AcupunctureAcupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81
Les migraines menstruelles, c’est un casse-tête au sens propre. Si comme beaucoup d’autres femmes, vous vous retrouvez clouée au lit tous les mois, bouffée par la douleur qui tape dans vos tempes, vous cherchez sans doute à comprendre ce qui se trame derrière. Un mystère hormonal, ou une fatalité génétique ? La réalité, c’est souvent un peu les deux, et un peu plus encore.
Techniquement, qu’est-ce qui se passe ? À certains moments du cycle, votre taux d’œstrogènes fait le yoyo. Avant les règles, il baisse brutalement, comme une marée qui se retire sans prévenir. Ce plongeon hormonal peut déclencher une tempête dans le cerveau : les vaisseaux sanguins réagissent au quart de tour, se contractent puis se dilatent. Résultat : inflammation et douleur cuisante. D’ailleurs, c’est bien connu : les migraines apparaissent le plus souvent dans les deux jours qui précèdent les règles ou au tout début des saignements.
Il y a aussi tout l’environnement qui joue. Le stress, les mauvaises nuits (oui, encore), une vie à 100 à l’heure... Et plus sournois encore : certaines femmes n’ont rien, et soudain, à 35 ou 40 ans, le phénomène démarre. La faute ? Parfois à la pré-ménopause, où les cycles hormonaux deviennent imprévisibles. Ou à une pilule arrêtée, un stérilet posé, la fatigue chronique… Votre corps, c’est une horloge. Mais parfois l’aiguille saute une minute et c’est la migraine qui gagne.
Sur le plan clinique, une migraine menstruelle – aussi appelée “migraine cataméniale” – n’est pas “juste” un mal de tête. C’est un orage qui monte dans la nuque, irradie, pulse, et s’accompagne parfois de nausées, de trouble de la vue, voire de sensibilité à la lumière. Et ces symptômes sont souvent plus intenses et plus résistants aux médicaments classiques que les autres migraines. Frustrant, non ?
En Belgique, plusieurs études mettent en lumière que plus de 60 % des femmes migraineuses déclarent une nette aggravation autour des menstruations. À Liège et dans toute la région, les spécialistes voient affluer chaque semaine des patientes qui cherchent des solutions pour briser ce cercle infernal. Et parfois, il suffit d’un détail – une variation de stress, une mauvaise nuit, un excès de sucre – pour tout allumer.
Mais soyons honnêtes. Pourquoi une migraine survenant au moment des règles devrait-elle être une fatalité féminine ? Les hormones ne sont pas seules responsables. Le foie, la circulation sanguine, l’équilibre du système nerveux, jouent aussi un rôle. Selon la médecine traditionnelle chinoise, là où la médecine occidentale voit “hormones”, elle voit “Qi” bloqué, ou chaleur en excès, ou stagnation. Les deux approches se complètent et ouvrent la porte à de nouveaux espoirs.
La vie moderne n’aide pas. Lumières bleues, stress des écrans, bruit, polluants, charge mentale… Tous ces “détails” amplifient la susceptibilité de notre cerveau à voir la migraine débarquer chaque mois. Les femmes qui vivent cette réalité se reconnaîtront. Et vous le savez : les antalgiques ne font que masquer le bruit de fond.
Un dernier point, souvent négligé : la génétique. Si votre mère ou votre grand-mère se plaignait déjà de migraines à chaque cycle, il y a fort à parier que la prédisposition court dans la famille. Mais ce n’est pas une condamnation. Ce capital génétique peut s’atténuer : hygiène de vie, gestion du stress, alimentation adaptée jouent un rôle non négligeable.
En résumé ? Les migraines menstruelles sont la conséquence d’un cocktail hormonal explosif, exacerbé par le mode de vie et l’hérédité. Mais rien n’est irréversible. De nombreuses patientes dans les environs de Liège apprennent à reconnaître les signes avant-coureurs et à adopter des stratégies pour réduire la fréquence et l’intensité des crises.
Si vous souhaitez découvrir des solutions alternatives pour soulager ces douleurs périodiques, pourquoi ne pas explorer l’acupuncture, une pratique plébiscitée depuis des millénaires ? Retrouvez notre article dédié aux douleurs menstruelles ici pour approfondir !
L’acupuncture, cela intrigue et ça fait parler. Certains l’associent à un effet placebo, d’autres jurent qu’elle a changé leur vie. Mais qu’en disent véritablement les études modernes ? Et surtout, pourquoi l’acupuncture intéresse-t-elle tant de femmes aux alentours de Liège pour soulager leurs migraines de règles ?
Pour comprendre, il faut s’éloigner quelques instants de la médecine occidentale classique. Imaginez votre corps comme un réseau électrique, la migraine comme une surtension. L’acupuncteur, c’est un technicien qui intervient directement sur le circuit pour rétablir l’équilibre des flux.
D’un point de vue biomédical, de plus en plus de recherches montrent que les aiguilles agissent comme de puissants modulateurs neurologiques. Leur insertion très précise dans des zones spécifiques de la peau entraîne la libération d’endorphines, de sérotonine et d’autres neurotransmetteurs. Résultat : diminution de la perception de la douleur, régulation du système nerveux autonome, et surtout, effet anti-inflammatoire local et global.
Mais ce n’est pas tout. Une des particularités de l’acupuncture, c’est sa capacité à “dialoguer” avec le système endocrinien. Chez la femme, les cycles hormonaux sont finement régulés par des signaux neurologiques venus de l’hypothalamus et de l’hypophyse. Des études récentes montrent que l’acupuncture modifie l’activité de ces régions du cerveau, avec à la clé une meilleure gestion de la chute d’œstrogènes si typique du syndrome prémenstruel et de la migraine périodique.
Du côté de la médecine traditionnelle chinoise, la migraine menstruelle est analysée à travers le prisme du Qi (énergie vitale) et du sang. Pour simplifier, lorsqu’il y a “blocage” du Qi dans le foie – organe étroitement lié aux hormones féminines dans cette vision – la douleur s’installe, souvent unilatérale, pulsatile, avec parfois des sensations de chaleur ou des troubles visuels.
La séance d’acupuncture va donc chercher à relancer cette circulation, à “dégripper” le réseau. L’acupunctrice recherche les points “clés” : ceux du foie, du rein, du méridien du vaisseau conception… Mais aussi des points locaux près du crâne, du cou, parfois au poignet ou à la cheville. Un patient témoigne : “Je trouvais cela farfelu. Mais quand au bout de trois séances, mes migraines ont diminué de moitié, j’ai revu ma position. Et surtout, je dors mieux, ce que je n’attendais pas !”.
La durée des effets n’est pas magique : il faut souvent plusieurs séances pour créer un véritable “ancrage” métabolique et neuronal. On peut comparer cela à des séances de kiné pour un dos fragile : plus on travaille en amont, mieux on tient le choc en période critique. Découvrez plus sur les indications de l’acupuncture pour les migraines.
Ce qui est passionnant : l’acupuncture n’est jamais une solution “unique”. Elle s’inscrit dans un programme plus large d’hygiène de vie. Dans la pratique, on associe souvent la stimulation de points précis, la correction posturale, et même parfois des conseils sur l’alimentation (éviter trop de laitages juste avant les règles, par exemple, ou favoriser certains fruits et légumes “rafraîchissants”). L’acupuncture devient ainsi le chef d’orchestre du bien-être global durant la période menstruelle.
Il serait faux de penser qu’une simple aiguille suffit à annuler des années de déséquilibre hormonal. Mais petit à petit, le terrain s’améliore : meilleure gestion du stress, sommeil régulé, diminution des médications d’urgence. À Esneux et même à Liège, de plus en plus de femmes témoignent d’une réduction de la fréquence et de l’intensité de leurs migraines après un parcours de soins par acupuncture. Cela vous semble surprenant ? Parfois, il faut oser tester pour y croire.
Et côté sécurité ? L’acupuncture, pratiquée par une professionnelle formée, est extrêmement sûre et indolore. Les risques d’effets secondaires sont extrêmement rares, bien moindres que nombre de traitements allopathiques traditionnels. Les règles d’hygiène sont strictes et les aiguilles sont à usage unique. Si l’idée d’aiguilles vous inquiète, la sensation est souvent comparée à une petite pression ou à une légère picotement, rien de plus.
L’acupuncture pour la migraine menstruelle n’est pas une lubie. C’est une pratique reconnue par l’OMS, intégrée dans de nombreux protocoles de suivi gynécologique, et suffisamment flexible pour s’adapter à chaque patiente, à chaque cycle, à chaque histoire. Une solution pleine de nuances, à découvrir sans à-priori.
Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège
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La première fois, c’est toujours un mélange de curiosité et de scepticisme. Vous poussez la porte du cabinet, parfois aux alentours de Liège, avec le fol espoir que… cette fois, ce sera différent. Accueillant, l’endroit est plus zen que médical. On vous écoute, on prend le temps. Justement, il faut du temps pour bien comprendre chaque patiente, sa façon de vivre le cycle, ses symptômes, son quotidien. C’est ici que tout commence.
Le bilan dure 30 à 45 minutes lors de la première visite. On vous pose beaucoup de questions : “À quel moment de votre cycle la migraine démarre-t-elle ?”, “Avez-vous d’autres signes : vertiges, douleurs digestives, troubles du sommeil… ?”. On ne dissocie jamais une migraine de son contexte global. Pourquoi ? Parce que le corps fonctionne comme un tout. Chez Katty Lhermitte, par exemple, chaque détail compte. Parlez-lui de vos habitudes, de vos peurs, de vos essais passés.
Ensuite, allongée confortablement, le praticien choisit les points adaptés à votre profil. Parfois, vous sentez une zone qui chauffe ou picote un instant, avant que ne s’installe une sensation de détente profonde. Souvent, la plupart des patientes avouent repartir “vidées, mais bien”, comme si on avait enfin abaissé le volume interne.
Une séance type pour la migraine hormonale inclut : des points locaux en regard du méridien de la vésicule biliaire (sur les tempes, derrière l’oreille), parfois deux ou trois sur le pied (pour “purger” le foie, en langage oriental), et certains dans le bas du ventre pour relancer l’énergie. L’expérience est étonnante. On ne sent pas toujours grand-chose au niveau local, puis, petit à petit, la détente se diffuse dans tout le haut, jusqu’aux épaules. Plusieurs patientes témoignent : la migraine ne disparaît pas en un claquement de doigts, mais elle devient d’abord moins “bruyante”, puis moins fréquente, le corps reprend de la souplesse.
Les effets obtenus ? Parfois spectaculaires, parfois progressifs. Nombre de patientes rapportent une baisse d’intensité dès 2 à 3 séances ; pour d’autres, il faut 6 à 8 consultations espacées sur deux à trois cycles pour installer la régulation hormonale en profondeur. Il n’est pas rare que l’acupuncture améliore aussi le sommeil de façon inattendue. Pour en savoir plus sur la synergie entre acupuncture et sommeil, consultez cet article sur la qualité de sommeil grâce à l’acupuncture.
Un point rassurant : il n’existe pas de dépendance à l’acupuncture. Au contraire, l’objectif est de rendre la patiente autonome, en la sensibilisant sur les signes précoces, la relaxation, les mesures alimentaires complémentaires. Quelques exercices de respiration, des conseils simples (éviter certains excitants avant les règles !), font souvent partie du “package”.
Et après une séance ? Nul besoin de rester alitée. La majorité se sentent en forme, parfois même avec une sensation de “légèreté” cérébrale. Il est conseillé d’éviter les efforts violents et de boire beaucoup d’eau pour mieux “drainer” le corps. Pour garder trace de vos progrès, la spécialiste vous encourage à tenir un agenda de vos symptômes. Prendre conscience de son corps, c’est déjà réduire l’impact de la douleur.
L’acupuncture ne se cantonne donc pas à piquer : il s’agit de reconstruire un terrain, un équilibre. Pour beaucoup, c’est le début d’une démarche plus globale, vers le mieux-vivre féminin, la prévention, et parfois une redécouverte de soi. C’est ainsi qu’en Belgique, un nombre croissant de femmes se tournent vers cette alternative naturelle, non seulement pour soulager leurs migraines, mais pour réapprendre à écouter leur corps, à prendre soin de leur équilibre hormonal mois après mois.
Si vous hésitez encore, vous pouvez lire de nombreux témoignages et conseils sur les pages spécialisées du site spécialisé en acupuncture et vous rapprocher d’un professionnel formé aux douleurs menstruelles.
Vous vous demandez : “Est-ce que c’est pour moi ? Et si mes migraines sont trop anciennes, trop sévères ?” La bonne nouvelle, c’est que l’acupuncture s’adresse à presque toutes les femmes, dès l’adolescence, et ce, quel que soit l’ancienneté ou l’intensité des symptômes. En particulier si vous avez déjà tout essayé – médicaments, hormones, compléments – sans résultat… ou avec des effets secondaires pénibles. Voilà l’opportunité de sortir des sentiers battus.
Dans la pratique, l’acupuncture convient aussi bien à celle qui a des crises isolées, qu’à celle qui souffre d’un “orage” à chaque cycle, chaque mois. La prise en charge est personnalisée : votre “terrain” compte bien plus que le diagnostic formel. On étudie la nature de la migraine (plutôt pulsatile ? envolées de nausée ? fatigue associée ?), l’impact sur la vie quotidienne, vos antécédents médicaux et vos attentes.
Quelques cas typiques :
Chacune de ces personnes pourra bénéficier d’un protocole d’acupuncture adapté. Souvent, l’acupuncteur propose un “forfait” de 5 à 7 séances, avec réévaluation régulière. Le but est de réduire la fréquence des crises, puis leur sévérité, et idéalement d’installer une rémission douce sur le long terme. Cela arrive dans de nombreux cas : les cycles deviennent moins chaotiques, le cerveau moins “cascadeur”.
L’acupuncture est également intéressante en complémentarité avec d’autres conseils de prévention : gestion du stress (même les micro-méditations de quelques minutes !), exercices physiques doux, suivi des cycles, alimentation. D’ailleurs, les patientes parlant d’acupuncture notent souvent un gain de sérénité et une meilleure énergie. Cela va bien au-delà de la migraine. Prenez l’exemple d’une femme active qui, après plusieurs séances, reprend goût à la marche ou au yoga… effet domino positif garanti.
En prévention ou au moment des premières sensations, il n’y a pas de mauvais moment pour démarrer. Idéalement, on commence entre deux cycles, afin de préparer le corps à la prochaine “épreuve” hormonale. Mais même en pleine crise, l’acupuncture aide à abaisser le seuil de douleur et à favoriser la récupération.
Les avantages concrets :
À force, l’acupuncture agit comme un jardinage. On désherbe petit à petit. On cultive un nouveau terrain. Un terrain moins accueillant pour la migraine.
Envie d’aller plus loin dans la compréhension intime de l’acupuncture ? Découvrez ici les autres indications où l’acupuncture fait la différence, même sur les douleurs résistantes.
Et parce que la migraine n’arrive jamais “toute seule”, si vous souffrez aussi d’autres déséquilibres : fatigue chronique, troubles du sommeil, anxiété, ventre douloureux, cet article spécialisé guide pour retrouver naturellement l’harmonie du corps et de l’esprit grâce à l’acupuncture.
Comment repérer si ma migraine est vraiment hormonale ou non ?
Les migraines hormonales surviennent souvent quelques jours avant ou pendant les règles et s’accompagnent parfois d’autres symptômes du cycle : fatigue, sautes d’humeur, ou douleurs pelviennes. Si vos maux de tête suivent ce schéma régulièrement, il est probable qu’ils soient liés à vos fluctuations hormonales, et une consultation chez un spécialiste est recommandée.
Pourquoi l’acupuncture fonctionne-t-elle mieux pour certaines femmes que pour d’autres ?
L’efficacité de l’acupuncture dépend de la réactivité de chaque organisme, de l’ancienneté des troubles et de l’hygiène de vie globale. En personnalisant les séances selon votre terrain et votre histoire, votre acupunctrice maximise vos chances d’obtenir un soulagement durable et profond.
Quand commencer à consulter pour des migraines du cycle ?
Dès que les migraines deviennent récurrentes ou qu’elles empêchent de mener une vie normale, il est judicieux de consulter. Plus la prise en charge est précoce, plus l’équilibre hormonal peut être restauré, limitant la chronicisation des migraines.
Faut-il arrêter les médicaments si on commence l’acupuncture ?
Non, il n’est jamais conseillé d’interrompre un traitement médicamenteux sans avis médical. L’acupuncture se combine souvent aux traitements classiques dans un premier temps, puis permet parfois de diminuer les doses progressivement sous contrôle médical.
MacGregor EA et al. “Treatment of menstrual migraine: a review.” Headache, 2018.
Cet article détaille les causes hormonales des migraines du cycle et la place des alternatives naturelles telles que l’acupuncture.
Allais G et al. “Acupuncture in menopause-related symptoms and menstrual migraine: a review.” Gynecological Endocrinology, 2012.
La revue analyse les effets de l’acupuncture sur les migraines liées au cycle et propose des mécanismes physiologiques d’action.
Li Y et al. “Acupuncture for migraine prophylaxis: a randomized controlled trial.” JAMA Internal Medicine, 2017.
Étude randomisée démontrant l’efficacité supérieure de l’acupuncture en prévention des migraines comparée aux traitements de routine.
Facco E et al. “Traditional acupuncture in migraine: a controlled, randomized study.” Headache, 2008.
Les auteurs montrent des résultats encourageants sur la diminution de la fréquence et de l’intensité des migraines grâce à l’acupuncture traditionnelle.