Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous arrive-t-il de vous réveiller la nuit, la gorge sèche, les draps humides, le cœur qui bat plus vite que de raison ? Les fuites urinaires nocturnes, c’est un peu comme un courant d’air glacial qui vient gâcher la douceur de votre sommeil. Certaines femmes en parlent à voix basse, comme si c’était une malédiction honteuse. Mais dans la réalité, ce problème est bien plus fréquent qu’on ne l’avoue dans la sphère féminine. Et bonne nouvelle : des solutions existent. Parmi elles, la kinésithérapie périnéale joue un rôle de premier plan. À l’aide d’exercices, d’écoute et d’une prise en charge humaine et personnalisée, il est bel et bien possible de reprendre le contrôle, même la nuit. Prête à en savoir plus, à retrouver des nuits sèches et un sommeil réparateur ? C’est parti, allons explorer ce sujet sans tabou, ni détour — juste avec la bienveillance et la science au service de votre quotidien de femme.
Imaginez. La maison est plongée dans le silence, tout le monde dort. Mais là, sans prévenir, une sensation d’humidité, de chaleur, peut-être même un malaise. Les fuites urinaires la nuit – ou “énurésie nocturne” dans le jargon médical – ne sont pas réservées qu’aux enfants. Beaucoup de femmes, jeunes ou moins jeunes, actives ou reposées, enceintes ou après un accouchement, en font l’expérience. D’ailleurs, saviez-vous que jusqu’à 1 femme sur 12 en Belgique en souffre régulièrement ? Ce chiffre grimpe nettement après la ménopause ou un accouchement. Cela représente énormément de nuits coupées, de fatigue, de linge à changer, et… parfois, une confiance en soi malmenée.
Impossible d’ignorer ce sujet : il touche la vie intime, mais aussi professionnelle ou sociale. Certaines patients témoignent de leur peur de partir en vacances, d’accepter une invitation, de dormir chez des amis… “Si jamais ça recommence…” Véritable cercle vicieux : la fatigue s’accumule, la peur s’installe. On évite les moments conviviaux, on redoute chaque nuit. Les femmes se taisent, par pudeur surtout. Mais la honte n’a rien à voir ici : le corps, tout simplement, émet un signal de détresse. C’est là que l’accompagnement d’un ou d’une spécialiste change tout.
La kinésithérapie périnéale est précisément pensée pour accompagner les femmes dans ces moments-là. Elle vise à restaurer non seulement la fonction, mais aussi l’estime de soi et la liberté d’agir, de bouger, de vivre sans entrave. Et non, il ne s’agit pas de simples exercices “magiques” ou d’une baguette – c’est, avant tout, un travail patient, une attention portée à votre histoire, à vos besoins et à votre rythme de vie.
Mais alors, d’où viennent réellement ces fuites ? Est-ce une fatalité après une grossesse, une conséquence inévitable de l’âge ? Non. Pas du tout. La nuit, l’absence de tonus du plancher pelvien, un relâchement musculaire, le passage d’hormones, des pressions sur la vessie (parfois aggravées par la position allongée) : tout cela peut jouer. Dans d’autres cas, les troubles du sommeil ou une vessie “hyperactive” favorisent la perte d’urine. Certainement, l’histoire n’est jamais la même d’une femme à l’autre, mais il existe un point commun : la rééducation du périnée change la donne.
Dans la région proche de Liège, de plus en plus de femmes osent consulter. Et la tendance est à la déculpabilisation, à la prise de parole. Terminé la culture du silence ! Oui, il y a parfois des solutions médicamenteuses, mais elles ne ciblent que rarement la cause du problème. Or, c’est là, dans ce travail de fond, que la kinésithérapeute spécialisée prend tout son sens.
En province de Liège, les professionnels, notamment les kinésithérapeutes périnéales, peuvent proposer des approches globales et scientifiquement validées. Lisa MOENS, Kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, est une de ces professionnelles de confiance. Elle travaille en synergie avec d’autres spécialistes (urogynécologues, sages-femmes, médecins généralistes, etc.). Les motifs de consultation sont variés : fuites nocturnes, fuites à l’effort, troubles après grossesse ou chirurgie, douleur, endométriose… Le point commun ? L’écoute, le sur-mesure, la sécurité.
Kinesithérapie périnéale à Liège est souvent proposée en synergie avec la médecine pour des problèmes associés, notamment si des cystites ou des douleurs pelviennes s'ajoutent aux soucis de fuites nocturnes. Car, non, il ne suffit pas “d’attendre que ça passe” : de nombreux troubles persistants peuvent gravement impacter la qualité de vie. L’objectif ? Un sommeil retrouvé, un confort diurne et nocturne, une autonomie restaurée.
On arrive dans le cabinet, parfois avec quelques hésitations. D’abord, une question : “Est-ce que je vais devoir tout raconter ? Est-ce que ce sera gênant ?” Pas de panique, la première séance n’a rien d’un marathon. Au contraire : elle ressemble davantage à une conversation bienveillante, où l’on retrace votre histoire, vos habitudes, vos attentes. Madame Lisa MOENS à Esneux – conventionnée INAMI, abordera plusieurs points-clés : quels sont vos symptômes exacts, à quelle fréquence, depuis combien de temps… Avez-vous déjà des enfants ? Des fragilités particulières ? Une prise de médicament ? Un accident de santé ?
Aux alentours de Liège, les spécialistes accordent une place de premier choix à l’écoute. C’est là la base de tout. Ensuite seulement, le bilan pratique commence. Il s’agit de comprendre l’état du plancher pelvien : tonus, force, endurance, coordination. Parfois, en cas de douleurs ou de gênes spécifiques (endométriose, suite d’accouchement, troubles post-chirurgie gynéco), l’examen est adapté, tout en douceur. Rien d’automatique, aucun geste n’est imposé sans votre accord ! C’est avant tout une alliance thérapeutique, où la parole circule, les limites sont respectées.
Après ce premier temps fondamental, vient l’élaboration du plan de traitement. Concrètement ? Des exercices personnalisés de contraction et de relâchement, du travail avec des outils (biofeedback, électrostimulation parfois), de la rééducation fonctionnelle (debout, assise, allongée), des conseils sur l’hygiène de vie, le sommeil, la position la nuit, la façon de boire et d’aller aux toilettes… Loin d’une simple “gymnastique”, c’est tout un travail de corps et d’esprit, visant à réapproprier l’espace intime et à améliorer durablement le problème.
Chaque séance s’adapte, et le rythme de progression dépend de chacune. Parfois, en quelques semaines, de nets progrès. D’autres fois, il faut un peu plus de patience. Mais une certitude demeure : avec un accompagnement régulier, la majorité des patientes témoignent d’une nette réduction de leurs fuites urinaires nocurnes. Moins de réveils en sursaut. Plus de sérénité au coucher. Plus de confiance. Parfois la solution réside dans des détails inattendus : un coussin sous les jambes, une petite modification du rythme alimentaire, un travail de relaxation, etc.
Il existe même, pour traiter les pertes urinaires nocturnes, des programmes sur mesure pour chaque étape de la vie féminine : pré-partum (pour anticiper les transformations du corps), en cours de grossesse, post-accouchement, ou lors de la ménopause. Les chiffres évoquent jusqu’à 80% d’amélioration de la qualité de vie chez celles qui suivent un protocole de kinésithérapie périnéale ciblée.
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous doutez encore ? Vous n’êtes pas sûre que c'est fait pour vous ? Allez jeter un œil à cet article complémentaire sur la rééducation périnéale et cystite pour comprendre les ponts entre troubles urinaires et prise en charge par la kinésithérapie. Il existe, en cabinet ou à domicile, un accompagnement humain et concret pour chaque étape.
Pas de panique : on ne vous demandera pas d’escalader Everest ni de devenir une athlète olympique du périnée du jour au lendemain. Les outils employés sont adaptés (et même plutôt… discrets). Peut-être même amusants une fois l’appréhension dissipée ! Tout commence avec votre corps, et ses précieux signaux. Mais alors, ça ressemble à quoi, concrètement ?
Déjà, la “star” de la consultation : les exercices de Kegel et l’apprentissage de la contraction musculaire fine. Pas si évident ! Comme pour apprendre à jouer d’un instrument, on avance pas à pas, d’abord lentement, puis avec plus de rythme. À chaque séance, le ou la spécialiste corrige, encourage, ajuste. On peut utiliser un biofeedback, une petite sonde qui capte vos efforts et les transmet sur un écran : le retour visuel aide à progresser. Idéal pour celles qui ne sentent pas toujours bien les contractions internes, ou qui doutent de leur efficacité.
Dans certains cas spécifiques, notamment après un accouchement difficile ou en cas de perte sévère de sensibilité, l’électrostimulation du plancher pelvien peut être proposée en complément. Pas de douleur, pas de danger, mais une stimulation douce, sur quelques minutes, pour réapprendre au muscle à répondre. Enfin, la rééducation manuelle, ce travail si particulier du toucher thérapeutique, permet, en conscience, de relâcher des tensions, d’améliorer la vascularisation et de renforcer le ressenti des muscles du périnée.
Il existe aussi des aides à l’auto-prise en charge : carnet de suivi, séances guidées à la maison, conseils personnalisés sur les postures pour dormir, le choix de matelas ou de coussins, astuces pour gérer la prise des boissons dans la soirée (saviez-vous que boire beaucoup juste avant le coucher multiplie par 3 le risque de fuite la nuit ?). Enfin, thérapies associées, relaxation, gestion du stress, hygiène alimentaire… C'est tout un accompagnement global, aux petits soins !
Rééquilibrer le corps après des cystites chroniques est également complémentaire à la rééducation du périnée dans une approche globale de santé féminine.
Être actrice de son traitement, c’est essentiel ! Oui, la kinésithérapie se vit en cabinet, mais elle se poursuit aussi, chaque jour, à la maison. Pour atténuer les fuites urinaires nocturnes, quelques petits “trucs” font beaucoup :
1. Surveillance de l’hydratation : Buvez en journée, mais évitez de vous hydrater abondamment dans les deux heures précédant le coucher.
2. Rituels de coucher : Allez aux toilettes avant d’aller dormir, favorisez des positions où le bassin est légèrement surélevé (coussin sous les jambes ou sous les fesses).
3. Evitez tabac et café le soir, qui stimulent la vessie.
4. Exercice doux : Pratiquez quotidiennement les exercices recommandés par votre kinésithérapeute périnéale. Parfois 2 minutes suffisent !
5. Relaxation : La relaxation, la sophrologie, la respiration abdominale profonde aident à réduire la pression sur la vessie… et donc les fuites.
6. Journée active, nuit reposante : Marcher, éviter la sédentarité, mobiliser son bassin, c’est la clé pour une bonne santé périnéale.
En soit, ce n’est pas la “grande révolution” : ce sont beaucoup de petits cailloux, qui, mis bout à bout, ouvrent une grande route vers la sérénité nocturne. Votre implication dans cette démarche est le plus beau cadeau que vous puissiez offrir… à votre sommeil et à votre bien-être !
Alors, est-ce “vraiment” efficace ? Voilà la question la plus posée en cabinet ! La réponse est franche : la kinésithérapie périnéale donne d’excellents résultats… surtout lorsque la prise en charge est régulière, individualisée, et que l’on implique la patiente dans un vrai projet de soin.
Des études cliniques (publiées dans des revues internationales de médecine et de kinésithérapie) montrent que jusqu’à 75 à 80% des femmes voient disparaître ou diminuer nettement les fuites urinaires nocturnes après quelques semaines de séances. Plus impressionnant encore : la confiance personnelle grimpe en flèche, la fatigue recule, et la peur du prochain accident disparaît. Plus besoin de préparer la valise de rechange quand on part dormir ailleurs.
Pourquoi ça marche ? Parce que ce n’est pas “seulement” musculaire. C’est un tout : dialogue, explications, exercices sur mesure, conseils de vie, suivi rigoureux, implication, et, oui, parfois aussi du fun dans le défi de retrouver cette maîtrise corporelle. On l’oublie trop souvent : le corps et l’esprit avancent ensemble. Quand on regagne de l’assurance la nuit, tout le reste suit durant la journée.
Important : chaque personne est unique. Certaines ressentent un mieux-être dès la troisième séance, d’autres remarqueraient une amélioration plus lente – il n’y a pas de recette universelle, mais une écoute active permanente.
En Belgique, et plus particulièrement à Esneux, des cabinets comme celui de Lisa MOENS, conventionnée INAMI, sont à la pointe de cette prise en charge humaine et innovante. On y travaille aussi bien le pré-partum que le post-accouchement, l’endométriose, la rééducation du périnée après chirurgie ou lors de troubles urinaires fonctionnels.
L’expérience patient compte, tout autant que la technicité. L’accueil, les échanges, la douceur, font toute la différence. On vient parfois en traînant des pieds, mais on repart avec l’envie de revenir… et, de séance en séance, l’assurance grandit. Chaque femme a droit à ce confort. Jamais trop tard. Jamais de cas désespéré !
Envie d’en savoir plus ? Ce article sur le renforcement du périnée et les infections urinaires vous apportera d’autres pistes concrètes, pour compléter votre démarche.
Un dernier mot sur l’après. La kinésithérapeute ne vous “guérit” pas, elle vous donne les clés, partage son expérience, vous aide à comprendre. La prévention, l’entretien du périnée, c’est aussi simple que de se brosser les dents chaque jour : c’est la routine qui fait la force ! Travailler son périnée, c’est prendre soin de soi, à chaque étape de la vie, avec la fierté d’être actrice de son changement. La prise en charge est multidisciplinaire, pour croiser les regards, répondre à toutes les situations… et, surtout, ne jamais rester seule face à la difficulté.
Comment savoir si les fuites urinaires nocturnes relèvent de la kinésithérapie périnéale ?
Si vous souffrez de pertes d'urine pendant la nuit, que ce soit après un accouchement, lors de la ménopause ou sans raison apparente, une consultation de kinésithérapie périnéale s’avère pertinente. La professionnelle évaluera vos symptômes afin de vous proposer un bilan sur-mesure. Un traitement adapté peut atténuer, voire supprimer, ces fuites gênantes.
Pourquoi consulter un(e) kinésithérapeute périnéale conventionné(e) INAMI à Esneux plutôt qu’un(e) généraliste ?
Le/la kinésithérapeute périnéale spécialisé(e) intervient avec des techniques spécifiques et adaptées pour renforcer et rééduquer le périnée féminin. À Esneux, grâce à une approche multidisciplinaire et conventionnée INAMI, vous bénéficiez d’une prise en charge experte et remboursée, axée uniquement sur ce type de désagrément chez la femme.
Quand voit-on des progrès sur les fuites urinaires nocturnes avec la kinésithérapie périnéale ?
En général, des améliorations significatives sont ressenties après quelques semaines de séances, selon la fréquence des rendez-vous et la régularité à la maison. Certaines patientes observent un mieux-être rapide, tandis que pour d’autres, les résultats dépendent de la gravité initiale et de la motivation personnelle. Le suivi personnalisé accélère l'évolution.
Faut-il suivre la rééducation périnéale en cabinet ou est-ce possible à domicile aux alentours de Liège ?
Oui, la kinésithérapie périnéale peut débuter en cabinet et se poursuivre par des exercices à domicile, selon l’évaluation du/de la professionnel(le). À Esneux ou aux alentours de Liège, de nombreux cabinets proposent une prise en charge mixte, adaptée à votre rythme de vie et à vos objectifs. L’important est d’être accompagnée en toute confiance.