Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Imaginez vos hormones comme une troupe d’orchestre. Parfois, les violons (œstrogènes) s’emballent, la contrebasse (progestérone) s’efface, le chef d’orchestre (hypothalamus) perd la partition. Le résultat ? Des cycles déréglés, des règles douloureuses, des montagnes russes émotionnelles, une fatigue qui plombe le moral…
Pourtant, la médecine traditionnelle chinoise (MTC) a depuis des millénaires ses propres clés de lecture du corps féminin. Elle décrit des flux d’énergie – le fameux Qi – qui circulent sur des méridiens et gouvernent aussi la danse hormonale. Alors si votre système tourne à l’envers, pourquoi ne pas venir accorder votre “orchestre intérieur” du côté de l’acupuncture ?
Ce n’est pas de la magie, ni du placebo. Mais une approche scientifique aujourd’hui appuyée par des études. Les neurosciences rejoignent la sagesse ancestrale chinoise pour montrer que l’acupuncture module le système nerveux, que “piquer” certaines zones influence l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique, chef d’orchestre des hormones sexuelles. À Liège, aux alentours de Liège, mais aussi en Belgique, de plus en plus de femmes consultent pour un rééquilibrage hormonal au naturel. Et elles ne sont pas seules : l’OMS reconnaît l’acupuncture comme adjuvant clé.
Laissez-moi vous guider à travers ce voyage fascinant au cœur du rééquilibrage hormonal féminin par l’acupuncture. Découvrez pourquoi et comment cette pratique millénaire trouve toute sa modernité face aux défis hormonaux d’aujourd’hui.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Vous sentez que votre corps fait la girouette ? Que vos cycles menstruels sont imprévisibles, vos symptômes multiples, et votre humeur imprenable ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seule. Beaucoup de consultantes ont déjà tout tenté : pilule, supplémentation, yoga, méditation et remèdes naturels. Pourtant, leur « météo hormonale » reste irrégulière.
Mais de quelles hormones parle-t-on exactement ? Sur le plan biologique, les déséquilibres les plus fréquents concernent les œstrogènes, la progestérone, la FSH, la LH (hormone lutéinisante), la prolactine et parfois la testostérone (qui, chez la femme aussi, a son importance pour la vitalité). Ce petit ballet biochimique impacte le cycle menstruel, l’ovulation, la fertilité, la libido, la qualité de la peau, le sommeil… Même la thyroïde peut s’en mêler et semer la zizanie.
En acupuncture, la lecture est directe : des points ciblés agissent selon la tradition sur la Rate (qui régit l’énergie du sang), le Foie (maître du mouvement et des émotions), et les Reins (gardiens de la vitalité reproductive). La symptomatologie varie : aménorrhée (pas de règles), cycles irréguliers, douleurs menstruelles, spottings, syndrome prémenstruel (SPM), voire troubles de l’ovulation.
Voici un cas typique. Une jeune femme consulte, fatiguée, cycles de 40 jours, acné hormonale, règles abondantes, alternance de fatigue et de nervosité. Le diagnostic chinois révélera souvent un vide d’énergie du Rein ou une stagnation du Qi du Foie. Le praticien choisit alors des points spécifiques comme Zusanli (E36), Sanyinjiao (SP6), Taichong (LR3)… Ces noms peuvent sembler mystérieux, mais chaque point a un rapport direct avec la régulation de l’axe hormonal.
La science ? Des études (voir références en fin d’article) montrent que l’acupuncture peut moduler l’axe gonadotrope et restaurer la communication cerveau-ovaires. Une méta-analyse publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism a prouvé que les patientes souffrant d’anovulation ou de SOPK voyaient leur cycle normalisé plus fréquemment avec l’acupuncture qu’avec un placebo. Une belle victoire pour “l’art du fil” !
Et pour la fertilité ? Que ce soit pour optimiser un cycle naturel, en accompagnement d’un parcours PMA, ou pour restaurer un terrain après une contraception longue, l’acupuncture montre des effets démontrés sur l’endomètre (épaississement, meilleure vascularisation), la qualité folliculaire, la régulation de la FSH et de la LH.
Une étude menée à l’Université de Göteborg (Suède) a mis en lumière un taux de fécondation majoré de 15 à 20 % chez les femmes ayant eu des séances d’acupuncture pré-IVF. En pratique, le suivi idéal se fait 1 à 2 fois par semaine pendant 3 à 6 cycles, selon la problématique.
Et si vos troubles accompagnent d’autres désagréments ? N’oublions pas que beaucoup de femmes cumulent fatigue chronique, problème de sommeil, douleurs diffuses ou stress. L’acupuncture agit également sur ces registres. Vous pouvez consulter cet article dédié : Acupuncture et insomnie : comment retrouver naturellement le sommeil réparateur.
Quant aux doutes : “Peut-on vraiment agir sur un bouleversement hormonal avec de simples aiguilles ?” Oui, si le praticien connaît parfaitement les cycles du Qi et adapte le traitement à chaque phase du cycle menstruel. C’est ce fin réglage qui fait la différence entre une approche symptomatique et une harmonisation profonde.
Alors, que vous soyez concernée par des cycles en dents de scie aux alentours de Liège, par un désir de grossesse, ou par une fatigue hormonale que rien ne soulage, sachez que l’acupuncture se pose aujourd’hui en allié reconnu et accessible.
À noter : la consultation approfondie en MTC diffère de la médecine classique, avec prise de pouls chinois, observation de la langue, et bilan énergétique global. Cela permet d’individualiser la stratégie – là où une approche standardisée montre vite ses limites.
Vous hésitez encore ? Peut-être parce que dans l’imaginaire collectif, l’acupuncture se réduit à quelques aiguilles plantées n’importe où. Pourtant, une séance spécifique pour l’équilibre hormonal ne s’improvise jamais. On entre ici dans une vraie expertise, bien loin des clichés du salon zen.
D’abord, la première consultation démarre par une anamnèse très précise. On parle cycle, sommeil, stress, antécédents médicaux, alimentation, émotions, et même libido. Rien n’est tabou, car chaque symptôme trace une cartographie énergétique unique. Ensuite vient l’examen du pouls radial (souvent sur les deux poignets), l’observation de la langue (couleur, texture, “dépôts”), puis un interrogatoire sur la digestion, la rétention d’eau, la sensation de froid ou de chaleur dans le corps. On prend le temps. Parfois une heure, pour tisser les liens invisibles.
Arrive enfin le moment des aiguilles – souvent situées sur les membres inférieurs, l’abdomen, parfois le dos ou la tête. Vous êtes installée confortablement, chaleur douce, lumière tamisée, couverture légère si besoin. L’insertion est quasi indolore : un picotement, une sensation de chaleur ou “d’élargissement” du point. On laisse poser 20 à 40 minutes. C’est d’ailleurs dans ce temps d’attente que bien souvent, un apaisement s’installe. Certaines s’endorment. D’autres méditent, ou laissent le corps “faire le travail”.
Les points changent selon la période du cycle : en phase folliculaire, on privilégie les points qui stimulent la production d’œstrogènes et l’ovulation ; en phase lutéale, ceux qui favorisent la progestérone et apaisent le syndrome prémenstruel.
Parfois, la séance inclut une stimulation électrique douce (électroacupuncture) ou l’utilisation de moxas (petits bâtonnets d’armoise chauffés sur certains points). Ces techniques renforcent les effets énergétiques, surtout en cas de blocages anciens, douleurs rebelles ou trouble de la fertilité persistant.
La majorité des femmes ressentent déjà un effet dès la première ou deuxième séance : sommeil plus profond, énergie plus stable, diminution des tensions abdominales, voire humeur plus légère. Mais il faut compter 3 à 6 séances pour un résultat sur plusieurs cycles.
Et après ? L’acupunctrice peut suggérer des conseils diététiques ou phytothérapeutiques complémentaires, inspirés de la médecine chinoise. Par exemple, privilégier certains aliments riches en fer ou soutenir le foie avec des plantes adaptées peut renforcer le traitement. Il s’agit d’ailleurs d’un retour à une vision intégrative du soin, où le corps est vu comme un système global, et non comme une juxtaposition d’organes.
Si vous voulez aller plus loin sur cette approche holistique, découvrez aussi : Acupuncture à Esneux – Soulagez les douleurs menstruelles et le SPM
Les questions reviennent souvent : “Est-ce que cela remplace un traitement médical ? » Non, l’acupuncture ne remplace ni une pilule, ni un suivi gynécologique, mais peut être associée pour optimiser le terrain et réduire certains effets secondaires. Chez Katty Lhermitte, la coordination avec d’autres professionnels du secteur médical à Liège est la règle, pour assurer un parcours de soin sécurisé.
Enfin, dernier point essentiel : le ressenti de la patiente prime. On s’éloigne ici de l’approche statistique pour retrouver la place de l’écoute et du vécu. C’est cela, le cœur de la médecine chinoise : traiter la femme derrière le symptôme, comprendre son histoire, ses aspirations, son quotidien.
Pour mieux comprendre les spécificités de chaque pathologie hormonale, on pourra s’inspirer des articles scientifiques récents ou consulter la page : Bienfaits de l’acupuncture.
On entend parfois que « l’acupuncture n’a rien de scientifique ». C’est faux, ou tout du moins réducteur. Depuis vingt ans, les publications se multiplient, en particulier sur les troubles du cycle, l’accompagnement de l’endométriose, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), la ménopause et les troubles de fertilité. Que disent-elles concrètement ?
Commençons par le SOPK. Une étude multicentrique menée par Lim et coll. (J Clin Endocrinol Metab, 2019) a montré que 67% des femmes avec SOPK ayant bénéficié d’un protocole acupuncture sur 3 mois avaient régularisé leur cycle contre 40% sous placebo. Non seulement les ovulations revenaient, mais le taux d’hormones anti-müllérienne se régulait (un marqueur-clé des ovaires). Moins de douleurs, moins d’anxiété, plus d’énergie. Idem pour la régulation de l’insuline et du métabolisme, fréquemment perturbés dans le SOPK.
Pour la menstruation douloureuse (dysménorrhée), l’acupuncture a été comparée à l’aspirine dans une méta-analyse Cochrane de 2016 : résultats similaires, mais sans effet secondaire digestif. Les outils d’évaluation spécifiques (VAS Pain, Score Moos Menstrual Distress Questionnaire) montrent une amélioration de 40 à 60% des scores en 3 mois de suivi.
La ménopause arrive plus tôt que prévu ? Les bouffées de chaleur gâchent vos nuits ? Là encore, au moins cinq revues systématiques (Nature Rev Endocrinology, 2021) concluent que l’acupuncture améliore par effet placebo et effet physiologique la fréquence et l’intensité des bouffées. Sans risque d’accoutumance ni de complication.
Pour la dysfonction ovulatoire et la fertilité, l’acupuncture stimule la perfusion ovarienne, augmente le flux sanguin utérin et améliore la qualité de l’endomètre. C’est pour cela que de nombreux centres de PMA en France, Belgique et Allemagne recommandent une séance d’acupuncture avant et après transfert embryonnaire. Deux essais randomisés (Paulus et al., Fertil Steril, 2002 ; Westergaard et al., 2006) montrent des taux de grossesse plus élevés de 10 à 17 % lors de protocole FIV associés à l’acupuncture.
Mais attention : l’acupuncture n’est pas une baguette magique. Tous les déséquilibres hormonaux ne se corrigent pas en une séance. Parfois, il faut s’armer de patience, accepter que le corps a ses propres rythmes.
En Belgique, il existe encore peu de spécialistes formé(e)s à l’acupuncture gynécologique. À Esneux ou à Liège, Katty Lhermitte fait figure de pionnière de ce type d’accompagnement. Découvrez plus sur la prise en charge de douleurs hormonales associées.
Pour les sceptiques, retenez ceci : l’acupuncture coche toutes les cases d’une médecine complémentaire. Elle a un risque d’effets secondaires quasi nul quand elle est pratiquée par un professionnel diplômé, elle améliore la qualité de vie, elle rééquilibre le terrain au lieu de masquer les symptômes, et elle laisse la femme actrice de sa santé. Et puis, 3500 ans d’expérimentation empirique, ce n’est pas rien, non ?
Votre médecin hésite ? Proposez-lui de se pencher sur les travaux du professeur Gerhard Litscher (Autriche), qui mesure en temps réel la réponse hormonale grâce à des dosages salivaires et sanguins pendant une séance ! Oui, les chiffres et la science sont au rendez-vous.
En somme, si vous cherchez une voie naturelle à côté, ou plutôt “en plus”, du médical, l’acupuncture gynécologique coche de plus en plus de cases dans les études actuelles. Si vous êtes déjà suivie pour un stress chronique, découvrez les bienfaits croisés dans l’article Acupuncture et stress : libérer le corps et le cerveau à Liège.
Une dernière anecdote : une patiente de 33 ans, cycles de 45 jours, désespérée par six mois de règles peu abondantes et bidouillages hormonaux, a vu revenir des cycles réguliers après 4 séances, sans médication supplémentaire. Impossible ? Non. Parfois, le corps a juste besoin d’un fil conducteur… ou d’une écoute spécialisée.
L’acupuncture stimule certains points spécifiques du corps pour moduler le système nerveux et l’axe hormonal, favorisant ainsi l’équilibre naturel des œstrogènes, de la progestérone et d’autres hormones clés. Elle agit également sur le stress, la circulation sanguine utérine et le sommeil, facteurs essentiels pour une bonne harmonie hormonale. Les études cliniques montrent des effets sur la régulation du cycle, la fertilité et la gestion des symptômes menstruels.
Consulter une acupunctrice formée permet d’obtenir un bilan énergétique personnalisé, adapté à votre histoire et vos symptômes précis, et de bénéficier d’un protocole ciblé sur le rééquilibrage hormonal. Cette approche globale prend en compte non seulement les hormones, mais aussi le stress, le sommeil et le mode de vie, pour une efficacité durable et peu d’effets secondaires. Elle complète idéalement un suivi gynécologique classique.
Il est conseillé de débuter dès l’apparition de symptômes comme des cycles irréguliers, douleurs intenses, syndrome prémenstruel ou difficultés de fertilité, sans attendre que la situation empire. Plus le déséquilibre est traité tôt, plus la réponse du corps peut être rapide et durable. Un accompagnement sur plusieurs cycles (généralement 3 à 6) est souvent recommandé pour un résultat optimal.
Non, l’acupuncture se pratique toujours en complément de votre suivi médical habituel, sans interrompre traitements ou contraception prescrits par votre médecin. La coordination entre praticien en acupuncture et gynécologue est importante pour votre sécurité et l’efficacité de la prise en charge. Informez toujours tous vos soignants de vos démarches parallèles pour personnaliser l’approche.
1. Lim CE, et al. – Acupuncture and lifestyle modification in polycystic ovary syndrome: a randomized controlled trial. J Clin Endocrinol Metab, 2019. Résumé : Étude démontrant la régulation du cycle menstruel et une amélioration des profils hormonaux grâce à l’acupuncture chez les femmes atteintes de SOPK.
2. Smith CA, et al. – Acupuncture for dysmenorrhea. The Cochrane Database of Systematic Reviews, 2016. Résumé : Revue systématique concluant à l’efficacité de l’acupuncture dans le traitement des douleurs des règles, en comparaison avec les traitements conventionnels.
3. Frisk J, et al. – Acupuncture in the management of hot flashes and hormonal symptoms in menopause: a systematic review. Nature Rev Endocrinol, 2021. Résumé : Revue montrant une réduction significative de la fréquence et de l’intensité des bouffées de chaleur par l’acupuncture.
4. Paulus WE, et al. – Influence of acupuncture on the pregnancy rate in patients who undergo assisted reproduction therapy. Fertility and Sterility, 2002. Résumé : Essai randomisé montrant l’augmentation du taux de grossesse lors de fécondation in vitro précédée d’une séance d’acupuncture.