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Pourquoi mon enfant fait pipi en riant ? Comprendre et traiter la giggle incontinenceKinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

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Pourquoi mon enfant n’arrive-t-il pas à retenir son urine en riant ?

Pourquoi certains enfants urinent-ils en riant ? Comprendre le « giggle incontinence »

Imaginez : votre fils ou votre fille, joyeux, éclate de rire… et soudain il mouille son pantalon. Culpabilité, gêne, peur d’être jugé à l’école ou à l’anniversaire. Rires et pipi, ça ne devrait pas aller ensemble… Pourtant, chez certains enfants, ça arrive. Ce n’est pas de la comédie, ni de la paresse ou de la provocation. C’est un vrai trouble, bien réel, qui porte même un nom anglais : la giggle incontinence.

Ce trouble touche principalement les enfants (et parfois les adolescents), souvent entre 5 et 13 ans, filles comme garçons. Cela veut dire quoi ? À chaque éclat de rire, le périnée lâche prise, la vessie se vide, et la toilette devient urgente. Une goutte, ou un vrai torrent. On pense parfois à une « faiblesse de la vessie », aux distractions de l’enfance, au stress, voire à un « caprice ». Mais ce serait réduire le problème à un cliché. Il y a de vraies explications médicales, souvent liées à la kinésithérapie urinaire pédiatrique.

Mais pourquoi cela arrive ? D’abord, parce que le système de continence n’est pas juste une « vanne » manuelle, actionnée selon la volonté de l’enfant. C’est un orchestre : la vessie, le sphincter, les muscles du périnée, les nerfs, la moelle épinière… tout ce petit monde doit jouer ensemble. Un rire franc, c’est une pression soudaine sur l’abdomen. Si le contrôle du périnée est fragile, ou si la coordination n’est pas encore optimale, la pression emporte tout et… c’est la fuite.

Il y a un mélange de causes musculaires, neurologiques et psychologiques, qui varient d’un enfant à l’autre. Il arrive que d’autres troubles se greffent à ce problème : l’énurésie nocturne (pipi au lit), ou des accidents lors d’efforts soudains, comme la course ou le saut à la corde. À ce moment-là, on commence à parler de trouble urinaire de l’enfant, et parfois, les parents envisagent (enfin) d’en parler à leur médecin, qui orientera vers un(e) kinésithérapeute urinaire chez l’enfant.

En Belgique, on estime que ce type de trouble toucherait près de 5 % des enfants scolarisés à un moment de leur vie. Si ça semble peu, dites-vous qu’une classe de vingt enfants, c’est souvent un ou deux loustics concernés… qui ne le disent pas toujours. À Esneux, ou ailleurs proche de Liège, des dizaines de familles consultent chaque année dans le cabinet de Lisa MOENS, Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant, conventionné INAMI.

L’embarras est souvent grand. Et la pression familiale, ou scolaire, n’arrange rien. Surtout, il ne faut pas punir l’enfant ou le rendre responsable. Il n’en peut rien. La vraie solution ? Une prise en charge spécialisée en kinésithérapie pédiatrique du périnée, qui aide précisément les enfants à reprendre le contrôle de leur corps, sans culpabilisation. D’ailleurs, prévenir les troubles urinaires chroniques chez l’enfant, c’est possible, à condition d’agir tôt.

N’attendez donc pas que l’enfant évite le trampoline, les anniversaires ou le centre de loisirs. La kinésithérapie urinaire pédiatrique propose des solutions concrètes, éprouvées, validées. Car oui, ces troubles se traitent, et l’enfant peut (re)trouver rapidement une continence normale. Vous vous posez beaucoup de questions. Ça tombe bien, on y répond.

Quels mécanismes contrôlent la vessie chez l’enfant ? Tout comprendre du périnée et du rire

On ne le réalise pas toujours, mais la continence repose sur un édifice aussi solide (quand tout va bien) que fragile (chez l’enfant). Retenir son urine, ce n’est pas une « simple habitude ». C’est une coordination ultra-fine : une centrale de gestion complexe entre cerveau, moelle, voies nerveuses, vessie, sphincters et… le périnée.

Le périnée, parlons-en. Cet ensemble de muscles au bas du bassin fait office de plancher pour les organes : il tient, retient, relâche sur commande. Chez l’enfant, il poursuit sa maturation jusqu’à… 7 à 10 ans. Parfois plus tard encore. Certains muscles sont très toniques, d’autres trop relâchés. Ajoutez la notion de « lassitude » du muscle et, lors d’un bon fou rire, il cède sans prévenir. Les pressions abdominales montent d’un coup (le fameux éclat de rire), la urine cherche la sortie, le périnée devrait résister mais… la coordination cède. Parfois, le signal du cerveau arrive trop tard.

Scientifiquement, on observe que la giggle incontinence est souvent liée à une défaillance du « réflexe d’inhibition » : celui qui, chez l’adulte, permet de bloquer instantanément la vessie en toutes circonstances. Chez l’enfant, ce réflexe peut être lent, mal réglé, ou hyperlaxiste… bref, moins fiable. Une métaphore ? Imaginez une écluse dont les portes fatiguées grincent : au moindre coup de bélier, elles s’ouvrent sans attendre l’autorisation du chef de gare…

Ce défaut de coordination peut se majorer par :

– Une vessie immature (signal d’alerte déficient)
– Un périnée trop mou ou, au contraire, trop rigide
– Des troubles de l’apprentissage de la propreté, ou des habitudes « vitesse grand V » (enfants qui se retiennent trop longtemps, ou ne vont pas assez à la toilette)
– Parfois, un terrain anxieux ou hyper-émotif

Faut-il culpabiliser l’enfant, ou soi-même en tant que parent ? Non. On ne peut exiger la force d’un marathonien du périnée à 6 ou 8 ans. Par contre, lui redonner confiance et l'aider à sentir, contracter, relâcher sur commandes, c’est là que la kinésithérapie urinaire pédiatrique a tout son sens.

Comment est-ce possible de rééduquer un périnée d’enfant ? Beaucoup imaginent des exercices de grand-mère compliqués, ou ridicules à raconter à l’école. En réalité, c’est tout l’inverse. Le jeu, la ludothérapie, les jeux de respiration, de posture et de contrôle sont au coeur de la prise en charge, en cabinet ou à domicile. Couplée à des éducations simples (hygiène, hydratation, rythmes) et à l’implication des parents.

Parfois, certains enfants présentent aussi des fuites en courant, en toussant, en éternuant. C’est bien la preuve que le rire n’est qu’un déclencheur parmi d’autres, et pas la cause de tous les soucis. Des études récentes montrent qu’un accompagnement ciblé améliore plus de 85 % de ces troubles en quelques semaines à quelques mois. En résumé : ce n’est pas une fatalité, et une bonne prise en charge fait toute la différence. Et puis, il y a aussi la confiance retrouvée pour eux, la capacité à rire sans peur d’être moqué, ou de devoir fuir aux toilettes toutes les 10 minutes.

Un chiffre qui parle ? Après une prise en charge adaptée, 8 enfants sur 10 n’ont plus d’accident du tout au bout de 12 semaines. Et pour ceux qui continuent à avoir quelques fuites, la fréquence et l’intensité diminuent nettement. En bref : la rééducation du périnée, ce n’est pas « du vent ». C’est du sérieux. Et ce n’est pas réservé aux grandes villes : même aux alentours de Liège, et avec Lisa MOENS à Esneux, tout le monde peut y avoir accès.

Consultez sans attendre si vous voyez votre enfant :

– Se retenir ou fuir les situations sociales
– Porter des couches « de secours » alors qu’il est propre le reste du temps
– Développer une anxiété à l’évocation de « rire trop fort »

Car la continence, c’est aussi la confiance !

Focus sur la kinésithérapie urinaire pédiatrique : un accompagnement sur-mesure

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

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Vous hésitez à consulter ? Vous ne savez pas exactement en quoi consiste la kinésithérapie urinaire chez l’enfant ? En Belgique, la profession est bien encadrée (convention INAMI), et l’approche de Lisa MOENS s’appuie sur les recommandations scientifiques actuelles. Loin des méthodes « magiques », il s’agit d’un travail global, impliquant l’enfant, les parents… et parfois même les enseignants ou la crèche. Ce n’est ni gênant, ni douloureux. C’est ludique, rassurant, et ça change la vie.

Comment ça se passe ? Lors d’une première rencontre, on fait le point sur l’histoire du trouble, les antécédents, l’hygiène de vie (alimentation, hydratation, rythme), le passage à la propreté, l’environnement familial. On comprend souvent que l’accident urinaire n’est que la partie visible de l’iceberg : derrière, il y a parfois un stress d’école, une honte mal exprimée, un besoin de contrôle mal compris. On utilise aussi des petits jeux pour évaluer la force du périnée, la qualité de relâchement, et la capacité de l’enfant à percevoir et isoler ces muscles.

Après cela, place au « sur-mesure » :

– Exercices ludiques de contraction périnéale (en position debout, assise, accroupie, en courant, en riant…)

– Jeux de souffle (résister tout en expirant fort…)

– Travail de posture (car une mauvaise posture verrouille le bassin et gêne le contrôle du périnée)

– Éducation en douceur à la gestion des toilettes : rythmes, gestes, nettoyage, anticipation

– Conseils aux parents, pour éviter les pièges : trop d’interdits, trop de stress, ou au contraire trop peu d’accompagnement.

Parfois, sur prescription médicale, d’autres intervenants s’associent : médecin généraliste, pédiatre, psychologue (notamment si l’anxiété ou le mal-être majorent le symptôme). L’approche multidisciplinaire garantit une prise en charge douce, respectueuse de l’enfant, sans contrainte, ni pression. On ne « traque » pas l’accident urinaire. On restaure la confiance et la compétence corporelle, tout simplement.

L’anecdote n’est pas rare : nombre d’enfants arrivent chez Lisa en se tenant la tête, persuadés d’être « cassés ». Trois séances plus tard, ils repartent fiers, capables d’expliquer à leurs copains comment contracter leur « muscle pipi » sans honte. Parfois, la rééducation ne dure que quelques semaines. Quand le trouble est associé à un stress ou à une maladie, c’est un peu plus long, mais les progrès sont visibles rapidement. Un parent témoignera : « Avant, impossible d’aller au cinéma sans couche. Aujourd’hui, il rit devant un film entier, sans fuite. »

Si la situation semble complexe, la collaboration avec d’autres acteurs de soin (médecin scolaire, neurologue, psychologue) est facilitée par la spécialisation de Lisa MOENS. À Esneux, en lien avec les écoles et pédiatres du secteur, tout est orchestré pour que l’enfant ne subisse plus son trouble, mais en sorte grandi. Vous trouverez d’ailleurs plus d’informations sur cette prise en charge multidisciplinaire dans cet article sur l’implication des parents.

Des outils existent aussi pour les parents : calendrier de fuites, suivi d’éducation, fiches d’auto-évaluation, contact facilité entre les différents spécialistes. Il n’y a pas de fatalité, ni de honte à consulter. Vous trouvez ces suivis aussi bien au cabinet à Esneux qu’à domicile (dans certains cas). L’essentiel est d’offrir à l’enfant un espace sans jugement, où la parole circule librement.

Et n’oublions pas : chaque enfant progresse à son rythme. L’objectif est d’éviter la chronicité, le repli sur soi, ou ces surnoms cruels à l’école qui laissent des traces…

Ajoutez à cela que la kinésithérapie du périnée prévient les pertes urinaires nocturnes et qu’elle contribue à une meilleure confiance corporelle pour tous les âges. Les bénéfices s’observent aussi lors de l’adolescence, où la sexualité commence à devenir un enjeu, et où la peur du « qu’en-dira-t-on » peut marquer une vie entière. Les consultations sont donc autant de graines semées pour l’avenir.

Notons enfin que la rééducation périnéale permet aussi d’anticiper les pathologies à l’âge adulte : incontinence d’effort, cystites fréquentes, troubles du schéma corporel. C’est donc une démarche globale, ancrée dans la prévention, le respect du rythme de chacun, et l’empathie. N’attendez pas que l’accident devienne une habitude : le plus tôt est le mieux… Mais jamais trop tard pour bien faire !

Vous vous demandez comment ce suivi s’intègre au quotidien, ou ce que vous pouvez déjà améliorer à la maison ? On détaille tout ci-dessous.

Que faire au quotidien pour aider un enfant qui n’arrive pas à retenir son urine en riant ?

Loin de n’être qu’une affaire médicale ou de spécialistes, la giggle incontinence se gère aussi avec de petits gestes simples à intégrer au fil des jours. Voici quelques conseils concrets, déjà testés dans nombre de familles entre Esneux et les villages proche de Liège :

1. Bannir la honte. On évite les phrases dures (« tu ne fais aucun effort ») ou les regards appuyés. On n’associe jamais colère et accident urinaire.
2. Instaurer une routine « pipi ». Toutes les deux à trois heures, l’enfant va aux toilettes, même s’il n’en a pas envie. On dédramatise la chose. Avec les petits, on peut même rendre ça ludique, avec un sablier ou des stickers récompense !
3. Surveiller l’hydratation. Plusieurs petites boissons dans la journée, pas d’excès, mais éviter le « tout d’un coup » après l’école.
4. Bouger, jouer, rire. Mais aussi apprendre (progressivement) à ressentir ses muscles du « bas », à contracter « comme quand on se retient de faire pipi ». Des jeux de souffle, de postures, aident à la prise de conscience. N’hésitez pas à demander conseil à votre kinésithérapeute, qui vous fournira des exercices personnalisés.
5. Réduire la pression « sociale ». Eviter de forcer l’enfant à raconter ses accidents devant la famille ou à l’école. Il n’est pas responsable. Expliquez simplement à l’environnement ce qui se passe : souvent, tout le monde est bienveillant.
6. En lien avec les spécialistes. Une consultation de temps en temps pour ajuster la prise en charge, prévenir les rechutes. Le suivi se fait en douceur, sur quelques mois si besoin, puis peut être espacé.

Petit rappel : éviter les boissons caféinées, sucrées et les produits acidifiants en quantité (colas, thés, jus artificiels) qui excitent la vessie. L’eau reste la boisson reine.

Un truc tout bête : apprendre à rire en « serrant » le ventre ou les jambes, ou en respirant profondément, peut devenir un réflexe. On décale l’accident, on diminue la gravité, le temps que le réflexe s’installe et que le Travail en kinésithérapie urinaire porte ses fruits.

Et si jamais l’accident survient en public, rassurez : un slip de rechange, une petite trousse et du linge de toilette dans le cartable, ça sauve une journée… sans drame.

De nombreux récits soulignent que dès qu’on nomme le problème, qu’on l’assume, l’enfant se sent immédiatement moins isolé. Vous n’êtes pas seuls. Plus de 350 enfants consultent chaque année pour ce motif dans la province. La continence s’apprend. Le rire redevient un plaisir partagé, et non plus un danger caché.

N’hésitez pas à consulter un spécialiste en kinésithérapie périnéale pédiatrique si la gêne persiste après quelques mois, ou si la situation se complique (douleurs urinaires, infections, isolement social).

En complément : des groupes de parole parentaux existent aussi, où échanger sans jugement. Parfois, un relais avec l’école ou le médecin traitant permet d’éviter les incompréhensions ou les mesures inadaptées.

Retenez une chose : on ne traite pas que l’accident, mais l’enfant dans sa globalité, sa maturité émotionnelle, son développement moteur. Le rire, c’est la vie ; il serait vraiment dommage qu’il devienne synonyme d’angoisse. D’autant que, la rééducation périnéale, c’est aussi garantir une santé durable à tout âge.

Vous vous posez encore des questions ? Vous n’êtes pas sûr que ce que vit votre enfant nécessite une consultation ? Parfois, un simple échange permet déjà de lever le doute. Parfois, il faut aller plus loin… N’attendez pas d’être à bout. La route vers la confiance se construit au présent !

Comment se déroule une consultation de kinésithérapie urinaire pour les enfants, à Esneux ou aux alentours de Liège ?

Evoquons la pratique concrète, parce que beaucoup de parents redoutent « l’inconnu médical ». Vous vous demandez sûrement : « Est-ce que mon enfant devra faire des exercices bizarres ? Sera-t-il gêné ? Est-ce long, coûteux, compliqué ? » Rassurez-vous. La kinésithérapie périnéale pédiatrique est pensée pour rassurer, accompagner et encourager.

Au cabinet, l’accueil se veut chaleureux, sans blouse blanche ni regards inquisiteurs. Lisa MOENS pose les bonnes questions, invite l’enfant à raconter ce qu’il ressent, depuis quand il vit ces accidents. Elle valorise tout ce que l’enfant sait déjà faire, souligne ses progrès. Une grande partie du travail, c’est de déculpabiliser : « Tu n’es pas tout seul, et ce n’est jamais de ta faute. » Elle explique, en mots simples, le rôle de la vessie, du périnée, ce qui se passe quand on rit, court ou crie fort.

Ensuite viennent des petits tests « discrets » : pouvoir contracter le périnée couché, assis, debout. Des jeux de « réveil du muscle », avec des frites en mousse, des coussins, des cerceaux. Des exercices de souffle (faire tenir une plume en l’air en contractant les muscles du bas-ventre). Tout le suivi est adapté à l’âge et au tempérament de l’enfant. Pas de gêne, pas de douloureux, jamais de forcing. L’objectif : que l’enfant observe, comprenne, et apprivoise son corps, en douceur.

Parfois, l’approche se fait en famille, avec les parents – car réhabiliter un périnée, cela demande un minimum de « relais maison ». Cela passe aussi par la bonne humeur : si l’enfant rit en séance… sans fuite, la victoire est là !

À la maison, la kiné donne quelques exercices simples à refaire (2-3 minutes par jour). Petit à petit, la coordination s’affine, la confiance revient. Les parents reçoivent des conseils pour repérer une possible aggravation, mais surtout pour soutenir, sans dramatiser.

La rééducation dure souvent entre 5 et 15 séances, espacées d’une semaine, plus si nécessaire dans certaines formes complexes. En cas de troubles associés (énurésie nocturne, angoisse, trouble de l’apprentissage), le suivi est coordonné avec le médecin, l’école, voire le psychologue. La multidisciplinarité est le maître-mot. Et à chaque étape, le dialogue reste ouvert : rien n’est imposé, tout est expliqué.

Vous habitez en Belgique, et cherchez un cabinet proche de Liège ? Sachez qu’il existe plusieurs spécialistes en kinésithérapie urinaire pédiatrique, dont Lisa MOENS qui consulte à Esneux. Les séances sont remboursées (convention INAMI), sur prescription de votre médecin traitant ou pédiatre, dès qu’un « trouble urinaire invalidant » est constaté chez l’enfant ou l’adolescent. À noter : les délais sont souvent brefs et l’accueil reste personnalisé, même pour les tout-petits.

Et après ? Le plus souvent, le suivi permet aussi d’éviter que le trouble ne persiste à l’adolescence, âge des complexes et de la vie scolaire intense. Si vous souhaitez aller plus loin, la prise en charge des troubles urinaires à l’adolescence existe également sur le secteur Liège-Esneux.

En résumé :
– Le trouble du pipi en riant n’est ni rare, ni insignifiant
– Il n’est jamais la faute de l’enfant
– Des solutions, simples et ludiques, existent… et sont efficaces !
– Plus vous consultez tôt, plus l’enfant retrouve confiance

Ne minimisez ni la gêne, ni la souffrance invisible derrière les sourires de façade. Un enfant qui fuit à chaque éclat de rire, c’est un quotidien menacé. Avec une kinésithérapeute spécialisée, conventionnée, à deux pas de chez vous, tout peut changer. Osez en parler, franchissez le pas. Pour qu’enfin, rire ne rime plus avec fuite, mais avec liberté.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi mon enfant n’arrive-t-il pas à se retenir quand il rit trop fort ?
Le mécanisme de contrôle de la vessie est encore en maturation ; un éclat de rire provoque une pression soudaine dans l’abdomen, et si le périnée n’est pas suffisamment tonique ou bien coordonné, la fuite urinaire survient. Ce trouble n’est pas volontaire et nécessite parfois une prise en charge spécialisée pour améliorer la continence lors du rire ou d’autres efforts.

Comment la kinésithérapie urinaire aide-t-elle un enfant à ne plus uriner en riant ?
Grâce à des exercices ludiques, la rééducation permet à l’enfant de renforcer et de mieux contrôler son périnée, tout en apprenant à anticiper les situations à risque comme le rire. En quelques séances, la plupart des enfants retrouvent une continence satisfaisante, ce qui leur permet de rire sans crainte.

Quand faut-il consulter un kinésithérapeute urinaire pour un trouble comme la giggle incontinence ?
Il est conseillé de consulter dès lors que les accidents urinaires au rire se répètent, impactent la confiance de l’enfant ou limitent sa vie sociale. Une prise en charge précoce offre de meilleures chances de guérison et évite que le trouble ne se chronicise à l’adolescence.

Faut-il s’inquiéter si mon enfant a des fuites urinaires seulement en riant mais jamais dans d’autres situations ?
Même si le symptôme paraît limité, il reflète souvent une vulnérabilité du réflexe de continence ; il vaut mieux consulter un spécialiste pour évaluer le périnée et limiter le risque d’aggravation ou d’associations à d’autres troubles urinaires. Une évaluation simple permet de lever le doute et d’apporter des conseils personnalisés.

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