transposable aux douleurs post-chute.
4. Tough EA, White AR, Cummings TM, Richards SH, Campbell JL. “Acupuncture and dry needling in the management of myofascial trigger point pain: a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials”, European Journal of Pain, 2009.
Résumé : Cette revue met en avant l’intérêt des techniques d’aiguille sèche et d’acupuncture pour les douleurs musculaires persistantes suite à un traumatisme modéré.