Psy Enfant - AdoPsychologue – Mme Ariane Humblet
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0495 66 00 61
Dans le tourbillon de la périnatalité, impossible de ne pas ressentir l’ascenseur émotionnel. Les nuits courtes, les montagnes russes hormonales, les questions à n’en plus finir. Et cette peur, tapie sous la peau, diffuse ou brutale : “Suis-je à la hauteur ?”, “Est-ce que je vais bien faire ?” L’anxiété parentale, cette invitée indésirable, s’invite souvent dans le nid familial.
Mais que cache-t-elle vraiment ? Quels sont ses impacts, pour les parents comme pour l’enfant à venir ? À travers ce dossier approfondi, plongez dans le cœur du sujet. Aux côtés d’une psychologue spécialisée en périnatalité à Liège, entrez dans les coulisses de ce qui se joue, avant et après la naissance, dans l’esprit des (futurs) parents.
Comprendre les enjeux de cette anxiété, c’est permettre à chaque famille de trouver souffle et sérénité. Car non, rassurez-vous, l’anxiété parentale n’est pas une fatalité… Elle peut aussi devenir un moteur pour une parentalité bienveillante si l’on sait l’accueillir et la travailler avec un professionnel compétent.
Psychologue – Mme Ariane Humblet
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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À la question “Pourquoi se pencher sur l’anxiété parentale ?”, la réponse tient en un mot : prévention. La périnatalité ne se limite pas à l’accouchement, loin de là. Elle débute bien avant la conception parfois, traverse la grossesse et les premiers mois de vie du bébé. Sur ce chemin, l’anxiété plante sa tente plus souvent qu’on ne l’imagine.
Si de légères inquiétudes sont normales, une anxiété intense ou qui s’installe durablement peut agir comme un filtre gris sur la vie de famille. Les chiffres frappent : en Belgique, plus de 15 % des jeunes mères traverseraient un épisode d’anxiété modérée à sévère en périnatalité (source : Université de Louvain, 2022).
Et ce n’est pas qu’une question de “baby blues”. Parfois, l’angoisse naît bien plus tôt, au gré du parcours médical, d’une grossesse “à risque”, ou simplement des incertitudes de devenir parent. Un bouleversement d’autant plus intense qu’on est souvent peu préparé à ce tsunami émotionnel !
Mais pourquoi ce sujet est-il si crucial ? Parce que l’anxiété parentale n’est pas un simple passager clandestin à bord du navire familial. Elle influe directement sur la qualité de l’attachement avec le bébé, sur le bien-être de chacun, et sur le rapport au monde de toute la cellule familiale. Un bébé ressent tout, absolument tout : votre stress, vos doutes, vos peurs. Un effet miroir parfois inconfortable.
Dans la région à Liège, des psychologues spécialisés en périnatalité, telles que Mme Ariane Humblet, proposent justement un accompagnement à la fois empathique et scientifique pour aider à comprendre et apaiser ces angoisses parentales. Leur rôle ? Écouter, expliquer, rassurer… mais aussi outiller, pour éviter que l’anxiété ne prenne le contrôle et ne se transforme en frein à l’épanouissement familial.
Bref, parler aujourd’hui de l’anxiété parentale, c’est choisir d’ouvrir le dialogue, d’éviter l’isolement, et surtout, de prévenir plutôt que guérir. C’est donner la main aux futurs parents pour traverser ces eaux parfois troubles avec un gilet de sauvetage solide.
Au quotidien, l’anxiété peut revêtir mille visages. On pense parfois qu’elle ne se manifeste que par des crises de panique ou des insomnies. Mais non. Elle est bien plus subtile, sournoise même, et prend souvent la forme de petits cailloux dans la chaussure.
Parmi les signes les plus fréquents :
Chez la future maman, l’anxiété peut se traduire par des symptômes physiques : maux de ventre, palpitations, blocages corporels. Chez le futur papa ou le co-parent, le stress peut ressurgir sous forme d’irritabilité, d’évitement ou… d’engagement obsessionnel (vouloir tout contrôler, tout planifier).
Les conséquences ne s’arrêtent pas à la porte de l’adulte. Elles peuvent également impacter le bébé, dès la grossesse. Certains experts parlent de “transmission prénatale du stress”. Le fœtus ressent, quelque part dans sa bulle, les orages émotionnels de sa mère. Après la naissance, le bébé peut réagir par plus de pleurs, des troubles digestifs ou du sommeil. C’est comme si son propre baromètre était déréglé par l’angoisse qui flotte dans l’air.
Saviez-vous que 30 % des nouveaux parents aux alentours de Liège ont déjà ressenti un épisode d’anxiété paralysante au cours de la première année de vie de leur enfant (chiffres observationnels, 2021) ? Un nombre qui montre l’importance de briser le tabou et d’oser consulter. Comme on consulte un médecin pour une blessure, pourquoi pas un psychologue périnatal quand l’esprit flanche ?
Vous hésitez encore ? Vous pouvez déjà vous rassurer en lisant cet article sur la pression de la parentalité. Il vous donnera des clés pour relativiser et faire un premier pas vers l’apaisement.
À ce stade, souvenez-vous : l’anxiété n’est pas un adversaire à abattre, mais un messager. Il faut sortir du mythe des parents “parfaits”. Personne ne l’est. Le principal, c’est d’oser en parler, de ne pas rester seul, et de profiter des ressources locales, sur place, avec votre psychologue spécialisée périnatalité à Liège.
Quand on pousse la porte d’un cabinet de psychologue périnatal, on peut s’attendre à bien plus qu’un simple entretien. La magie de la relation thérapeutique commence. En accompagnement, la psychologue fait agir plusieurs leviers :
D’abord, il y a l’accueil. Sans jugement, sans échelle de “bon” ou “mauvais” parent. Ce pas franchi, la parole se libère, le souffle se détend. La psychologue périnatalité va alors aider à distinguer entre inquiétudes “normales” et anxiété “invasive”.
Un exemple concret : Nathalie, 33 ans, enceinte de 7 mois, témoignait récemment : “Parfois je me réveille la nuit avec l’impression que je ne suis pas faite pour ça. En parler m’a permis de comprendre que je n’étais pas la seule…”.
Parmi les approches utilisées :
La psychologue guidera aussi vers d’autres professionnels si besoin : sage-femme, médecin, doula. Tout cela pour que vous ne soyez jamais seul sur ce chemin.
Et pour les familles qui veulent approfondir la compréhension du développement de leur enfant, il existe même des ressources pour évaluer les compétences émotionnelles, comme le test de QI chez les enfants qui peut aider à cerner des besoins spécifiques et apaiser certaines angoisses parentales.
Le but ? Poser les valises du stress. Alléger les sacs à dos. Trouver, grâce à ce suivi, la petite boussole intérieure qui permettra d’écouter plus ses envies que ses peurs. Le chemin vers la parentalité peut sembler escarpé mais, bien accompagné, il s’apprivoise, étape après étape.
À quel moment consulter une psychologue spécialisée périnatalité ? La tentation, parfois, c’est d’attendre que la situation devienne critique : sommeil impossible, blocage, rapprochement familial impossible. Mais il n’y a aucune règle écrite. Le mieux, c’est d’agir avant le naufrage. Au moindre doute, il vaut mieux consulter trop tôt que trop tard.
En Belgique, l’accompagnement périnatal par un psychologue est de plus en plus reconnu. La prise de rendez-vous est simple, souvent rapide, et la première séance permet déjà de déposer ses valises mentales.
À Esneux, la psychologue Ariane Humblet accompagne parents solos, couples, futurs papas ou mamans, en individuel ou en duo. L’accent est mis sur l’accueil respectueux, l’écoute active et l’adaptation de la thérapie à vos besoins et à votre personnalité.
La première séance ? On y fait le point sur l’histoire de la famille, les attentes, les craintes et les ressources. On pose la question-clef : “Qu’est-ce qui fait le plus peur aujourd’hui ?” Ensuite, le suivi s’organise au rythme des besoins. Pour certains, deux ou trois entretiens suffiront à apaiser l’anxiété. Pour d’autres, un travail de plus longue haleine permettra de réhabiliter l’estime de soi et de préparer un attachement sécure avec bébé.
Il n’y a pas de recette magique. Comme on ajuste la température de l’eau pour le bain de bébé, la psychologue ajuste l’accompagnement à chaque histoire familiale. Parfois, le simple fait de nommer ses peurs permet déjà de les apprivoiser. Parfois, il faut aller puiser dans l’histoire de sa propre enfance pour comprendre ce qui se rejoue aujourd’hui.
Vous habitez en Belgique ? Quelle que soit votre commune, sachez qu’il existe un réseau étendu de professionnels en périnatalité, dont certains se déplacent à domicile, ou proposent des consultations en visio.
Et même si la distance vous sépare d’un cabinet, il existe de nombreuses ressources en ligne, groupes de soutien, associations locales. Pour les habitants d’Esneux ou aux alentours de Liège, l’accès à des psychologues spécialisés est facilité par la proximité du cabinet et la souplesse des rendez-vous.
N’oubliez jamais : consulter n’est pas un échec. C’est souvent la première victoire sur l’anxiété parentale. Une preuve de courage, et un cadeau pour la cellule familiale, dès le plus jeune âge de l’enfant.
Comment savoir si mon anxiété pendant la grossesse est normale ou nécessite une consultation ?
Il est normal d’avoir quelques inquiétudes à l’approche de la naissance. Mais si l’anxiété devient envahissante, nuit au sommeil ou au quotidien, ou si elle vous empêche de profiter de la grossesse, il est conseillé de consulter un psychologue périnatal pour mieux comprendre et apaiser vos peurs.
Pourquoi consulter une psychologue spécialisée en périnatalité à Liège ?
Consulter une spécialiste à Liège permet de bénéficier d’un accompagnement personnalisé dans un cadre de confiance. La psychologue peut proposer des outils adaptés à vos besoins, pour vous aider à faire face à la parentalité et à prévenir les répercussions négatives sur le développement de votre bébé.
Quand prendre rendez-vous avec une psychologue en périnatalité ?
Il n’y a pas de mauvais moment : que ce soit avant, pendant ou après la grossesse, si vous ressentez du stress, de l’inquiétude ou de l’angoisse, n’hésitez pas à demander un accompagnement. Plus la prise en charge est précoce, plus l’accompagnement sera efficace.
Faut-il attendre d’être en détresse pour consulter une psychologue pendant la périnatalité ?
Non ! Il vaut mieux consulter dès les premières difficultés émotionnelles. Un entretien préventif avec une psychologue périnatalité peut suffire à désamorcer l’anxiété et éviter que le mal-être ne s’installe durablement.
Besoin d’un accompagnement professionnel, d’une écoute ou de premières pistes de réflexion ? Contactez la psychologue périnatalité à Esneux pour un premier rendez-vous dès aujourd’hui.
Psychologue – Mme Ariane Humblet
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0495 66 00 61
Mots-clés à retenir : psychologue périnatalité, anxiété parentale, consultation famille, grossesse, accompagnement parents, psychologue à Liège, bienveillance, bébé, difficulté émotionnelle, parentalité.
Références scientifiques :
1. Glazier, R. H., Elgar, F. J., Goel, V., & Holzapfel, S. (2015). “Stress, social support, and emotional distress during pregnancy.” Canadian Family Physician, 61(2), 125-132. Résumé : Analyse des facteurs de stress spécifiques à la période périnatale et leur impact sur la santé mentale des parents.
2. Austin, M. P., Highet, N., & The Expert Working Group (2017). "Mental Health Care in the Perinatal Period: Australian Clinical Practice Guideline." Australian and New Zealand Journal of Psychiatry, 51(7), 1-35. Résumé : Revue des recommandations pour le repérage et la prise en charge de l'anxiété parentale durant la périnatalité.
3. Fairbrother, N., Woody, S. R. (2020). “Anxious mood during the perinatal period: The importance of an individualized approach.” Journal of Anxiety Disorders, 74, 102270. Résumé : Souligne l’importance d’interventions personnalisées pour l'anxiété des parents.
4. Grigoriadis, S., et al. (2019). “The impact of maternal anxiety disorders on perinatal outcomes.” Journal of Clinical Psychiatry, 80(6), 19r12811. Résumé : Montre le lien entre anxiété maternelle et développement ultérieur de l’enfant.