Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76
Le désir sexuel fait partie intégrante de l’épanouissement individuel et relationnel au sein d’un couple. Pourtant, il arrive que la flamme s’éteigne, laissant place à l’incompréhension, au doute ou à la frustration. La perte de désir, aussi nommée hypoactif, est l’un des motifs les plus fréquents de consultation chez une sexologue. Comment expliquer ce phénomène ? Quelles sont ses causes, conséquences, mais surtout, comment un accompagnement sexologique spécialisé, comme celui de Charlotte Cession à Esneux près de Liège, peut-il aider à retrouver l’harmonie ?
La première étape consiste à dépasser les préjugés : non, le désir n’est pas spontané, inaltérable ni identique chez tout le monde. Nombreux sont les couples qui consultent en sexologie pour une diminution, voire une disparition du désir chez un ou les deux partenaires — une situation parfois vécue comme un échec personnel.
Pourtant, selon l’étude de Kingsberg et al., 2014, entre 15 % et 30 % des femmes et 10 % à 25 % des hommes déclarent une baisse du désir sexuel à un moment de leur vie. Une réalité largement répandue, mais parfois encore taboue.
Dans le langage courant, désir et excitation sont parfois confondus. Or, le désir fait office de moteur, impulsion vers l’intimité, alors que l’excitation relève de la réponse corporelle à la stimulation. Chez certains, l’envie précède la stimulation ; chez d’autres, elle naît de la proximité physique, un concept connu sous le nom de modèle du désir réactif (Basson, 2001). Cette distinction est fondamentale lors d’une consultation avec une sexologue, afin de comprendre la dynamique propre à chaque couple.
Face à la perte de désir, le rôle du ou de la sexologue est multiple :
La perte de désir puise ses origines dans une multitude de facteurs, souvent intriqués :
L’art du ou de la sexologue consiste à explorer, sans jugement, la part de chaque élément dans la dynamique du couple.
La consultation devient nécessaire lorsque la baisse de désir suscite souffrance, incompréhension ou menace l’équilibre de la relation. Certaines personnes attendent que « cela passe » ou pensent que « c’est normal avec le temps », mais la gêne s’installe, menant parfois au silence sexuel ou à des comportements d’évitement (“mal de tête” récurrent, fuite au moment des câlins…). Le sexologue intervient alors pour briser le cercle vicieux du non-dit et offrir un espace sécurisant d’expression.
Sexologue Charlotte CESSION – proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0491/34.89.76
Une consultation sexologique commence toujours par la redéfinition du cadre : il s’agit d’un accompagnement confidentiel, bienveillant, ouvert à toutes les orientations sexuelles et toutes les compositions de couples, basé sur l’écoute active et dépourvu de jugement.
Dès les premiers entretiens, la sexologue Charlotte Cession s’attache à recueillir le vécu de chacun. Ce moment essentiel vise à :
Des questionnaires validés internationalement, comme le Sexual Desire Inventory (SDI) ou des outils d’évaluation clinique, peuvent être utilisés pour préciser la nature et l’intensité du trouble (Spector et Carey, 1990).
L’implication du partenaire est souvent proposée. En effet, le désir est rarement une affaire purement individuelle. Le couple formant un système, c’est la dynamique de l’ensemble qui est travaillée : interactions, attentes, habitudes, mais aussi communication autour de la sexualité. Cependant, pour certaines personnes, une phase de travail individuel s’avère nécessaire (déni, angoisse, vécu de honte ou culpabilité…).
Nombre de couples ayant perdu le désir n’en parlent jamais. Ce silence, pour éviter de blesser ou par gêne, nourrit la distance émotionnelle. La sexologue crée un espace de parole protégée, où les deux partenaires apprennent à exprimer ce qu’ils ressentent, à reformuler leurs besoins, à rencontrer la réalité de leur partenaire.
Un article détaille ce mécanisme et propose déjà quelques pistes pour renouer le dialogue.
Lorsqu’il y a perte de désir, l’éducation sexuelle restaurative proposée en consultation vise à :
Certains contextes médicaux influencent la libido : troubles hormonaux (thyroïde, testostérone, œstrogènes), effets secondaires de médicaments (antidépresseurs, antihypertenseurs), phases naturelles (ménopause, post-partum, andropause), douleurs lors des rapports (dyspareunie), troubles érectiles… Une évaluation médicale peut donc être proposée en parallèle de la thérapie sexologique afin de prendre en charge ces facteurs (voir aussi Spector AC, Carey MP, 1990).
La dépression, l’anxiété, une faible estime de soi, le stress chronique, d’anciens traumatismes, ou un mal-être existentiel peuvent impacter très fortement l’élan sexuel. Il est alors essentiel d’articuler la thérapie sexologique avec un soutien psychologique, voir une prise en charge médicale. Si le problème de désir cache une autre souffrance, la consultation de sexologie en sera l’espace de révélation et d’écoute.
L’évolution du couple, les conflits non réglés, la rancœur, la routine, la peur du rejet, les attentes irréalistes, un manque d’attention ou de valorisation mutuelle nourrissent l’éloignement, donc la baisse du désir. La qualité du lien émotionnel reste un prédicteur essentiel d’une vie amoureuse épanouie.
La première phase de l’accompagnement s’oriente vers la restauration d’un dialogue authentique autour du désir, de la sexualité, de la tendresse. Avec la guidance de la sexologue, chaque membre du couple apprend à exprimer ses besoins, ses peurs, ses attentes et ses rêves, sans accusation ni reproche. Cette étape libère la parole et désamorce de nombreux malentendus.
Selon la situation, la sexologue propose des exercices adaptés, à réaliser individuellement ou en couple :
À l’opposé du mythe selon lequel le désir devrait être spontané, l’approche thérapeutique invite à “cultiver le désir” au quotidien. Cela passe par l’innovation, la créativité, la surprise, mais aussi la prise de distance avec les ceintures horaires du travail ou des enfants. Un accompagnement sur la gestion du temps, la priorisation du couple et la préservation d’espaces d’intimité est fréquemment initié.
À ce sujet, l’article Perte de plaisir avec son couple : consulter une sexologue explore de façon approfondie l’impact de la routine et propose d’autres pistes de prévention.
Si un passé de trahison, de déception ou de blessure émotionnelle a freiné le désir, la sexologie permet de travailler la réparation : restauration de la confiance, gestion des jalousies ou peurs, acceptation du pardon ou reconstruction d’un projet commun.
Loin d’être signe de désamour ou d’échec, la perte de désir peut ouvrir la porte à de profonds changements positifs. De nombreux couples, après quelques séances avec une sexologue, décrivent l’éclosion d’un désir nouveau, plus conscient, certes parfois moins spontané mais bien plus riche :
« Nous pensions être “cassés” à jamais, mais avec des mots justes et des exercices de Charlotte, nous avons redécouvert une sensualité insoupçonnée.»
« Nous avons appris à en parler sans tabou ni honte, à comprendre nos rythmes différents, à valoriser nos moments d’intimité autrement… C’est toute notre complicité qui en a bénéficié. »
Le nombre de consultations varie d’un couple à l’autre : parfois une écoute active et une simple mise en mots suffisent à dénouer les tensions ; parfois un parcours plus long est recommandé, alternant séances individuelles et en couple, accompagnées de missions à réaliser chez soi. L’essentiel reste la régularité du suivi et la motivation commune des deux partenaires à s’engager dans le processus.
L’accompagnement sexologique ne promet pas le retour d’une sexualité “comme avant”. Il accompagne la transformation, l’exploration de nouveaux modes de connexion, une communauté de “désir cultivé”. Pour certains, la priorité se déporte pour un temps sur la tendresse ou les autres formes d’intimité ; pour d’autres, la découverte de nouvelles pratiques, l’éducation autour du consentement ou encore l’art du ralentissement permettent de retrouver une vie intime épanouissante.
De nombreuses études démontrent l’intérêt du soutien sexologique pour les problématiques de désir, notamment en couple (Brotto et al., 2013). L’implication active des deux partenaires, la verbalisation et l’adoption de nouveaux rituels sont autant de prédicteurs positifs d’un regain du désir et d’une amélioration de la satisfaction conjugale sur le long terme.
Oser prendre rendez-vous avec une sexologue à Liège comme Charlotte Cession constitue un premier pas vers une prise en charge globale et respectueuse. Loin des recettes toutes faites, la sexologie contemporaine s’inscrit dans une démarche humaniste, visant à soutenir chaque individu et chaque couple dans ses spécificités.
Les couples ayant suivi une thérapie sexologique relatent, au-delà du simple retour du désir, :
Pour une écoute spécialisée, il est possible de contacter la sexologue Charlotte Cession directement au 0491/34.89.76, ou se rendre sur son site pour en savoir plus sur ses approches et sa philosophie. L’accueil y est inclusif, confidentiel, et adapté à toutes les situations personnelles ou relationnelles.
La consultation peut également offrir un éclairage précieux sur d’autres problématiques souvent corrélées, telles que l’addiction au sexe ou au porno, l’accompagnement des personnes LGBTQ+, le trouble du plaisir, ou encore les problématiques de consentement.
Dans certains cas, la perte de désir s’avère être la partie émergée d’un iceberg : difficultés personnelles non résolues, inconfort dans le couple, questionnement sur l’orientation ou l’identité, déprime ou burn-out. La sexologue oriente alors vers une aide complémentaire adaptée, en collaboration avec des collègues psychologues, médecins, ou autres spécialistes de la santé sexuelle.
La perte de désir sexuel dans le couple n’est donc ni une fatalité, ni un tabou intouchable. Elle exprime souvent une étape du parcours amoureux, un signal d’alerte ou d’adaptation. Avec l’accompagnement respectueux d’une sexologue telle que Charlotte Cession à Esneux, il est possible de dialoguer, de comprendre, de reconnecter et d’inventer de nouveaux chemins d’intimité. Que vous soyez au début ou à un carrefour de votre vie de couple, oser consulter est déjà un acte d’amour — pour soi et pour l’autre.
Pour aller plus loin sur la place du consentement, de la communication, et du respect dans la sexualité, vous pouvez consulter cette interview de Charlotte Cession.
La (re)découverte du désir, loin des normes et de la pression sociale, devient alors possible… et infiniment libératrice.