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Soft skills incontournables: développer son intelligence émotionnelle à LiègePsy Travail Managers Cadres

Psychologue – Mme Delphine Gilman - Spécialisée : Entrepreneurs, Managers, Dirigeants, Cadres et Travail

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Soft skills incontournables : l’art de développer son intelligence émotionnelle au travail pour entrepreneurs, managers et cadres

Il y a une révolution silencieuse qui agite les bureaux, les open-spaces et les espaces de coworking. Une transformation invisible, mais puissante. C’est celle des soft skills, en particulier de l’intelligence émotionnelle. Vous en avez peut-être déjà entendu parler autour de la machine à café : le fameux “quotient émotionnel” qui se glisse dans les entretiens, les plans de carrière ou les séminaires managériaux. Mais en pratique, comment ça marche et pourquoi l’intelligence émotionnelle est-elle aussi capitale pour les entrepreneurs, les managers, les cadres et les dirigeants ? C’est précisément ce que nous allons décrypter ensemble. Parfois, ce n’est pas le bagage académique ou le nombre d’heures passées au bureau qui fait la différence, mais cette capacité à gérer ses émotions et à naviguer dans celles des autres.

Imaginez un chef d’orchestre. Il ne joue pas d’instrument, mais il doit sentir l’ambiance, anticiper les dérapages et insuffler énergie ou sérénité. Un manager, un cadre, c’est pareil. L’intelligence émotionnelle, c’est l’art subtil de sentir, comprendre, canaliser et utiliser ses émotions et celles du collectif, pour mieux avancer. Et souvent, c’est ce qui fait toute la différence, surtout quand la tempête gronde. Prêt à explorer ?

Pourquoi l’intelligence émotionnelle est-elle la clé oubliée du succès professionnel ?

Beaucoup se demandent : “Est-ce vraiment si important ? Après tout, ce qui compte, c’est l’expertise, non ?” Erreur fréquente. Le monde du travail évolue, et la compétition ne se joue plus seulement sur les compétences techniques (les fameuses “hard skills”). Aujourd’hui, selon de nombreuses études, 90% des top performers en entreprise affichent un niveau élevé de soft skills. Et, tout en haut de la liste, l’intelligence émotionnelle s’impose comme la cheville ouvrière des performances durables et d’un leadership de qualité.

C’est vrai en Belgique, à Liège, mais aussi partout où la pression, la rapidité et l’incertitude demandent de véritables qualités humaines. Un leader avec une intelligence émotionnelle développée sera perçu comme plus juste, inspirant, et capable de soutenir son équipe dans la difficulté. À l’inverse, un manque de gestion émotionnelle fait vite tache : désengagement, conflits, erreurs de casting, burn-out… Les dégâts sont parfois invisibles, mais ils sapent toute une organisation.

Rappelons un chiffre : selon l’enquête TalentSmart, 58% des réussites professionnelles s’expliquent par le niveau d’intelligence émotionnelle. Pas étonnant que de plus en plus de dirigeants – et aussi d’entrepreneurs qui lancent leur start-up – sollicitent désormais l’aide de psychologues spécialisés pour développer ces fameuses compétences douces.

Ce que recouvre l’intelligence émotionnelle au travail

Mais, au fond, de quoi parle-t-on ? L’intelligence émotionnelle s’articule, selon Daniel Goleman, autour de cinq axes-clés :

- La conscience de soi : Savoir ce que l’on ressent, identifier finement ses propres émotions avant qu’elles ne prennent le contrôle.
- L’autogestion : Rester maître de ses réactions et de ses impulsions, même sous pression.
- L’empathie : Se glisser dans la peau de l’autre, décoder ses non-dits, comprendre ses besoins.
- La motivation : Garder le cap, se relever après un échec ou une critique, inspirer sans écraser.
- La gestion des relations : Faire émerger la coopération, gérer les situations tendues, communiquer clairement.

Ce n’est pas inné : chaque axe se développe, se travaille. Un manager qui prend conscience de ses propres émotions réagit différemment face à la colère d’un collaborateur ou à un problème inattendu. Cela ne veut pas dire tout contrôler. Mais transformer l’émotion en ressource, pas en handicap. Combien de promotions ratées, de démissions inattendues ou de blocages créatifs trouvent leur origine dans un déficit d’intelligence émotionnelle ? Beaucoup plus qu’on ne le croit.

Dans la pratique, le manque d’intelligence émotionnelle se ressent vite. Exemple concret : un cadre énervé en réunion qui coupe la parole, ne s’excuse jamais et ignore les signaux d’anxiété de son équipe. Résultat : ambiance tendue, fuite des talents, productivité en chute libre. À l’inverse, un dirigeant qui identifie la fébrilité ambiante, verbalise, apaise et fédère, transforme le plomb en or.

Et ce n’est pas réservé aux grandes structures : même dans une PME ou une start-up, dans un cabinet médical ou une association, l’intelligence émotionnelle repose sur des réflexes quotidiens. Cela commence parfois par un : “Comment tu vas, vraiment ?” posé avec sincérité.

Beaucoup de managers qui viennent consulter à Esneux le disent : ce n’est pas la technique qui coince, mais les émotions. “Je perds mes moyens face aux conflits”, “Je n’arrive pas à m’affirmer”, “Je prends tout à cœur, au point de mal dormir”. Pourtant, avec les bons outils, tout peut changer.

Le burn-out est d’ailleurs un révélateur typique d’un déficit de gestion émotionnelle chez les cadres et entrepreneurs. L’émotion sature, la tension devient physique, puis la machine craque. Voilà pourquoi travailler son intelligence émotionnelle n’est pas un “plus”, mais souvent une urgence bien réelle.

Quels sont les bénéfices concrets d’une meilleure intelligence émotionnelle pour les entrepreneurs, managers et cadres ?

Parlons vrai. L’intelligence émotionnelle, ce n’est pas juste une mode managériale ou un gadget RH pour briller lors d’un TEDx. Sur le terrain, chez les entrepreneurs, les managers et les dirigeants, les bénéfices s’observent jour après jour. Et parfois, c’est un changement radical de perspective qui opère, comme un brouillard qui se dissipe d’un coup.

Psychologue – Mme Delphine Gilman - Spécialisée : Entrepreneurs, Managers, Dirigeants, Cadres et Travail

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Premier avantage : une diminution des conflits inutiles. Un chef d’équipe qui maîtrise ses émotions aborde les tensions avec recul, désamorce calmement, pose les mots justes. Les conflits ne dégénèrent pas en guerre d’egos, ils se “régulent”. Résultat : moins de perte de temps, d’énergie, moins de petites phrases piquantes qui polluent l’ambiance.

Deuxième atout : plus de motivation et d’engagement. Un manager qui montre son empathie, sa capacité à écouter sans juger instaure de la confiance. Les collaborateurs osent proposer, se sentent reconnus. À l’inverse, le management “autoritaire”, coupé de ses émotions, isole et démotive (et cela se voit rapidement, même aux alentours de Liège, dans des PME ou associations… bref, partout où il y a de l’humain).

Troisième bénéfice : meilleure prise de décision. Savez-vous que les émotions bien identifiées aident à prendre du recul, à éviter les erreurs dues à la précipitation ou à la peur ? Un chef d’entreprise qui panique peut mettre la clé sous la porte ou licencier trop tôt. Mais celui (ou celle) qui écoute son intuition, analyse ses propres réactions émotionnelles, évalue l’humeur de son équipe, décide avec plus d’à-propos.

Si la résilience n’est pas la conséquence principale d’une bonne intelligence émotionnelle, elle est tout de même renforcée. Après un échec, un refus client, une période difficile, les entrepreneurs émotionnellement intelligents se remettent d’aplomb plus vite. Pourquoi ? Parce qu’ils nomment leur déception, partagent leurs ressentis, restent connectés à leurs motivations profondes. Ils n’avalent pas leur colère ou leur dépit, ils transforment l’émotion en énergie d’action.

In fine, cela libère toutes les ressources mentales : la créativité, l’innovation, la capacité à fédérer un collectif. À une époque où l’incertitude est la règle (concurrence, crise sanitaire, changements constants…), savoir gérer ses émotions devient un avantage concurrentiel redoutable. Cela ne s’apprend pas à l’université ou dans les écoles de commerce en Belgique… mais en consultation, dans la pratique, au cœur du réel.

Une autre conséquence directe : les risques de burn-out s’effondrent lorsque les soft skills et la gestion émotionnelle sont en place. L’émotion ne “déborde” plus et ne se transforme pas en fatigue chronique, ni en sentiment d’échec.

Pour les managers et entrepreneurs qui consultent à Esneux ou à Liège, c’est souvent un “avant/après” très net. Avant : tensions, fatigue, impression de tourner en rond. Après : un climat apaisé, des réunions productives, et surtout l’impression d’être “aligné” entre ses valeurs, ses émotions et son action.

D’ailleurs, de plus en plus d’entreprises recrutent – ou promeuvent – sur la base des soft skills et du quotient émotionnel plutôt que sur les diplômes ou la maîtrise technique pure. Un manager incapable de réguler des tensions ou de recevoir du feedback n’a plus beaucoup de place dans le monde professionnel actuel.

Et puis, soyons réalistes : on ne “commande” plus une équipe comme avant. Le chef “cassant”, distant, qui agite la carotte et le bâton, ne tient plus la route. Il (ou elle) se retrouve vite isolé, usé, contesté. Seuls survivront les leaders capables de faire circuler la parole, les émotions, de reconnaître les vulnérabilités, de donner du feedback bienveillant et aussi… de reconnaître leurs erreurs.

Vous l’aurez compris : travailler l’intelligence émotionnelle, c’est investir dans la longévité, l’efficacité et le bien-être professionnel. Surtout pour les managers, entrepreneurs et dirigeants qui enfilent chaque jour le costume de “chef d’orchestre émotionnel”. Alors, comment la travailler ?

Comment entraîner et renforcer son intelligence émotionnelle ? Outils pratiques et auto-diagnostic

Prendre conscience de l’enjeu, c’est une première étape. Celle-ci, beaucoup d’entrepreneurs et de managers la franchissent lors d’un coup dur : un conflit, une perte de maîtrise, une crise au sein de l’équipe. Mais développer son intelligence émotionnelle, concrètement, cela veut dire quoi ?

Il existe tout un arsenal d’outils, d’exercices et de techniques pour progresser (seul ou accompagné). Le premier levier, c’est de démarrer par un auto-diagnostic honnête. Prenez cinq minutes, maintenant par exemple. Demandez-vous :

- Quand ai-je conscience de mes propres émotions au boulot ?
- Comment je réagis sous pression ?
- Ai-je tendance à fuir le conflit ou à y aller franchement ?
- Suis-je capable de m’excuser ou d’avouer une erreur devant l’équipe ?
- L’écoute active, je maîtrise ?

Parmi vos faiblesses, notez ce qui revient souvent : irritabilité, tendance à tout contrôler, sentiment d’être jugé, peur du regard des autres… Ce sont de puissants signaux. L’intelligence émotionnelle ne signifie pas “ne jamais se mettre en colère”, mais savoir quand et pourquoi ce sentiment émerge, en faire un levier, pas un frein.

Défi : la prochaine fois qu’une contrariété monte, mettez un mot sur l’émotion avant de réagir. “Je suis agacé, car j’ai l’impression d’être incompris.” Ou : “Je sens de l’anxiété à l’idée de prendre la parole en public.” Rien que ça, c’est révolutionnaire. Essayez.

Envie d’aller plus loin ? Un psychologue spécialisé peut vous accompagner via des exercices sur-mesure :

- L’écoute active : reformuler, creuser, clarifier. Pas de jugement.
- L’affirmation de soi : savoir dire non, poser ses limites sans braquage.
- L’analyse post-mortem : après un événement fort (conflit, raté, succès), revenir sur la palette d’émotions traversées.
- L’entraînement à l’empathie : “J’imagine ce que l’autre ressent à ce moment précis”. C’est simple, mais à pratiquer.
- La prise de recul immédiate : visualisez ce qui se joue, imaginez un outsider dans la pièce et demandez-lui (virtuellement) “Qu’en penserais-tu ?”

Il est parfois utile d’écrire ses émotions sur un carnet ; cela libère et permet de prendre du recul. Certains managers choisissent la méditation de pleine conscience ou la cohérence cardiaque pour mieux réguler le stress. Là encore, il n’y a pas de recette miracle. C’est la pratique, la répétition, l’attention portée à soi… qui paient sur la durée.

À noter : en Belgique et à Liège, de nombreux accompagnements psychologiques ou coachings spécialisés pour entraîner ces compétences sont désormais proposés en individuel ou en groupe. Si vous cherchez une méthodologie accessible et centrée sur les enjeux professionnels réels, il est souvent recommandé de consulter une praticienne expérimentée, comme Delphine Gilman à Esneux.

Enfin, un point clé : l’intelligence émotionnelle n’est pas “émotion = faiblesse”. C’est plutôt la capacité à reconnaître ses ressources intérieures, à ne pas se laisser déborder, à donner le meilleur de soi. Pensez à une batterie rechargeable : quand elle est bien gérée, le courant passe mieux et plus longtemps.

Un manager qui apprend à reconnaître un début de fatigue émotionnelle, à prendre une vraie pause, à écouter ses collaborateurs, fera des émules. Ceux qui étouffent tout “à l’ancienne” finissent souvent au bout du rouleau. Pour creuser ce sujet, vous pouvez aussi lire l’article “Recommencer le travail, prendre la bonne direction” qui va encore plus loin sur la gestion émotionnelle et le retour après une période difficile.

En résumé : introspection, formation, échanges vrais, exercices pratiques sont vos alliés. Surtout, personne n’est “naît leader émotionnel”. Tout s’apprend, se travaille, se peaufine… Un peu comme apprendre à faire du vélo : au début, on tombe souvent, puis on finit par pédaler en sachant éviter les obstacles.

Quand et pourquoi consulter un psychologue du travail spécialisé en intelligence émotionnelle ?

La question se pose franchement : Faut-il être “au bout du rouleau” pour consulter un psychologue du travail spécialisé en soft skills ? Non. Pourtant, beaucoup attendent le “burn-out”, la crise ou la démission d’un ou deux piliers de l’équipe avant d’agir...

En fait, le bon moment pour travailler son intelligence émotionnelle, c’est souvent avant que la situation ne dégénère. Lorsqu’on sent, par exemple, que la fatigue émotionnelle s’installe, que les réunions deviennent tendues, que les feed-backs sont mal reçus ou que la communication dérape.

Vous vous retrouvez dans une de ces situations ?

  • Turn-over anormal dans votre équipe
  • Impression de “pédaler dans la semoule” malgré de gros efforts
  • Fatigue chronique, troubles du sommeil, irritabilité
  • Conflits répétés, ambiance pesante, blocages relationnels
  • Sensation de ne pas être compris ou de ne plus avoir “le contrôle”
  • Perte de sens, difficulté à fédérer autour de vous

Vous n’êtes pas seul(e). Des centaines de cadres, managers et dirigeants franchissent chaque année la porte d’un psychologue du travail pour retrouver du souffle émotionnel et sécuriser leur trajectoire professionnelle. Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est même une force : reconnaître l’importance des émotions dans la réussite.

L’accompagnement psychologique personnalisé n’est jamais un “coaching miracle”. Il propose un espace sécurisé pour déposer ses difficultés, analyser ses réactions, construire de nouveaux réflexes émotionnels. À Esneux et près de Liège, Delphine Gilman reçoit régulièrement des entrepreneurs et managers pour travailler ces points, à travers des entretiens, des outils pratiques et un suivi personnalisé.

Parmi les motifs fréquents de demande de consultation :

- Apprendre à gérer la colère ou l’anxiété qui survient au bureau
- Reprendre confiance après un échec ou une crise
- Prévenir l’usure professionnelle, le ras-le-bol, l’isolement
- Être accompagné dans un changement de poste, de secteur ou une création d’entreprise
- Savoir mieux communiquer au sein d’équipes multiculturelles ou intergénérationnelles

Autre point : certains entrepreneurs croient, à tort, que leur vie privée n’influence pas leur performance au travail. L’intelligence émotionnelle apprend aussi à faire la part des choses, à cartographier ce qui (dans sa sphère personnelle) vient impacter le leadership et la prise de décisions.

Au fil des séances, l’objectif est que chacun reparte avec une boîte à outils adaptée : phrases-clés pour désamorcer un conflit, exercices de gestion du stress rapide, schémas d’analyse de ses réactions à chaud. Il arrive fréquemment qu’un coaching émotionnel bien mené prépare mieux à une promotion ou à un défi professionnel qu’une classique formation technique…

Pour les entrepreneurs qui se lancent, c’est aussi une boussole précieuse. On évite ainsi de “griller toutes ses cartouches” dès la première tempête. Pour les cadres expérimentés, c’est le moyen de sortir de l’usure, de la solitude du dirigeant, de la peur du “syndrome de l’imposteur”.

Un mot pour finir : il n’y a pas de honte à demander de l’aide. Se faire accompagner pour muscler son intelligence émotionnelle, c’est comme voir un kiné quand on s’est blessé au sport. Résultat : plus de recul, plus d’énergie, plus de plaisir à diriger. Et, au passage, bien plus de reconnaissance de la part de votre équipe…

FAQ – Questions fréquentes

Comment améliorer concrètement son intelligence émotionnelle au travail quand on est manager ?
Il faut d’abord prendre conscience de ses propres réactions émotionnelles : observer, nommer, comprendre. Pratiquez l'écoute active avec votre équipe, reformulez sans juger, et entraînez-vous à donner et recevoir du feedback constructif. Un accompagnement professionnel peut accélérer ce processus.

Pourquoi l’intelligence émotionnelle est-elle un atout majeur pour les dirigeants et entrepreneurs ?
Elle permet de mieux gérer les conflits, d’éviter le stress chronique, et de fédérer les équipes autour d’un projet commun. Avec une intelligence émotionnelle développée, les décisions sont plus réfléchies et la motivation collective reste forte même en cas de crise.

Quand faut-il consulter un psychologue du travail spécialisé en soft skills ?
Dès que vous ressentez des blocages dans votre management, une baisse de motivation ou que les tensions dans l’équipe deviennent répétitives, il est conseillé de consulter. Cela aide à retrouver rapidement des marges de manœuvre et à prévenir l’épuisement professionnel.

Faut-il se former seul ou être accompagné pour développer ses soft skills ?
La pratique en autonomie (lectures, exercices) est utile, mais un accompagnement sur mesure avec un psychologue spécialisé permet de progresser plus vite et d’identifier ses angles morts. Cela garantit surtout une évolution alignée avec votre réalité professionnelle.

Références scientifiques

Goleman D. "What Makes a Leader?" Harvard Business Review, 1998. Résumé : L’article de Goleman explique que l’intelligence émotionnelle prime sur les compétences techniques dans l’efficacité du leadership.

Mayer JD, Salovey P, Caruso DR. "Emotional intelligence: Theory, findings, and implications." Psychological Inquiry, 2004. Résumé : Les auteurs font le point sur la définition, la mesure et l'intérêt de l’intelligence émotionnelle dans les relations professionnelles et la gestion d’équipe.

Boyatzis RE, Goleman D, Rhee KS. "Clustering competence in emotional intelligence: Insights from the Emotional Competence Inventory (ECI)." Handbook of emotional intelligence, 2000. Résumé : Ce chapitre décrit les compétences spécifiques qui composent l’intelligence émotionnelle et leur impact sur la performance professionnelle.

Cherniss C, Goleman D. "The Emotionally Intelligent Workplace: How to Select for, Measure, and Improve Emotional Intelligence in Individuals, Groups, and Organizations." Jossey-Bass, 2001. Résumé : Le livre présente des études de cas et des méthodes concrètes pour améliorer l’intelligence émotionnelle en entreprise.

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