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Perdre le fil des chiffres : Comment les troubles de la mémoire arithmétique bouleversent le quotidien – et 4 solutions logopédiquesLogopède Lénaïg - Séances de Logopédie proche de Liège Tilff Esneux Sprimont

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Perdre le fil des chiffres : Comment les troubles de la mémoire arithmétique bouleversent le quotidien – et 4 solutions logopédiques pour reprendre le contrôle

Vous êtes-vous déjà retrouvé, face à une addition banale, à fixer la feuille sans parvenir à retrouver la solution ? Ou votre enfant, pourtant doué à l’oral, bloque soudain devant un “6 + 3” ? Ces moments, qu’on pense souvent anodins, sont parfois le reflet d’un trouble bien concret : les troubles de la mémoire des faits arithmétiques. Oui, la fameuse difficulté à se souvenir des petites tables de multiplication, ou même des additions automatiques, peut devenir un vrai caillou dans la chaussure.

En Belgique, comme aux alentours de Liège, ce genre de difficulté reste mal compris du grand public. Beaucoup confondent avec le manque de travail ou le “manque de volonté”. Pourtant, ce trouble porte un nom, un vrai. Et il a des solutions logopédiques! Si vous êtes parent, enseignant ou simplement curieux, cet article vous propose un décryptage franc, ni alarmiste, ni “magique”. Objectif ? Mieux cerner les causes, mais surtout, vous rassurer sur les solutions qui existent.

Comme une boussole embrouillée, la mémoire arithmétique déraille : ce n’est pas que l’élève “ne veut pas”, c’est souvent qu’il “ne peut pas”. Les chiffres se mélangent, la tête chauffe, la confiance s’effrite. Et un cercle vicieux démarre… Mais il y a des clés, alors allons-y.

Pourquoi la mémoire des faits arithmétiques commence-t-elle à flancher ?

Avant toute chose : non, la mémoire arithmétique n’est pas une “case magique” du cerveau. Il ne s’agit pas de rangées de tables bien alignées qui ne demanderaient qu’à être lues comme les titres d’un album photo. Pas du tout. La mémoire des faits arithmétiques, c’est un réseau complexe. Un peu comme ces petits chemins qui traversent un bois : certains sont tracés par mille passages, d’autres à peine marqués. Chez chacun de nous, ces sentiers se dessinent différemment.

Mais pourquoi ces chemins ne se créent-ils pas de la même façon chez tout le monde ?

La réponse n’est pas unique. Les neurosciences indiquent que la mémoire arithmétique sollicite plusieurs régions cérébrales : l’hippocampe (pour retenir), le cortex préfrontal (pour organiser), le cortex pariétal (pour la logique et l’espace). Bref, c’est une chorégraphie ! Mais parfois, l’un des danseurs trébuche.

Première piste : des difficultés dès la petite enfance. Un enfant qui a eu du mal à reconnaître les chiffres, ou à les écrire sans se tromper d’ordre, démarre avec un léger retard. Ce retard peut s’amplifier quand l’école accélère le rythme.

Deuxième piste : la dyscalculie. Ce mot un peu barbare désigne un trouble durable de l’apprentissage des mathématiques. Il n’empêche pas d’être intelligent, hein ! Simplement, il agit comme un filtre qui brouille les signaux dès que les chiffres entrent en jeu. Un enfant dyscalculique peur être brillant à l’oral, débrouillard… mais perdre pied lorsqu’il faut résoudre des opérations un peu mécaniques.

Autre facteur réel, souvent négligé : l’anxiété. Qui n’a jamais eu l’impression que “plus on stresse, moins on y arrive” ? Et pour la mémoire des faits arithmétiques, c’est particulièrement vrai. Chez certains enfants ou adultes, le simple mot “calcul” provoque un blanc. Le cerveau débranche, le chiffre n’apparaît plus. Ce n’est pas de la paresse, c’est presque un sabotage inconscient !

Il y a aussi des causes environnementales. Celles-ci comptent autant – voire plus – que la génétique parfois. Un enfant qui n’a pas manipulé de jetons, de petites billes, jeune, va moins bien “sentir” l’arithmétique. Certains n’ont jamais joué à la marchande, jamais compté leurs billes, n’ont pas cuisiné avec les parents (vous savez, “donne-moi deux œufs !”). C’est bête, mais toutes ces expériences construisent les traces mnésiques de base.

Puis, il y a les troubles associés. Par exemple, un trouble de l’attention empêche de fixer l’information assez longtemps pour qu’elle s’imprime. Et là, impossible d’automatiser les fameux “7 + 5” !

Au final, le résultat est là : la table des 8 ressemble à une forêt impénétrable, chaque opération est une nouvelle aventure. La mémoire est comme un tamis trop large : tout passe au travers, rien ne s’accroche durablement.

Et ce phénomène n’est pas rare. Vous seriez peut-être étonné d’apprendre qu’on estime entre 4 à 7 % des élèves, en Europe francophone, concernés par un trouble avéré lié à la mémoire des faits arithmétiques. Un constat qui traverse les écoles, de Bruxelles à Paris, mais aussi dans nos villages belges.

Pour autant, faut-il baisser les bras ? Non. Mais comprendre les causes, c’est déjà reprendre du pouvoir sur la situation.

Quelles conséquences réelles sur la vie scolaire et le quotidien ?

Vous vous demandez : “Bon, au final, ce n’est que des maths, non ?” Erreur classique. Les troubles de la mémoire des faits arithmétiques dépassent largement le cadre des évaluations scolaires. Voici un florilège des situations concrètes où ces difficultés pèsent lourd, peut-être plus que ce qu’on ose l’avouer.

Prenons Arthur, dix ans. Il connaît la formule pour calculer une addition, il sait ce qu’est une multiplication. Mais face à une simple table, il piétine : “9 x 6”, il hésite, trompe d’une unité, panique. Cette hésitation le ralentit à chaque étape, ce qui entraîne… un retard sur les autres. Et ce retard grandit à vue d’œil. Imaginez un coureur qui doit tordre ses lacets à chaque foulée pendant une course. Voilà le quotidien scolaire de ces enfants.

Ils ne sont pas “mauvais en maths”. Juste prisonniers d’une mémoire qui leur fait défaut. Quand les opérations deviennent longues, leur esprit est accaparé par le calcul des “petites bases”, ce qui laisse peu ou pas d’énergie pour comprendre l’ensemble du problème posé.

Petit détail qui n’en est pas un : tous ces temps d’hésitation, ces erreurs, entraînent un effet boule de neige. L’enfant perd confiance. Il a honte. Il préfère parfois passer pour “paresseux” ou plaisanter, plutôt que d’avouer qu’il n’y arrive simplement pas. Cela a un effet domino sur l’image de soi. Parfois, des adultes se souviennent, trente ans plus tard, de la boule au ventre ressentie devant une table de division…

Mais les conséquences dépassent le carnet de notes. À l’âge adulte ou adolescent, on évite la caisse au supermarché si le rendu de monnaie devient un casse-tête. On se prive de cuisiner des recettes faute de savoir calculer les proportions, ou on évite un job qui exige des calculs rapides. Paradoxalement, certains élèves créaient des stratégies ultra-efficaces pour contourner la difficulté, mais au prix d’une surcharge mentale extrême.

La logopède Céline, basée à Liège, raconte : “J’ai reçu un adolescent, très malin, qui avait trouvé un code couleur pour chaque table difficile. Mais cela l’épuisait !”. S’adapter au lieu d’automatiser, c’est comme rouler sur une route cabossée au lieu de construire une autoroute mentale.

Enfin, il ne faut pas négliger le volet familial. Un parent, parfois témoin de la détresse de son enfant, essaye d’aider. Mais l’impatience s’installe, l’incompréhension aussi : “Pourquoi tu bloques toujours sur 7 x 8, on l’a déjà fait cent fois !”. Cette tension, si elle se répète, peut grignoter la relation parent-enfant sans qu’on le veuille vraiment. Oui, ce trouble est discret, mais potentiellement envahissant.

Il existe aussi des différences de perception selon les régions ou les filières. Dans certaines écoles à Liège, l’accent est mis sur l’entraînement des tables par le jeu. Mais si cet entraînement se transforme en compétition permanente, ceux qui peinent se retrouvent vite au banc de touche. Une anecdote ? Lors d’une dictée de chiffres, un élève “connaisseur des dinosaures, champion de foot”, s’effondre sous la pression d’un 8 x 7…

Mais, bonne nouvelle : il est possible de remonter la pente, avec des outils adaptés.

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Quelles solutions logopédiques pour retrouver confiance et efficacité ?

Vous vous dites peut-être : “Mais alors, que propose la logopédie ? Est-ce différent d’un cours de soutien en maths ?” Oui, radicalement. La logopédie se concentre sur l’automatisation des faits arithmétiques par des chemins alternatifs, adaptés au profil de memory de chacun.

Premier axe : le bilan logopédique complet. Avant de démarrer, il est capital de tracer le portrait du fonctionnement de l’enfant (ou de l’adulte !). Ce bilan ne porte pas seulement sur les résultats scolaires. Il sonde la mémoire à court terme, la vitesse de traitement de l’information, la connaissance des procédures (par exemple, décomposer un 13 en “10 + 3” pour avancer dans une addition), mais aussi la mémoire auditive, visuelle, et l’attention.

Parfois, un simple test fait émerger des “trous noirs” sur une ou deux tables précises. Parfois, c’est tout le système qui patine. L’avantage du bilan ? Il rassure l’enfant (“Tu vois, tu n’es pas nul au global, simplement tu as ce caillou dans la chaussure !”).

Deuxième axe : des stratégies multisensorielles. Fini le par cœur bête et méchant ! Les logopèdes utilisent le mouvement, le chant, les images, les jeux de doigts, les dessins. Une table devient une histoire : “8 x 7, c’est 56, comme les 56 marches du château imaginaire”. Les études montrent que l’association d’expériences variées (auditives, visuelles, kinesthésiques) consolide l’encodage.

Troisième axe, un travail sur la motivation et la confiance. Rien n’est plus décourageant que de répéter inlassablement la même erreur. Le logopède met en place des petites victoires très fréquentes. On célèbre le “déclic” sur 6 x 4, puis sur 5 x 9. Même minime, chaque progrès compte. Comme une montagne gravie mètre par mètre, main dans la main avec un guide.

Quatrième stratégie : la différenciation des supports. Certains enfants progressent mieux avec des fiches plastifiées, d’autres avec des applications ludiques. Il existe des logiciels spécialisés (comme Mathboard, 10Monkeys Maths, ou Mathéros), mais aussi des jeux de cartes, des dominos, ou des manipulations concrètes (billes, cubes, jetons). À chacun ses outils, l’essentiel est la régularité.

Le suivi logopédique peut aussi impliquer la famille. Les parents sont invités à la dernière séance de la semaine, pour apprendre à prolonger le travail à la maison, mais sans pression. Par exemple, transformer le calcul en défi du jour : “Avant d’aller à l’école, cite-moi 3 multiplications gagnées !”.

Mais la logopédie ne s’arrête pas à l’enfance. De plus en plus d’adultes consultent, notamment lors d’une reprise d’études, ou pour une reconversion professionnelle. Eh oui, il n’y a pas d’âge pour “reconstruire” ses automatismes ! Il s’agit alors d’adapter les objectifs : parfois, on vise l’autonomie dans la gestion du budget, ou l’aisance pour gérer un planning horaire.

Certaines logopèdes, aux alentours de Liège, sont reconnues pour leur capacité à individualiser les parcours : “Une fois, raconte Sophie, je me suis appuyée sur la passion du foot d’un jeune. Les scores, les maillots, tout est devenu prétexte à automatiser les tables !”. Astucieux et moins pénible que de répéter encore et encore “8 x 7, 8 x 7”…

Un autre pilier est la communication avec les enseignants. Car identifier et valoriser ce type de trouble, c’est aussi changer le regard du professeur. Mettre en place un “temps supplémentaire” ou un code couleur sur la feuille peut tout changer. C’est comme donner des chaussures de course à celui qui boitait – il peut enfin suivre le rythme du peloton !

Même si la logopédie n’est pas une baguette magique, ses résultats sont palpables à moyen terme. Un suivi régulier, 2 fois par semaine pendant quelques mois, peut suffire à amorcer l’automatisation (le Graal, pour ces élèves !). Certains continueront plus longtemps, d’autres retrouvent leur autonomie rapidement. L’essentiel : la phase de déclic.

Il ne faut jamais minimiser l’importance du suivi. Le vrai secret, c’est la personnalisation et l’enthousiasme partagé. Ce trouble ne disparaît pas entièrement, mais il cesse d’être un frein majeur au plaisir d’apprendre. Et ça, aucune statistique ne le mesure vraiment, mais chaque famille touchée le ressent.

Comment repérer et prévenir les difficultés de mémoire des faits arithmétiques ?

Peut-être vous demandez-vous, maintenant : “Comment savoir si mon enfant (ou moi-même !) est concerné ? Est-ce que toutes les difficultés sont inquiétantes ? Peut-on agir en amont ?”. Là encore, il existe des indices (et des astuces de prévention !) pour mettre toutes les chances du côté de la réussite.

Quels sont les signaux d’alerte à surveiller ?

Les premiers signes d’un trouble de la mémoire des faits arithmétiques apparaissent parfois tôt… mais passent facilement inaperçus. Ce n’est pas toujours une question de notes catastrophiques. Parfois, c’est plus subtil. Un élève brillant dans toutes les autres matières hésite, balbutie une addition élémentaire, commet des erreurs de “transposition” (6 devient 9, 12 devient 21…).

Voici quelques “drapeaux rouges” qui doivent vous alarmer :

- Votre enfant ne retient pas les tables malgré de multiples répétitions et méthodes variées (chansons, dessins…).
- Il compte encore sur ses doigts ou sur des supports concrets bien après l’âge du CE1/CE2.
- Il dit très vite “je n’y arriverai jamais”, ou évite systématiquement de participer lorsqu’il s’agit de calcul mental.
- Il fait des erreurs inversées (7x8 devient 8x7, mais la réponse n’est jamais ni l’une ni l’autre !).
- Il réussit en mathématiques appliquées (géométrie, manipulation), mais décroche dès que le calcul mental est en jeu.
- Un stress palpable envahit la maison la veille des contrôles de mathématiques. Autant d’indices révélateurs.

Mais attention ! Ce n’est pas chaque difficulté qui signifie forcément un trouble. Parfois, c’est juste une étape normale de l’apprentissage. Cependant, si après plusieurs semaines de répétition, les résultats ne progressent pas, il faut prendre le temps d’un bilan logopédique.

Le bilan détectera l’existence (ou non) d’un trouble spécifique. Il saura aussi orienter vers d’autres pistes si besoin (problème attentionnel, trouble anxieux, trouble du langage)...

La prévention précoce est essentielle. En maternelle, multiplier les jeux de manipulation : cuisiner, “jouer à la marchande”, construire des tours de cubes, dénombrer les voitures… Toutes ces activités préparent le cerveau à stocker (et organiser !) les fameux faits arithmétiques. Idem pour la lecture de petites histoires où le chiffre devient un compagnon de jeu (“Les Trois Petits Cochons”, vous voyez l’idée ?).

Au début du primaire, surveillez la fluidité (“Combien font 7 + 6 ?” sans poser la question “combien font 6 + 7”, mais en variant l’ordre). Si la réponse fuse immédiatement, bravo ! Sinon, mieux vaut s’en préoccuper… plus tôt on agit, moins la difficulté aura le temps d’installer ses racines profondes.

Dans certaines écoles, des tests rapides de calcul mental sont mis en place deux fois par an, afin d’identifier très tôt les élèves à risque. Si ce n’est pas le cas chez vous, la demande peut être portée par les parents : un dépistage n’est jamais inutile !

Parfois, c’est chez un adulte que le problème ressort, “en creux”. Un oubli systématique du code d’entrée, une incapacité à se souvenir des horaires, ou une angoisse face aux chiffres. Il n’est jamais trop tard pour s’en préoccuper.

Un dépistage préventif, cela vaut pour tout un chacun. Parce que la mémoire des faits arithmétiques, ce n’est pas qu’une affaire d’enfants…

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître les troubles de la mémoire des faits arithmétiques chez un enfant ?

Les signes les plus fréquents incluent des difficultés persistantes à retenir les tables, une dépendance aux doigts pour compter, des erreurs de calcul apparemment « inattendues » et une perte de confiance lors des activités de calcul mental ou en classe. Un bilan logopédique peut préciser si ces indices relèvent d’un trouble spécifique.

Pourquoi consulter un logopède pour des problèmes de calcul automatique ?

Un logopède offre une évaluation précise et objective de la mémoire arithmétique, puis propose des exercices ciblés et des méthodes personnalisées pour consolider les automatismes. Son expertise permet d’individualiser le parcours, afin que chaque enfant ou adulte retrouve confiance et efficacité dans ses calculs quotidiens.

Quand faut-il s’inquiéter et envisager un rendez-vous logopédique ?

Si malgré un accompagnement quotidien, la pratique intensive des tables, et l’utilisation de différents supports l’enfant ne progresse pas et demeure en grande difficulté, il est recommandé de consulter un professionnel. Plus tôt l’accompagnement démarre, plus il est facile de limiter l’impact sur la scolarité et la confiance en soi.

Faut-il choisir un bilan logopédique uniquement en cas d’échec scolaire ?

Non, un bilan logopédique peut aussi faire émerger la nature exacte des difficultés et permettre de les dépasser avant que l’échec ne soit installé. Il permet également de rassurer la famille et l’enseignant sur la marche à suivre, même en cas de trouble léger ou modéré.

En définitive, si la mémoire des faits arithmétiques vous empoisonne la vie ou celle d’un proche, quelque part en Belgique, sachez que de nombreux professionnels proposent aujourd’hui des accompagnements spécifiques, adaptés à chaque profil. L’essentiel ? Oser franchir le pas, sans honte. Les solutions existent, elles tiennent parfois dans un petit rendez-vous qui change tout…

Envie d’aller plus loin, de poser des questions ? Les portes de la logopédie restent ouvertes à toutes vos interrogations, à tout âge, à chaque étape du parcours scolaire ou professionnel.

Vivre mieux avec un cerveau qui a toujours détesté les chiffres, c’est possible.

Mots clés utilisés dans l’article : mémoire, faits arithmétiques, logopède, dyscalculie, bilan logopédique, calcul mental, trouble, automatisation, stratégie, attention

Références scientifiques :

Butterworth, B., Varma, S., & Laurillard, D. (2011). Dyscalculia: From brain to education. Science, 332(6033), 1049-1053. Article de synthèse sur les troubles arithmétiques et leurs bases cérébrales.

Geary, D.C. (2011). Cognitive predictors of achievement growth in mathematics: A five year longitudinal study. Developmental Psychology, 47(6), 1539-1552. Montre l’effet des différences de mémoire des faits arithmétiques sur toutes les matières mathématiques.

Desoete, A., & Grégoire, J. (2006). Numerical competence in young children and clinical assessment strategies. European Journal of Psychology of Education, 21(2), 117–134. Aborde le dépistage très précoce chez le jeune enfant, notamment en Belgique.

Kaufmann, L., Handl, P., & Thony, B. (2003). Evaluation of a numeracy intervention program focusing on basic numerical knowledge and concept formation in children with developmental dyscalculia. Educational Psychology, 23(3), 305-321. Présente les stratégies efficaces de remédiation logopédique.

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