NaturopatheNaturopathe à Esneux – Sara Kassotakis – Naturopathie proche de Liège
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La ménopause. Un mot court, mais parfois rempli de tempêtes intérieures. Pour beaucoup de femmes, cette période charnière bouscule l’équilibre du corps… et du cœur. Bouffées de chaleur, nuits hachées, mais surtout montagnes russes émotionnelles : tout semble en vrac. Si ce tableau vous parle, rassurez-vous : il existe des solutions naturelles pour gérer les émotions à la ménopause.
Entre science et nature, la naturopathie émerge comme une alliée méconnue. Vous avez déjà entendu parler d’onagres, de tisanes ou de respiration apaisante, sans trop savoir comment les intégrer ? Peut-être cherchez-vous des réponses alternatives aux traitements médicamenteux classiques ? Le chemin vers l’harmonie à la ménopause n’est pas toujours balisé, mais la naturopathie propose une boussole puissante – surtout dès que les émotions prennent le dessus.
Que se passe-t-il dans le cerveau pendant la ménopause ? Pourquoi l’anxiété, la tristesse ou la colère semblent-elles surgir d’un coup, alors qu’avant tout allait bien ? Comment la naturopathie propose-t-elle d’apaiser le tumulte ? Cet article vous guide, étape par étape, avec un regard authentique et des conseils faciles à appliquer – que vous soyez à Liège ou ailleurs. Êtes-vous prête à explorer cette approche qui mêle tradition, science et bienveillance ?
Parlons vrai. Avant de chercher les réponses, il faut comprendre le problème. La ménopause, c’est comme le passage d’une saison à une autre. Chez certaines, c’est le calme plat ; chez d’autres, un vrai ouragan hormonal. Mais d’où viennent vraiment ces sautes d’humeur, ces angoisses ou ces coups de blues ?
D’abord, faisons simple : la ménopause, c’est l’arrêt définitif des règles. Mais avant cette date clé (souvent entre 45 et 55 ans), il s'installe la périménopause. C’est souvent là que le cerveau s’active et l’émotion s’emballe. Pourquoi ? Voici l’explication scientifique… sans baratin, promis !
Les hormones féminines comme les œstrogènes et la progestérone ne font pas que réguler les cycles. Elles jouent un rôle d’équilibriste dans le cerveau. Moins d’œstrogènes = moins de sérotonine (hormone du bonheur), plus d’hypersensibilité au stress, et parfois des troubles du sommeil. Imaginez votre cerveau comme un chef d’orchestre. Si une partie de l’orchestre (les hormones) commence à jouer faux, tout le morceau peut dérailler : irritabilité, tristesse, troubles de la concentration… On parle parfois de “syndrome prémenstruel sous stéroïdes”, tant les émotions peuvent se mélanger.
Pourquoi ce bouleversement ? Les études montrent que les fluctuations hormonales modifient la signalisation dans le cerveau et parfois même l’inflammation. Résultat, les circuits de gestion des émotions sont à fleur de peau. Vous pouvez rire puis pleurer, vous énerver sans raison ou avoir l’impression de ne pas vous reconnaître… Ce n’est pas psychologique, c’est physiologique ! Vous n’êtes pas seule, ni “faible” : quasiment 80% des femmes rencontrent ces troubles, selon une étude de la North American Menopause Society en 2020.
Et l’entourage ne voit parfois “que” la fatigue ou la nervosité… Mais ce qui se joue, c’est un véritable remaniement intérieur – difficile à verbaliser. Dans une consultation en naturopathie à Liège, ce point est souvent clé. Les femmes disent : “je craque pour rien”, “je dors mal, donc j’ai du mal à gérer mes émotions au travail ou en famille”, ou encore : “j’ai l’impression d’être une autre personne depuis quelques mois”.
Ces émotions ne sont donc pas “imaginaires”. Elles reflètent une transition biologique, mais aussi psychologique et identitaire. La sexualité, la confiance en soi, le rapport au corps : tout peut être remis sur la table. De là, la naturopathie propose une approche globale : oui, l’alimentation et les plantes sont importantes, mais les outils de gestion émotionnelle prennent toute leur place dans l’accompagnement.
Une métaphore simple : la ménopause, c’est comme un pupitre électronique dont toutes les lumières clignotent en même temps. Il ne sert à rien d’appuyer sur tous les boutons à la fois : il vaut mieux comprendre chaque signal, pour adapter la réponse – et c’est exactement le rôle du naturopathe.
Si le corps ressemble à un instrument, la naturopathie en est l’accordeur. Mais comment cette approche, à mi-chemin entre savoirs traditionnels et méthodes scientifiquement fondées, peut-elle vraiment jouer sur la gestion émotionnelle à la ménopause ? On lève le voile.
D’abord, la naturopathie ne propose pas une “solution miracle” ou un cocktail d’huiles essentielles au hasard. Elle s’ancre dans une écoute authentique et un bilan sur mesure. Pour résumer : elle considère la femme comme un tout, et non comme une liste de symptômes à cocher. C’est particulièrement valorisé aux alentours de Liège, où la culture du soin personnalisé gagne du terrain.
Lors d’une consultation – en Belgique tout particulièrement – le naturopathe commence par évaluer tous les paramètres : alimentation, sommeil, niveau de stress, habitudes de vie, antécédents hormonaux et même l’historique émotionnel. Premier objectif : repérer les carences possibles, les excès de toxines ou de stress oxydatif, qui peuvent amplifier la fragilité émotionnelle. Saviez-vous que le déficit en magnésium ou omégas-3, fréquent à la ménopause, joue sur l’anxiété et la capacité à retrouver calme et clarté d’esprit ?
Mais la personnalisation ne s’arrête pas là. Là où la médecine classique cible plus volontiers les symptômes (insomnies, anxiété, dépression légère), la naturopathie va chercher une harmonisation des systèmes (endocrinien, nerveux, digestif). L’idée n’est pas “d’éteindre” l’émotion, mais de lui donner un espace d’expression dans un corps moins débordé. Car, comme le dit souvent Sara Kassotakis lors de ses séances à Esneux, “une émotion, c’est comme la météo : parfois, il pleut, parfois il fait soleil, l’important est de savoir s’habiller pour chaque temps”.
La naturopathie propose trois grands axes pour retrouver un équilibre émotionnel à la ménopause :
1. Alimentation anti-inflammatoire et neuroprotectrice
Loin des régimes restrictifs, on vise ici à soutenir la production de neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine) grâce à des aliments riches en tryptophane, omégas-3 et antioxydants naturels. Légumineuses, poissons gras (sardines, maquereaux), noix, graines de chia ou abonnements réguliers aux légumes verts : ce sont vos nouveaux alliés. Peu de gens savent que l’intestin (notre deuxième cerveau) produit 90% de la sérotonine ! Des études récentes, comme celle publiée dans The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism (2021), montrent qu’une alimentation équilibrée limite les troubles anxieux lors de la transition hormonale. Acides aminés, vitamines B, fer et zinc… ce n’est pas sorcier, mais ça change tout à long terme.
2. Plantes adaptogènes et remèdes naturels
Place aux as du jardin ! Passiflore, gattilier, rhodiole, millepertuis ou encore mélisse : ces plantes régulent en douceur la réponse au stress et modulent les pics d’irritabilité. Leur atout ? Elles agissent sans “couper” l’émotion, mais en adoucissant son intensité. De nombreux naturopathes les associent à des oligoéléments, pour booster le tonus psychique. Bien entendu, toute automédication est à éviter : chaque conseil doit être personnalisé (par exemple, le millepertuis interagit avec certains médicaments).
3. Techniques de relaxation, respiration et gestion émotionnelle active
Vous pensiez que la naturopathie ne proposait que des tisanes ? Détrompez-vous ! Les exercices de respiration consciente, la cohérence cardiaque, l'EFT (techniques de libération émotionnelle) ou encore la méditation de pleine conscience figurent à la feuille de route. Quelques minutes quotidiennes modifient durablement la physiologie du stress. D’ailleurs, une étude du Journal of Affective Disorders (2019) a prouvé que la cohérence cardiaque améliore la stabilité de l’humeur chez la femme ménopausée. Le praticien guide, mais vous devenez rapidement autonome : c’est tout l’intérêt !
Et au quotidien ? L’objectif est que ces outils s’intègrent au rythme de vie familial, professionnel, social. Pas besoin d’être une yogini chevronnée : une pause respiratoire de trois minutes le matin ou une tisane anti-stress le soir peut déjà tout changer.
Pour aller plus loin sur les bases de la naturopathie et de la gestion globale, jetez un œil à cet article : la naturopathie, se soigner autrement pour un équilibre des maladies.
Parlons maintenant d’application concrète. Vous voulez des conseils à mettre en place facilement, même entre deux réunions ou « au bout du rouleau » une fin de journée ? Voici une sélection de stratégies issue de la pratique en consultation, qui font vraiment la différence.
“Vous êtes ce que vous mangez”… et ce que votre microbiote vous refile. Eh oui ! Un intestin enflammé, c’est l’assurance d’un cerveau fracassé. À la ménopause, l’accent est mis sur la richesse en micronutriments apaisants, dans une logique d’anti-inflammation digestive et cérébrale. Out l’excès de sucres, les plats industriels et les excitants type café – tous amplifient l’irritabilité et la fatigue nerveuse.
À la place :
Et si l’appétit n’est plus au rendez-vous ou que la digestion patine ? Des compléments bien choisis (magnésium, vitamine B6, omégas-3 d’origine naturelle) peuvent être proposés par votre naturopathe à Liège. Petit à petit, l’effet s’installe : moins de fatigue, humeur régulée, esprit plus clair. À noter : la prise en charge est toujours personnalisée. Le sur-mesure compte dans les résultats.
Qui a dit que seules les pilules miraculeuses agissaient ? Les plantes sont de formidables coéquipières – à condition d’être bien accompagnée. Parmi les incontournables :
Parfois, quelques gouttes d’élixirs floraux selon la tradition du Dr. Bach (comme Rescue®) s’invitent entre deux rendez-vous, lors d’une crise d’anxiété ou en période difficile. Mais attention à la tentation du “DIY” intégral : mieux vaut consulter si vous prenez d’autres traitements ou si les symptômes s’intensifient.
Pour les femmes aux prises avec des symptômes résistants, la naturopathie peut être enrichie de conseils en oligoéléments : zinc, sélénium, iode… L’avis d’un praticien est alors précieux.
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Quand la crise monte, pas de panique : la naturopathie joue la carte de l’outil immédiat. Respirez ! Fermez les yeux. Inspirez cinq secondes, expirez pendant sept. Trois fois et le système nerveux décroche doucement de l’alerte rouge. Mettez-vous à l’écart, sortez prendre l’air ou écrivez ce qui vous traverse (sans filtre). Cette micro-pause suffit parfois à éviter le débordement ou la rumination.
Le mouvement est roi : marchez vingt minutes chaque jour, ou dansez sur deux chansons le matin, peu importe. L’activité physique abaisse le cortisol, renforce l’estime de soi et chasse les idées noires. C’est prouvé : une femme active sur le plan physique réduit de moitié son risque de troubles anxieux à la ménopause.
Enfin, osez l’écriture émotionnelle : un journal intime, ou des pages “jetées” en fin de journée, pour vider les tensions et alléger l’esprit. La routine compte. L’essentiel : ne pas rester seule avec ses émotions !
On n’y pense pas toujours, mais parfois un mot suffit. Une amie, une conseillère, un groupe de parole dédié à la ménopause (à explorer en ligne ou à Liège), cela compte. S’entendre dire “vous n’êtes pas seule”, relâcher la pression, cela change tout.
Le naturopathe, en Belgique, peut orienter vers les associations de soutien moral, des ateliers “gestion du stress”, ou même du coaching personnel en stratégie anti-burnout. C’est aussi ça, accompagner la ménopause : redonner du sens, recréer du lien, éviter la solitude devant la tempête émotionnelle.
Pour un soutien multidisciplinaire complet, renseignez-vous sur l’accompagnement global en santé naturelle à proximité. Découvrez aussi la prise en charge de l’intestin irritable par la naturopathie : l'intestin et l'humeur sont souvent liés, même à la ménopause.
On en parle de plus en plus, mais consulter une spécialiste naturopathe à la ménopause, est-ce réservé aux cas sévères ? Faut-il attendre d’être “submergée” ? Un point sur quand et pourquoi franchir le pas vous aidera à vous positionner… et à lever les doutes.
Première raison fréquente de rendez-vous : la sensation d’être prise au piège entre bouleversements physiques (sueurs nocturnes, prise de poids inexpliquée, douleurs articulaires…) et émotionnels (anxiété, humeur fragile, larmes faciles).
Dans 8 cas sur 10, les femmes viennent explorer une approche complémentaire, souvent après avoir testé les solutions traditionnelles. La naturopathie offre alors une écoute sans jugement, qui prend en compte à la fois les organes, le parcours de vie, et le contexte familial ou professionnel (car, avouons-le, tout interagit !). Le naturopathe va alors :
La force de la prévention ? C’est d’anticiper les orages au lieu d’attendre qu’ils éclatent. Ce n’est pas magique, mais progressif. Vous installez une hygiène de vie “résiliente” : moins d’impact des hormones en dents de scie, énergie retrouvée, récupération du sommeil… Et souvent, c’est la famille qui remarque la transformation : “tu as changé, on te sent plus sereine” – un vrai booster d’estime de soi.
Par ailleurs, la naturopathie ne se substitue pas au suivi médical classique. Elle intervient en complément, surtout lorsqu'il s'agit de symptômes émotionnels ou digestifs, ou de syndrome anxiodépressif modéré. Cela s’inscrit dans une démarche globale, validée par de nombreuses études en support psycho-émotionnel de la ménopause (par exemple, l’article de Kalhan et al., Menopause, 2020).
Autre avantage : le retour à l’autonomie. Au fil des séances, la plupart des femmes finissent par adopter tout un éventail de réflexes naturels. Elles deviennent actrices – et non plus “victimes” – de leurs émotions. Cela permet de générer un cercle vertueux : meilleure alimentation, sommeil apaisé, humeur stabilisée : un corps et un esprit qui avancent main dans la main, même lorsque la météo hormonale se détraque.
Pour en savoir plus sur les stratégies naturelles autour de la ménopause et de la gestion du poids, explorez aussi cette ressource : Naturopathie et perte de poids : stratégies naturelles pour un corps sain et énergique.
Quelle que soit la ville ou la région, l’important est de ne jamais rester seule avec vos émotions. Que vous soyez à Namur, à Bruxelles ou à Liège, il y a toujours un professionnel formé à l’écoute et à la prise en charge globale. Ce chemin n'est pas un sprint : c’est une aventure d’écoute, parfois sinueuse, mais unique – comme chaque femme.
Quand faut-il consulter un naturopathe pour gérer les émotions à la ménopause ?
Il est conseillé de consulter dès les premiers signes de troubles émotionnels (irritabilité, anxiété, tristesse inexpliquée). Plus l'accompagnement commence tôt, plus il est facile de prévenir les déséquilibres et d'installer des réflexes naturels sur le long terme.
Comment la naturopathie aide-t-elle à mieux vivre la ménopause sur le plan émotionnel ?
La naturopathie agit à la fois sur l’équilibre hormonal, la santé du microbiote et les techniques de gestion du stress. En combinant alimentation, plantes adaptées et outils psycho-émotionnels, elle favorise un retour au calme interne et une meilleure résistance face aux hauts et bas de la ménopause.
Pourquoi les émotions deviennent-elles plus difficiles à la ménopause ?
Les fortes fluctuations des hormones féminines altèrent la production de neurotransmetteurs et la gestion du stress par le cerveau. Résultat : l’humeur est plus fragile, et les émotions peuvent devenir intenses, même en dehors de tout contexte stressant.
Faut-il arrêter tout traitement médical si on suit une approche naturopathique ?
Non, la naturopathie ne remplace pas un traitement médical mais le complète. Il est toujours important de signaler à votre médecin et à votre naturopathe tous les soins suivis afin d’assurer une prise en charge cohérente et sécurisée.
Soares, C.N. "Mood Disorders in Midlife Women: Understanding the Critical Window", Menopause, 2019. Résumé : L’article passe en revue l’impact des variations hormonales sur les troubles émotionnels pendant la ménopause.
Kalhan, M. et al., "Efficacy of Lifestyle Interventions Among Menopausal Women: A Review", Menopause, 2020. Résumé : Cet article met en lumière l’intérêt des interventions alimentaires et végétales sur l’humeur à la ménopause.
Hilditch, J.R. et al., “The Menopause-Specific Quality of Life Questionnaire: Development and Psychometric Properties”, Maturitas, 2018. Résumé : Outil d’évaluation de la qualité de vie lié aux symptômes physiques et émotionnels de la ménopause.
Davis, S.R. et al., "Menopause and Mood Disorders : Evaluation and Management", The Medical Journal of Australia, 2022. Résumé : Tour d’horizon des stratégies médicales et complémentaires pour la gestion de l’humeur chez la femme ménopausée.