KinésithérapeuteKinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Une fracture du poignet, à première vue, ça paraît anodin. Un mauvais mouvement, une chute en glissant sur un trottoir gelé à Liège, et voilà que la main ne répond plus. Douleur vive, plâtre, arrêt brutal du quotidien… Et ensuite ? La rééducation du poignet s’impose. Oui, mais comment ? Quand reprendre confiance dans ce poignet capricieux ? Comment retrouver toute sa force, sa précision – et enfin tourner une poignée sans grimacer ? C’est justement ce que nous allons voir ensemble, avec une approche pratique, humaine, et… sans langue de bois. Entre idées reçues et gestes à connaître, découvrons comment remettre ce poignet sur pied !
Une question simple, mais capitale : pourquoi rééduquer ? Le poignet, c’est bien plus que quelques os et ligaments assemblés. C’est une mécanique fine. Presque un chef d’orchestre silencieux de la main. Pensons-y : on écrit, on tient un verre, on ferme une chemise… Le poignet est partout, sans qu’on y pense. Sauf quand il ne marche plus.
Après une fracture (souvent du radius distal, parfois du scaphoïde ou du carpe), le corps doit se réparer. Mais voilà : dès le plâtre posé, tout s’arrête ! Les muscles s’endorment. Les tendons, comme une vieille élastique, perdent en souplesse. L’articulation se “rouille”. S’ensuivent alors : raidissement, perte de force, douleurs du poignet (ou de la main), gonflement. On parle aussi parfois de syndrome douloureux régional complexe, empêchant de reprendre les gestes du quotidien. Si rien n’est fait, certaines séquelles peuvent être irréversibles. C’est là que le kinésithérapeute intervient ! Un kiné conventionné INAMI, comme Lucas Wauters, c’est un peu le chef d’orchestre de la récupération. Il accompagne la reprise progressive des gestes, soulage la douleur et évite les pièges classiques (comme « forcer trop tôt » ou « rester passif »).
Le saviez-vous ? Selon les études, sans rééducation adaptée, on retrouve à peine 60 % de la force du poignet à six mois. Un chiffre parlant, non ? Le mot d’ordre : réeduquer, mais dans les règles de l’art.
Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Voilà la question qui taraude tous les patients, de 7 à 97 ans : combien de temps pour récupérer mon poignet ? Faut-il tout de suite mobiliser ? Quels exercices privilégier ?
Dans les premières semaines post-fracture, on pense à tort que « rien ne doit bouger ». C’est en partie vrai : inutile de solliciter directement un os qui soude. Mais le kinésithérapeute prend déjà le relais, souvent en collaboration avec le médecin traitant, l’orthopédiste, parfois le rhumatologue. Objectif : maintenir la souplesse des doigts, du coude, de l’épaule. C’est la fameuse rééducation précoce : le poignet est au repos, mais le reste du membre supérieur doit rester actif pour éviter la fonte musculaire et la raideur. Un plâtre ou une attelle, ça n’empêche pas le « travail de terrain » ! Les gestes simples : bouger les doigts comme si on pianotait, ouvrir et fermer la main dix fois par heure, lever/soulager le bras en position antalgique.
Aux alentours de Liège, beaucoup de patients s’inquiètent de “trop en faire”. Lucas Wauters, kiné conventionné INAMI, rassure : « Il est important de suivre dès le début, même avec le plâtre, pour contrôler l’œdème et stimuler le retour veineux, tout en évitant de perturber la consolidation osseuse ». Grâce à un suivi coordonné (parfois au cabinet d’Esneux, parfois à domicile), l’équipe adapte le protocole à chaque situation.
Quand le plâtre tombe, on s’attend à retrouver sa main… Mais souvent : surprise, le poignet est raide, sec, douloureux ! Pas d’inquiétude. C’est le début d’un vrai travail de kinésithérapie. Le mot d’ordre : progresser doucement, comme une plante à qui l’on donne un peu plus d’eau chaque jour.
Votre kinésithérapeute (à Esneux ou à domicile) va évaluer : l’amplitude de mouvement (flexion, extension), la rotation, la force de préhension, la sensibilité, le gonflement. À partir de là, un programme de mobilisation passive puis active est mis en place. Les exercices sont doux au début : dessiner des cercles avec le poignet, poser la main à plat sur une table puis la relever, tendre le poignet en dorsiflexion et paume vers le bas. Le but ? Retrouver la souplesse sans déclencher la douleur. Petit à petit, on ajoute des objets légers à saisir, puis plus lourds. La reprise de la force s’inscrit ensuite dans le temps. Une anecdote : il est parfois plus facile de saisir une boule anti-stress qu’un stylo au début, car la prise « pince » est plus difficile que la prise « à pleine main ».
Des techniques manuelles peuvent être utilisées par le kiné : massages transversaux profonds, drainage lymphatique pour l’œdème, étirements progressifs des structures contracturées. Tous ces gestes sont validés scientifiquement pour accélérer la récupération. Un œil expert sait s’adapter : chaque fracture du poignet est différente, chaque patient aussi ! Pour les patients opérés, la surveillance des cicatrices (et leur mobilisation douce) évite l’adhérence et les problèmes de mobilité.
Envie d’en savoir plus sur la prise en charge après chirurgie ? Lisez notre article sur la kinésithérapie à domicile dans le cadre post-opératoire. Le travail main dans la main entre les différents soignants fait souvent la différence.
Vous êtes impatient de tourner une clé, de porter une casserole, de recommencer le bricolage ? Patience : il faut avancer étape par étape. C’est le secret de la réussite.
Le vrai défi : choisir les bons exercices. Découvrez quelques gestes validés par les professionnels :
Vous sentez des fourmillements, un blocage ? Parlez-en sans attendre à votre kiné. D’ailleurs, si besoin de plus d’informations sur la rééducation globale du membre supérieur, consultez ce dossier complet sur la force du bras.
Quand la douleur est trop forte, la tentation est grande de tout arrêter. Notre conseil à Esneux : gardez confiance ! C’est normal d’avoir peur, parfois. Mais les progrès sont souvent spectaculaires dès la 4ème semaine. Pour soulager les douleurs, des techniques de cryothérapie, ultrasons, ou d’électrostimulation peuvent être associées (sur avis médical). Si la main enfle énormément le soir, le drainage manuel et le positionnement surélevé sont essentiels.
Astuce : pour stimuler la motricité fine, amusez-vous à trier des pièces de monnaie ou à tourner de petits boutons (sans forcer). Les jeux de société sont aussi de bons alliés !
Pendant la rééducation, la fatigue peut surprendre. Forcer, c’est comme escalader un col sans pause : c’est casse-cou. Quand le poignet “chauffe” et tire, c’est un signal d’alarme : stoppez, respirez, recommencez plus tard. L’écoute du corps prime sur la recherche de “performance”.
En Belgique, le taux de récupération complète du poignet après fracture dépend beaucoup… de la qualité de la rééducation ! Ne tombez pas dans le piège du « ça passera tout seul ». Plus la rééducation est débutée tôt, mieux c’est. Avec Lucas Wauters, la prise en charge tient compte de vos contraintes, avec une option cabinet à Esneux ou prise en charge à domicile.
Certaines pathologies ou situations nécessitent déjà une approche adaptée (personnes âgées, pathologies chroniques, antécédents de douleurs musculo-squelettiques ou de tendinites).
Le poignet a retrouvé sa force ? Presque, mais pas tout à fait. Maintenant, il s’agit d’aller au-delà de la récupération physique. Le mental fait aussi sa part du voyage. Beaucoup de patients hésitent à reprendre certains gestes – porter une casserole, s’appuyer au sol, reprendre le vélo, retourner au travail. C’est normal d’appréhender. La peur d’une nouvelle chute ou d’une douleur résiduelle freine souvent le retour à la vie “d’avant”. Le kinésithérapeute conventionné INAMI, au sein de son approche multidisciplinaire, a aussi ce rôle de “coach” : il accompagne la reprise de l’activité, propose (au besoin) des adaptations du poste de travail ou des consignes pour l’ergonomie quotidienne.
Voici quelques conseils pratiques pour éviter les déboires post-fracture :
À ce stade, le soutien psychologique ou l’entourage joue un rôle clé. Le kinésithérapeute peut, au besoin, travailler en lien avec un ergothérapeute ou un psychologue pour aider à surmonter les freins invisibles de la récupération. Des cas rares existent : parfois, malgré un protocole bien conduit, le poignet garde une raideur. Il ne faut alors pas hésiter à demander un second avis ou à réadapter le programme.
Certains patients consultent pour d’autres douleurs (cervicalgies, lombalgies). La prise en charge globale auprès d’un kinésithérapeute à Liège est alors intéressante pour prévenir les compensations ou troubles associés. Le lien avec le traitement des douleurs cervicales est parfois à envisager lorsque les efforts de compensation se répercutent ailleurs.
La rééducation du poignet, ce n’est pas qu’une question de “technique”. C’est aussi une aventure humaine, pas à pas. C’est parfois un marathon. Mais la victoire, elle, se joue sur la durée, grâce à un accompagnement de qualité, au cabinet ou à domicile, et à l’expérience professionnelle d’un kinésithérapeute qui sait s’adapter à chaque histoire !
Comment se passe la rééducation du poignet après une fracture ?
La rééducation se réalise en plusieurs étapes : d’abord la mobilisation douce des doigts et du bras, puis, après retrait du plâtre, des exercices de mobilisation du poignet et de renforcement progressif. Un kinésithérapeute conventionné INAMI adapte le suivi selon les besoins et surveille l’évolution jusqu’à reprise complète des gestes quotidiens.
Pourquoi consulter un kinésithérapeute pour une fracture du poignet ?
Le kinésithérapeute guide la récupération, prévient les séquelles articulaires et propose des exercices adaptés pour retrouver mobilité, force et coordination. Il travaille en lien avec d’autres professionnels de santé, notamment dans les cas post-chirurgicaux ou situations de douleur persistante.
Quand reprendre le sport après une fracture du poignet ?
La reprise du sport se fait en général après récupération complète de la mobilité et de la force, souvent entre 2 et 4 mois selon la gravité de la fracture. Cependant, certains gestes ou sports à risque nécessitent un avis spécifique du kinésithérapeute pour prévenir les rechutes.
Faut-il s’inquiéter si le poignet reste douloureux plusieurs semaines après le retrait du plâtre ?
Une douleur légère est fréquente au début, mais si elle persiste, devient aiguë ou s’accompagne d’un gonflement ou d’une raideur marquée, il est conseillé de revoir rapidement son kinésithérapeute. Un bilan supplémentaire permettra d’adapter la rééducation et d’écarter une complication éventuelle.
Mots-clés SEO : rééducation du poignet, fracture poignet, kinésithérapeute conventionné INAMI, cabinet kinésithérapie Esneux, mobilisation poignet, exercices post-fracture, douleur poignet, récupération mobilité, force poignet, prise en charge multidisciplinaire
1. Walenkamp MJL et al. – "The Effect of Physical Therapy on Functional Outcomes Following Distal Radius Fracture in Adults: A Systematic Review", J Hand Surg Am, 2015. Résumé : Cette revue systématique démontre le rôle fondamental de la kinésithérapie dans le rétablissement fonctionnel du poignet après fracture, avec des exercices adaptés encouragés dès la consolidation osseuse.
2. Bruder AM et al. – "Inpatient Rehabilitation Does Not Hastens Outcomes after Distal Radius Fracture Surgery", The Bone & Joint Journal, 2017. Résumé : L’étude montre que la rééducation personnalisée, même en ambulatoire, optimise les résultats, et qu’une mobilisation précoce contrôlée facilite le retour à l’autonomie.
3. Jerosch-Herold C et al. – "Effectiveness of Therapy-Based, Individualized Exercise Programs after Wrist Fracture", Clinical Rehabilitation, 2011. Résumé : Les programmes individualisés de rééducation sont plus efficaces que les programmes standards, notamment sur la récupération de la motricité fine et la prévention des raideurs du poignet.
4. Selles RW et al. – "Short-term and long-term outcomes of wrist mobilization following distal radius fractures", Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 2017. Résumé : Une mobilisation précoce et progressive permet une récupération rapide de l’amplitude articulaire, essentielle pour le retour aux activités courantes.