Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54
Chez les adolescents, le repli sur soi est une problématique fréquente qui inquiète bien des familles. Subtil, insidieux, il se traduit par une fermeture progressive au monde extérieur et à la communication. À l’heure où les réseaux sociaux maquillent l’isolement et où la pandémie a creusé des distances, il n’a jamais été aussi essentiel de comprendre les causes, les manifestations et les solutions face à ce signal d’alerte d’une souffrance intérieure. Au cœur de Liège et de ses environs, les parents trouvent auprès de spécialistes, comme une psychologue pour adolescent, des ressources précieuses pour accompagner leurs enfants – et parfois se rassurer eux-mêmes.
Le passage de l’enfance à l’âge adulte bouleverse toute la psyché. Or, pour certains jeunes, cette transition se traduit non par de la rébellion mais par un retrait silencieux. Comprendre les arcanes du repli sur soi permet d’éviter la stigmatisation, d’agir précocement et d’ouvrir un chemin vers la résilience.
Le repli sur soi se manifeste par un désintérêt pour les relations sociales et les activités partagées, un besoin accru d’isolement, une tendance à fuir les discussions avec les proches et parfois un mutisme sélectif. Ces comportements peuvent apparaître progressivement ou brutalement, dans un contexte familial ou scolaire parfois conflictuel, ou après un événement stressant.
Il est essentiel de distinguer le besoin d’intimité naturel de l’adolescent d’un repli pathologique. Tous les ados ressentent le besoin de s’isoler pour penser, rêver, se différencier de la famille. C’est une étape clé de l’autonomisation. Mais lorsque cet isolement devient systématique, douloureux, et que le jeune souffre, on parle alors de repli sur soi : il s’agit d’un signal d’alerte, qu’il ne faut jamais minimiser.
Plusieurs facteurs augmentent la vulnérabilité du jeune à se replier sur lui-même :
Certains adolescents, hypersensibles ou introvertis, sont plus à risque de se replier si la pression sociale devient trop grande ou si un traumatisme survient.
Savoir reconnaître les manifestations du repli sur soi chez son enfant est déterminant pour une prise en charge précoce. Au quotidien, plusieurs signaux peuvent alerter les parents et les enseignants, en particulier dans les familles des alentours de Liège. Voici les principaux :
Le jeune s’enferme de plus en plus dans sa chambre, réduit ses interactions avec ses amis, fuit tout dialogue avec la famille ou se montre irritable à l’extrême. Il peut aussi délaisser ses loisirs, passer des heures devant les écrans ou exprimer une tristesse inexpliquée.
Une chute des notes, une absenteeisme accru, des plaintes somatiques récurrentes (maux de ventre, de tête) ou des troubles du sommeil doivent toujours être pris au sérieux. Ces éléments signent souvent une souffrance que l’adolescent n’arrive pas à verbaliser.
Certains adolescents, à force de se replier, perdent confiance en l’avenir, développent des pensées noires ou des comportements d’automutilation. Face à ces signaux d’alerte, il est essentiel d’agir rapidement en sollicitant l’appui d’un professionnel tel qu’une psychologue pour adolescent à Liège. Le suivi psychologique spécialisé permet d’éviter que la spirale de l’isolement ne débouche sur des conséquences plus graves.
Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54
Face à la détresse adolescente, l’intervention d’une psychologue spécialisée apporte un cadre sécurisant et une aide sur mesure. A Liège, Mme Lara TRESALLI accueille dans un espace chaleureux les jeunes présentant un repli sur soi, ainsi que leur famille, afin de dénouer ensemble les nœuds émotionnels et relationnels.
Loin des idées reçues, le suivi psychologique n’est jamais un aveu d’échec parental mais une démarche de prévention. Lors du premier entretien, la psychologue évalue la situation, donne la parole à l’ado, éclaire le contexte et rassure la famille sur les étapes à venir. Les inquiétudes, la peur du jugement et les hésitations sont accueillies dans la bienveillance.
La psychologue pour adolescent, formée aux spécificités de cette tranche d’âge fragile, utilise une palette d’outils adaptés :
La prise en charge vise toujours à redonner une place au dialogue, à encourager la confiance mutuelle et à ouvrir pas à pas l’adolescent vers les autres.
Il n’existe pas de “bon moment”. Si le repli sur soi s’accompagne d’un mal-être, d’une souffrance manifeste ou de troubles associés (dépression, anxiété, décrochage scolaire), il est recommandé de ne pas attendre. Un accompagnement précoce limite toujours les conséquences à long terme.
A titre d’exemple, la prise en charge psychologique ciblée des troubles anxieux et du repli sur soi chez les jeunes peut permettre à ceux-ci de renouer non seulement avec leur entourage, mais aussi avec leur propre potentiel.
De nos jours, de multiples facteurs sociétaux nourrissent une tendance au retrait chez les jeunes. En Belgique, une enquête récente de la Mutualité chrétienne confirmait que près d’1 ado sur 3 se sentait isolé ou mal compris. Cette réalité, loin d’être anecdotique, interroge parents, éducateurs et soignants.
Les réseaux sociaux, censés rapprocher, sont parfois des catalyseurs d’isolement. Ils exposent au cyber-harcèlement, à la comparaison permanente, aux fausses amitiés et à une pression de normalité souvent inaccessible. Le repli numérique vient alors compenser les échecs du lien réel… tout en aggravant l’isolement.
Jamais l’école n’a autant mis en avant la réussite, les performances et la conformité. Les jeunes vivent mal l’échec, redoutent le jugement et parfois se ferment pour éviter d’exposer leurs faiblesses. Le repli sur soi devient alors un moyen de se protéger du stress.
Confinements, distanciation sociale, fermetures de classes… La crise sanitaire a profondément désorganisé les repères des jeunes. Beaucoup, même après le retour à la normale, gardent en eux une peur du contact ou une difficulté à renouer avec le dehors. L’accompagnement par un psychologue pour adolescent aide à sortir de cette dynamique, à redéfinir des attentes réalistes et à réapprendre la convivialité.
Outre la consultation chez un professionnel, certains gestes quotidiens réalisés à la maison favorisent l’apaisement et la reconstruction du jeune :
Si l’isolement perdure, que des signes dépressifs ou des idées sombres apparaissent, il est impératif de consulter. La collaboration entre parents et psychologue spécialisée améliore nettement le pronostic et la rapidité du rétablissement.
À Liège et dans toute la région, des professionnels formés en psychologie pour enfants et adolescents proposent des suivis individualisés, de qualité, conformes aux dernières recommandations internationales. L’approche de Mme Lara TRESALLI s’articule sur plusieurs axes :
Cette démarche globale, centrée sur l’humain, vise à restaurer le lien social mais aussi la capacité d’autonomisation, indispensable à un passage réussi vers l’âge adulte. Les recommandations officielles soulignent qu’il n’est jamais trop tôt ou trop tard pour demander de l’aide.
Il arrive que le repli sur soi chez l’ado soit lié à un profil intellectuel particulier. Les jeunes à haut potentiel, mal compris par leurs pairs ou confrontés à des attentes trop élevées, se retirent parfois dans un monde intérieur. Le bilan psychométrique et l’écoute d’une psychologue permettent alors d’adapter le cadre familial et scolaire à leurs besoins spécifiques.
L’adolescence est une période de questionnements intenses : sur l’identité, le sens de la vie, la place dans la société. Parfois, le repli sur soi n’est qu’une étape, le signe d’une maturation. À condition de rester attentif à ce que le silence ne masque pas une blessure plus profonde.
L’accompagnement psychologique est souvent le point de départ d’une remise en mouvement. Grâce à l’altérité, à la compréhension de ses propres émotions et à un soutien parental restauré, la grande majorité des adolescents s’ouvrent de nouveau, renouent des liens et (re)découvrent leurs propres ressources. L’objectif ? Qu’ils deviennent les adultes confiants, responsables et résilients dont la société de demain a tant besoin.
Les parents sont les premiers acteurs de la prévention et de l’accompagnement du repli sur soi. Demander de l’aide auprès d’un professionnel à Liège ne signe pas un “échec éducatif”, mais témoigne d’une capacité à protéger la santé mentale de son enfant. Oser franchir ce pas, c’est transmettre à l’adolescent le message qu’il n’est jamais seul face à ses difficultés.
Un adolescent en repli sur soi se caractérise par un isolement croissant, une diminution de ses interactions sociales et une perte d'intérêt pour les activités habituelles. Si vous observez des changements soudains de comportement et un refus persistant de communiquer, il est conseillé de consulter un professionnel.
Consulter une psychologue pour adolescent permet d’analyser les causes profondes du repli sur soi et d’éviter que la souffrance ne s’aggrave. Un accompagnement spécialisé aide le jeune à surmonter ses difficultés, à restaurer son estime de lui et à retrouver une vie sociale équilibrée.
Il faut s’inquiéter du repli sur soi lorsque l’isolement dure plus de quelques semaines, s’accompagne d’une tristesse marquée ou d’autres troubles (sommeil, alimentation) ou si votre adolescent évoque des idées noires. Agir rapidement améliore toujours le pronostic.
Il est préférable de dialoguer et de proposer la consultation sans forcer, pour éviter un blocage ou un refus. La rencontre avec le psychologue peut se faire en douceur, avec ou sans les parents au départ, selon le désir de l’adolescent.
1. Steinberg, L., Age of Opportunity: Lessons from the New Science of Adolescence, Houghton Mifflin Harcourt, 2014.
Résumé : L’auteur explore la fragilité psychique de l’adolescence, soulignant les enjeux du repli sur soi et les leviers du soutien parental et professionnel.
2. Brendgen, M. et al., “Peer victimization, social withdrawal, and anxiety in children and adolescents,” Child Development, 2017.
Résumé : Étude sur la corrélation entre isolement social, anxiété et troubles psychiques chez les jeunes, et le rôle des interventions précoces.
3. Dopheide, J.A., “Recognizing and Treating Pediatric Depression,” American Journal of Health-System Pharmacy, 2006.
Résumé : Synthèse des signes avant-coureurs du retrait social chez les jeunes et des critères de repérage de la dépression.
4. Radovic, A. et al., “Depressed adolescents’ positive and negative use of social media,” Journal of Adolescence, 2017.
Résumé : Analyse de l’impact des réseaux sociaux sur la sociabilisation et le retrait des adolescents souffrants, et recommandations pour les familles.