AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Vous l’avez aussi remarqué ? Dès l’arrivée du printemps, votre estomac se calme, mais à l’automne… C’est l’appel des raclettes et des douceurs, l’appétit flambe ! Ces rythmes bizarres ne sont ni dans votre tête, ni simplement la faute au changement d’heure. Ils n’ont rien d’anecdotique : pour beaucoup, c’est un vrai casse-tête au quotidien. Un jour la faim vous tenaille dès le petit-déjeuner, l’autre il faut se forcer à manger. Le rapport au corps fluctue, l’énergie aussi.
Ce phénomène, appelé “variation saisonnière de l’appétit”, intrigue la science moderne, mais il est aussi au cœur des traditions orientales, notamment l’acupuncture. Ici, à Esneux, beaucoup se questionnent. À Liège, on voit défiler patients et patientes gênés, curieux, perdus face à ces vagues de faim et d’envie de sucre incontrôlables. Comment ces variations s’expliquent-elles vraiment ? Peut-on les réguler ? L’acupuncture offre-t-elle des solutions concrètes, validées ou non par la science, pour remettre de l’équilibre dans notre assiette… et dans notre vie ? Plongeons ensemble dans les rouages invisibles de ce phénomène rarement abordé, mais au cœur de la pratique en cabinet. Centrons-nous sur ce mystère qui nous connecte à la nature, aux saisons, à notre biologie profonde, et sur la façon dont l’acupuncteur œuvre pour lisser ces montagnes russes corporelles. Prêts ? Entrons dans la ronde étonnante des saisons et du Qi !
Dites-vous parfois : “L’hiver me transforme en ours, le printemps me fait jeûner…” ? Ce n’est pas juste une coïncidence. Ce sont des mécanismes puissants qui nous traversent, des fils tendus entre la lumière, la température, la durée du jour, et… notre cerveau. Mais d’abord, soyons clairs : aucune mode alimentaire ni astuce miracle n’efface les lois de la biologie saisonnière. Bien au contraire : notre organisme vit au rythme de la Terre, comme un métronome ancestral.
Côté neurosciences, c’est l’hypothalamus qui mène la danse. Il possède des récepteurs ultrasensibles à la lumière du jour, la fameuse mélatonine (hormone du sommeil), la leptine (hormone de la satiété) et la ghréline (hormone de la faim). Lorsque les journées raccourcissent – comme dès octobre en Belgique – la mélatonine envahit le cerveau plus tôt, le sommeil se dérègle, la production de sérotonine baisse. Résultat : l’appétit déraille. On cherche du réconfort dans le gras, le sucré, l’énergie “rapide”.
Des études montrent que dans les pays tempérés, on mange en moyenne jusqu’à 15% de plus en hiver qu’en été. C’est une vraie différence, concrète ! Dans les cabinets, on le voit : on vient consulter parce qu’on grossit en hiver sans (trop) comprendre pourquoi, ou parce que dès la belle saison, on saute des repas, sans la moindre contrainte. Rien d’anormal : c’est la nature qui parle à travers nous.
Mais la science occidentale n’a pas le monopole de la réflexion. La Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), vieille de plusieurs millénaires, relie ces fluctuations à la théorie des Cinq Éléments. À chaque saison correspond un organe “maître” : la Rate en fin d’été, le Foie au printemps, le Poumon à l’automne, le Rein en hiver, le Cœur en été. Ces organes gouvernent les flux d’énergie (ou Qi), les envies alimentaires, la digestion. L’appétit n’est pas un chiffre sur la balance : il est vu comme le baromètre du Qi de chacun.
La tradition chinoise insiste : en hiver, on se “nourrit” pour protéger le Rein (source de chaleur), on privilégie les saveurs salées, on stocke comme le fait la nature (pensez : ours, écureuils…). Au printemps, le corps demande légèreté, détox, aliments verts, pour relancer le Foie. D’où la perte d’appétit “naturelle”. À l’automne, le Poumon réclame une transition, avec envies de soupes et de céréales. Ainsi, la MTC explique pourquoi nos assiettes et notre faim varient – et pourquoi ces dérèglements (trop ou pas assez d’appétit) sont souvent le signe d’un déséquilibre dans la circulation du Qi.
La psychologie n’est pas en reste. Moral en berne, manque de lumière, stress de fin d’année… Le mental influence la faim, c’est bien documenté. Un patient partage souvent : “Je grignote quand la nuit tombe à 18 heures, impossible de me raisonner.” L’émotionnel et le rythme social entrent alors en résonance avec la biologie, d’où l’installation possible – insidieuse – de compulsions alimentaires ou de déséquilibres.
Enfin, ne pas oublier : maladies chroniques, troubles hormonaux, médicaments, vieillissement, autant de pièces qui viennent complexifier le puzzle de l’appétit saisonnier. Dans les centres médicaux aux alentours de Liège, ces motifs reviennent souvent lors des consultations : “Docteur, pourquoi suis-je en mode veille l’hiver, et pressée de jeûner l’été ?” Chacun cherche à reprendre la main sur ces fluctuations parfois gênantes, voire anxiogènes.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Ici intervient une question clé : faut-il se résigner à subir ces variations, ou existe-t-il une voie d’ajustement naturelle ? La réponse est dans l’art millénaire des aiguilles : l’acupuncture. Grâce à une action précise, directe sur les flux d’énergie et la physiologie, elle peut jouer le rôle de “chef d’orchestre” interne pour ramener le calme et l’équilibre lorsque l’appétit devient une boussole folle.
Mais comment expliquer ce mécanisme, au-delà de la tradition ? Études à l’appui, il existe des pistes :
Tout d’abord, chaque point d’acupuncture est un “interrupteur” potentiel sur le système nerveux autonome : en stimulant certains points liés à la digestion (ex. Estomac 36, Rate 6), l’acupuncteur envoie un message raffiné qui régule la production d’hormones : ghréline (la faim) et leptine (la satiété). Ce n’est pas un placebo : cortisol et sérotonine évoluent vraiment après une séance, déjà prouvé en laboratoire.
Ensuite, l’acupuncture permet de gérer l’anxiété et le stress, grands coupables des fringales saisonnières. En régulant le Qi du Foie et en calmant le mental, on réduit cette tension qui pousse vers le placard ou le frigo dès que la lumière décline. Les patients souffrant de compulsions, en particulier en hiver, décrivent une “distance” nouvelle, la capacité à dire non, là où, auparavant, c’était la pulsion qui commandait. Un vrai tournant.
L’équilibre de la Rate-Pancréas est un pilier fondamental en MTC. C’est “l’usine à énergie”. Un déséquilibre de la Rate produit un appétit anarchique : on alterne creux subits, lassitude, ballonnements, envies de sucre. Par l’acupuncture, on réharmonise cette énergie centrale, réduisant ainsi les variations saisonnières, mais aussi les symptômes qui les accompagnent : fatigue, difficulté à perdre ou maintenir un poids stable.
Un cas fréquemment évoqué à Esneux : “Je n’ai aucun souci d’appétit l’été, mais l’hiver je mange deux fois plus et je prends systématiquement 4-5 kg.” Après quelques séances d’acupuncture (ciblant Rate 36, Estomac 25, Foie 3…), certains constatent un retour de sensations “normales” : envies moins fortes, satiété perçue, énergie moins fluctuante. Difficile de donner un chiffre, mais le retour d’expérience sur place est parlant.
Une autre facette : l’acupuncture harmonise aussi l’axe digestion-sommeil-humeur. Elle réduit les insomnies liées au stress, améliore la qualité du sommeil réparateur (pour en savoir plus, consultez notre article Acupuncture et insomnie : comment retrouver naturellement le sommeil réparateur), diminue les pics d’angoisse. Or, qui dit meilleur sommeil, dit aussi régulation de la ghréline, donc de l’appétit saisonnier. Un effet domino “vertueux” s’installe après quelques séances régulières tout au long de l’année.
Enfin, l’acupuncture s’inscrit dans une logique de personnalisation : à chaque personne, son rythme, ses points particuliers. Contrairement aux médicaments ou aux régimes, l’acupuncture prend en compte le tempérament, l’environnement, les cycles hormonaux. On ne pique pas de la même façon un jeune adulte sportif stressé en automne, qu’une femme ménopausée en hiver ou un senior fatigué du printemps.
Les bienfaits ressentis dépassent la simple gestion de l’appétit. La relation au corps change, la “petite voix intérieure” qui pousse à manger (ou à s’abstenir) devient plus audible, plus apaisée. Nombreux sont ceux qui s’en étonnent après quelques mois de suivi, et trouvent là une alternative à la fois douce, sans danger, et validée par l’expérience clinique, même en Belgique où la demande explose.
Pour découvrir l’utilité de l’acupuncture sur d'autres déséquilibres, lisez notre article “Acupuncture et syndrome de l’intestin irritable (SII) : solutions durables”.
Entrons dans la pratique. Comment se passe, concrètement, une consultation pour un “appétit en montagnes russes” ? Voici une histoire typique, sans fioriture, vécue à Esneux ou à Liège (mais qui pourrait résonner partout).
Isabelle, 39 ans, sportive l’été, fatiguée et gourmande toute la période froide, consulte une acupunctrice après plusieurs régimes “yoyo” inefficaces. Elle raconte : “Je ne comprends pas. Dès qu’il commence à faire sombre, je grignote, je grossis vite, je perds ma vitalité. Pourtant, au printemps, je me sens libre, légère, rassasiée vite. Je voudrais me réconcilier avec mon corps sans lutter contre ma nature.”
En acupuncture, chaque trajet de soin débute par un bilan énergétique complet. L’interrogatoire couvre la saisonnalité, l’état émotionnel, le sommeil, la digestion, les cycles hormonaux, l’état des pouls et de la langue. On cherche si la Rate est “affectée”, le Foie “en stagnation”, ou si l’énergie du Rein s’amenuise l’hiver. Selon la tradition, un excès d’appétit hivernal révèle souvent une “fuite du Qi” de la Rate, ou une chaleur interne perturbatrice. Au contraire, une perte d’appétit marquée au printemps signale un Foie “hyperactif” empêchant la remontée de l’énergie.
En pratique, la séance associe souvent :
Déjà après 2 ou 3 séances, nombre de patients sentent un apaisement. Isabelle l’exprime ainsi : “Je n’ai pas moins faim, mais c’est plus serein, moins obsédant. Je ressens mieux la satiété. Je dors mieux, donc je commence mes journées moins agitée. Parfois, je m’étonne même de laisser de côté des aliments qui me faisaient craquer avant.” Ce dialogue entre la médecine traditionnelle chinoise, la physiologie et la psychologie de chacun offre un accompagnement complet, loin des recettes miracles.
L’intérêt de l’acupuncture, c’est surtout ce suivi ajusté aux saisons. Adapter la fréquence des séances, réajuster les points au fil de l’année, apprendre à repérer ses propres signaux. Grâce à ce travail “sur mesure”, patients et praticiens observent un lissage progressif des écarts d’appétit. Ce n’est pas un bouton “off” sur la faim, c’est un remodelage du rapport au corps… et au plaisir de manger.
Parallèlement, l’acupuncteur propose volontiers quelques conseils simples inspirés de la “diététique des saisons” de la MTC. Consommer davantage d’aliments de saison, privilégier le chaud et l’humide l’hiver (bouillons, soupes, céréales cuites), miser sur le vert, le frais, le léger dès le printemps. C’est parfois la combinaison aiguille-alimentation adaptée qui fait la différence durable.
Un mot sur les suivis en cabinet : la régularité reste clé, car la fluctuation de l’appétit est un phénomène lent, lié aux cycles de la nature. Certains prennent rendez-vous chaque début de saison, pour “remettre les pendules à l’heure”. D’autres viennent à chaque vague de difficultés. Après quelques années, la plupart découvrent une stabilité nouvelle, moins de frustrations, plus de constance.
Envie d’en savoir plus sur les mécanismes physiologiques liés au sommeil et leur impact sur l’appétit ? Consultez l’article détaillé “Acupuncture à Esneux – pour une meilleure qualité de sommeil”.
Des sportifs de haut niveau utilisent aussi l’acupuncture pour leurs variations d’énergie et de faim. Preuve que cette méthode sort du cliché « Zen » pour s’ancrer dans la performance et l’équilibre quotidien. Un article passionnant sur le sujet : Pourquoi de grands athlètes utilisent l’acupuncture.
Tout ça fonctionne-t-il pour tout le monde ? Honnêtement non – et c’est aussi la richesse de cette méthode. L’acupuncture n’est pas magique, elle ne remplace pas une alimentation de qualité, ni le suivi par le médecin dans certains cas. Elle est un levier complémentaire, jamais exclusif, toujours à intégrer dans un parcours global.
Qui doit rester prudent ? Les personnes souffrant de troubles alimentaires graves (anorexie, boulimie, hyperphagie) doivent, avant tout, être suivies par une équipe pluridisciplinaire (psychiatre, nutritionniste…). L’acupuncture n’est jamais le premier – ni le seul – “outil”. En revanche, dans les situations de surpoids ou de petites fluctuations associées aux changements de saisons, sans pathologie lourde, elle montre un intérêt sans risque majeur.
Autre point : chaque individu réagit différemment. Certains sentent les effets après deux séances, d’autres après dix, certains peu voire pas du tout. C’est lié à la réceptivité, la chronicité des troubles, la capacité du corps à “réentendre” ses propres signaux. Accepter ces différences, c’est aussi respecter la lucidité et l’éthique de l’acupuncteur – à Esneux, le dialogue reste toujours ouvert et franc.
Quant aux preuves scientifiques, où en sommes-nous ? Préfiguration intéressante : plusieurs essais cliniques (en Asie mais aussi en Europe) ont montré une diminution mesurable de la ghréline après stimulation de points d’acupuncture spécifiques. D’autres ont noté une baisse durable de l’IMC et des compulsions chez des sujets en surpoids. Le consensus scientifique reconnaît aujourd’hui l’efficacité de l’acupuncture sur les troubles fonctionnels de la digestion et l’anxiété, deux moteurs de la variation saisonnière de l’appétit.
Pour aller plus loin sur l’accompagnement naturel de la perte de poids, consultez “Acupuncture à Esneux – Boostez votre énergie et perdez du poids !”.
La meilleure synergie ? Associer l’acupuncture à un accompagnement diététique adapté : définir ensemble des stratégies selon la saison, apprendre à cuisiner autrement en hiver, découvrir comment avancer “avec” les cycles naturels plutôt que contre. Beaucoup témoignent : “Je n’ai pas perdu 10 kg d’un coup, mais j’ai arrêté de manger pour de mauvaises raisons, c’est déjà énorme.” De la patience, du dialogue, de la personnalisation, et une feuille de route sur le long terme.
Le petit plus à Esneux ou Liège : un suivi précis, la possibilité d’adapter les séances aux objectifs, le respect de la confidentialité et de l’écoute active. Ici, le patient n’est pas “coupable” de ses fluctuations, il apprend à surfer avec elles, à les comprendre, à les apprivoiser. L’appétit devient un allié… et non plus un adversaire invisible.
Pour les curieux qui veulent approfondir la physiologie implicite de l’appétit saisonnier ou explorer d’autres champs de l’acupuncture (douleurs, troubles du sommeil, gestion du stress), retrouvez plus de ressources sur notre site ou sur les traitements par acupuncture pour l’arthrite.
Pourquoi mon appétit augmente-t-il dès que l’hiver approche ?
L’augmentation de l’appétit en hiver est liée à la diminution de la lumière, qui influence les hormones régulant la faim et la satiété, comme la mélatonine et la leptine. Ce phénomène est amplifié par la tradition chinoise, qui voit l’hiver comme une période de stockage naturel de l’énergie. L’acupuncture aide à lisser ces variations en favorisant l’équilibre hormonal et énergétique.
Comment l’acupuncture peut-elle aider à perdre du poids si mon appétit varie beaucoup selon les saisons ?
L’acupuncture agit en équilibrant les points liés à la digestion, les émotions et le système nerveux autonome, ce qui permet de réguler l’appétit et les compulsions alimentaires. Elle agit aussi sur la gestion du stress et du sommeil, deux facteurs clés dans la prise ou la perte de poids selon la saison. Les résultats sont progressifs et personnalisés.
Quand faut-il consulter pour un dérèglement d’appétit saisonnier à Liège ou en Belgique ?
Il est conseillé de consulter dès que les variations d’appétit ont un impact évident sur le bien-être, l’humeur ou le poids, notamment en automne ou au début du printemps. Les séances d’acupuncture aux alentours de Liège peuvent préparer votre corps à la prochaine saison pour éviter les fluctuations trop marquées. Un accompagnement personnalisé permet de trouver le bon rythme.
Faut-il combiner l’acupuncture avec d’autres approches si mon appétit varie toute l’année ?
Oui, l’acupuncture offre de meilleurs résultats si elle est associée à des conseils diététiques adaptés à la saison et, si besoin, à un soutien psychologique. Cette approche globale favorise une régulation durable de l’appétit et du poids, en tenant compte de tous les facteurs physiques et émotionnels impliqués.
– Shi, Z., et al., “Acupuncture for weight loss in adults with overweight or obesity: a systematic review and meta‐analysis.” Obesity Reviews, 2023.
Résumé : L’étude montre que l’acupuncture aide à diminuer l’IMC et régule l’appétit chez les patients en surpoids selon plusieurs essais randomisés.
– Chen, B., et al., “Effects of acupuncture on serum leptin and ghrelin in obese patients: A randomized controlled trial.” Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2018.
Résumé : Cette étude met en évidence la réduction des niveaux d’hormones de la faim après acupuncture sur des points spécifiques.
– Chan, A., “Seasonal variation in food intake, blood pressure, and mood in a temperate climate.” Appetite, 2017.
Résumé : Cet article décrit l’influence des saisons sur l’appétit, l’humeur et la physiologie en climat tempéré.
– Wang, S. M., et al., “Acupuncture in the management of anxiety and stress: an overview of systematic reviews.” Scientific Reports, 2021.
Résumé : La régulation du stress et de l’anxiété par acupuncture impacte l’appétit et les comportements alimentaires.