Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Vous venez de subir une fracture et votre médecin vous recommande une prise en charge en kinésithérapie. Mais combien de séances faut-il réellement pour retrouver toute votre mobilité ? Quelle rééducation suivre après une fracture du bras, du poignet, du pied ou encore du col du fémur ? Comment optimiser vos chances de guérison durable et éviter les complications ? Découvrez les réponses scientifiques, pratiques et adaptées à votre situation, que vous soyez traité au cabinet à Esneux ou à domicile, et bénéficiez des conseils d’un kinésithérapeute conventionné INAMI expérimenté comme Lucas Wauters.
La prise en charge d’une fracture débute toujours par un bilan fonctionnel complet. Dès le retrait du plâtre ou du dispositif d’immobilisation, le kinésithérapeute évalue la mobilité des articulations, la force, l’état musculaire, la douleur résiduelle, et repère les limitations fonctionnelles précises. En effet, chaque fracture est unique, et le programme sera différent s’il s’agit d’une fracture du poignet, du tibia, du fémur ou d’un simple orteil !
Le nombre de séances nécessaire dépend ainsi très fortement :
Un bilan initial précis oriente donc la prescription de kinésithérapie et permet d’estimer le nombre et la fréquence des séances nécessaires pour atteindre une récupération maximale.
Des études récentes confirment que la prise en charge précoce et personnalisée permet une meilleure récupération fonctionnelle, évite l’enraidissement des articulations, limite la fonte musculaire et réduit le risque de chronicité des douleurs. La rééducation accélère la reprise des activités quotidiennes en sécurisant chaque étape de la consolidation osseuse et de la remise en charge du membre.
Il n’existe pas de “nombre magique” de séances après fracture, mais des recommandations scientifiquement établies selon le type de fracture, l’articulation concernée, et votre niveau de récupération attendu. Voici les grandes tendances observées en rééducation post-fracture :
Le rythme le plus fréquent recommandé est de 2 à 3 séances par semaine en début de rééducation, puis d’espacer au fur et à mesure du retour à l’autonomie. Cette progression est toujours personnalisée par votre kinésithérapeute à Esneux, en lien avec votre prescription médicale.
Pour les patients fragiles, ou ayant des difficultés à se déplacer, un kinésithérapeute conventionné INAMI comme Lucas Wauters intervient aussi à domicile (en savoir plus sur la kiné à domicile). Le suivi à la maison permet une adaptation aux gestes de la vie courante et une prise en charge multidisciplinaire encore plus réactive (infirmière, ergothérapeute, médecin traitant…). La progression est alors réévaluée à chaque séance, pour coller à votre évolution réelle et éviter toute perte d’autonomie ou complication.
Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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La rééducation post-fracture se déroule presque toujours en plusieurs grandes phases :
Juste après l’immobilisation, la priorité consiste à réduire le gonflement, soulager la douleur, lutter contre l’ankylose et débuter les mouvements passifs très progressifs. L’objectif est de réactiver la circulation locale, de limiter la fonte musculaire et de restaurer la mobilité articulaire.
Les exercices actifs sont introduits : d’abord sans charge, puis progressivement avec résistance. Le renforcement musculaire, l’équilibre (pour les membres inférieurs), et la proprioception sont alors au cœur du programme. Le kinésithérapeute guide aussi le patient dans ses activités de la vie quotidienne, avec des exercices adaptés à la maison. Le nombre de séances est souvent élevé dans cette phase, car la fréquence favorise la récupération.
La dernière étape vise à rendre le patient autonome et capable de reprendre ses activités habituelles — vie personnelle, professionnelle ou sportive. Les séances de kinésithérapie se font alors plus espacées, avec des exercices plus complexes, et la sensibilisation à la prévention des chutes ou des gestes incorrects. Cette étape est essentielle pour éviter la récidive et maintenir les progrès.
En Belgique, la prescription des séances de kinésithérapie est balisée par la législation, mais il existe de nombreuses adaptations individuelles. Parmi les principaux facteurs qui modulent le nombre de séances :
C’est donc une approche sur-mesure qui prime, soutenue par un suivi régulier, des tests cliniques et un dialogue constant avec l’équipe soignante multidisciplinaire.
Après une fracture du poignet, la rééducation débute environ 4 à 8 semaines après l’événement, selon la consolidation radiologique. La récupération complète de la souplesse, de la force de préhension et de la coordination requiert en moyenne 10 à 20 séances. Le retour au travail manuel ou au sport peut nécessiter un suivi adapté en complément.
Ces fractures impliquent souvent une longue immobilisation, parfois une chirurgie. La musculation, proprioception et réapprentissage de la marche mobilisent alors le kinésithérapeute sur 15 à 30 séances, selon la rapidité de récupération et l’absence de complication (entorse associée, œdème persistant).
Véritable urgence gériatrique, la fracture du col du fémur requiert une prise en charge immédiate et multidisciplinaire. La récupération de la position assise, du lever, de la marche et la prévention des chutes mobilisent le kinésithérapeute conventionné INAMI parfois sur plusieurs semaines à raison de 3 séances par semaine. Les séances à domicile autour de Liège sont fréquentes, pour une réhabilitation adaptée à l’environnement du patient.
Le kinésithérapeute ne travaille jamais seul lors d’une rééducation post-fracture. Il agit en concertation avec le médecin traitant, l’orthopédiste, l’infirmier, l’ergothérapeute ou encore le psychologue, en particulier après opération ou chez les personnes âgées. Cette approche globale garantit sécurité, suivi optimal et adaptation à chaque étape du parcours de soins.
Le nombre de séances “formelles” n’est rien sans une autonomie à domicile ! Les exercices, étirements, automassages prescrits à domicile (découvrir les bénéfices de la kiné à domicile) accélèrent clairement la récupération et réduisent le risque d’enchaîner de longues séries de séances.
Imaginons le parcours d’un patient présentant une fracture de la cheville, opérée à la suite d'une chute à Liège :
Le patient débute avec 3 séances hebdomadaires, puis espace progressivement à 2 séances, puis 1 par semaine en fin de suivi, totalisant une vingtaine de séances dans la plupart des cas.
N’hésitez pas à contacter Lucas Wauters, kinésithérapeute conventionné INAMI : il adapte votre prise en charge, au cabinet ou à domicile, avec informations claires sur les aides possibles, le matériel de rééducation mobilisable, et en assurant le lien avec toute l’équipe médicale si nécessaire.
Le nombre de séances varie selon la gravité de la fracture, la région touchée et votre récupération : comptez en général de 10 à 30 séances, adaptées par votre kinésithérapeute après le bilan initial. L’évolution et les besoins sont régulièrement réévalués pour optimiser la récupération. L’implication personnelle dans les exercices à faire à la maison accélère le retour à l’autonomie.
Une rééducation adaptée permet de retrouver plus vite la mobilité, la force et les gestes du quotidien tout en diminuant le risque de douleur persistante. Elle évite aussi l’enraidissement articulaire et la fonte musculaire fréquents après une période d’immobilisation. Elle joue aussi un rôle crucial dans la prévention des complications à long terme.
La rééducation débute habituellement juste après la levée de l’immobilisation ou selon l’avis du chirurgien. Il est important de ne pas attendre pour éviter les séquelles et optimiser la récupération. Votre médecin ou votre kinésithérapeute vous informe du moment idéal pour commencer.
La poursuite des séances dépend de l’évolution de la fonction et non seulement de la douleur : lorsque la mobilité, la force et l’autonomie sont suffisantes, la rééducation peut être espacée ou arrêtée. Des exercices à domicile restent souvent nécessaires pour consolider les progrès et prévenir les récidives.
1. Bury T., et al. « Rehabilitation after fractures: a critical review », Annals of Physical and Rehabilitation Medicine, 2023.
Cet article analyse les facteurs qui modulent la durée de la rééducation post-fracture et souligne l’importance d’un protocole personnalisé pour chaque patient.
2. Devos-Bevernage J., « La rééducation après fracture de la cheville : enjeux et protocoles », Kinésithérapie, la revue, 2021.
L’auteur décrit les différentes phases de prise en charge, du bilan initial à la reprise fonctionnelle, et les critères de réussite.
3. Rizzoli R. et al., « Role of physical therapy in rehabilitation after femoral neck fractures », Aging Clinical and Experimental Research, 2019.
Cet article présente la rééducation multidisciplinaire des fractures du col du fémur et les bénéfices de la coordination des soins au domicile du patient.
4. Valet F., « Nombre optimal de séances après fracture : recommandations de bonnes pratiques », Revue de Médecine Orthopédique, 2022.
L’auteur propose une synthèse des recommandations françaises et belges sur la durée et la fréquence des séances de kinésithérapie post-traumatique.