Neuropsychologue - Mme Eléonore CLOSSET
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0472 26 62 63
Les oublis fréquents inquiètent de plus en plus d’adultes et de seniors, notamment à Liège et en Belgique, où la prise de conscience autour de la santé cognitive progresse rapidement. Faut-il s’alarmer à chaque trou de mémoire? Est-ce le reflet d’une simple fatigue passagère, ou le signal d’un trouble cognitif nécessitant l’expertise d’un neuropsychologue diplômé ? Distinguer le banal de l’anormal revêt alors toute son importance pour adapter la prise en charge à la réalité de chacun. Cet article offre un éclairage précis et scientifique sur la différence entre les oublis banals liés à la fatigue et ceux qui nécessitent l’attention d’un neuropsychologue. Nous répondrons ainsi à une question centrale pour de nombreux patients et familles aux alentours de Liège : quand l’oubli doit-il faire l’objet d’un bilan neuropsychologique complet ?
Oublier un rendez-vous, un mot, une course à faire, ou le prénom d’une connaissance arrive à tout le monde. Ces petits ratés quotidiens sont souvent bénins, surtout en période de surcharge mentale ou de stress. Pourtant, une partie des consultations neuropsychologiques en Belgique concerne la peur que ces oublis soient le signe précurseur d’une pathologie neurologique, type maladie d’Alzheimer, ou d’un trouble cognitif débutant.
L’oubli dit « bénin » est généralement lié à la fatigue, au stress ou à la distraction. Il ne traduit alors ni un trouble neurologique, ni une véritable atteinte de la mémoire. Ce phénomène normal est plus fréquent chez :
Dans ce contexte, la mémoire fonctionne mais est perturbée par des facteurs extérieurs, ce qui explique les oublis passagers. Rares et peu significatifs, ces troubles ne devraient pas susciter d’inquiétude majeure, surtout s’ils disparaissent lorsque la fatigue diminue.
L’oubli devient préoccupant lorsqu’il est fréquent, durable, évolutif et associé à d’autres symptômes cognitifs ou comportementaux. Il peut alors traduire :
Un bilan neuropsychologique s’impose alors, avec l’aide d’un professionnel qualifié aux alentours de Liège, pour trancher entre un oubli fonctionnel ou le début d’une pathologie.
La fatigue mentale engendre des perturbations temporaires du fonctionnement cérébral. Le cerveau, pour protéger ses ressources, relâche son niveau de vigilance et d’attention. Cette situation, classique en Belgique comme ailleurs, explique pourquoi l’on oublie plus facilement sous stress ou surcharge cognitive.
Lorsque le cerveau est épuisé, il privilégie le maintien des fonctions vitales au détriment du stockage et de la récupération d’informations secondaires. Ainsi, on mémorise moins bien les noms, les dates, les tâches, car l’attention n’est pas suffisamment mobilisée pour « encoder » ces éléments. Ce phénomène est temporaire et généralement réversible avec le repos.
La fatigue liée au déficit de sommeil ou à l’anxiété joue un rôle majeur dans la survenue d’oublis fréquents. L’état émotionnel altère également la capacité à mémoriser et à se concentrer. Au final, il existe une réelle différence entre :
Face à la fatigue ou au déséquilibre de vie (manque de sommeil, stress chronique), l’amélioration de l’hygiène de vie produit rapidement des effets sur la mémoire. Les stratégies suivantes sont recommandées :
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Afin de ne pas banaliser un signal d’alerte, certains signes invitent à demander un bilan neuropsychologique avec une spécialiste reconnue à Liège ou aux alentours de Liège. Voici les principales situations :
Dans ces cas, le professionnel va non seulement évaluer la mémoire mais aussi d’autres fonctions cognitives (langage, raisonnement, attention, planification…). Ce diagnostic précis permet d’orienter rapidement vers une prise en charge adaptée, en commençant si besoin par un dépistage des troubles neurocognitifs ou une prévention personnalisée.
Pour évaluer la nature d’un trouble de la mémoire, le neuropsychologue réalise un entretien approfondi et une batterie de tests. Le bilan neuropsychologique standard comprend généralement :
La durée d’un bilan varie selon le profil du patient et la complexité des difficultés. Aux alentours de Liège, il est recommandé de s’adresser à un professionnel formé spécifiquement en neuropsychologie adulte et senior pour assurer la qualité du diagnostic.
Un bilan neuropsychologique permet non seulement de prévenir les maladies neurodégénératives, mais aussi de détecter des troubles accessibles à la rééducation ou à un accompagnement personnalisé. Il rassure également de nombreux patients qui découvrent que leurs oublis sont normaux, sans gravité particulière.
Grâce à son expertise, la neuropsychologue analyse finement les domaines les plus touchés. Peut-il s’agir de :
Une orientation médicale complémentaire (neurologue, gériatre, psychiatre) peut parfois être nécessaire, notamment en Belgique chez les patients polypathologiques ou âgés.
Avec l’âge, la mémoire évolue naturellement. Chez la plupart des séniors, les oublis concernent principalement :
Ce processus naturel, appelé « déclin cognitif léger », ne nécessite généralement pas d’inquiétude s’il n’est pas accompagné d’autres troubles. Si en revanche les difficultés progressent ou altèrent l’autonomie, il est conseillé de consulter un spécialiste à Liège ou aux alentours de Liège pour faire un bilan approfondi.
Face aux troubles de la mémoire d’origine pathologique, une prise en charge cognitive, parfois appelée « remédiation », peut être proposée par un neuropsychologue diplômé. L’objectif : ralentir l’évolution, développer des stratégies de compensation ou d’adaptation, et accompagner la famille dans le maintien de la qualité de vie. Les séances se déroulent souvent en cabinet, parfois à domicile, en lien avec le médecin traitant.
Pour aller plus loin sur la compréhension et l'accompagnement des troubles de la mémoire adulte, découvrez l'article consacré à l’amnésie chez l’adulte sur le site d’Esneux Médical.
Certains facteurs de risque méritent une vigilance accrue :
Dans ces situations spécifiques, un bilan neuropsychologique régulier s’avère pertinent, même en l’absence de troubles manifestes.
Face à un oubli, se poser les bonnes questions :
En cas de doute, ne pas hésiter à contacter un professionnel pour faire le point. L’évaluation permet de faire la différence entre un oubli bénin et un syndrome à surveiller. La consultation peut aussi rassurer et conseiller des stratégies pour limiter ces petits « trous de mémoire » du quotidien.
Adopter une bonne hygiène de vie contribue à préserver la mémoire et à limiter la survenue d’oublis gênants :
Les actions en amont, facilitées par le suivi d’un neuropsychologue, permettent de rester autonome plus longtemps, que l’on vive à Liège, aux alentours de Liège ou n’importe où en Belgique. Pour aller plus loin sur les troubles de l’attention, découvrez cet article dédié à la distraction et aux oublis chez les jeunes !
Faire la distinction entre oublis bénins, liés à la fatigue ou à une période stressante, et signes de trouble cognitif débutant n’est pas toujours simple. Grâce à l’expertise d’une neuropsychologue spécialisée en Belgique, l’analyse est aujourd’hui fine, personnalisée et accessible à Liège comme aux alentours de Liège. Si vos oublis deviennent fréquents, vous inquiètent ou inquiètent votre entourage, n’attendez pas pour demander un diagnostic ou des conseils. Mieux vaut un examen rassurant qu’un retard dans la prise en charge !
Un oubli passager lié à la fatigue s’améliore généralement avec le repos et ne bouleverse pas la vie quotidienne. Si l’oubli est fréquent, progressif ou entrave l’autonomie, il vaut mieux consulter un neuropsychologue pour un bilan.
La fatigue limite l’attention et les ressources du cerveau, ce qui affecte la capacité à mémoriser et à récupérer l’information. Des périodes de stress, de manque de sommeil ou de surcharge mentale peuvent provoquer ces « blancs ».
Il est recommandé d’envisager un bilan neuropsychologique en cas d’oubli récurrent, inhabituel ou évolutif, ou si des troubles associés apparaissent (désorientation, difficultés de langage…). Un doute sur l’autonomie ou la sécurité doit aussi alerter.
Non, la plupart des petits oublis sont normaux avec l’âge. En cas d’aggravation, de troubles associés ou d’impact sur l’autonomie, un avis neuropsychologique est préférable pour éliminer une pathologie débutante.
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