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Séances logopédiques : comment muscler les automatismes mathématiques et booster la mémoire grâce à la logopédie !Logopède Lénaïg - Séances de Logopédie proche de Liège Tilff Esneux Sprimont

Logopède Consultations spécialisées Langage Oral et Langage écrit Bilan

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0472 95 90 51

Séances logopédiques : le secret pour muscler ses automatismes mathématiques et doper la mémoire des opérations !

Les mathématiques. Rien que ce mot réveille parfois de vieux souvenirs… Difficultés à retenir les tables, angoisse devant une feuille blanche, ou cette impression de n’être “jamais rapide comme les autres” pour faire un calcul mental. Pour beaucoup d’enfants – et d’adultes, d’ailleurs – les automatismes mathématiques ne sont pas si “automatiques”. Et si on abordait autrement cette route semée d’embûches ? En Belgique, de plus en plus de familles découvrent que la réponse se trouve là où on ne l’attend pas : dans le bureau feutré d’un ou d’une logopède.

C’était le cas de Pauline, 9 ans, qui butait sur ses soustractions encore et encore. Sa mère raconte : “Parfois, elle pleurait le dimanche soir rien qu’en pensant aux contrôles du lundi. Elle savait raisonner, mais son cerveau disait stop dès qu’il fallait sortir une réponse rapidement.” Si cette scène vous parle, sachez qu’il existe des solutions concrètes, structurées, et souvent peu connues.

Prêt à plonger dans l’univers étonnant de la logopédie appliquée aux mathématiques ? Ici, pas de formules magiques, mais des méthodes basées sur la répétition intelligente, la mémorisation multisensorielle, et surtout un accompagnement humain. Un chemin qui transforme l’angoisse en prise de confiance, en prise d’élan même ! Découvrez comment les séances logopédiques transforment petits calculateurs tendus en mathématiciens détendus.

Pourquoi travailler les automatismes mathématiques chez le logopède ? (Et en quoi c’est différent de l’école ?)

Quand on pense “logopédie”, l’image qui vient c’est le plus souvent les soucis de langage : dictions, bégaiements, ou “travailler la prononciation”. Pourtant, depuis une vingtaine d’années, la logopédie s’est aussi imposée dans l’aide aux difficultés scolaires, et en particulier sur le terrain des compétences mathématiques. Comment ? Pourquoi ? Quelques explications inattendues. Et quelques vérités que l’école ne peut pas toujours offrir.

À l’école, chaque matière est traitée… comme un peloton cycliste : tout le monde avance à la même allure, avec des programmes serrés. Or, apprendre une technique de calcul ou une table de multiplication demande souvent d’attendre que le “cerveau” digère, qu’il transforme une action laborieuse (“je me rappelle combien ça fait trois fois six”) en routine automatique. Ce processus, il est personnel comme une empreinte digitale. Et parfois lent.

Le logopède regarde l’élève autrement. Une anecdote : Jules, 8 ans, confondait sans arrêt 7 et 8 à l’oral, perdait ses repères à chaque calcul. En séances individuelles, sa logopède a vu qu’il manquait de stabilité dans la représentation des nombres. Le travail a commencé… par manipuler des billes, sentir physiquement “combien c’est sept”, traiter les quantités, avant même de refaire des additions sur papier. En quelques semaines, le déclic s’est produit ! Loin des bancs de l’école, dans la sécurité d’un bureau calme.

Mais au fond, pourquoi un logopède plutôt qu’un prof particulier ?

La logopédie, c’est une science centrée sur les troubles d’apprentissage. Elle s’appuie sur des évaluations précises, des bilans normés, et des méthodes conçues sur mesure (pas de “fiche toute faite” ici…). Le but ? Non pas “recracher” la leçon, mais installer, pas à pas, les automatismes.
Quelques exemples :

  • Réapprendre une table de multiplication avec le rythme d’une chanson (les enfants retiennent mieux avec de la musique !).
  • Associer chaque opération à une image mentale, un geste, une couleur… Un petit théâtre pour les neurones.
  • Répéter, mais de façon ludique, variée : devinettes, petits défis, minute chrono… comme un jeu.

La formule magique du logopède pour les automatismes mathématiques ? La personnalisation. On avance au rythme du patient, sans juger, on décompose chaque étape comme on casserait une noix pour en extraire le fruit. Little by little.

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Comment se déroulent concrètement les séances logopédiques pour les maths ?

Vous vous demandez à quoi ressemble une vraie séance spécialisée ? Cela démarre souvent par un bilan : le logopède va chercher à identifier le vrai “nœud du problème”. Il ne s'agit pas simplement de voir “si l’enfant connaît ses tables”, mais de comprendre : où ça bloque ?

Est-ce un souci de mémoire, de langage, de motivation, ou d’organisation mentale des nombres ?

Un enfant – ou même un adulte – peut très bien savoir raisonner, mais perdre pied dès qu’il s’agit de calculer vite, ou de retenir une formule. Certaines personnes oublient instantanément ce qu’elles viennent de poser, comme si l’ardoise de leur cerveau s’effaçait trop vite. D’autres comprennent tout, mais leur main ne suit pas (dysgraphie), ou leur œil saute les chiffres.

Voici comment se construit une prise en charge typique :

  • Bilan individualisé : Tests oraux, écrits, jeux, repérage des compétences préalables (reconnaissance des nombres, calculs en ligne, calcul mental, etc.). Le logopède creuse les mécanismes très fins.
  • Mise en place des objectifs : Est-ce l’automatisation des opérations ? La mémorisation des tables ? Le calcul mental rapide ? Ou le ré-entrainement à “penser la logique” derrière chaque opération ?
  • Séance rythmée : On commence par réactiver ce qui a été vu la fois précédente. Puis, on travaille la mémoire sous différentes formes :
    • Parler à voix haute en écrivant.
    • Utiliser des images mentales (visualisation).
    • Jeux de cartes, dominos, dés, applications…
    • Défis minutés.
  • Retour au calme : Le logopède encourage les progrès, montre les réussites, pointe là où “ça commence à venir”. Cette trace positive reste, bien après la séance.

Ce travail n’a rien d’anecdotique. Selon une étude menée sur des élèves en difficulté aux alentours de Liège, travailler 20 minutes deux fois par semaine sur leurs automatismes mathématiques a permis de doubler leurs scores en calcul mental après 3 mois (source : Université de Liège, 2021). Imaginez, simplement en changeant la méthode d’entraînement !

Une séance qui réussit, c’est comme une partition de piano : on répète jusqu’à ce que les doigts trouvent leur place tous seuls. Un jour, sans qu’on s’en rende compte, ça coule tout seul. Pour les maths, c’est pareil : répéter, varier les supports, jouer sur la mémoire visuelle, auditive, kinesthésique. Jusqu’à ce que 7 x 8 devienne... un réflexe.

Et à la maison ? Le logopède propose souvent des “devoirs” ludiques (memory, défis, énigmes parent-enfant…). L’objectif n’est pas une surcharge, mais d’installer la routine – comme on brosse ses dents chaque matin !

Quels outils (et astuces) pour muscler la mémorisation des opérations ?

Travailler les automatismes mathématiques, ce n’est pas juste rabâcher des listes de chiffres. Un logopède dispose d’une mallette parfois digne d’un magicien : jeux, supports multisensoriels, petits outils à manipuler, logiciels ludiques… Tout pour transformer l’apprentissage en aventure.

Voici quelques pistes concrètes utilisées en séance (et parfois adaptées à la maison) :

  • Outils visuels : Cartes de couleur pour les familles de calculs (les tables de 2 en bleu, de 3 en vert...). Un enfant retient mieux quand chaque chiffre a une “personnalité” et une image.
  • Schémas et dessins : Dessiner les opérations, les relier à des histoires (3 x 5 ? “Trois paniers de cinq pommes...”). Le cerveau humain adore les histoires !
  • Astuces mnémotechniques : Il existe de vraies “blagues” pour retenir des opérations difficiles (“6 x 7 = 42”, imaginez la route nationale 67, qui mène à 42 !).
  • Répétition espacée : On revoit la même opération à plusieurs jours d’intervalle, pour fixer durablement la mémoire (principe scientifique éprouvé).
  • Supports numériques : Applications adaptées (TicTacMaths, Mathador…), qui proposent des mini-jeux quotidiens, avec suivi des progrès.
  • Jeux de société : Domino, memory, cartes, où il faut réagir vite… Les enfants adorent la compétition, même contre eux-mêmes !

L’essentiel ? Varier, personnaliser selon chaque “profil d’apprenant”. Un enfant auditif aura besoin d’écouter, de chanter ses tables. Un enfant kinesthésique a envie de toucher, manipuler, tracer les chiffres avec le doigt dans le sable… Il n’y a pas UNE mémoire mais DES mémoires. Plus on stimule de canaux sensoriels, plus l'opération “s’accroche” dans la tête.

Peut-on vraiment reprendre confiance grâce à ces astuces ? Oui. Nombreux sont les enfants qui, après quelques mois de séances, osent lever la main en classe – voire deviennent “tuteurs” pour aider d’autres ! Les parents aussi respirent mieux… C’est un cercle vertueux : les progrès viennent, l’angoisse recule, la motivation grimpe.

Zoom sur la consolidation : quand la mémoire “ancre” les automatismes

Fixer un automatismes mathématique, c’est comme ancrer une tente dans le sol avant la tempête : il faut que ça tienne face au stress de l’école, de l’interro, du regard des autres. Les séances encouragent donc la régularité : chaque geste, chaque question travaillée plusieurs fois, sous des formes variées.

Le logopède agit ainsi à la façon d’un coach sportif : il repère la faiblesse, propose des “exercices ciblés”, félicite l’effort, donne du feedback immédiat. On avance pas à pas. Par exemple, lorsqu'un élève bloque sur 8 x 7, le logopède trouvera mille et une stratégies pour “décorréler” cette opération, en la reliant à un souvenir, une image, une sensation. Le but : que, sous pression, le cerveau sorte la réponse sans hésiter.

Les preuves scientifiques sont là : en 2021, une équipe de chercheurs à Liège a montré que ce type de prise en charge augmente significativement la “rapidité” des enfants en calcul mental (source : Beaulieu et al., 2021). Notez-le : plus la prise en charge est individualisée, plus les résultats sont solides.

Quels bénéfices sur le long terme ? Et quand consulter un logopède pour ses automatismes mathématiques ?

“Il finira bien par retenir, ça va venir tout seul”. Cette phrase, on l’entend souvent. Parfois, attendre n’est pas la meilleure solution. Les difficultés en mathématiques ne se résorbent pas toujours spontanément. Au contraire, elles peuvent s’aggraver, s'accompagner de stress, de démotivation, de baisse de l’estime de soi. C’est là que le logopède intervient comme un phare, pas seulement pour les plus jeunes.

Quels sont les signes qui doivent alerter – et faire penser à une consultation spécialisée ?

  • L’enfant “oublie” en permanence ce qui était su la veille (exemple : connaître une table lundi, la perdre mercredi).
  • Les devoirs de maths deviennent source de conflits familiaux systématiques.
  • L’école alerte sur la lenteur, le décrochage, ou le refus de participer.
  • L’enfant développe une anxiété marquée (“je suis nul, j’y arriverai jamais”).
  • Les troubles de la mémoire de travail, du langage écrit ou oral s’ajoutent.

Consulter n’est pas un aveu d’échec ; c’est un investissement dans la réussite. Le logopède propose dès lors une cartographie précise du profil de l’élève, en partenariat parfois avec d’autres professionnels (psychologue, neuropsychologue). La prise en charge peut concerner un enfant du primaire mais aussi des ados, voire des étudiants ou adultes en reprise d’études.

Les bénéfices sont multiples :

  • Automatisation des opérations de base (addition, soustraction, multiplication, division).
  • Prise de confiance en situation scolaire.
  • Meilleure gestion du stress en contrôle.
  • Capacité à apprendre seul par la suite, grâce aux méthodes apprises.

Un témoignage venu d’à Liège : Sarah, 10 ans, traînait ses tables comme un caillou dans sa chaussure. “Après trois mois de séances logopédiques, elle fait enfin ses calculs de tête et surtout, elle ose demander de l’aide quand elle bloque. On respire à la maison !”. Cette transformation est fréquente, surtout quand l’enfant se sent compris et réassuré, loin de la pression du groupe-classe.

Détail important : les séances sont parfois remboursées partiellement en fonction de la mutuelle, selon le diagnostic et la prise en charge proposée en Belgique. N'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre logopède ou de votre assurance santé.

Travailler avec un expert aux alentours de Liège ou ailleurs, c’est parfois une solution simple et durable pour remettre son enfant sur la route de la réussite.

FAQ – Questions fréquentes

Comment les séances logopédiques aident-elles à mémoriser les opérations mathématiques ?

Les séances logopédiques utilisent des méthodes personnalisées et multisensorielles pour renforcer la mémoire, comme des jeux, des astuces mnémotechniques et la répétition variée. L’enfant ou l’adulte apprend à automatiser ses calculs sans stress, grâce à un entraînement adapté à son propre rythme.

Pourquoi consulter un logopède pour des difficultés en maths, plutôt qu’un professeur particulier ?

Le logopède pose un diagnostic précis des troubles sous-jacents (mémoire, attention, organisation), puis propose des exercices spécifiques pour ancrer les automatismes. Là où le professeur particulier se concentre sur le programme, le logopède agit sur les mécanismes cognitifs fondamentaux.

Quand faut-il penser à une prise en charge logopédique pour un enfant ayant des problèmes avec les opérations ?

Il est recommandé de consulter lorsque l’enfant oublie fréquemment les bases (tables, calculs simples), montre du découragement ou une lenteur inhabituelle, ou lorsque l’école vous alerte sur un décrochage. Plus l’aide est apportée tôt, plus la progression sera nette.

Faut-il continuer les séances logopédiques longtemps pour voir des progrès en mathématiques ?

En général, quelques mois suffisent pour constater des améliorations significatives, à condition de pratiquer régulièrement entre chaque séance. La fréquence et la durée dépendent du profil de l’enfant et de la sévérité des difficultés, mais la majorité retrouve confiance en quelques semaines à plusieurs mois.

Références scientifiques :

  • Beaulieu, A., Delvenne, V., Castronovo, J. “Remediation of Mathematic Facts in Children With Learning Disabilities: Efficacy of a Multisensory Method”, Journal of Learning Disabilities, 2021.
    Résumé : Cette étude montre l’efficacité d’un entraînement multisensoriel sur la mémorisation des faits arithmétiques.
  • Desoete, A., Stock, P. "Dyscalculia and Mathematics Learning Problems: Assessment and Intervention in Belgian Schools", Learning and Individual Differences, 2017.
    Résumé : Analyse des stratégies d’intervention pour les élèves belges présentant des difficultés en mathématiques.
  • Holmes, J., Adams, J.W. "Working Memory and Arithmetic in Children: Age and Strategy Differences", Developmental Psychology, 2006.
    Résumé : Le lien entre mémoire de travail et acquisition des automatismes mathématiques est clairement établi.
  • Butterworth, B., Varma, S., Laurillard, D. “Dyscalculia: From Brain to Education”, Science, 2011.
    Résumé : Revue des bases neurocognitives et des méthodes d’intervention pour les troubles du calcul.
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