AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Parce que la migraine frappe sans prévenir, chamboule la vie, bousille les projets. Si vous lisez ces lignes, c’est sans doute que vous connaissez sa tyrannie. La douleur n’avertit pas : elle s’invite, s’impose, et vous prive de votre élan.
Loin du cliché de la simple "grosse céphalée", la migraine est une vague puissante. Elle emporte avec elle concentration, sourire, envie de sortir. Si vous vivez aux alentours de Liège, peut-être vous êtes-vous déjà réveillé un matin, la tête prise dans un étau. Impossible pourtant de s’arrêter de vivre. Le monde continue. On avale un comprimé, puis deux, parfois trois. Mais au fond, qui rêve véritablement de dépendre des médicaments à chaque crise ?
Et si on inversait la tendance ? Et si la solution, ou du moins une réponse apaisante, se trouvait dans autre chose que la chimie pure ? L’acupuncture — ce mot qui évoque des aiguilles délicates et une tradition millénaire — attire de plus en plus dans le traitement des migraines. Mais peut-elle prévenir les crises, et pas juste les calmer sur le moment ?
Dans cet article inédit, nous allons décrypter ce que la science en dit vraiment, quelles sont les clés de compréhension et d’action, et surtout comment, ici, en Belgique aussi, l’acupuncture s’impose comme un rempart préventif pour les migraineux chroniques.
Prêt à voir plus clair ? Nous partons à la découverte…
Acupuncture et stress : libérer le corps et le cerveau à Liège
La question, vous vous l’êtes déjà posée. Vous prenez votre médicament fétiche, ça fait semblant de marcher. Mais la migraine revient. Tout le jeu est là : elle ne se contente pas d’une simple explication mécanique du genre “vaisseau qui se dilate”. C’est bien plus subtil, bien plus pernicieux, comme un brouillard qui s’insinue dans vos pensées.
La migraine est un trouble neurologique complexe. Elle implique un orage biochimique dans le cerveau, touchant les neurotransmetteurs, la sérotonine, jusqu’aux voies douloureuses. Elle n’est pas une maladie isolée mais, pour beaucoup, la conséquence d’un terrain : stress chronique, troubles du sommeil, dérèglements hormonaux, alimentation, hypersensibilité sensorielle… La liste est longue.
Pourquoi alors vouloir la contenir dans une simple boîte de médicaments ? Les antidouleurs, même puissants, ne sont qu’un pansement : ils masquent la douleur, sans jamais toucher à la racine. Les triptans, prescrits en prévention ou en traitement de crise, ne conviennent pas à tous, et peuvent provoquer tolérance ou effets secondaires. Les risques d’abus médicamenteux, de céphalées chroniques induites, ce n’est plus un mythe : c’est la réalité de milliers de personnes à Liège et ailleurs.
La médecine conventionnelle, bien sûr, reste incontournable dans les crises aigües, ou quand les signes de gravité sont là. Mais elle montre, parfois, ses limites en prévention durable. Deux migraines, trois migraines par semaine : on vous propose des bêtabloquants, des antidépresseurs, de la neurostimulation… Tous ne veulent pas suivre cette voie chimique au quotidien.
Et c’est ici que la réflexion s’ouvre. Peut-être, pour certains, la solution viendra-t-elle d’approches moins médicalisées, plus globales. Que dit la recherche ? Que montrent les praticiens sur le terrain ? C’est ici qu’entre en scène… l’acupuncture.
Parler d’acupuncture ici, chez nous, ce n’est pas évoquer un mythe lointain. C’est raconter une pratique en pleine renaissance, dont l’efficacité sur la migraine est aujourd’hui vérifiable, preuve scientifique à l’appui.
D’abord, expliquons : l’acupuncture est née du socle de la Médecine Traditionnelle Chinoise. Elle utilise de fines aiguilles, précisément placées sur le corps, pour rééquilibrer la circulation de l’énergie (le Qi) et des fluides, dénouer les “noeuds”, calmer l’inflammation, stimuler la production naturelle de substances anti-douleur comme les endorphines.
Mais concrètement, que s’est-il passé ces dernières années ? Les neurologues et les chercheurs ont voulu vérifier.
Plus de 30 essais cliniques contrôlés ont été publiés. Une méta-analyse Cochrane publiée en 2016, incluse dans les recommandations européennes, a analysé plus de 5 000 patients migraineux. Résultat : l’acupuncture, utilisée en prévention régulière des migraines, diminue la fréquence des crises de 50% chez près d’un patient sur deux, sur parfois plusieurs mois. Ce taux est supérieur, ou équivalent, aux résultats observés avec certaines familles de médicaments de prévention.
Mais ce n’est pas tout. Contrairement à ces traitements lourds, l’acupuncture n’induit pas de tolérance, presque aucun effet secondaire grave, et ne crée pas le cercle vicieux des surconsommations. D’ailleurs, plusieurs patients racontent avoir progressivement réduit, voire stoppé, leur médicament de fond grâce à l’acupuncture, sous supervision médicale.
Sur le plan biologique, de nombreuses hypothèses sont validées : modulation de la sérotonine, effet direct sur la vascularisation cérébrale, inhibition de l’inflammation des nerfs crâniens, stimulation du nerf vague. C’est donc une action en profondeur, à la racine du déséquilibre migraineux.
C’est cette diversité d’action, à la fois directe sur la douleur et indirecte via la gestion du stress ou le sommeil, qui explique pourquoi l’acupuncture s’attaque à la cause réelle des crises, et non à la surface.
Et ce ne sont pas que des données abstraites. “Si vous saviez le nombre de patients qui franchissent le pas chaque mois dans mon cabinet, rien qu’en Belgique...”, confie Katty Lhermitte, acupunctrice diplômée. Les profils ? Cadres stressés, étudiants, jeunes mamans après accouchement, retraités sportifs… On réalise vite : personne n’est à l’abri, mais chacun peut engager une démarche préventive, adaptée.
Vous reconnaissez-vous dans ces portraits ? Peut-être vous demandez-vous alors : comment, concrètement, se déroule un vrai programme de prévention par l’acupuncture ? On vous détaille la marche à suivre.
Acupuncture contre les migraines : à quel moment consulter ?
Passons de la théorie à la pratique. La prévention par acupuncture n’est pas un traitement “one shot” de passage. Elle s’inscrit dans un parcours. Chaque étape compte.
Tout démarre par un vrai bilan. Un rendez-vous, dans un espace calme, loin des urgences ou du stress du quotidien. L’acupunctrice prend le temps : questions sur le rythme des crises, les facteurs déclenchants, le sommeil, l’hygiène de vie, les antécédents, même familiaux. Ici, rien n’est superficiel. On va puiser à la racine. Puis vient l’examen du pouls, l’observation de la langue, la palpation de points sensibles – autant de repères pour établir un diagnostic énergétique précis, propre à chaque individu.
Le protocole de soins ensuite n’est jamais standardisé. Certains points sont quasi systématiques chez les migraineux : Yintang (entre les sourcils), Taiyang (tempe), Fengchi (nuque), points sur les mains et les pieds… Mais tout dépend du terrain : il n’y a pas deux migraineux parfaitement identiques.
Une séance dure 30 à 50 minutes. Les aiguilles sont quasiment indolores. Rares sont ceux qui ne repartent pas plus détendus, parfois comme flottant. Ce relâchement immédiat a aussi une explication : l’acupuncture agit par voie nerveuse centrale, “débranchant” certains circuits de l’angoisse et du stress, si souvent moteurs des crises.
Mais c’est la fréquence qui fait la différence. On recommande souvent : une séance par semaine, six à huit fois, puis espacement progressif. C’est une vraie courbe d’évolution : au fil des séances, on constate moins de crises, moins de nécessité de médicaments, un sommeil restauré. Parce que le corps, peu à peu, retrouve une capacité d’auto-régulation.
Bien sûr, prévention ne veut pas dire miracle instantané. Certaines crises persistent, surtout au début, ou lors de pics de stress. Mais rarement, avec un bon protocole, retombe-t-on dans la mauvaise spirale initiale.
Chez les femmes, les cycles hormonaux sont souvent impliqués. L’acupuncture permet d’anticiper les règles et de renforcer le système avant que la migraine ne prenne le dessus, en complément d’une écoute attentive du cycle. Si pour vous, la migraine se déclenche “à date fixe”, c’est un argument de plus pour passer le pas.
Jusqu’où pousser la prévention ? Autant que nécessaire. Certains patients viennent en “entretien” une fois par mois, comme on fait une révision pour une voiture qui a trop souffert. C’est d’ailleurs une tendance très forte observée aux alentours de Liège : la santé préventive devient une norme, pas juste une exception curieuse.
Bienfaits de l’acupuncture dans le soulagement des douleurs
Si vous êtes allé au bout de tous les protocoles classiques, si vous avez eu l’impression de tourner en rond, alors l’acupuncture ouvre une autre dimension. Ici, on ne traite pas un symptôme, on accompagne un humain dans toute sa complexité.
Pourquoi tant de personnes constatent-elles, au fil des séances, un “effet boule de neige” ? Parce que la migraine n’est jamais seule. Insomnie, anxiété, tensions musculaires, troubles digestifs… La liste est longue. Or, l’action de l’acupuncture est systémique. Elle rétablit en parallèle le sommeil profond (pour ceux qui veulent aller plus loin, consultez cet article interne), apaise la nervosité, “décolle” les tensions du dos, favorise la micro-circulation.
On l’oublie, mais prévenir n’est pas qu’éviter la douleur. C’est aussi retrouver l’envie de faire du sport, sortir, mal se réveiller moins souvent avec la tête lourde. Beaucoup en témoignent : “Je pensais venir ici juste pour ma migraine, mais j’ai retrouvé une vraie énergie.” D’autres encore, victimes d’épuisement au travail, voient leur charge mentale diminuer, leur humeur s’éclaircir. C’est un cercle vertueux. Une analogie simple : votre système nerveux, sous l’effet des séances, cesse de “surréagir”. Il ne tremble plus à la moindre étincelle, comme un veilleur de nuit trop stressé finit par s’endormir d’un sommeil réparateur.
Et si la crise survient malgré tout ? Le patient apprend à l’écouter autrement, à réagir plus tôt, à adopter d’autres gestes préventifs : auto-massages de certains points, techniques de respiration, ajouts d’aliments protecteurs… Autant d’outils transmis lors du suivi personnalisé.
Dernier point, et non des moindres : l’acupuncture encourage la responsabilisation de chacun. Ici, le patient n’est pas passif. On lui redonne la main sur son hygiène de vie, ses horaires, ses petits réglages du quotidien. Parfois, c’est cette autonomie retrouvée qui fait toute la différence sur le long terme.
L’acupuncture n’exclut jamais le suivi classique. Elle s’appuie sur les diagnostics posés, collabore avec les neurologues, ne néglige jamais les signaux d’alerte. Mais elle élargit l’horizon : chez Katty Lhermitte, c’est souvent l’un des premiers bénéfices rapportés. Sortir du schéma “médicament-crise-médicament”, c’est retrouver, enfin, un peu de liberté face à la migraine.
Acupuncture à Esneux – pour une meilleure qualité de sommeil
Séance d’acupuncture et sommeil perturbé : une solution ?
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Comment l’acupuncture peut-elle réduire le nombre de migraines ?
L’acupuncture agit en modérant les facteurs déclenchants (stress, troubles du sommeil, tensions musculaires) et en rééquilibrant le système nerveux. Elle réduit la fréquence et l’intensité des crises sur le moyen terme, comme le montrent de nombreuses études cliniques. La prévention consiste en un suivi régulier pour un effet durable.
Faut-il arrêter ses médicaments contre la migraine si on commence l’acupuncture ?
Non, il n’est pas conseillé d’arrêter brutalement les traitements en cours sans avis médical. L’acupuncture peut venir en complément : souvent, l’allègement des prises médicamenteuses se fait progressivement selon les résultats perçus, toujours sous surveillance médicale.
Pourquoi consulter un acupuncteur plutôt que d’autres médecines douces en cas de migraines chroniques ?
L’acupuncture dispose d’une validation scientifique forte pour la prévention des migraines, avec des taux de réussite démontrés. Sa spécificité est une action directe à la fois sur les circuits nerveux de la douleur et sur la régulation globale (stress, sommeil, hormones), ce qui n’est pas le cas de toutes les méthodes naturelles.
Quand observer les premiers effets après une cure d’acupuncture ?
Les premiers résultats peuvent être visibles après 3 à 6 séances : moins de crises, plus de facilité à récupérer, baisse de la tension corporelle générale. Une amélioration notable est généralement observée autour de la fin du premier mois pour une majorité de patients.
Références scientifiques :
Linde K, Allais G, Brinkhaus B, et al. Acupuncture for the prevention of episodic migraine. Cochrane Database Syst Rev. 2016. Cette méta-analyse internationale démontre la supériorité de l’acupuncture par rapport à l’absence de traitement et une efficacité similaire à la prévention médicamenteuse.
Vickers AJ, Vertosick EA, Lewith G, et al. Acupuncture for chronic pain: Update of an individual patient data meta-analysis. The Journal of Pain. 2018. Cette recherche met en évidence l’effet durable de l’acupuncture dans les douleurs récurrentes comme la migraine.
Li Y, Zheng H, Witt CM, et al. Acupuncture for migraine prophylaxis: a randomized controlled trial. CMAJ. 2012. Étude randomisée démontrant la réduction significative des jours de migraine suite à des séances régulières d’acupuncture.
Xu S, Huang B, Xu Y, et al. Effect of acupuncture for migraine prophylaxis: a multicenter randomized controlled clinical trial. Headache. 2020. Preuve supplémentaire de l’efficacité préventive de l’acupuncture, validée en milieu hospitalier international.