Psychologue-LiegePsychologue – Mme Samanta Widart
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21
Vous devez vous faire opérer bientôt ? Rien qu’à l’idée de l’hôpital, la gorge se serre. Le mot “opération” déclenche parfois mille pensées, comme un film qui s’enclenche tout seul. C’est l’invisible : l’angoisse qui chuchote à l’oreille. En consultation préopératoire, nombre d’adultes ressentent ce poids au creux du ventre. Mais saviez-vous qu’un accompagnement psychologique ciblé peut apaise cette tempête intérieure ?
Questions en boucle, sommeil qui s’effrite, tension dans la nuque... Peut-être vous reconnaissez-vous. Si oui, cet article est pour vous. Nous allons vous montrer comment une psychologue clinicienne, comme Mme Samanta Widart à Esneux (conventionnée INAMI de première ligne), propose des solutions très concrètes – thérapies, séances de relaxation – pour retrouver un peu de calme, et même, parfois, transformer la peur en force.
Ici, nous aborderons ce que vit un adulte qui appréhende une hospitalisation, avec des mots simples. Beaucoup de personnes autour de Liège vivent ce stress sans savoir qu’il existe des outils pour l’apprivoiser. Ce texte est centré sur un seul thème : l’angoisse préopératoire et les solutions psychothérapeutiques. Ni plus, ni moins. Curieux ? C’est parti.
Avant une intervention, c’est le sablier qui s’inverse. On attend. On pense. Le cœur bat plus vite, l’esprit imagine, parfois exagère. Pas de honte à avoir : presque tout le monde ressent du stress avant une opération. Ce stress, s’il devient trop fort, se transforme en véritable angoisse préopératoire. C’est ce moment où le mental prend les commandes, et où le corps lui emboîte le pas. Mais pourquoi ce phénomène ?
Un adulte raisonnable, ayant déjà surmonté pas mal d’obstacles, peut se retrouver tout petit à l’idée de passer sur la table d’opération. Plusieurs raisons à cela. Il y a la peur de la douleur, la crainte de l’anesthésie, celle de “ne pas se réveiller”. Parfois, c’est l’inconnu qui fait peur. Ou encore, la peur de perdre le contrôle. Et si… ? Le cerveau adore compléter les points de suspension. Même le médecin le plus rassurant ne peut tout effacer.
Ce qui surprend, c’est que cette angoisse n’est pas seulement “dans la tête”. Elle s’installe dans le corps. Bouffées de chaleur, main moite, insomnie, irritabilité. Vous avez déjà senti le cœur s’accélérer, sans raison apparente ? C’est le stress qui, comme du café, circule partout. Certaines études avancent que 60 à 80% des adultes déclarent un niveau d’anxiété élevé avant une opération. Parfois, c’est plus. Aux alentours de Liège, dans les établissements hospitaliers, le personnel le remarque tous les jours.
Après tout, être opéré, ce n’est pas rien. Même une intervention dite “mineure” évoque des peurs primaires. Celle de la vulnérabilité, de la douleur, du risque. Curieusement, les proches ne comprennent pas toujours ce flot d’émotions. “Tu te fais du souci pour rien”, dit-on. Mais pour la personne concernée, l’angoisse est bien réelle. Elle nuit à la qualité de vie, trouble le sommeil, diminue l’appétit, empêche parfois de se concentrer au travail. Dans certains cas, elle aggrave même les suites opératoires : plus de complications, rétablissement plus lent…
À ce stade, vous vous demandez sûrement : “Que faire avec cette boule au ventre ? Est-on condamné à ruminer jusqu’au jour J ?” Heureusement, non ! Il existe des approches psychothérapeutiques pour reprendre le dessus. Pas “pour être fort”, mais pour se sentir un peu mieux, tout simplement.
Entrer dans le bureau d’une psychologue clinicienne à Esneux ou ailleurs n’est pas toujours évident. Certains pensent : “Ce n’est pas pour moi, je ne suis pas fou.” Cette croyance – tenace – circule parfois en Belgique. Pourtant, consulter en première ligne, avec une professionnelle conventionnée INAMI comme Mme Samanta Widart, c’est aussi faire de la prévention, et protéger son équilibre psychique.
La thérapie préopératoire, qu’est-ce que c’est ? Ce sont des séances brèves, ciblées, avant une intervention, pour apprivoiser l’anxiété. Pas de divan ni de longues années d’analyse. Ici, on parle outils.
Concrètement, la personne expose ses craintes. La psychologue écoute, valide les émotions, puis propose des exercices de respiration, de visualisation, ou même de relaxation guidée. Parfois, quelques séances suffisent ! L’objectif n’est pas de supprimer la peur (ce serait irréaliste), mais de la réduire à un niveau supportable. C’est un peu comme transformer une tempête en brise : le vent continue de souffler, mais il ne fait plus basculer le navire.
Un exemple ? Une patiente de 47 ans, fonctionnaire à Liège, venait en pleurs : impossible de dormir à l’idée de son opération à l’épaule. En quelques entretiens, elle a appris à reconnaître ses pensées catastrophistes, puis à s’en distancier (c’est la technique de restructuration cognitive). Après trois semaines, elle dormait mieux, et abordait l’hospitalisation avec beaucoup de détachement.
Autre pilier thérapeutique : la relaxation. Mme Widart propose également des séances de relaxation de groupe à Esneux, qui s’ajoutent (ou précèdent) le travail individuel. L’avantage ? On découvre qu’on n’est pas seul, et l’ambiance solidaire aide à poser des mots sur sa crainte. Les exercices corporels et respiratoires sont simples, utilisables à la maison, dans la salle d’attente ou juste avant l’anesthésie.
Pas de jargon, pas de grandes théories. Juste des outils concrets pour “atterrir dans le corps”. L’une des métaphores préférées en séance ? “Votre angoisse, c’est comme une vague. Elle monte, culmine… puis, fatalement, redescend.” Même lors d’une opération délicate, se rappeler cela permet de surfer sur la vague, au lieu de la subir.
L’autohypnose et la visualisation positive sont aussi des techniques utilisées. Ici, il ne s’agit pas de se “mentir à soi-même”, mais d’entraîner le cerveau à parcourir un scénario rassurant plutôt que de s’égarer dans un film catastrophe. Des études montrent qu’un patient briefé, qui a appris à se détendre, sort souvent plus vite du bloc, ressent moins de douleurs, et récupère mieux.
Prenez l’exemple de la respiration guidée : inspirer par le nez en comptant jusqu’à 4, retenir son souffle quelques secondes, puis expirer lentement. Cette technique, utilisée quelques minutes par jour, peut déjà baisser le niveau d’adrénaline. Presque comme éteindre le bouton « alerte rouge » de notre alarme intérieure.
La psychothérapie pour adulte vise justement à redonner du pouvoir à la personne, face à l’inconnu. C’est un filet de sécurité psychique, jamais superflu.
Psychologue – Mme Samanta Widart
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Il est fréquent de consulter en individuel. Mais de plus en plus, les séances de relaxation de groupe font leurs preuves. Mme Widart, psychologue conventionnée INAMI de première ligne à Esneux, propose ce complément aux habitants de la région de Liège et alentours. Mais en quoi est-ce différent ?
Dans le groupe, la magie opère. Chacun vient avec sa propre histoire – cancers, chirurgie orthopédique, opérations digestives, etc. – mais les émotions partagées créent un sentiment d’appartenance. “Je ne suis pas seul(e) à avoir peur”, entend-on souvent. Ce simple constat soulage déjà un peu.
Au lieu de garder l’angoisse enfermée, la groupe favorise l’expression. On y aborde : les astuces pour dormir la veille de l’opération, la gestion du stress au réveil, et même les peurs irrationnelles (comme celle de ne pas retrouver ses effets personnels à la sortie de la salle de réveil…).
Les exercices proposés sont issus de techniques validées scientifiquement : respiration diaphragmatique, scan corporel, relaxation progressive de Jacobson… On apprend par l’expérience, pas par la théorie. On s’entraîne, semaine après semaine, à “mettre le mental de côté”.
Les résultats sont visibles. Les membres rapportent moins de tachycardie, moins de tensions musculaires, et une impression générale de mieux contrôler la situation. Mais l’apport principal, c’est l’échange. Beaucoup de témoignages racontent à quel point les autres membres du groupe deviennent des alliés pendant la période difficile.
Une anecdote ? Un homme de 60 ans, opéré du genou, expliquait lors d’une séance qu’il n’avait jamais autant ri que lors d’un exercice de relaxation collectif. “Je me suis vu sur une plage, alors que dehors, il pleuvait à verse… Ça m’a recentré.” Ce genre de moment transforme l’expérience préopératoire en une étape de reconnexion à soi.
Ces séances sont ouvertes à tous – pas besoin d’être déjà suivi en thérapie individuelle. Elles s’adressent à toute personne souhaitant apprivoiser ses émotions avant une intervention, en toute simplicité. Pour les personnes isolées ou sans entourage, elles offrent un ancrage essentiel.
Et après l’opération ? Nombreux continuent quelques séances, pour gérer le post-opératoire : douleurs, adaptation, reprise du quotidien. Le groupe devient alors une “roue de secours” lors des moments creux.
Petit point pratique pour ceux qui habitent en Belgique : ces séances de relaxation de groupe sont remboursées partiellement, selon certaines mutuelles.
Pour prendre rendez-vous, n’hésitez pas à contacter Mme Widart. Son approche complète, entre thérapie individuelle et sessions collectives, s’avère un précieux soutien lors de cette épreuve passagère.
Vous hésitez encore à franchir la porte d’un cabinet ? Voici ce que disent les études et les avis récoltés en séance.
L’idée n’est donc pas d’éradiquer la peur (mission impossible !), mais de la dompter, à la manière d’un cavalier qui apprivoise le cheval qu’il doit monter. Ce n’est pas la peur qui tue, mais l’immobilité qu’elle génère.
Au fil du temps, ces techniques “débordent” parfois hors cadre médical : elles servent aussi dans d’autres situations anxiogènes (prise de parole, examens, transition de vie…).
Pour certains, c’est aussi l’occasion de découvrir que “prendre soin de sa santé mentale” n’est pas une faiblesse, mais une force. Un geste d’hygiène aussi fondamental qu’un bilan sanguin ou un contrôle de la tension.
En résumé, l’accompagnement psychologique préopératoire :
Et si vous avez d’autres questions ? Retrouvez ici un article de référence sur pourquoi et quand consulter une psychologue.
Il n’est pas toujours possible d’éviter le stress préopératoire. Mais il est tout à fait réalisable de ne plus le subir, grâce à quelques astuces :
1. Acceptez la peur
La première étape, c’est de reconnaître la peur sans honte. Rien n’est pire que de la nier. Si elle existe, c’est bien qu’elle a une fonction (nous mettre en alerte, nous préparer à affronter l’inconnu). La peur n’est pas l’ennemi, elle signale un besoin de sécurité.
2. Posez vos questions au chirurgien
Souvent, les peurs sont alimentées par l’inconnu. Écrivez toutes vos questions, même les plus “banales” (combien de temps vais-je rester à l’hôpital ? Vais-je avoir mal ?). Le simple fait de préparer une liste aide à clarifier l’esprit, et la réponse rassure.
3. Expérimentez des techniques de relaxation
Parmi les plus efficaces avant une opération, citons : la respiration abdominale, la cohérence cardiaque (inspirer 5 secondes, expirer 5 secondes, 5 minutes), ou la visualisation (se remémorer un souvenir positif, une promenade en forêt, etc.). Plus vous vous exercez avant le jour J, plus cela devient réflexe.
4. Rejoignez un groupe de relaxation
Profiter d’une séance collective, comme celles proposées à Esneux, permet de sortir de l’isolement. On s’y sent compris et, surtout, accompagné jusqu’à la veille du bloc opératoire.
5. Préparez une “boîte à outils” personnelle
Chacun a ses ressources : un livre rassurant, des musiques apaisantes, un gri-gri, une photo de proches. Préparer ces petits objets à l’avance rassure, et offre un ancrage doux juste avant l’entrée en salle.
6. Après l’opération, poursuivez l’accompagnement si besoin
Parfois, le stress revient après, sous forme d’inquiétudes pour la récupération, la douleur, ou la reprise du quotidien. Consultez alors sans hésiter, ne serait-ce que pour quelques séances de soutien.
Pour les personnes qui souhaitent aller plus loin, vous pouvez aussi consulter le profil professionnel de Samanta Widart pour découvrir ses horaires et modalités d’accompagnement.
Et si vous hésitiez encore ?
Donnez-vous la chance d’aller mieux, rien que pour voir si, cette fois-ci, la tempête sera moins forte.
Comment savoir si mon angoisse préopératoire nécessite une consultation psychologique ?
Si vous ressentez une anxiété persistante avant une opération, que cela perturbe votre sommeil, votre appétit ou votre quotidien, il peut être utile de consulter. Surtout si vous n’arrivez pas à rassurer seul, qu’il s’agit d’une première intervention, ou si votre entourage vous perçoit comme “étrangement tendu”. Un psychologue conventionné, comme Mme Widart à Esneux, saura vous guider.
Pourquoi les séances de relaxation de groupe sont-elles utiles avant une intervention chirurgicale ?
Les groupes permettent de partager ses peurs et d’apprendre des techniques efficaces en présence d’autres personnes qui traversent la même épreuve. Cela crée un sentiment de solidarité, de compréhension, et diminue le sentiment d’isolement très fréquent avant une hospitalisation.
Quand débuter un accompagnement psychologique avant une opération pour en ressentir les effets ?
L’idéal est de commencer quelques semaines avant la date prévue de l’intervention, afin de laisser le temps à l’esprit et au corps d’assimiler les outils. Même si le délai est court, quelques séances peuvent apporter un réel soulagement.
Faut-il continuer les séances de relaxation après l’opération ?
Souvent, il est bénéfique de poursuivre quelques séances après l’intervention afin de gérer le stress, la douleur ou les inquiétudes liées à la récupération. Cela aide à retrouver confiance en son corps et à mieux vivre le retour au quotidien.
1. Klopfenstein, C.E., Forster, A., Van Gessel, E. “Anxiety in patients undergoing surgery: a randomized controlled trial of the effect of a ‘preoperative visit by a psychologist’.” *Anesthesia & Analgesia*, 2000. Résumé : L’intervention psychologique préopératoire réduit significativement l’anxiété et améliore le vécu de l’opération.
2. Törnblom, E. et al. “Preoperative psychological distress and its impact on surgical outcomes.” *Surgery Today*, 2014. Résumé : Une forte détresse psychologique avant une opération retarde la récupération et augmente la perception de la douleur.
3. Kennedy, B.M., Robinson, D.S., Green, A., "Group therapy for preoperative anxiety in adults". *Psychosomatic Medicine*, 2016. Résumé : Les séances de groupe de relaxation et d’expression diminuent les niveaux d’angoisse préopératoire.
4. Mavridou, P. et al. “The effectiveness of relaxation techniques for anxiety reduction in adults before anesthesia and surgery.” *International Journal of Surgery*, 2013. Résumé : Les techniques de relaxation sont efficaces pour réduire l’anxiété préopératoire, avec des bénéfices mesurables sur la physiologie et le vécu subjectif.