Kinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous avez déjà remarqué que votre enfant refuse d’aller aux toilettes ou retient au maximum ses besoins ? Vous n’êtes pas seul. Des parents, chaque semaine, se posent cette question un brin déconcertante – et souvent culpabilisante : Pourquoi mon enfant a-t-il peur d’aller aux toilettes ? Derrière ce comportement se cachent rarement de simples caprices. Il s’agit parfois d’un trouble réel qui perturbe le quotidien de l’enfant et de sa famille. Une problématique fréquente en cabinet, trop souvent banalisée alors qu’elle mérite toute notre attention.
La kinésithérapie urinaire chez l’enfant et l’adolescent offre aujourd’hui des outils précieux pour décortiquer ces peurs, comprendre les signaux du corps et accompagner la rééducation du périnée. Ici, pas de tabous : on met à plat les causes, on explore les solutions. L’objectif ? Rendre à votre enfant confiance, autonomie… et sérénité sur le trône. Suivez-nous !
Imaginez : Jules, 6 ans, fait la danse du pot dans la cuisine, se tortille… mais refuse systématiquement d’aller aux toilettes. Cléa, 9 ans, se retient toute la journée à l’école et attend d’être à la maison. Une scène commune, parfois source de tensions ou d’angoisse familiale. Mais pourquoi ?
La peur d’aller aux toilettes peut provenir de plusieurs facteurs, souvent entremêlés. Les traumatismes précoces (souvenir d’un accident “à côté”, moqueries des camarades, douleur lors d’une constipation ou d’une cystite…), l’environnement anxiogène (toilettes bruyantes ou sales…) mais aussi des troubles du développement des sphincters, jouent un rôle. Parfois, la volonté de tout contrôler pousse l’enfant à retenir, de peur de mal faire, ou même par simple manque de maturité physiologique.
Il ne faut pas non plus négliger l’influence du regard des adultes. Un enfant qui a déjà été grondé suite à un accident, ou qui ressent une pression pour être “propre” trop tôt, peut finir par associer la toilette à quelque chose de honteux ou d’effrayant. Et là, le cercle vicieux s’installe. Vous voyez : comme lorsqu’on hésite à appuyer sur un interrupteur qui a déjà fait disjoncter la lumière.
Autre scénario courant : un enfant qui souffre de constipation ou de fissures anales va parfois associer la douleur au fait même de s’asseoir sur les toilettes. Logiquement, il va éviter ce passage redouté tant que possible. Résultat : la peur grandit, l’envie d’y retourner diminue, et le risque de troubles s’accentue.
Ajoutez à cela les changements de routine (déménagement, rentrée scolaire, arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur…), qui chamboulent la sécurité intérieure. Le corps, parfois, fait résistance. Un peu comme un chat qui refuse de manger si on change sa gamelle d’endroit. L’enfant, lui aussi, cherche ses repères.
Dans certains cas, c’est la méconnaissance du fonctionnement de son propre corps qui provoque des angoisses. Beaucoup d’enfants ignorent comment fonctionne leur périnée, comment “sentir” leur besoin de faire pipi ou caca, ni même comment bien relâcher. Cette ignorance, c’est un peu comme marcher dans le noir, tâtonner sans savoir où est la porte.
Enfin, certains enfants présentent de véritables troubles d’acquisition de la propreté voire des anomalies du tonus musculaire des sphincters. Il ne s’agit pas de paresse ou de mauvaise volonté, mais bien d’une difficulté à contrôler les muscles abdominaux et pelviens. Ici, une prise en charge spécialisée s’impose pour (ré)apprendre les bons gestes.
Mot-clé : troubles urinaires chez l’enfant – on estime qu’environ 15 à 20% des enfants de 5 à 8 ans présentent au moins une difficulté d’ordre urinaire ou sphinctérien, et que 2 enfants sur 10 consultent pour une problématique autour du passage aux toilettes.
Pourtant, il existe aujourd’hui des solutions efficaces pour dénouer ces blocages. La kinésithérapie périnéale, pratiquée entre autres par Lisa MOENS, apporte des réponses concrètes, souvent là où l’on n’osait pas regarder. Le tout sans jugement, dans un climat de confiance.
Place au concret. Une question que beaucoup de parents se posent en Belgique : “Mon médecin me parle de kinésithérapie urinaire… mais à quoi ça sert ?” En d’autres mots : que va faire un professionnel comme Lisa MOENS, Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant, conventionné INAMI, au cabinet à Esneux ?
Tout d’abord, la consultation commence par un vrai dialogue. On met cartes sur table. Pas de blouse blanche intimidante, mais une approche limitée au jeu, à la parole et à l’échange. Vous (et/ou votre enfant) pouvez dire tout ce qui vous traverse l’esprit : ce qui fait peur, ce qui gêne, ce que l’on veut changer.
Ensuite, le kinésithérapeute observe comment l’enfant “fonctionne” : comment il s’assoit, comment il serre ou relâche ses muscles, s’il sait reconnaître l’envie ou la sensation d’une vessie pleine… Parfois, un test simple (par exemple, souffler dans une paille tout en “tenue”, ou expirer profondément pour sentir le périnée) permet déjà de cibler ce qui bloque.
La rééducation fonctionnelle du périnée se base alors sur des exercices ludiques. Ici, on joue : on fait la grenouille, on saute, on imagine qu’on coupe le robinet… Chaque exercice vise à redonner à l’enfant confiance dans son propre corps, évaluer ce qu’il ressent et apprendre à relâcher ou contracter “juste assez”. C’est comme apprendre à siffler avec les doigts ou à souffler des bulles : au début, on se trompe, puis, à force de s’entraîner, ça devient naturel.
Lisa MOENS privilégie toujours l’implication des parents, et travaille en lien avec une équipe multidisciplinaire (pédiatre, pédopsychiatre, diététicien, etc.), car la clef est dans l’alliance. Vous n’êtes jamais seul dans ce parcours.
Parfois, l’enfant débloque une peur en s’appropriant son corps différemment, d’autres fois il découvre que, finalement, il “sait faire”, qu’il peut changer son histoire. La kinésithérapie agit alors non seulement sur les muscles, mais aussi sur le psychisme : elle réconcilie l’enfant avec ses besoins naturels.
Certaines techniques sont basées sur le jeu et la visualisation : “Imagine que ton ventre est une bouée, tu la gonfles et tu la dégonfles…”, ou “fais le super-héros qui repousse une vague sans mouiller ses pieds”. D’autres mobilisent la relaxation guidée, l’apprentissage du souffle, et parfois le biofeedback (appareil qui donne une indication de la contraction musculaire).
Cette approche personnalisée présente un vrai succès sur le terrain : de nombreux enfants, même réputés “grands anxieux”, parviennent à surmonter leur peur des toilettes en quelques semaines, avec un accompagnement empathique et précis.
Vous souhaitez approfondir ce sujet ? Lisez aussi cet article sur la vessie et la kiné urinaire à Liège.
Bon à savoir : la majorité des consultations se réalisent en cabinet à Esneux, mais un suivi à domicile peut parfois s’organiser, selon les besoins spécifiques.
Kiné et anxiété : comment aider un enfant face à un trouble urinaire ?
La frontière entre la normalité et le pathologique est parfois fine. Pourtant, certaines situations doivent alerter. Quand la peur d’aller aux toilettes s’installe, qu’elle perturbe la vie scolaire ou familiale (demandes d’absences répétées, accidents diurnes ou nocturnes…), il ne faut pas attendre.
Vous remarquez que votre enfant se retient toute la journée ? Qu’il souffre de malaises, de douleurs abdominales ou même de fréquentes infections urinaires ? Ou bien il évite systématiquement les toilettes, à l’école ou ailleurs ? Ce sont des motifs valables pour demander un avis spécialisé.
Un signe peu connu : certains enfants développent des fuites urinaires alors même qu’ils semblent propres. D’autres vont jusqu’à se constiper sévèrement parce qu’ils n’osent pas utiliser les toilettes publiques. Voici un cercle vicieux dangereux : plus il retient, plus il a mal, moins il veut y aller, plus il risque d’avoir une infection ou une perte de contrôle.
Dans ces cas, une consultation auprès d’un Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant, spécialisé dans la rééducation périnéale pédiatrique, devient pertinente. La prise en charge se fait souvent en lien avec d’autres professionnels : votre médecin généraliste, un pédiatre, parfois un psychologue, voire un gastro-entérologue en cas de troubles associés.
Mieux vaut prévenir que guérir : même une gêne modérée, lorsqu’elle persiste, peut se transformer plus tard en trouble chronique, y compris à l’adolescence autour de Liège.
L’un des avantages de la kinésithérapie périnéale pour les enfants, c’est qu’elle propose des solutions concrètes : améliorer la perception corporelle, redonner de la confiance et rompre l’isolement souvent ressenti autour de ces problématiques. Passer la porte d’un spécialiste, c’est déjà entamer le chemin de la normalisation.
Le saviez-vous ? On estime que 30 à 50% des enfants qui consultent pour un trouble anxieux autour des toilettes présentent aussi un déséquilibre du plancher pelvien. Passer par la kiné, c’est donc proposer illico une réponse adaptée, bienveillante et durable.
Adresse, horaires, conseils personnalisés : demandez un premier rendez-vous avec Lisa MOENS à Esneux, conventionnée INAMI, spécialiste reconnue en kinésithérapie périnéale pédiatrique. Son travail s’inscrit dans une démarche multidisciplinaire et dédramatise la prise en charge des troubles urinaires de l’enfant, à l’école comme à la maison.
Envie d’en savoir plus sur l’importance des parents dans la réussite du traitement ? Parcourez aussi cet article dédié à leur rôle clé.
Kiné périnéale : un atout contre les pertes d’urine nocturnes
Le recours à la rééducation périnéale peut aussi s’intégrer dans un parcours complet, pour accompagner d’autres troubles associés (constipation, cystites, etc.).
Cette prise en charge spécialisée, disponible dans des cabinets professionnels proches de Liège, est adaptée à chaque âge, chaque histoire. Retenez : il n’est jamais trop tard… ni trop tôt pour s’en occuper.
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
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Face à la peur des toilettes, pas de recette miracle. Mais des gestes simples, à adopter chez soi, qui peuvent vraiment aider. Parfois, changer une petite habitude, c’est ouvrir une grande porte.
D’abord, remettre un peu de lumière sur ce qui se passe : “Tu as peur d’aller aux toilettes ? Pourquoi ?” Parlez-en sans tabou, écoutez sans juger. Beaucoup d’enfants sont rassurés lorsqu’on nomme le problème (“Tu te sens coincé, tu n’as pas envie, tu as mal ?”), et qu’on propose d’avancer ensemble, à petits pas.
L’idéal est de ritualiser ce passage aux toilettes, à heures fixes, sans pression ni chronomètre. L’enfant doit retrouver la sensation de sécurité, comme chez lui dans sa chambre. Si possible, adaptez l’environnement : petit marche-pied sous les pieds, réducteur de lunette, veilleuse si besoin. Tout ce qui “rassure” aide à lever la tension.
En parallèle, ne dramatisez ni les accidents (propreté ratée = ce n’est pas grave), ni les rituels qui tournent à l’obsession (“Il faut que tu y ailles !”). La confiance s’apprend patiemment, comme lorsqu’on retire les petites roues du vélo : au début, on chute, mais à force d’essayer, on finit par rouler.
La kinésithérapeute propose également des jeux de souffle et de visualisation à refaire à la maison. Par exemple, souffler doucement dans des bulles, imiter les animaux, retenir puis relâcher “comme si on jouait à la statue qui ne bouge plus”. Ces exercices rendent la commande du périnée ludique, et dédramatisent le passage à la toilette.
Vous pouvez aussi utiliser un tableau de progrès (autocollants, gommettes, félicitations…). Pas de punition, juste de petites victoires pour renforcer l’estime de soi. C’est souvent le meilleur carburant.
Quand la peur persiste, il est conseillé de reprendre contact régulièrement avec votre kinésithérapeute urinaire pédiatrique. Un accompagnement sur plusieurs séances permet d’ajuster, d’encourager, de valoriser les efforts. Parfois, il faut aussi un relais médical pour vérifier qu’il n’y a pas d’autre problème de santé sous-jacent.
Au fil des années, l’expérience montre qu’un travail de réseau donne de meilleurs résultats. Pas seulement la kinésithérapeute, mais aussi l’école, le médecin, parfois le psychologue ou l’enseignant. Un “filet de sécurité” pour éviter que l’enfant ne se sente isolé. Une peur partagée, c’est déjà une peur qui recule.
N’hésitez pas à impliquer les personnes de confiance autour de vous, et à demander à Lisa MOENS un relais avec l’école ou d’autres professionnels si nécessaire. Cette approche globale fait toute la différence dans l’accompagnement aux alentours de Liège.
La kinésithérapie urinaire adaptée s’adapte aux histoires singulières. Il n’y a pas d’âge ni de limite pour réapprendre à faire confiance à son propre corps. L’essentiel : commencer aujourd’hui, à votre rythme.
Comment savoir si la peur d’aller aux toilettes de mon enfant relève d’un besoin de kinésithérapie urinaire ?
Lorsque la peur s’installe, que votre enfant retient systématiquement ses besoins, souffre d’accidents fréquents ou présente des douleurs, il est conseillé de consulter. Une évaluation spécialisée permettra de distinguer un trouble fonctionnel d’un simple retard ou d’une peur passagère.
Pourquoi consulter un kinésithérapeute périnéale pédiatrique à Esneux ou aux alentours de Liège ?
Un kinésithérapeute spécialisé propose des solutions adaptées à l’âge de l’enfant, qui vont au-delà des conseils généraux. La prise en charge personnalisée et le travail multidisciplinaire maximisent les chances de résoudre durablement le trouble.
Quand commence-t-on la rééducation du périnée chez l’enfant souffrant de troubles urinaires ?
La rééducation peut commencer dès l’apparition de troubles persistants, généralement après l’acquisition de la propreté, si les symptômes perdurent au-delà de 5 ans ou limitent la vie quotidienne. Mieux vaut ne pas attendre que la gêne s’installe durablement.
Faut-il accompagner mon enfant à toutes les séances chez le kinésithérapeute urinaire ?
Il est fortement recommandé d’accompagner l’enfant lors des premières séances, afin de créer un climat de confiance et d’intégrer les exercices à la maison. La présence parentale favorise la motivation et accélère les progrès.