AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Il arrive à beaucoup d’entre nous de ressentir ce picotement glacé au bout des doigts, cette sensation que le bout des orteils se transforme en glaçon dès que la température baisse ou que l’on reste immobile un peu trop longtemps. Parfois, ce n’est pas qu’une affaire d’hiver. Même au printemps ou en été, certaines personnes vivent avec cette froideur persistante dans les extrémités. Vous aussi ? Alors, posez-vous la question : votre corps vous envoie-t-il un message ?
Des chiffres récents indiquent qu’environ une personne sur cinq en Belgique se plaint régulièrement de froid aux mains ou aux pieds. Cette sensation peut devenir un véritable handicap au quotidien, rendant difficile l’endormissement, gênant la concentration, voire générant de la douleur. À Liège, comme partout ailleurs, cette problématique est un motif fréquent de consultation en acupuncture. Mais alors, pourquoi notre circulation semble-t-elle parfois « prendre la pause » quand on en a justement le plus besoin ?
Le froid aux extrémités n’est pas une fatalité. Il n’est pas nécessaire de vivre sous plusieurs couches de chaussettes ou de gants en permanence. Ce symptôme n’est pas qu’un détail insignifiant ou un simple effet du climat. C’est souvent le révélateur d’un déséquilibre sous-jacent du corps, affectant la circulation sanguine, le système nerveux, ou le fonctionnement énergétique plus global de l’organisme. En médecine traditionnelle chinoise (MTC), cela relève souvent d’un trouble du Qi (« énergie vitale ») ou d’une stagnation du Sang, selon leurs termes. Mais revenons au présent et à la science actuelle. Quelles sont vraiment les causes ?
Le mécanisme le plus répandu est une mauvaise circulation périphérique, appelée médicalement « syndrome de Raynaud », ou, de façon plus diffuse, une vasoconstriction excessive des petits vaisseaux sous l’effet du stress, du froid, ou de perturbations hormonales. Certaines maladies chroniques (diabète, troubles thyroïdiens, anémie, maladies auto-immunes) favorisent aussi ce phénomène. Les émotions jouent aussi leur partition dans cette mélodie froide : anxiété, surmenage, accumulation de stress tendent à resserrer les vaisseaux comme un robinet qu’on ferme.
Mais il faut bien le dire : il y a aussi des causes mystérieuses, où tous les examens sont normaux, et où, malgré tout, vous vivez avec ces doigts ou ces pieds qui refusent de se réchauffer. Cela paraît anodin. Ça ne l’est pas : le confort de vie en prend un coup. La qualité du sommeil aussi.
En MTC, ce trouble exprime le dysfonctionnement de la « circulation du Qi et du Sang ». Les méridiens, sortes d’autoroutes invisibles de l’énergie corporelle, voient leur circulation ralentie ou entravée. Résultat : là où l’énergie ne passe pas, la chaleur ne va pas. À chaque interruption, la sensation de froid s’invite. Cette approche holistique a ouvert la voie à des stratégies de traitement autrement plus globales, qui s’attardent aussi bien sur la cause que sur le symptôme.
La question qui se pose alors : comment agir ? Que faire de différent pour enfin retrouver une chaleur normale – et pas seulement sous la couette ou avec une bouillotte ?
À ce stade, de nombreuses personnes se tournent vers des solutions naturelles, complémentaires de la médecine occidentale : alimentation, gestion du stress, activité physique… et acupuncture. Cette discipline, plébiscitée aujourd’hui aux alentours de Liège et dans tout le pays, offre une approche originale, personnalisée et soutenue par des données scientifiques sérieuses. Pourquoi ? Parce qu’elle agit à la fois sur les symptômes et leurs racines profondes – qu’elles soient physiques, émotionnelles ou énergétiques.
Si la médecine conventionnelle propose des médicaments vasodilatateurs ou des conseils d’hygiène de vie, l’acupuncture revendique un atout différent : elle travaille sur la régulation et l’harmonisation de la circulation générale, en mobilisant les ressources internes du corps. Elle aide – c’est prouvé – à « décongeler » durablement nos extrémités. Comment, exactement ?
Voyons de plus près ce que ce millénaire chinois a à nous apprendre pour nos matins froids et nos hivers prolongés, à Liège comme ailleurs.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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Le froid chronique dans les mains et les pieds n’est pas uniquement une question de caprices météo. Côté médecine occidentale, plusieurs facteurs sont régulièrement mis en cause : un dérèglement fonctionnel des vaisseaux qui réagissent de façon excessive au froid ; des problèmes hormonaux telle l’hypothyroïdie ; une anémie (manque de fer). Chez certaines personnes, le stress chronique et l’anxiété entraînent une contraction durable des petits vaisseaux sanguins, accentuant la sensation de froid.
Dans la « vraie vie », ces causes s’entremêlent : une femme peut subir des doigts blancs tous les hivers, aggravés pendant les périodes de surmenage professionnel. Un étudiant anxieux verra ses mains trembler et pâlir avant chaque examen. À une époque où le stress règne en maître, ces signes ne sont guère étonnants. Le corps, tel un vieux radiateur, n’arrive plus à bien distribuer sa chaleur où il faudrait : les extrémités en pâtissent les premières. Notamment chez les femmes, environ 70 % déclarent ressentir plus souvent ce souci que les hommes, un chiffre qui, loin d’être anecdotique, colle à la multiplicité des consultations à Liège et ailleurs.
De façon plus médicale, le « syndrome de Raynaud » reste une des causes les plus connues : vos doigts blanchissent, deviennent insensibles sous l’effet du froid ou du stress, puis, paradoxalement, se colorent violemment au réchauffement. Spectaculaire ? Oui. Angoissant ? Bien sûr. Mais ce n’est pas tout. Les personnes souffrant de diabète, de maladies vasculaires, de troubles thyroïdiens, ou même de polyarthrite rhumatoïde, présentent plus fréquemment cette mauvaise irrigation. Dans ces cas, la médecine occidentale recommande un suivi médical et une stratégie globale, mais la médecine chinoise propose d’aller plus loin en traitant le « terrain » et pas seulement le symptôme transitoire.
Or ce froid aux extrémités ne se cantonne pas au domaine médical ou biologique pur. Il s’agit aussi de signaux subtils du corps : fatigue chronique, troubles du sommeil, gestion difficile des émotions, anxiété latente… La liste s’allonge. Avez-vous déjà remarqué : les périodes de vie les plus stressantes sont souvent celles où vos mains restent froides à tout moment ? Ce n’est pas un hasard. Votre système nerveux autonome, censé gérer la relaxation et le stress, est comme bloqué en « mode urgence ». Conséquence : vos vaisseaux périphériques restent resserrés, la chaleur intérieure ne circule plus bien jusqu’au bout des doigts ou des orteils.
En médecine traditionnelle chinoise, ces symptômes sont souvent liés à ce qu’on appelle « froid interne », « stagnation de Qi » ou « vide de Yang ». Difficile de traduire ces notions, mais l’idée peut se résumer : soit le feu vital est trop faible pour chauffer tout le corps (vide de Yang), soit l’énergie circule mal à cause de blocages physiques ou émotionnels (stagnation de Qi et de Sang). Imaginez une rivière : si ses berges sont obstruées, l’eau n’atteint pas la mer. De même, si l’énergie du corps ne circule pas, la chaleur ne va pas jusqu’aux extrémités.
Les causes émotionnelles prennent aussi une place de choix : colère rentrée, deuil non digéré, chocs passés, anxiété chronique… Selon la MTC, ces déséquilibres émotionnels bloquent la circulation dans certains méridiens, particulièrement ceux qui alimentent les mains et les pieds (méridiens du Foie, de la Rate, des Reins ou du Cœur). Concrètement : vous accumulez de la « pression », la circulation ralentit, vos mains et pieds deviennent les premières victimes du refroidissement interne.
Et puis, la sédentarité n’arrange rien. On passe des heures devant un écran. On oublie de bouger. Tout cela, même sans maladie à la clé, vient accentuer la tendance froideur. Enfin, n’oublions pas les facteurs extérieurs : météo humide d’automne à Liège, logement peu chauffé, vêtements inadaptés… Autant de causes qui participent à la « fuite » de chaleur par les extrémités. Mais bonne nouvelle : cela se travaille, et même souvent sans médicaments.
L’acupuncture intervient alors comme une technique de choix, non seulement pour activer la circulation physique (microcirculation), mais surtout pour harmoniser le fonctionnement global du corps et sortir du « blocage » énergétique.
Acupuncture et stress – libérer le corps et le cerveau à Liège
Les études montrent que le traitement par acupuncture améliore durablement l’irrigation périphérique, freine le stress et diminue les sensations désagréables de froid chronique. Comment procède-t-elle vraiment ? Voyons cela.
L’acupuncture, c’est avant tout une approche millénaire dont la vocation première est de rétablir l’équilibre du corps. Dans le cas précis d’une mauvaise circulation aux extrémités, son objectif est clair : relancer la circulation du Qi et du Sang de façon harmonieuse, réchauffer le corps de l’intérieur et améliorer la vascularisation des mains et des pieds. Cela se fait par la stimulation de certains points-clés, dispersés sur le trajet des méridiens.
Vous vous demandez : motif fréquent de consultation… mais comment se déroule concrètement une séance ? L’acupunctrice (souvent formée aussi en médecine occidentale, comme c’est le cas à Esneux) commence par un entretien poussé pour repérer l’origine du trouble (fatigue, stress, antécédents médicaux, mode de vie…). Puis, place à l’aiguille, mais tout en douceur : des aiguilles très fines sont positionnées sur des points précis, souvent situés sur les bras, les jambes, le dos ou l’abdomen.
Chaque point correspond à une fonction : certains réchauffent le « Yang » (l’énergie réchauffante), d’autres stimulent le « Qi » pour le faire circuler, d’autres encore « ouvrent les voies » pour permettre à la chaleur d’atteindre les surfaces. La magie, c’est que le corps répond rapidement. De nombreuses personnes signalent, dès la première séance, une sensation de chaleur qui diffuse doucement le long des membres. Comme si les radiateurs internes étaient enfin allumés.
Mais l’acupuncture ne s’arrête pas à l’effet immédiat. Son but : remettre le système de circulation en mouvement sur le long terme. Plusieurs études, dont celle de l’équipe coréenne de Jeong et al. (2018), ont prouvé une augmentation significative du flux sanguin distal (dans les mains et les pieds) dès la troisième séance. Cette relance physiologique s’explique : la stimulation d’aiguilles active la libération de neuropeptides et d’endorphines, lesquels détendent les vaisseaux et favorisent la vasodilatation locale et générale. La circulation reprend, lentement mais sûrement.
L’autre atout de l’acupuncture, c’est sa capacité à calmer le stress. En effet, la contraction excessive des vaisseaux dépend en grande partie du système nerveux autonome (en particulier du système sympathique). Or, l’acupuncture agit directement sur cet « interrupteur central » : elle favorise la fameuse « détente parasympathique », celle qui relaxe, ralentit le rythme cardiaque et élargit les vaisseaux. Moins de stress = plus de chaleur qui circule.
En pratique, les séances sont donc conçues sur mesure. Pour certaines personnes, le traitement visera d’abord à « chauffer » le bas du corps (points sur la rate ou les reins), pour d’autres à dissiper des blocages émotionnels (points du foie ou du cœur). Le choix dépend de l’analyse de votre « terrain » selon la médecine chinoise.
À noter : une séance ne se limite pas toujours qu’aux aiguilles. L’acupunctrice peut compléter par de la moxibustion (chauffer certains points à l’aide d’armoise), du massage chinois (tuina), ou des conseils de vie (alimentation adaptée, notamment en hiver : on évite le cru et les excès de produits laitiers, véritables « refroidisseurs » internes selon la MTC).
À Esneux, près de Liège, de nombreux patients témoignent d’une amélioration nette après quelques séances : mains et pieds moins « congelés », sommeil apaisé, retour de l’énergie, respiration mieux régulée. Ce ressenti est validé par la littérature médicale internationale, qui place l’acupuncture au premier plan des techniques naturelles de soutien à la microcirculation, notamment dans les problématiques de Raynaud, de troubles anxieux, mais aussi de fatigue chronique. (Plus d’infos sur les bienfaits validés de l’acupuncture pour bien d’autres indications.)
La synergie d’action – physique, nerveuse, émotionnelle – explique ses résultats sur cette problématique froideur : l’acupuncture ne se contente pas d’ouvrir le robinet, elle répare toute la plomberie. C’est cette approche globale qui fait sa force et sa singularité.
En résumé : elle n’agit pas seulement quand vous êtes allongé(e) sur la table, mais enseigne à votre corps à maintenir la chaleur là où il faut, pour la nuit, pour la journée, pour l’avenir.
Et si votre sommeil pâtit aussi du froid ou de la mauvaise circulation, sachez qu’elle améliore également la récupération nocturne. Vous pouvez en apprendre plus ici : Acupuncture et insomnie : comment retrouver naturellement le sommeil réparateur.
Vous hésitez à franchir le pas ? C’est naturel. Beaucoup se demandent : combien de temps pour sentir la différence ? L’amélioration est-elle durable ? Y a-t-il des contre-indications ? Voici ce qu’il faut vraiment savoir, issu des retours cliniques à Esneux et de ce que l'on observe aux alentours de Liège.
D’abord, la première chose à retenir : chaque cas est particulier. Certaines personnes sentent une chaleur remonter dans les doigts dès la première séance ; d’autres mettent deux à trois séances pour « décongeler » durablement. En moyenne, un protocole de 4 à 6 séances espacées sur un à deux mois permet de relancer la circulation et de mettre en place un effet « mémoire » qui perdure au-delà de la prise en charge.
L’effet ne dépend pas seulement du nombre de séances, mais aussi du mode de vie adopté entre celles-ci. L’acupunctrice vous accompagnera avec des conseils précis : bouger régulièrement (même 10 minutes de marche rapide matin et soir relancent déjà la circulation), éviter les expositions prolongées au froid, adopter une alimentation « réchauffante » (soupes, bouillons, éviter le sucre raffiné et l’alcool en excès), gérer le stress par des micro-pauses respiratoires. Le succès vient de cette alliance : acupuncture en cabinet, actions pratiques au quotidien.
Côté sécurité : l’acupuncture, réalisée par une professionnelle diplômée et expérimentée, est une technique sûre, peu douloureuse et sans effets secondaires majeurs. Les seules contre-indications sont rares et concernent principalement certains troubles de la coagulation sévère, l’absence d’hygiène adéquate (ce qui est exclu chez Katty Lhermitte), ou une phobie aiguë des aiguilles. Même les enfants ou les personnes âgées peuvent bénéficier d’adaptations spécifiques (aiguilles plus courtes, techniques non invasives comme la moxibustion ou l’acupression).
Sur le plan émotionnel, la plupart des patients se disent « détendus », « sur un nuage » ou « comme réchauffés de l’intérieur » à la fin de la séance. Cette dimension est essentielle : car la chaleur durable, ce n’est pas seulement une affaire de sang ou d’embolie prévenant la gangrène ; c’est aussi – et surtout – la capacité à retrouver un équilibre entre ce que l’on vit (stress, froid, fatigue) et la façon dont le corps y réagit. L’acupuncture apprend ainsi à mieux réagir, à réchauffer, à équilibrer. Peu d’approches prennent soin à la fois du corps et de l’esprit. Celle-ci y parvient.
De façon générale : les bénéficiaires sont nombreux – jeunes femmes, seniors, sportifs, étudiants anxieux, travailleurs en horaires décalés – et rapportent une amélioration significative de leur qualité de vie après prise en charge. Ils dorment mieux, travaillent sans avoir les doigts gelés, profitent des loisirs sans appréhension saisonnière. Tout cela, sans avoir besoin de médicaments chroniques. Voilà qui met à mal la vieille image de l’acupuncture réservée aux seules douleurs articulaires (approche désormais validée sur les douleurs d’arthrite et autres), car elle agit aussi sur la circulation, le stress et la récupération du corps dans son ensemble.
Un dernier mot sur la durée : pour ancrer les effets, beaucoup choisissent des « rendez-vous entretien » à chaque changement de saison, ou lors de périodes de stress intense. Un moyen simple d’éviter la rechute, et de maintenir un équilibre chaud/froid optimal.
Et si, en plus du froid, vos nuits sont perturbées, pensez à consulter : acupuncture à Esneux pour une meilleure qualité de sommeil : la chaleur revient aussi la nuit !
Comment expliquer que j’ai souvent froid aux mains et aux pieds alors que tous mes bilans médicaux sont normaux ?
Même sans maladie détectée, la sensation de froid aux extrémités est souvent due à des facteurs fonctionnels comme le stress, une mauvaise gestion des émotions, ou un déséquilibre énergétique du corps. Selon la médecine traditionnelle chinoise, cela peut refléter une circulation insuffisante du Qi et du Sang, des troubles du « Yang » ou une stagnation énergétique, qui ne sont pas visibles sur les analyses conventionnelles.
Pourquoi choisir l’acupuncture plutôt qu’un traitement classique pour améliorer ma circulation ?
L’acupuncture agit de manière globale en stimulant la circulation sanguine, la détente du système nerveux et l’harmonisation énergétique, sans recourir aux médicaments. C’est une solution naturelle, personnalisée, qui s’attaque à la racine du problème tout en améliorant la qualité de vie générale, y compris le sommeil et le niveau de stress.
Quand peut-on espérer sentir une amélioration avec l’acupuncture sur le froid aux extrémités ?
Beaucoup de patients ressentent un effet positif dès la première ou la deuxième séance, avec une sensation de chaleur qui revient progressivement dans les mains et les pieds. En général, il faut compter entre 4 et 6 séances pour un effet durable sur la circulation périphérique et le confort thermique.
Faut-il continuer l’acupuncture toute l’année si on veut garder les mains chaudes ?
Il n’est pas nécessaire de consulter en continu : un traitement de fond au début redonne une bonne base, puis un entretien saisonnier ou lors de périodes de stress suffit le plus souvent à maintenir les bénéfices. L’essentiel est d’adopter aussi de bonnes habitudes de vie et de consulter en prévention dès les premiers signes de rechute.
Jeong, H. S. et al. – Effect of Acupuncture on Peripheral Blood Flow in Patients with Peripheral Neuropathy, Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, 2018. Étude montrant une amélioration significative du flux sanguin aux extrémités après acupuncture régulière.
Pomeranz, B. et al. – Scientific Basis of Acupuncture, Acupuncture in Medicine, 2001. Article de synthèse sur les effets biomécaniques de l’acupuncture sur la microcirculation et le système nerveux autonome.
Yang, J. et al. – Acupuncture for Primary Raynaud’s Phenomenon: A Systematic Review, Complementary Therapies in Medicine, 2017. Revue systématique montrant une réduction des symptômes de froid et de blanchiment des doigts après acupuncture.
Lee, J. et al. – Effects of Acupuncture on Peripheral Circulation and Heart Rate Variability, Autonomic Neuroscience, 2015. Étude démontrant l’amélioration de la circulation périphérique et de la régulation nerveuse suite à plusieurs séances d’acupuncture.