Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous avez déjà croisé ce mot, "syndrome post-viral" ? Depuis la pandémie, il s’invite souvent dans les conversations médicales. Mais de quoi parle-t-on vraiment ? D’une fatigue qui ne s’en va pas malgré le temps ? D’un esprit embrumé et d’un corps qui râle alors que le virus est pourtant “parti” ? Oui. Mais c’est bien plus vaste que ça. Certains se souviennent même de la grippe, il y a des années : leur tonus n’a jamais entièrement récupéré. D’autres parlent de troubles digestifs, de migraines qui s’installent, d’essoufflement chronique ou même d’un moral en dents de scie. Un vrai champ de mines invisible pour le patient.
C’est là qu’intervient l’acupuncture. Une approche parfois associée à la magie, souvent mal comprise ; mais qui, entre les mains d’un(e) praticien(ne) expérimenté(e), devient un outil précis. Presque millimétré, en fait. Il ne s’agit pas de promesses miracles. Juste de relancer, petit à petit, le dialogue du corps avec lui-même. De rétablir les circuits énergétiques d’un organisme déboussolé. Et pour beaucoup, c’est là que s’ouvre enfin une nouvelle perspective—autre chose que le “c’est dans votre tête” entendu trop souvent.
En Belgique, la plupart des personnes cherchent à comprendre cette fatigue qui s’étire, ces douleurs diffuses, ce souffle court au moindre effort… Pourtant, “post-viral” n’est pas une maladie. Plutôt un ensemble de signaux d’alerte : des troubles qui s’empilent après une infection, bien connus aujourd’hui avec le Covid, mais pas seulement. La mononucléose, l’infection à cytomégalovirus, Epstein-Barr… La liste est longue. Vous connaissez sans doute quelqu’un dans votre entourage qui dit “ne jamais avoir récupéré” après une bonne grippe. Et si une aide naturelle existait ? L’acupuncture n’efface pas tout, mais redonne parfois la clé du redémarrage. Ce bouton “reset” interne, oublié dans le bruit des examens médicaux normaux.
L’accompagnement par l’acupuncture ne vise pas à remplacer les traitements médicaux classiques. Il complète, il soulage, il réoriente l’organisme. On pourrait comparer cela à une mise à jour sur un ordinateur : le système repart, parfois avec un nouveau souffle. Les séances permettent souvent d’améliorer la vitalité, d’atténuer une hypersensibilité du système nerveux, de rééquilibrer le sommeil (un point central, crucial). Il s’agit alors de comprendre votre histoire, votre vécu : pourquoi ce virus a-t-il laissé tant d’empreintes, justement à ce moment de votre vie ?
À Liège, de nombreux soignants, médecines alternatives et centres médicaux se penchent sur ce défi. La question fait sens : faut-il supporter ses symptômes, attendre “que ça passe”, ou agir autrement ? L’acupuncture, elle, questionne : “Où est le déséquilibre ?” Puis guide le corps, goutte à goutte, vers un mieux. Un marathon, pas un sprint—mais bien souvent, chaque pas compte. Et si vous n’aviez rien à perdre à essayer ?
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Parlons chiffres, parlons concret. L’acupuncture, c’est vieux comme le monde, mais aujourd’hui scrutée à la loupe de la recherche. Et la science, loin de balayer d’un revers de main ses bénéfices, commence à s’intéresser de près à son effet sur la fatigue chronique, les douleurs prolongées et ces fameux séquelles post-infectieux.
Vous vous demandez sûrement : “Mais est-ce prouvé ?” Plusieurs études récentes mettent en évidence une réduction de la sévérité de la fatigue et des douleurs chez les patients atteints de syndromes post-viraux traités par acupuncture, comparativement à des groupes témoins. Par exemple, une méta-analyse chinoise de 2021 sur des patients post-Covid a révélé une amélioration nette de l’état global chez ceux suivis par acupuncture, notamment sur les critères de fatigue, anxiété, sommeil et fonction immunitaire.
Ce n’est pas magique, c’est physiologique. L’acupuncture stimule la production d’endorphines (les hormones du bien-être), régule le système nerveux autonome (celui qui gère aussi bien le battement du cœur que la digestion), et rééquilibre la sécrétion de cytokines (médiateurs de l’inflammation). Dit autrement ? On remet doucement la machinerie interne sur ses rails, on empêche la chronicisation de certains troubles.
Il y a une logique là-dedans : en travaillant sur le nerf vague, en régulant la circulation du "Qi" (l’énergie vitale, selon la médecine chinoise), on apaise l’hyperactivité des circuits douloureux, on relance l'énergie. Et ce n’est pas réservé au syndrome post-Covid : la littérature évoque aussi les bénéfices après mononucléose, grippe, SRAS, EBV, etc. Les patients le décrivent souvent ainsi : “Je sens un redémarrage, une énergie qui remonte peu à peu”. On ne parle pas d’effet placebo. On parle de s’ancrer, de reconnecter son corps endolori, presque comme on redémarre une batterie de téléphone laissée trop longtemps au placard.
D’autres points forts ? L’action sur le sommeil, plébiscitée par nombre de patients. Or, la qualité du sommeil, c’est la clé. C’est prouvé : les séances d’acupuncture permettent de raccourcir le temps d’endormissement, d’allonger la phase réparatrice, et ainsi d’influer indirectement (ou pas si indirectement…) sur la récupération globale. Si vous creusez les forums médicaux ou scientifiques, vous trouverez des témoignages et cas cliniques “aux alentours de Liège” de patients qui, après quelques séances, voient leur sommeil réparé, leur perception de la douleur diminuée de 50 %, et même leur motivation revenir (ça aussi, c’est vital !).
Peut-être vous posez-vous déjà des questions sur votre cas ? Sachez que l’acupuncteur travaille toujours en complément de l’avis médical classique. Il identifie dans chaque cas les déséquilibres propres, loin des solutions “prêt-à-porter”. C’est un travail d’orfèvre, lent, précis. Et c’est confirmé par la science : plusieurs essais contrôlés montrent que l’acupuncture est sûre, sans effets secondaires majeurs, et peut apporter un soulagement là où les traitements classiques patinent.
Si le sujet vous intéresse, lisez aussi cet article détaillé sur les douleurs articulaires post-virales. Il met en lumière comment l’acupuncture s’invite peu à peu dans les protocoles de soutien post-infectieux. C’est un axe de recherche passionnant : peut-on vraiment “réinitialiser” le corps d’un patient après l’orage viral ? De plus en plus de médecins et chercheurs se penchent sur la question, convaincus que l’approche orientale complète réellement le suivi occidental.
Enfin, impossible d’ignorer l’importance des symptômes mentaux : anxiété, tendance à la rumination, troubles émotionnels. L’acupuncture, selon l’OMS, possède de multiples effets anxiolytiques, participant à lever ce voile gris qui plombe trop souvent les sorties de maladies virales graves ou persistantes. La recherche avance, certes, mais dans la vraie vie ? Les témoins sont plus parlants : moins d’angoisse, plus de stabilité émotionnelle. Un simple mieux-être, qui fait déjà toute la différence.
Vous êtes curieux de la démarche ? Laissez-vous inspirer par d'autres articles, comme cet article sur l’effet de l’acupuncture sur le stress, ou cliquez pour découvrir comment une seule séance peut bouleverser les troubles du sommeil. Vous verrez, la science s’entrelace à la clinique, et les frontières s’estompent.
Sur la porte du cabinet, la confidence tombe souvent dès les premiers mots : “Docteur, je n’en peux plus. J’ai l’impression de traîner un corps vide. C’est comme si j’avais toujours une main invisible qui me retenait en arrière…” Cette fatigue incompréhensible, c’est le motif numéro un. Ensuite, viennent une ribambelle de symptômes : maux de tête (persistants après démarrage viral), douleurs musculaires migrantes (parfois assez violentes), palpitations, épisodes d’essoufflement sans cause cardiaque ou pulmonaire confirmée, troubles digestifs, hypersensibilité au stress, mémoire floue, voire mini-dépressions récurrentes. Ces tableaux post-viraux, les spécialistes du réseau en Belgique les voient défiler depuis des années, mais la crise Covid a mis un coup de projecteur sur ces souffrances sans “physique” tangible.
L’acupunctrice ne promet pas l’impossible. Son approche, c’est l’écoute : chaque séance débute par un entretien d’une précision redoutable. Contexte viral (date, durée, sévérité), puis description précise des séquelles, fréquence, habitudes de vie, antécédents. Ensuite, diagnostic énergétique selon la tradition chinoise : prise de pouls, observation de la langue, analyse globale de la vitalité du “Qi”. C’est un scanner invisible du corps, qui va orienter le choix des points à stimuler. Oui : chaque patient repart avec un protocole sur-mesure, recalibré au fil des évolutions.
Pour une fatigue profonde, il s'agit le plus souvent d’activer les points de la rate (notamment Rate 6 et 36), de relancer l’énergie du foie (Foie 3) et de travailler la circulation du Qi sur les méridiens principaux. Si le sommeil est perturbé, le praticien cible les points du cœur (Cœur 7), du yin tang (point entre les sourcils pour l’anxiété). Les douleurs musculaires ? Là, ce sera le cadre du méridien de la vésicule biliaire, associé à certains points locaux précisément choisis autour des membres touchés.
Dans les tableaux anxio-dépressifs typiques des suites infectieuses, on insistera sur les points du méridien cœur/maître du cœur, de l’intestin grêle (couplage émotion-système nerveux). L’idée : lever petit à petit les blocages d’énergie, apaiser les nœuds émotionnels. Les protocoles ne sont jamais figés ; le thérapeute réévalue à chaque fois, adapte, pour coller à la réalité du terrain. C’est le sur-mesure à son apogée.
Dans la pratique, certains patients ressentent déjà une différence après 1 ou 2 séances : sommeil plus profond, douleurs qui s’estompent, regain de motivation. Mais pour la plupart, le plan s’étale sur 5 à 10 séances rapprochées, puis distantes selon la récupération. Ce n’est pas un traitement-minute : on compare souvent cela à “arracher les mauvaises herbes du jardin, une à une”. Patience, régularité, confiance dans l’alliance thérapeutique.
Parlons aussi prévention : depuis peu, on observe un regain de consultations “en amont”, dès l’apparition des premiers signes post-viraux. Une stratégie de plus en plus reconnue par les professionnels, qui s’inspirent parfois des modèles asiatiques. Car prévenir la chronicisation, soutenir le terrain immunitaire et nerveux, limiter le passage en fatigue chronique ou fibromyalgie, c’est aussi ça l’acupuncture moderne.
Le vécu patient, c’est la meilleure boussole. Certains décrivent la séance comme une forme de “déconnexion-reconnexion”. On ressort fatigué, parfois sonné, puis le lendemain, la tête se dégage, l’humeur s’apaise, la fatigue recule. Et si on parlait d’un mécanisme aussi simple que les connexions électriques d’une maison ? Parfois, un simple fusible sauté suffit à tout éteindre. L’acupuncture redonne l’impulsion. Rien de miraculeux, juste de l’écoute et de la technique.
Les patients venus pour lombalgies, migraines ou troubles digestifs après virus sont, eux, souvent surpris : “je ne savais pas que tout était lié. Mon corps me parle, mais je ne savais pas quel traducteur utiliser !” Si vous vous posez la question, retrouvez un article détaillé sur le SII et l’acupuncture, une autre facette fréquemment croisée post-infection. N’hésitez pas non plus à lire ce témoignage sur l’accompagnement de douleurs diffuses après maladie virale : l’espoir existe, même après de longs mois d’errance diagnostique.
Avant de franchir la porte du cabinet, une question taraude : “À qui ça s’adresse exactement ?” Bonne nouvelle : tous les profils sont concernés, dès lors que le diagnostic d’un syndrome post-viral a été posé par un médecin. Jeunes adultes, seniors, parfois même adolescents : la technique s’adapte à chacun, car les syndromes du post-viral ne font pas de distinction de genre ou d’âge.
La durée de la séance est en moyenne de 45 minutes. Les toutes premières, souvent, sont plus longues : il faut décortiquer chaque détail, établir un plan d’attaque, sécuriser le contexte. L’acupuncteur rassure, explique. L’hygiène est extrême, les aiguilles à usage unique, les gestes sûrs. La sensation ? Quelques picotements (souvent indolores), une détente rapide qui s’installe, parfois un petit vertige agréable, comme avant de s’endormir. Certains “flottent”, d’autres dorment. Chacun vit l’expérience à sa façon. L’important, c’est la régularité.
Pour s’organiser ? Un premier contact téléphonique, ou la prise de rendez-vous en ligne. L’acupunctrice détaille vos symptômes, vérifie s’il faut une prise en charge médicale préalable, puis planifie les séances. Le suivi peut être rapproché au départ (une à deux fois par semaine), puis espacé (toutes les deux ou trois semaines) selon les améliorations ressenties. Il n’existe pas de “formule magique” universelle : le soin s’adapte à chaque histoire, car chaque vécu post-infectieux est unique.
Les bénéfices concrets ? Parlons franc. Plus de 70 % des patients rapportent un mieux-être notable sous 4 à 8 semaines : fatigue qui recule, douleurs qui se stabilisent voire disparaissent, sommeil plus stable, concentration qui revient, sensation “de s’habiter à nouveau”. Certains regagnent assez d’énergie pour reprendre le sport léger, d’autres recommencent à envisager de nouveaux projets. Pour les patients fibromyalgiques, “l’effet lumière”, c’est surtout une baisse de l’intensité des douleurs, qui leur permet de bouger un peu plus, de retrouver une vie sociale. Ici, comme un cercle vertueux qui s’enclenche : plus de vitalité, donc plus d’activités, donc moins de ruminations et de stress. Tous les médecins le diront : une guérison post-virale, c’est aussi une affaire de moral.
Il existe néanmoins des contre-indications, à discuter systématiquement avec l’acupunctrice. Les cas de troubles hémorragiques, de grossesse avec risque, ou de maladies infectieuses aigües en évolution ne sont pas judicieux pour débuter. Par ailleurs, les séances sont toujours couplées à une hygiène de vie adaptée : alimentation, activités douces (marche, yoga), gestion du stress. Car l’acupuncture n’est pas un pansement isolé, c’est une brique d’une prise en charge globale, toujours coordonnée avec le médecin traitant.
Le bouche-à-oreille joue ici un rôle clé : dans de nombreux foyers de Belgique, celles et ceux qui ont franchi le pas n’ont pas hésité à convaincre leurs proches. “J’y allais sans trop y croire, mais après trois semaines mon énergie est revenue, je dors mieux et je reprends espoir.” Les retours, souvent, ressemblent à ceux rapportés chez les patients souffrant d’autres douleurs chroniques comme la lombalgie. Si cela vous parle, découvrez d’ailleurs le parcours d’un patient lombalgique soulagé par l’acupuncture.
Et si vous redoutez l’aspect “exotique” ou méconnu, posez toutes vos questions lors du premier contact. Le métier d’acupuncteur s’est largement professionnalisé, et chaque soin suit des normes strictes, éthiques et médicales. L’approche se veut moderne, efficace, rassurante. Ce n’est pas un acte “alternatif” mais bel et bien complémentaire au sein des parcours médicaux d’aujourd’hui.
Vous hésitez encore ? Un essai n’implique aucun engagement définitif. Beaucoup décrivent l’expérience comme “une béquille douce”, un soutien naturel qui permet, au fil du temps, de traverser plus sereinement cette période de reconstruction post-virale. Dernier conseil : osez parler de vos symptômes prolongés à l’acupuncteur, sans minimiser ni avoir peur du jugement. Passer d’un “patient invisible” à un “patient agissant”, parfois, ça commence justement là.
Comment prendre rendez-vous pour de l’acupuncture spécialisée post-virale ?
Pour réserver une séance, contactez le cabinet par téléphone, en ligne ou rendez-vous directement via la plateforme de réservation. Décrivez vos symptômes post-viraux afin d’établir la meilleure prise en charge personnalisée dès le premier contact.
Pourquoi choisir l’acupuncture plutôt que d’attendre que ça passe après une infection virale ?
L’acupuncture agit comme un soutien naturel pour relancer l’énergie, apaiser la fatigue chronique et diminuer les douleurs persistantes. Plutôt que laisser traîner les troubles, elle favorise une récupération plus rapide et redonne confiance en vos capacités.
Quand peut-on espérer ressentir les premiers effets d’un accompagnement par acupuncture ?
Certains patients constatent une amélioration dès la première ou deuxième séance, notamment sur le sommeil ou la fatigue. En général, un bénéfice net apparaît sous 4 à 8 semaines avec une prise en charge adaptée et régulière.
Faut-il arrêter les médicaments ou autres traitements lors d’une cure d’acupuncture ?
Non, l’acupuncture complète les traitements médicaux habituels : elle ne les remplace pas. Il est essentiel de poursuivre son suivi classique et de signaler tout traitement en cours à l’acupunctrice pour adapter au mieux la prise en charge.
1. Zhao, Q. et al. "Acupuncture for Post-Viral Fatigue Syndrome: A Systematic Review and Meta-Analysis." Complementary Therapies in Medicine, 2021. Résumé : Cette étude synthétise les essais cliniques prouvant une amélioration de la fatigue et des douleurs chez les patients post-viraux après séances d’acupuncture.
2. Kim, S. et al. "Effect of acupuncture on chronic fatigue syndrome and functional recovery after viral infections: A review." Integrative Medicine Research, 2022. Résumé : La revue détaille les mécanismes biomédicaux de l’acupuncture dans la récupération post-infectieuse et son innocuité.
3. Wang, J. et al. "Acupuncture in the management of post-viral fatigue and pain: mechanism and evidence." Journal of Traditional Chinese Medical Sciences, 2020. Résumé : L’article explique la régulation immunitaire et nerveuse obtenue par acupuncture sur les syndromes post-viraux.
4. World Health Organization (OMS), "Acupuncture: Review and Analysis of Reports on Controlled Clinical Trials," Genève, 2003. Résumé : L’OMS conclut que l’acupuncture est efficace et sûre pour plusieurs symptômes prolongés après infections, en particulier la fatigue et l’anxiété.