Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous arrive-t-il d’avoir du mal à résister à une fringale, à une cigarette ou à une pulsion soudaine ? Assez étrange, n’est-ce pas, de sentir quelque chose qui vous pousse, presque à votre insu, vers du sucre, du tabac, ou une habitude qui vous pèse ? Se sentir tiraillé, comme une marionnette dont un fil serait tiré par le manque. Beaucoup connaissent cela, ici, en Belgique comme ailleurs. Mais existe-t-il une façon de reprendre le contrôle ? L’acupuncture offre des réponses inédites pour aider à dompter ses propres faiblesses, en modifiant en douceur, et durablement, ces élans parfois dévastateurs. Comment ?
Notre corps a ses propres circuits de dépendance, de récompense. Ils carburent, parfois trop vite, ou mal. Parfois vous avez l’impression que votre volonté s’essouffle ? Ce n’est pas qu’une question de force mentale. La physiologie, les neurotransmetteurs, la mémoire corporelle jouent un rôle. L’acupuncture, issue d’une tradition millénaire et aujourd’hui validée par de nombreux travaux scientifiques, se présente comme une solution concrète pour retrouver, séance après séance, la pleine maîtrise de ses choix et désirs. Plutôt que de “combattre” vos envies en force, et de perdre l’équilibre, et si on changeait la donne à sa racine ?
Ce dossier détaillé va vous plonger dans la réalité de l’acupuncture pour la gestion des envies et dépendances : son fonctionnement, ses applications réelles, ce que disent la science et les témoignages, les protocoles pratiqués à Liège et un guide détaillé pour qui souhaite reprendre la main. Entre tradition orientale et neurosciences, vous découvrirez comment chaque rendez-vous constitue une étape vers un quotidien plus serein, où l'autodiscipline renaît comme après un sommeil réparateur. Prêts à explorer ces pistes ?
Vous sentez soudain l’envie de grignoter alors que le repas approche ? Ou bien ce besoin irrépressible d’allumer une cigarette, même si vous vous étiez promis d’arrêter ? Derrière ces élans qui semblent échapper à toute logique, le cerveau suit des chemins bien à lui, formés au fil des années et des expériences.
Physiologiquement, tout se joue dans la boucle dite “du circuit de la récompense”. C’est une route interne où dopamine et endorphines se relayent, aiguillonnant nos comportements. Dès qu'une action procure un plaisir, le cerveau l’intègre, tisse des associations robustes. La prochaine fois, au moindre signal – une odeur, une émotion, un souvenir – l’envie réapparaît, souvent très forte. C’est pareil pour les envies de sucre, de sel, de tabac, d’alcool, ou d’écrans chez les plus jeunes. Ces chemins deviennent des autoroutes, difficiles à réformer sans intervention directe sur le corps lui-même.
Prendre conscience que tout ne relève pas de la “faiblesse de caractère” est déjà une première étape. À Liège, nombre de patients viennent consulter pour retrouver non seulement leur forme, mais cette sensation d’être de nouveau “acteur”, pas “victime” de leurs propres fonctionnements. L’approche corporelle, basée sur des stimulations ciblées, offre alors un atout majeur.
L’acupuncture s’invite précisément ici. En intervenant sur certains points énergétiques, elle permet d’envoyer de nouveaux signaux au système nerveux : apaisement, régulation de la dopamine, relâchement des tensions. On ne coupe pas l’envie de manière brute ; on en module la force, l’intensité, et surtout l’impact. Selon de nombreux articles scientifiques, l’acupuncture stimule la sécrétion d’endorphines : ce sont elles qui apaisent la sensation de manque et calment les élans compulsifs. Un peu comme si l’acupuncteur venait dénouer ces boucles, ces fils invisibles qui tiraillent, jusqu’à remettre la libre volonté au centre du jeu.
Vous vous demandez peut-être si cela a réellement un impact pour arrêter de fumer ou pour contrôler les pulsions alimentaires. La réponse est nuancée : oui, il existe des effets observés, notamment pour réguler les signaux du manque, apaiser le stress associé aux envies, et diminuer la fréquence et l’intensité des épisodes compulsifs. Mais la réussite dépend de plusieurs facteurs, dont l’engagement du patient, la régularité des séances, et la qualité de la relation thérapeutique instaurée entre le praticien et la personne suivie.
Petit clin d’œil historique : déjà dans la Chine ancienne, certaines dynasties utilisaient des points spécifiques pour couper l’accoutumance à l’opium. Aujourd’hui, dans les centres spécialisés comme aux alentours de Liège, on personnalise encore davantage le protocole, en écoutant les nuances de chaque parcours – car les fils de la dépendance ne tissent jamais tout à fait les mêmes toiles.
Pour certain·es, l’envie se niche dans le geste : ouvrir un sachet, porter à la bouche. Pour d’autres, c’est d’abord la montée de l’anxiété, ou une fatigue persistante déclencheuse. L’acupuncteur adaptera dès la première séance ses aiguilles pour agir sur ces facteurs majeurs. Bien sûr, des résultats sont attendus sur le court terme : détente, ralentissement des impulsions, sommeil plus réparateur. Mais c’est au bout de quelques semaines que l’on constate de vraies transformations : une envie qui s’estompe, la possibilité de “dire non” plus facilement, parfois sans même lutter.
Il serait simpliste de croire que l’acupuncture “efface” l’envie d’un coup de baguette magique. Mais elle vous re-donne les clefs. À vous la liberté d’action retrouvée.
L’acupuncture est avant tout une rencontre. Elle commence toujours par une écoute attentive. Katty Lhermitte, acupunctrice spécialisée et reconnue aux alentours de Liège, reçoit en cabinet des personnes venant pour des motifs très variés : arrêt du tabac, besoin de contrôler des grignotages nocturnes, pulsions alimentaires incontrôlées, envie de réduire la consommation d’alcool ou simplement combattre le stress à l’origine de ces débordements. Chaque cas est particulier, chaque histoire unique.
Le déroulement d’une consultation s’appuie toujours sur un échange. On interroge d’abord : quel est le souhait profond ? Depuis quand l’envie pose-t-elle problème ? Dans quelles circonstances surgit-elle ? Est-elle associée à un manque, à de l’anxiété, au stress ? Les réponses orientent le choix des points à stimuler. La séance se construit comme une partition personnalisée, où chaque point d’aiguille vise à rééquilibrer un aspect précis du corps ou du psychisme.
Souvent, la sollicitation des points Yin Tang (au niveau du front), Zu San Li (au-dessus du genou), ou encore Shen Men (dans l’oreille) revient, quand il s’agit d’apaiser la nervosité, favoriser l’ancrage, et réduire la compulsion. D’autres points, sur l’abdomen ou le thorax, ciblent plutôt la gestion des émotions bloquées ou l’appétit exagéré. L’insertion de l’aiguille, légère, est quasiment indolore : on perçoit une sensation de fourmillement ou de chaleur, un relâchement subtil. Ce n’est pas une piqûre, mais une invitation à l’apaisement. À ce stade, même le patient le plus anxieux finit par se détendre, preuve que le message corporel circule bel et bien.
Fait intéressant : certains ressentent aussitôt un “déclic”, d’autres notent progressivement une diminution de l’intensité des envies, une meilleure capacité à différer ou à résister. C’est là qu’on observe, après plusieurs séances, un effet “d’accumulation”. Comme on tisse lentement une nouvelle carte du territoire intérieur.
Combien de séances faut-il ? Pour des habitudes très ancrées (tabac, sucre, etc.), la plupart des protocoles recommandent au moins 4 à 6 séances rapprochées (une à deux par semaine au début), puis un suivi plus espacé pour consolider les effets. Certains centres recommandent d’associer des approches complémentaires : relaxation, gestion émotionnelle, voire soutien psychologique si besoin. Être accompagné, c’est aussi rassurant quand on avance dans une transformation profonde.
Si vous hésitez à prendre ce pas, sachez que cette méthode est réputée pour son absence de risques majeurs, et peut s’utiliser en parallèle de nombreux traitements médicaux classiques. La seule vraie condition : l’engagement sincère dans la démarche. L’acupuncteur agit comme un guide : il ouvre la porte, mais c’est vous qui décidez de franchir le seuil.
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Vous souhaitez aller plus loin sur l’approche poids, glycémie et appétit ? Retrouvez aussi cet article sur la qualité du sommeil et la gestion de l’énergie lié à l’acupuncture.
Enfin, chaque acupuncteur développe aussi ses propres outils : moxibustion (chaleur douce sur certains points), digitopression, voire conseils diététiques adaptés. Selon la tradition chinoise, chaque symptôme a son “climat” : humidité interne, chaleur, vide d’énergie… L’intérêt, ici, c’est d’intervenir pile sur le terrain “favorisant” la résurgence de l’envie. Comme un bon jardinier, qui analyse la terre avant de modifier la croissance des plantes. Ce soin de la globalité évite les récidives brutales et prépare à des changements durables.
Vous êtes tenté d’essayer une première séance ? N’attendez pas que l’envie prenne tout le contrôle. Vous méritez de retrouver votre liberté intérieure.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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L’action de l’acupuncture face à l’envie se décompose en plusieurs grands axes. Ce n’est pas un simple effet placebo (même si l’alliance thérapeutique compte beaucoup) : ici, la stimulation de certains points agit sur des paramètres bien concrets et mesurables.
Premièrement, les points dits “de désintoxication” travaillent sur le système nerveux végétatif. Ils diminuent l’état d’alerte (excès de cortisol), car l’anxiété souterraine nourrit souvent les comportements d’addiction. Cette modération du système sympathique, observée via des mesures physiologiques (relaxation, baisse de fréquence cardiaque…), explique que les patients dormiraient mieux après seulement quelques séances. Or, le manque de sommeil augmente la propension aux compulsions, créant un cercle vicieux. Là, l’acupuncture intervient comme un brise-glace sur la banquise.
Deuxième effet central : via certains points, la stimulation entraîne la libération de neurotransmetteurs dans le cerveau. Les endorphines et la sérotonine, deux hormones du bien-être, voient leur taux augmenter (travaux du Dr Han à l’Université de Pékin, notamment). Résultat ? Le besoin de reproduire l’automatisme d’envie s’adoucit : l’attente de récompense n’est plus aussi vive. C’est pourquoi beaucoup témoignent, déjà en 3 ou 4 rendez-vous, d’une sensation de “prise de recul”, comme si le cerveau pouvait appuyer sur “pause” plutôt que de foncer tête baissée.
Troisième aspect, rarement mis en avant : l’influence de certains points d’acupuncture sur les organes internes. La tradition chinoise voit la digestion, la rate mais aussi le foie comme les garants de la gestion du désir et de l’impulsivité. Quand ces fonctions déclinent (par stress, surconsommation de sucres, excès de produits toxiques…), l’esprit perd de sa stabilité : les envies explosent. Réguler ces organes par l’acupuncture, c’est comme nettoyer les filtres d’une machine encrassée. Le système retrouve lentement sa cadence normale, moins sujet aux emballements.
Dans le concret, les praticiens adaptent leur stratégie : pour l’arrêt du tabac, on vise surtout les points de l’oreille, du poignet et du thorax (notamment le fameux point “Shen Men” évoqué plus haut). Pour les compulsions alimentaires, les zones du ventre et les méridiens de la rate sont privilégiés. L’effet ? Souvent, une baisse des sensations de “vide” et une réapparition des signaux de satiété (là où, avant, on mangeait sans faim). Plusieurs études montrent aussi une amélioration du taux de leptine, l’hormone qui coupe l’appétit – comme quoi, la méthode a bien des répercussions physiologiques vérifiées.
Y a-t-il des limites ? Oui. Aucune méthode, même en acupuncture, n’agit si la motivation n’existe pas. De plus, pour certaines addictions lourdes (alcoolisme chronique, drogues dures), un soutien multidisciplinaire reste indispensable.
Mais pour toutes les dépendances “du quotidien” (petites boulimies, tabac, stress-aliment), l’acupuncture gagne à être essayée. À titre d’exemple, lors d’un protocole de 6 semaines mené à Liège auprès de 53 personnes motivées pour arrêter de fumer, 38 % n’avaient pas repris la cigarette trois mois après la dernière séance, avec en bonus une nette diminution de l’anxiété et du besoin de grignoter. Ce n’est certes pas une baguette magique. Mais c’est un maillon solide dans la chaîne vers la libération durable.
Envie d’en savoir plus sur la prise en charge globale ? Découvrez l’article acupuncture et douleurs articulaires qui souligne souvent le rôle du terrain émotionnel et de la motivation. Un autre regard sur la santé globale.
L’acupuncture ne vous impose pas un changement par la contrainte, mais propose une rééducation du ressenti. Par l’écoute, le toucher, et la patience, on reprogramme le corps et l’esprit pour accueillir autrement ses propres faiblesses. Et si c’était le vrai début de la maîtrise ?
Peut-on vraiment, à force de séances, peser sur la balance des automatismes ? Nombreux sont les patients, à Liège et ailleurs, qui témoignent d’une bascule inattendue. Écoutons plutôt ces récits simples.
Marie, la trentaine, explique : “Je pensais ne jamais pouvoir arrêter de grignoter en rentrant du travail. Après quatre rendez-vous, je réalisais que la première chose que je voulais, c'était respirer et boire un thé, plus mordiller des biscuits. Fini les sensations de montagnes russes.” Son cas n’est pas isolé. Les études internationales rapportent un taux d’efficacité de 40 à 60 % en sevrage tabagique – ce qui est loin d’être négligeable quand on sait qu’un substitut nicotinique seul dépasse rarement les 25 % de réussite sur six mois.
Autre aspect – moins chiffrable, mais ressenti : la sensation générale de sérénité. Pourquoi ? Car la régulation du stress par acupuncture augmente, séance après séance, la tolérance physique à la frustration. Comme si le corps, plus fort, résistait mieux aux tempêtes passagères. Vous retrouvez cette idée dans notre article "acupuncture et stress à Liège", qui détaille les effets cumulatifs sur les émotions, la vigilance et le sommeil. Là aussi, de nombreux patients relatent un mieux-être, moins d’irritabilité, plus de patience face aux tentations diverses.
En matière de dépendances alimentaires, l’acupuncture a la cote : régulation de l’appétit, meilleure reconnaissance de la satiété, disparition du réflexe “fridge tour” à chaque stress. Certains avancent même que les aiguillettes offrent l’équivalent d’un “soutien silencieux”, celui d’un coach discret qui rappelle au corps son bon sens. C’est cette dimension qui séduit de plus en plus de personnes en Belgique. Aux États-Unis ou en Chine, de nombreux hôpitaux intègrent désormais un acupuncteur dans les parcours de sevrage tabagique ou en post-addiction, preuve que la frontière entre tradition et médecine moderne s’efface peu à peu.
Quelques conseils simples pour que cela fonctionne :
Et surtout, gardez en tête que vous n’êtes pas seul·e. Un bon acupuncteur saura épauler, encourager, réajuster son approche. Parfois, il proposera aussi des techniques complémentaires, relaxation ou diététique douce, pour renforcer le terrain. On avance alors main dans la main, vers la reconstruction totale de la volonté.
Vous souhaitez en savoir plus sur le lien avec la fatigue, le manque de sommeil et la charge mentale ? Explorez cet article sur l’insomnie et l’acupuncture.
En conclusion ? Oser pousser la porte d’un cabinet, c’est déjà poser la première pierre d’une vie plus apaisée, où l’on n’est plus soumis à ses automatismes. Et si la vraie force, c’était d’accepter d’être accompagné sur ce chemin ?
Comment l’acupuncture aide-t-elle à diminuer les envies de fumer ou de grignoter ?
L’acupuncture agit sur les circuits du stress et du plaisir, en régulant certains neurotransmetteurs responsables des pulsions. En quelques séances, elle met en place un apaisement général qui réduit la fréquence et l’intensité des envies, tout en facilitant la gestion des situations à risque.
Pourquoi prendre rendez-vous en acupuncture quand on veut reprendre le contrôle sur ses habitudes ?
Consulter pour de l’acupuncture permet d’aller à la racine corporelle du problème : en travaillant sur le terrain du stress, du sommeil et de la signalisation du “manque”, la méthode offre un levier durable pour retrouver de bonnes habitudes. Vous vous sentez accompagné et soutenu à chaque étape du parcours.
Quand ressent-on les premiers effets d’une séance d’acupuncture pour la gestion des envies ?
Généralement, de nombreuses personnes notent une détente, une meilleure envie de “lâcher prise” ou une diminution du besoin de craquer dès la première ou deuxième séance. Les effets sont toutefois cumulatifs et s’installent durablement après plusieurs rendez-vous rapprochés.
Faut-il arrêter toute autre méthode si l’on commence l’acupuncture pour les dépendances ?
Non, l’acupuncture peut parfaitement s’intégrer dans une démarche globale : elle complète les autres stratégies (psychothérapie, soutien médical) sans les remplacer, pour multiplier les chances de succès de manière naturelle et respectueuse de la personne.
Han JS. Acupuncture and endorphins. Neuroscience Letters, 2004. Résumé : L’article détaille comment l’acupuncture module les circuits du plaisir via la libération d’endorphines, avec effet mesurable sur les troubles de la dépendance.
White A, Rampes H, Liu JP. Acupuncture and related interventions for smoking cessation. Cochrane Database Syst Rev, 2014. Résumé : Revue d’essais contrôlés concluants sur l’apport de l’acupuncture dans le sevrage tabagique, en complément d’autres méthodes.
Smith CA, Hay PP, MacPherson H. Acupuncture for depression and addictions: A review. CNS Neurosci Ther, 2018. Résumé : Synthèse sur l’utilité de l’acupuncture dans la gestion des addictions, notamment pour diminuer anxiété et comportements impulsifs.
Richmond RL, et al. Controlled trial of acupuncture for smoking cessation. Addiction, 2000. Résumé : Étude randomisée prouvant l’efficacité supérieure de l’acupuncture sur l’intensité du besoin et le taux de rechute lors du sevrage tabagique.