Psychologue – Mme Sara TRESALLI
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54
Les premières années de la vie d’un enfant sont décisives pour le développement émotionnel, social et cognitif. Pourtant, il arrive que certains signes de mal-être ou de difficultés comportementales apparaissent très tôt, parfois avant même la scolarisation. Il est essentiel pour les parents de savoir reconnaître ces signaux afin d’agir au plus vite. La consultation psychologique pour enfants dès 3 ans représente alors une démarche préventive et bienveillante, tout particulièrement à Liège, où des spécialistes reconnus accompagnent les familles sur ce chemin délicat.
Dans cet article approfondi, découvrez pourquoi il est si important de consulter un psychologue pour enfants dès les premiers signes de souffrance psychique, comment se déroule la prise en charge, quels symptômes doivent vous alerter, quels bénéfices attendre pour votre enfant et pour la famille, et pourquoi la précocité de l'intervention peut changer toute une trajectoire de vie. L’objectif : vous offrir une vision claire, centrée uniquement sur la prévention des troubles psychologiques dès la petite enfance, sans jamais dévier vers d’autres thématiques.
Dès l’âge de 3 ans, l’enfant possède une vie émotionnelle riche, des capacités d’apprentissage en pleine explosion et une grande sensibilité à son environnement. Parfois, des événements de vie (séparation, deuil, naissance d’un frère ou d’une sœur, entrée à l’école…) ou des facteurs internes (tempérament anxieux, troubles neurodéveloppementaux, carences affectives…) peuvent venir perturber son équilibre. Les troubles psychologiques ne se déclarent pas toujours bruyamment, surtout à cet âge. Ils s’expriment souvent par des symptômes physiques, des changements de comportement ou des difficultés relationnelles. L’accompagnement précoce par un psychologue pour enfant vise à prévenir l’installation et l’aggravation de ces troubles, tout en soutenant la famille dans sa dynamique globale.
Reconnaître les signes de souffrance psychique chez un enfant en bas âge peut s’avérer complexe. Les plus fréquents incluent :
Il est crucial de distinguer ce qui relève du développement normal de l’enfant (périodes d’opposition, difficulté à gérer la frustration…) de ce qui devient problématique car persistant, intense ou envahissant. La vigilance des parents et des professionnels de la petite enfance (instituteurs, pédiatres, crèches) est donc primordiale.
Des articles de fond, comme cette page dédiée à la psychologie infantile, détaillent les différentes manifestations possibles chez le petit enfant. N’hésitez pas à consulter pour approfondir vos connaissances.
Il est prouvé scientifiquement qu’une prise en charge psychologique précoce améliore non seulement le bien-être immédiat de l’enfant mais agit durablement sur tout son parcours de développement. À Liège et en Belgique, plusieurs structures spécialisées accueillent des enfants dès 3 ans, avec des méthodes adaptées à leur âge : entretien clinique, jeu thérapeutique, observation du dessin ou du jeu symbolique, guidance parentale…
Les principaux bénéfices d’une intervention précoce sont :
Psychologue – Mme Sara TRESALLI
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La consultation débute généralement par un temps d’échange avec les parents, afin de recueillir l’histoire de l’enfant, le cadre familial, les éléments déclencheurs ou aggravants et les attentes. Le psychologue pour enfants va ensuite installer un climat de confiance avec l’enfant à travers le jeu, le dessin, la manipulation de figurines ou d’objets familiers. Une observation fine du comportement, du langage, du regard, de la motricité permet au professionnel de recueillir de précieux indices sur l’état émotionnel de l’enfant.
Dans certains cas, des tests spécifiques peuvent compléter l’évaluation, comme le test de QI pour enfants, mais ils ne sont jamais systématiques à cet âge. L’évaluation se fait avant tout de manière ludique et respectueuse, pour ne jamais stigmatiser l’enfant ni le mettre en difficulté. En fin de séance, les parents sont reçus à nouveau pour élaborer avec le psychologue un plan d’accompagnement : séances individuelles régulières, guidance parentale, orientation vers d’autres spécialistes (orthophonistes, psychomotriciens…), etc.
Il est essentiel de souligner que l’intervention auprès de l’enfant ne se limite pas à la consultation en cabinet. La guidance parentale fait partie intégrante de la prise en charge précoce : soutien à la parentalité, conseils pour adapter la communication, repérage des attitudes qui favorisent l’apaisement ou au contraire la majoration des troubles…
De nombreux parents décrivent un véritable soulagement à pouvoir exprimer leurs inquiétudes à un professionnel, hors de tout jugement, et à bénéficier de pistes concrètes pour accompagner le développement harmonieux de leur enfant. Cette transmission de repères aide à restaurer la confiance dans la relation parent-enfant, facteur clé pour une évolution positive.
Certains articles, comme cet article sur la pression de la parentalité, proposent des ressources utiles pour déculpabiliser et adopter une posture parentale ajustée.
Parmi les motifs de consultation fréquents chez les enfants de 3 à 6 ans, on retrouve :
L’intervention vise à comprendre l’origine des difficultés. Le psychologue accompagne ensuite l’enfant dans l’expérimentation de nouveaux modes d’expression, l’apprentissage de stratégies de gestion émotionnelle ou comportementale.
À Liège, la présence d’un réseau de professionnels très qualifiés en psychologie du développement offre aux familles des possibilités d’accompagnement remarquables. De nombreux spécialistes, comme Mme Sara TRESALLI, proposent des consultations dédiées à la petite enfance, avec une expertise adaptée aux particularités du très jeune âge. Les prises en charge s’effectuent en cabinet, mais peuvent également s’articuler avec les structures de la petite enfance comme les écoles maternelles ou les centres PMS, selon les besoins identifiés.
Bien souvent, le signalement d’un changement ou d’une difficulté chez un enfant de maternelle est posé par l’école, la crèche ou le pédiatre. Ce maillage, aux alentours de Liège, permet une orientation rapide vers le bon professionnel. Les échanges entre parents, enseignants et psychologue favorisent une continuité de la prise en charge, respectueuse de l’intérêt de l’enfant et de la confidentialité.
La réussite de l’accompagnement psychologique repose sur la qualité de la relation nouée avec l’enfant et ses parents. Prudence, respect, confidentialité absolue constituent les fondements du métier de psychologue. À chaque étape, l’enfant et la famille sont associés aux décisions concernant le rythme et la nature des séances, dans un climat d’écoute non jugeante. Les comptes rendus d’évaluation restent confidentiels, sauf accord express des parents pour un partage limité avec d’autres professionnels.
Un psychologue expérimenté ne se focalise pas uniquement sur le symptôme rapporté. Il procède à une évaluation globale de l’enfant : langage, motricité, interactions sociales, capacités de jeu, autonomie, qualité de l’attachement, réponses émotionnelles, etc. Cette vision holistique permet de cerner si le trouble présente un caractère isolé, contextuel, durable ou relève plus largement d’un trouble neuro-développemental (spectre autistique, trouble du développement intellectuel, hyperactivité…). Les parents sont accompagnés dans la compréhension fine de ces enjeux, évitant l’errance diagnostique ou les démarches inutiles.
Plus l’accompagnement est précoce et spécialisé, plus il agit positivement sur la trajectoire développementale. Les recherches montrent que nombre de troubles anxieux, dépressifs ou du comportement découverts à l’adolescence prenaient racine dès la petite enfance, souvent sous des formes moins bruyantes.
Un accompagnement adapté réduit donc le risque d’aggravation, de stigmatisation, de conflits familiaux majeurs, et favorise l’acquisition d’une meilleure estime de soi, base de toute santé mentale future.
De nombreux parents hésitent avant de consulter pour leur tout-petit : peur de sur-pathologiser, peur du jugement social ou familial, espérance « que ça passe avec le temps », incompréhension des symptômes, tabous liés à la santé mentale… Il est crucial de se rappeler qu’une consultation en psychologie ne signifie pas immédiatement un diagnostic ou un « problème grave ». C’est avant tout un espace de parole, de repérage précoce et de guidance bienveillante.
L’intervention du psychologue peut d’ailleurs s’arrêter après quelques séances de soutien et d’orientation, si la situation s’améliore rapidement.
C’est une idée reçue hélas encore répandue, mais contredite par tous les travaux scientifiques récents. Le très jeune enfant ne « met pas de mots » sur sa souffrance, mais il la ressent et l’exprime à sa façon : corps, sommeil, crises, comportements inhabituels. Sans accompagnement, ces difficultés risquent de laisser une trace. Agir tôt pour aider à nommer, comprendre, contenir les émotions favorise la résilience et le bien-être ultérieur.
Dès les premières séances, la majorité des enfants retrouvent un mieux-être : diminution des crises, retour du sommeil, restauration du dialogue familial. Sur le long terme, une meilleure confiance en soi, une socialisation plus harmonieuse, l’acquisition de stratégies pour gérer les émotions et les conflits sont fréquemment observées. Les parents, de leur côté, développent un sentiment de compétence et d’apaisement, ce qui rejaillit positivement sur toute la famille.
Les parents qui ont osé franchir le pas évoquent souvent « un grand soulagement », « une impression d’avoir enfin été compris », « une amélioration rapide du quotidien ». Quant aux enfants, lorsqu’on leur demande « ce que tu fais avec la psychologue », ils répondent volontiers « on joue, on parle un peu mais pas obligé », « ça fait du bien dans la tête », ou tout simplement « je peux dire ce que j’ai envie ».
Pour les familles résidant aux alentours de Liège, plusieurs réseaux proposent accompagnement, information et orientation, en complément des psychologues en cabinet privé. Services d’accompagnement à domicile (SAD), centres psycho-médico-sociaux (CPMS), associations de parents, groupes de parole sont autant de relais pour ne pas rester seuls face à la difficulté.
Pour aller plus loin sur le sujet, l’excellente ressource « Troubles anxieux généralisés chez l’enfant » aborde la question cruciale des angoisses précoces et de leur accompagnement spécifique.
Dans certains cas, la consultation psychologique précoce doit être relayée ou complétée par un autre professionnel : psychiatre de l’enfant, pédopsychiatre, neuropsychologue, pédiatre spécialisé. Si l’enfant présente un retrait sévère, des troubles neurologiques, des troubles du spectre autistique confirmés, ou s’il existe une suspicion de maltraitance, une prise en charge pluridisciplinaire s’impose. La collaboration entre les différents acteurs est alors coordonnée pour garantir les meilleurs soins à l’enfant et à la famille.
Il est conseillé de consulter si vous remarquez chez votre enfant des changements de comportement persistants, des difficultés à dormir, à s’alimenter, à communiquer ou une détresse émotionnelle. Une intervention précoce permet souvent de prévenir l’aggravation et l’installation de troubles plus profonds. Mieux vaut consulter trop tôt que trop tard, même à titre préventif.
La première séance inclut généralement un échange avec les parents, puis une rencontre ludique et bienveillante avec votre enfant pour l'aider à s'exprimer à travers le jeu ou le dessin. À la fin, le psychologue propose un premier plan de suivi selon les besoins repérés. Tout se fait dans un climat de confiance et sans contrainte pour l’enfant.
Les spécialistes de la petite enfance sont formés à repérer et accompagner les difficultés propres à cet âge, en tenant compte de la psychologie du développement. Leur démarche favorise une remédiation rapide et un accompagnement familial personnalisé et bienveillant. Cela augmente nettement l’efficacité de l’intervention.
Non, il n’est pas nécessaire d’avoir une prescription médicale pour prendre rendez-vous chez un psychologue spécialisé pour enfant à Liège. Néanmoins, il peut être pertinent d’échanger avec le pédiatre pour un accompagnement global de l’enfant. L’accès est direct et souvent rapide.
1. Egger HL, Angold A. «Common emotional and behavioral disorders in preschool children: presentation, nosology, and epidemiology», *Journal of Child Psychology and Psychiatry*, 2006. — Résumé : L’article met en lumière la prévalence des troubles psychologiques chez les jeunes enfants et l’intérêt d’une détection et d’une prise en charge précoces.
2. Gleason MM et al. «Addressing Early Childhood Emotional and Behavioral Problems», *Pediatrics*, 2016. — Résumé : Les auteurs soulignent la nécessité d’une intervention précoce sans attendre des symptômes graves, et les bénéfices pour le développement de l’enfant.
3. Wichstrøm L et al. «Predictors and pathways to psychiatric disorders in preschool children: A population-based, prospective study», *Journal of Child Psychology and Psychiatry*, 2012. — Résumé : L’étude prospective montre les facteurs de risque et l’évolution possible des troubles psychiques de la petite enfance vers l’adolescence.
4. Sadiq FA, Slade K. «Play-based interventions for young children with mental health needs», *Infant Mental Health Journal*, 2020. — Résumé : Cet article prouve l’efficacité des méthodes ludiques (jeu, dessin) dans l’accompagnement thérapeutique des enfants dès 3 ans.