Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Un gros poids. Voilà souvent ce que décrivent les patientes qui consultent pour une sensation de pesanteur pelvienne. Comme si quelque chose tirait ou appuyait en bas du ventre. Parfois, c’est constant. Parfois, ça ne vient que le soir ou après une longue journée debout. On se demande d’où cela vient, ce qui tire là, ce qui fatigue… Et surtout, ce que cela veut dire. Est-ce grave ? Que faire ?
Si vous ressentez cette sensation étrange, pas de panique. Vous n’êtes pas seule. Ce symptôme touche énormément de femmes, à tous les âges de la vie : jeunes femmes sportives, mamans en post-partum, femmes en parcours ménopausique, mais aussi actives qui n’ont jamais eu d’enfant. Souvent, derrière cette pesanteur, un mot revient : le périnée. Un mot discret, mais capital. Pour le comprendre, le bilan périnéal devient incontournable.
Mais à quoi sert-il, ce fameux bilan ? Comment expliquer ce ressenti ? Faut-il s’inquiéter ? Une kinésithérapeute périnéale comme Lisa Moens, conventionnée INAMI et installée à Esneux, va décoder pour vous ce mystère du bas du ventre. Prête pour une plongée dans le monde souvent caché du plancher pelvien féminin ? Suivez le guide !
Pesanteur pelvienne. C’est un terme un peu médical, mais qui traduit une expérience finalement très physique. Beaucoup de patientes le décrivent comme “une boule, une pression”, “un truc qui tire en bas”. Parfois, on parle d’impression de “tomber”, d’organe “descendant”. C’est gênant, ce n’est pas toujours douloureux, mais c’est franchement désagréable. Surtout quand l’inconfort revient – ou s’invite en permanence.
Cette sensation de gêne pelvienne peut apparaître dans toute une série de contextes féminins :
Mais finalement, que se passe-t-il “sous le capot” ? Pourquoi a-t-on cette drôle de sensation, parfois inquiétante ? Pour le comprendre, il faut revenir à l’anatomie. Imaginez le bassin féminin comme un hamac. Un hamac tendu entre l’os du pubis et le sacrum, tapissé de muscles, de ligaments, de tissus de soutien. Ce plancher pelvien, ou périnée, doit porter tout ce qui est posé dessus : vessie, utérus, rectum. Quand il est fort, tout va bien. Mais si ce hamac fatigue ?
Notre corps est comme une équipe de soutien qui ne doit jamais faillir. Pourtant, grossesse, accouchements, variations hormonales, sport intensif ou sédentarité, surpoids… À force, ce “filet” peut se détendre, se relâcher. Résultat ? Une pression, comme si tout descendait. Cette pesanteur n’est pas juste subjective : c’est le signal que le corps envoie pour dire “attention, je lutte pour tenir”.
Et ce signal, il faut l’écouter. Parce qu’au début, ce n’est pas grave, vraiment. Mais avec le temps, si rien ne bouge, les risques de prolapsus (descente d’organe) augmentent. Sans parler d’autres symptômes associés, comme les douleurs, les envies pressantes, ou les fuites urinaires lors de l’effort, du rire…
C’est là qu’intervient le bilan périnéal, ce bilan que votre gynéco, sage-femme ou médecin généraliste peut recommander chez une kinésithérapeute périnéale. Et surtout, c’est ce qui va permettre de reprendre le contrôle sur votre confort quotidien.
Un “bilan périnéal”, c’est un peu le check-up de la santé du plancher pelvien. Pas seulement pour les sportifs de haut niveau ou les femmes enceintes ! Il s’adresse à toutes celles qui veulent savoir comment va leur périnée. Vous sentez une pression inhabituelle ? Une boule qui descend ? Un inconfort lors d’efforts ou debout longtemps ? Il est temps de faire le point.
De quoi s’agit-il exactement ? C’est un temps d’écoute et d’évaluation avec un professionnel formé à cette sphère intime. Au cabinet Lisa MOENS, qui exerce au cabinet à Esneux et aux alentours de Liège, le bilan se déroule en plusieurs étapes :
Ce temps permet d’objectiver : est-ce que ce “hamac” tient bien ou fatigue-t-il ? Présente-t-il des points de faiblesse ou de contracture chronique ? Quelles zones sont sollicitées à l’excès, ou, au contraire, en hypotonie (pas assez toniques) ?
L’intérêt ? Identifier très tôt les prémisses d’un relâchement périnéal, d’un prolapsus ou des troubles associés : fuites urinaires, douleurs chroniques, troubles de la sexualité, constipation… Parfois, la pathologie commence par un simple sentiment de pesanteur, ignoré, puis deviennent plus graves avec le temps.
Lisa Moens, kinésithérapeute périnéale conventionnée INAMI, travaille en lien étroit avec les gynécologues, urologues, ou médecins de famille. L’approche est multidisciplinaire, intégrant aussi les cas spécifiques : fuites urinaires, fuites urinaires féminines du sport, femmes pré-partum ou en cours de grossesse, post-partum, troubles urinaires, maladies telles que l’endométriose, ou troubles musculo-squelettiques du bassin.
Par ailleurs, il n’y a pas de honte à parler de périnée. C’est un muscle comme un autre ! On n’attend pas de ne plus pouvoir marcher pour consulter pour un genou douloureux… Eh bien, pourquoi attendre que les symptômes s’aggravent pour votre plancher pelvien ?
Kinesithérapie périnéale et pertes urinaires nocturnes, voilà un souci qui débute aussi, parfois, par cette gêne diffuse ou cette sensation de poids…
Et entre nous, en Belgique comme partout, cela concerne des milliers, voire des millions de femmes. De l’ado à la future grand-mère. Les statistiques ? 30 à 40 % des femmes présentent au moins une fois dans leur vie un symptôme de ce type. Et la plupart ne consultent pas, pensant que ce n’est pas “important”. Mais votre confort mérite mieux, non ?
Les origines de cette sensation désagréable sont multiples. Mais le cœur de l’histoire, c’est (presque) toujours : un décalage des équilibres du périnée.
Imaginez : vous portez vos courses. Les bras fatiguent. À force, ils tremblent. C’est ce qui se joue… sur le plancher pelvien ! Les muscles du périnée tiennent pour soutenir la vessie, l’utérus, le rectum. Mais quand tout le reste (muscles abdominaux profonds, diaphragme, posture) dysfonctionne, c’est le périnée qui encaisse… jusqu’à saturation. Les “alertes” se manifestent alors par la fameuse sensation de pesanteur.
Voici les principales causes chez la femme :
Petite anecdote : il existe même un “pic” de consultations pour pesanteur pelvienne… au retour des grandes vacances d’été. Pourquoi ? Les femmes ont plus bougé, porté, voyagé, parfois négligé leur rééducation ou fait l’impasse sur certains soins. La rentrée pèse, littéralement.
Ce n’est pas que le muscle, d’ailleurs : le tissu conjonctif de soutien joue aussi. Imaginez un trampoline trop distendu… Il “plie”, ne rebondit plus. Le bilan permet d’analyser les deux dimensions : musculaire et tissulaire.
Ne faisons pas l’autruche : si vous laissez traîner un relâchement du périnée, même modéré, vous risquez de voir survenir, au fil des ans, d’autres signaux. Fuites urinaires, sensations de “boule” dans le vagin, impression que quelque chose “tombe” ou “pousse”.
Un bon diagnostic, c’est se donner les moyens d’agir vite et bien. Et n’oubliez pas, aux alentours de Liège, les professionnels comme Lisa Moens connaissent ces problématiques sur le bout des doigts. C’est leur quotidien !
Pour creuser le lien entre cystite chronique et faiblesse périnéale – un sujet tabou et pourtant tellement courant – les ressources ne manquent pas.
Mais alors, quand vient-on consulter ? Quand s’inquiéter ? Et surtout, comment le kiné périnéal va proposer une solution adaptée, personnalisée, qui vous redonne la clé de votre corps ?
Kinésithérapeute Périnéale Spécialiste – Mme Lisa MOENS
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous hésitez à consulter ? Vous vous demandez ce qu’un kinésithérapeute périnéale va vraiment pouvoir faire pour cette sensation diffuse, parfois angoissante ? On vous explique concrètement. Car la réponse, c’est un peu une histoire de “réparation” fine, d’accompagnement, d’écoute, et de renaissance physique.
Premièrement : la kiné périnéale trouve toujours *une* explication à ce que vous ressentez. Vous n’êtes pas “folle”. La pesanteur du bassin a une origine musculaire, ligamentaire ou posturale. Le bilan, c’est le stéthoscope du périnée !
Après écoute et examen, on distingue s’il s’agit d’une simple fatigue musculaire, d’un relâchement déjà avancé, ou de signes de prolapsus débutant. Grâce à des tests dynamiques et une évaluation fine, Lisa Moens à Esneux détermine :
Sur ce diagnostic, un programme de rééducation sur-mesure est construit. Ce n’est jamais “juste” des contractions de périnée !
D’ailleurs, vous seriez surprise de constater à quel point le périnée est connectés à tout le reste du corps : abdos, dos, diaphragme, bassin, même la posture globale. Un genoux vers l’intérieur, une cheville qui s’affaisse ? Cela peut influencer la sphère pelvienne ! C’est un peu comme si tout le système n’était plus synchrone, et que la “pesanteur” était le signal d’un besoin de réajustement général.
La rééducation périnéale combine souvent plusieurs outils :
À noter : il n’existe pas de solutions “miracles” en deux séances. Comme pour retrouver la forme après une blessure sportive, la clé de la rééducation du plancher pelvien, c’est la régularité. 6 à 15 séances sont souvent nécessaires, espacées puis espacées encore, pour retrouver stabilité, confort, et faire disparaître la fameuse “pesanteur”.
Un point aussi : la kinésithérapeute périnéale n’est pas là pour juger. Ni votre intimité, ni votre parcours. Son rôle ? Écouter, rassurer, informer, guider. Beaucoup de femmes arrivent anxieuses, honteuses, pensant être “seules au monde” avec ce souci. C’est tout l’inverse. Chaque histoire est différente, mais toutes parlent d’un corps qui revendique attention, douceur, accompagnement.
Vous craignez de ne jamais retrouver votre tonus du passé ? Bonne nouvelle : la plupart des pesanteurs pelviennes précoces régressent complètement après une rééducation adaptée. D’où l’intérêt de ne pas attendre que la situation empire !
Pour approfondir, la rééducation périnéale et la prévention des cystites marchent souvent main dans la main – la lourdeur pelvienne étant parfois le premier avertissement…
Parmi les conseils qui sauvent : pratiquer quelques exercices simples à la maison quand la kinésithérapeute l’indique. Par exemple : (re)mettre l’accent sur la respiration abdominale, contracter puis relâcher le périnée comme une “porte d’ascenseur qu’on ferme doucement”, apprendre à “porter sans pousser”. C’est accessible, ludique… et terriblement efficace !
Enfin, la kinésithérapie périnéale s’adresse à toutes les femmes : jeunes (sportives), futures mamans (prévention du prolapsus ou du relâchement), femmes en post-partum, mais aussi à la ménopause, où l’accompagnement doit être encore plus personnalisé et nuancé (présence d’atrophie, sécheresse, douleurs associées). Ne pensez pas “c’est trop tard”, ou “je n’ai pas mal, ce n’est pas pour moi”. Un bilan préventif, c’est offrir à son corps la meilleure des garanties d’harmonie sur le long terme.
Vous l’avez compris, le meilleur traitement, c’est l’anticipation. Attendre d’avoir une “vraie descente d’organe” ou des fuites à chaque éternuement… ce n’est plus une fatalité. Comme pour toute partie du corps, le périnée demande prévention, vigilance et bon entretien régulier.
Si la pesanteur pelvienne est récente, légère, si elle se manifeste après une journée éprouvante ou lors d'activités spécifiques, le bilan permet de vérifier s’il s’agit d’un simple surmenage, d’un relâchement isolé, ou des signes débutants de troubles plus importants.
Surtout, la kinésithérapeute spécialisée adapte le programme à VOS besoins. Il n’y a pas deux périnées identiques ! Entre une femme jeune sportive, une mère après trois grossesses, et une femme ménopausée, les attentes et les réponses techniques diffèrent. C’est pourquoi la personnalisation est clé.
Parfois, la pesanteur précède d’autres soucis : par exemple, elle se manifeste chez les femmes qui développent une cystite à répétition liée à la faiblesse du plancher pelvien ou chez celles dont les troubles urinaires annoncent une descente d’organe débutante.
Le suivi proposé par Lisa Moens ne s’arrête pas à la rééducation classique. Il comprend :
L’accompagnement peut être ponctuel (quelques séances) ou s’inscrire dans la durée (soutien sur plusieurs années, si besoin, par exemple à la ménopause ou après chirurgie).
Ne pas hésiter à solliciter un bilan périnéal même en l’absence de symptôme majeur. Les consultations de prévention devraient devenir un réflexe, aussi banal que le reste du corps. Vous n’attendez pas d’avoir une fracture pour protéger vos os : votre sphère pelvienne mérite la même attention. Et en matière de douleurs, lourdeurs ou gênes, mieux vaut prévenir que guérir !
Dernier point : la kiné périnéale ne remplace pas le médecin ou le gynécologue, mais travaille toujours en partenariat. Parfois, un examen complémentaire (échographie, IRM, bilan urodynamique) est utile pour affiner le diagnostic ou sécuriser la prise en charge.
Une évaluation bien menée : c’est l’assurance de REPRENDRE LE CONTRÔLE de votre quotidien, de votre confort génital, urinaire, intime. Et grâce à l’expertise de Lisa Moens, spécialiste en kinésithérapie périnéale, conventionnée INAMI, à Esneux, proche de Liège, vous bénéficiez d’une prise en charge humaine, professionnelle, et personnalisée.
Pourquoi ai-je une sensation de pesanteur au niveau du périnée ?
La sensation de pesanteur pelvienne est souvent liée à une faiblesse du plancher pelvien, qui a du mal à soutenir les organes internes (vessie, utérus, rectum). Cela peut survenir suite à une grossesse, à la ménopause ou lors d’activités qui sollicitent trop le périnée. Un bilan périnéal permet de comprendre l’origine du problème et de cibler une rééducation adaptée.
Quand consulter une kinésithérapeute périnéale pour ce symptôme ?
Dès que la sensation de pesanteur devient gênante, persistante ou s’accompagne d’autres symptômes (fuites urinaires, douleurs, gêne à l’effort), il est recommandé de consulter. Une prise en charge précoce, par une professionnelle comme Lisa Moens à Esneux, permet de limiter le risque de complications et de retrouver rapidement du confort.
Comment se déroule un bilan périnéal en cabinet kinésithérapie ?
Le bilan commence par un entretien pour comprendre vos habitudes, vos antécédents médicaux et vos symptômes. Il se poursuit par des tests physiques doux et un examen du périnée pour évaluer la tonicité et la coordination. Cette démarche permet d’établir un plan de soins personnalisé et d’expliquer clairement l’origine de la pesanteur.
Faut-il obligatoirement un bilan même si les symptômes sont légers ?
Oui, il est conseillé de ne pas attendre que la situation s’aggrave. Un bilan précoce peut prévenir une évolution vers le prolapsus, les fuites urinaires ou les douleurs pelviennes. C’est une démarche simple et non invasive, idéale pour garder confiance et être actrice de sa santé.