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Liège : TDAH et écriture, la double épreuve de la lenteur et de la désorganisation. Comprendre et accompagner grâce à la logopédie

Logopède Consultations spécialisées Langage Oral et Langage écrit Bilan

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0472 95 90 51

Liège : TDAH et écriture, la double épreuve de la lenteur et de la désorganisation. Comprendre et accompagner grâce à la logopédie

À Liège comme ailleurs, le TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) bouleverse la scolarité et la vie quotidienne des enfants, des adolescents, et parfois aussi des adultes qui en sont porteurs. L’une des conséquences les plus impactantes, mais souvent méconnue, réside dans les difficultés d’écriture. Lenteur, désorganisation, illisibilité, retards de copie ou d’exécution, accumulation d’erreurs et frustration constante : l’acte d’écrire devient pour beaucoup une tâche laborieuse, synonyme d’échec ou d’incompréhension. Pourtant, cette problématique spécifique mérite attention, analyse, et surtout des pistes d’aide concrètes – en particulier grâce au rôle clé du logopède. Cet article fait la lumière, en accès direct aux besoins de la scène locale, sur ce double enjeu : lenteur et désorganisation de l’écriture dans le TDAH, avec la logopédie comme levier d’accompagnement.

À l’école ou lors des devoirs, l’écriture est partout – copie de leçons, dictées, rédaction de textes, résolutions de problèmes, prise de notes… Pour les jeunes vivant avec un TDAH, chaque mot posé sur la feuille devient une source de fatigue, d’angoisse ou de découragement. Face à l’impossibilité de terminer les exercices dans les temps, à la surcharge des corrections, ou encore aux remarques récurrentes sur une écriture « illisible » et désordonnée, parents et enseignants sont souvent démunis. Les images de jeunes rêveurs, distraits ou impulsifs, certes familières, cachent pourtant une réalité beaucoup plus subtile au niveau de la cognition et du geste graphique. Les recherches récentes démontrent que ces enfants, en Belgique comme en France, sont plus exposés à des troubles secondaires de l’écriture – parfois assimilés à la dysgraphie, mais avec un tableau spécifique lié à la dysrégulation attentionnelle et exécutive.

La logopédie, discipline de santé paramédicale consacrée au langage oral et écrit, offre alors des clés pour la compréhension, la prise en charge, et la réhabilitation de ces difficultés. Grâce à des bilans spécialisés, à l’analyse fine du profil d’apprentissage et à la mise en place de stratégies adaptées, le logopède aide non seulement à améliorer la qualité de l’écriture, mais aussi à restaurer la confiance en soi. Pour les familles aux alentours de Liège, bénéficier d’un suivi logopédique approprié est un véritable atout pour éviter la spirale de l’échec scolaire, du repli sur soi, ou des conflits récurrents au sein du cercle familial.

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Dans l’approche qui suit, chaque aspect de cette problématique de l’écriture sera abordé : comment le TDAH module les compétences scripturales ? Quels sont les signes distinctifs de la lenteur et de la désorganisation ? Comment reconnaître et distinguer ces difficultés d’autres troubles (comme la dyslexie ou la dyspraxie) ? Et surtout, comment agir concrètement, au quotidien et en logopédie ?

L’impact méconnu du TDAH sur l’écriture : comprendre la lenteur et la désorganisation

Le TDAH est principalement identifié par ses symptômes cardinaux : déficit d’attention, impulsivité, et hyperactivité. Toutefois, il ne s’agit pas uniquement de comportements visibles ou de difficultés dans « l’écoute en classe ». Il s’agit surtout d’un trouble neurodéveloppemental aux répercussions vastes, dont le retentissement sur les fonctions exécutives et l’organisation mentale impacte profondément l’acte d’écrire.

Du point de vue scientifique, l’écriture manuelle est l’une des activités scolaires les plus exigeantes pour le cerveau. Elle requiert : planification de la phrase, organisation dans l’espace de la feuille, mémoire de travail (retenir la consigne, orthographe, idées), contrôle moteur fin (préhension, pression, fluidité du geste), inhibition des distractions, suivi temporel, et auto-régulation émotionnelle. Or, dans le TDAH, plusieurs étapes de ce « circuit » sont perturbées.

La lenteur d’écriture est un symptôme central chez de nombreux élèves présentant un TDAH, surtout ceux du sous-type inattentif ou mixte. Cette bradygraphie (« écriture ralentie ») s’explique notamment par :

  • une instabilité attentionnelle qui oblige l’enfant à relancer fréquemment la tâche ;
  • une difficulté à transférer de l’idée au geste sans “perdre le fil” ;
  • une conscience graphomotrice moins précise, retardant la formation des lettres ou la copie de mots.

Côté désorganisation, les enfants et adolescents avec TDAH sont confrontés au fameux « syndrome du chaos sur la page » : lettres hétérogènes, tailles variables, alignements non respectés, utilisation irrégulière des lignes, inversions ou omis de syllabes, difficulté à terminer une phrase démarrée… La page, reflet de leur fonctionnement cognitif, renvoie une impression de désordre, voire de « bagarre avec la feuille ».

Ce trouble du script n’est pas une simple négligence ou un manque d’effort. Les chercheurs en neuropsychologie, par l’analyse des mouvements oculaires ou de la vitesse de traitement, confirment que ces enfants sont authentiquement freinés dans les automatismes moteurs et cognitifs : écrire plus vite les expose à davantage d’erreurs (effet de « coût de la vitesse »), alors que l’exigence de perfection majore la fatigue et la tentation de l’abandon. En Belgique, plusieurs équipes universitaires ont également mis en évidence que la lenteur graphique des jeunes à TDAH est indépendante du QI : il ne s’agit donc pas d’un déficit intellectuel, mais bien d’un trouble de la planification fine du geste et de l’organisation temporelle.

L’entourage s’en aperçoit souvent au travers de situations répétées : carnet de communication rempli à la hâte, devoirs non terminés malgré des heures passées, besoin constant de “se relire” pour décoder ses propres mots, ratures multiples, accumulation de feuilles volantes égarées… À la maison, le temps réservé aux devoirs devient une source majeure de tensions et de conflits, parents et enfants ressentant une forte pression face aux échéances scolaires. Les enseignants, parfois démunis, oscillent entre tolérance, adaptation individuelle et crainte de léser l’équité dans la classe.

Un autre phénomène accentue ce mal-être : la suspicion (parfois erronée) de paresse, d’opposition, voire de volonté de “saboter” le travail. Or, de nombreuses études scientifiques, validées en contexte scolaire à Liège comme ailleurs, confirment que la lenteur et le désordre graphique chez les jeunes TDAH découlent d’une réelle incapacité neurodéveloppementale à synchroniser idée et action, avec, en toile de fond, une fatigue chronique et un sentiment d’échec qui minent l’estime de soi.

De plus, il faut insister sur le lien fréquent (mais non obligatoire) entre TDAH et troubles associés : dyslexie, troubles du langage oral, dyspraxie, troubles émotionnels ou anxiété. Ces comorbidités complexifient la tâche d’écriture et rendent indispensable une approche globale et méticuleuse pour proposer une prise en charge efficiente, adaptée au profil de chacun.

Le bilan logopédique : repérer et objectiver les difficultés d’écriture chez l’enfant à TDAH

L’évaluation des difficultés d’écriture dans le TDAH ne saurait reposer uniquement sur l’observation quotidienne, la “qualité de la page” ou une note sur le carnet. La logopédie propose un bilan systémique, utilisant des outils validés, pour discerner : ce qui relève du TDAH, ce qui témoigne éventuellement d’une comorbidité (dyslexie/dysorthographie, dyspraxie), et le poids respectif de la lenteur ou de la désorganisation.

En Belgique, le recours au logopède, via prescription médicale, s’inscrit dans une démarche pluridisciplinaire impliquant souvent neuropédiatre, enseignant, psychomotricien et psychologue. Cette collaboration vise à cerner le profil d’apprentissage, les forces et les zones de vulnérabilité, mais aussi à déterminer les adaptations à mettre en place.

Le bilan logopédique de l’écriture comprend plusieurs volets :

  • analyse qualitative et quantitative de l’écriture manuscrite : vitesse, lisibilité, qualité du tracé, respect des lignes et marges, régularité dimensionnelle et orientation ;
  • évaluation de la planification de textes : capacité à organiser une phrase ou un récit, structuration logique ;
  • copie sous contrainte temporelle : le temps réel pour produire une ligne ou un texte ;
  • épreuve de dictée, de rédaction spontanée et de copie différée ;
  • dépistage des comorbidités (lecture-orthographe, trouble praxique, atteinte de fonctions exécutives) ;
  • entretiens familiaux et scolaires, observation contextuelle (en classe ou à domicile), questionnaires d’auto-évaluation.

À l’issue de ces investigations, le logopède établit un rapport détaillé, mettant en lumière :

  • La présence ou non d’une dysgraphie (trouble spécifique du geste d’écriture) ;
  • L’importance du retard par rapport à l’âge et à la classe ;
  • Les facteurs modulateurs (fatigue, anxiété de performance, posture, matériel, environnement sonore ou temporel) ;
  • Le niveau de motivation et de persévérance de l’enfant face à l’acte d’écrire.

Un point crucial du bilan réside dans la différenciation entre une lenteur d’écriture d’origine purement TDAH, une dysgraphie motrice ou une lenteur secondaire à un trouble de la lecture. Ainsi, chez certains élèves, la difficulté provient d’un manque d’automatisation graphique ; chez d’autres, c’est la surcharge attentionnelle ou la multitâche qui perturbe la copie de texte (copier au tableau, écouter l’enseignant, écrire, etc.). Le logopède apporte ainsi un regard objectif, aidant à détecter les besoins réels en aménagement et en rééducation.

Bien entendu, la réussite du bilan dépend de la relation de confiance entre l’enfant, la famille et le thérapeute. Le logopède à l’écoute sait créer un environnement rassurant, valorisant les acquis et prenant en compte la variabilité des performances dans la journée.

L’intervention logopédique : stratégies concrètes contre la lenteur et la désorganisation

Le principal objectif de la prise en charge logopédique chez l’enfant avec TDAH et troubles de l’écriture : réduire l’écart entre le potentiel cognitif et la performance graphique, afin de restaurer le plaisir d’écrire et de limiter les situations d’échec scolaire. Le cœur de la démarche réside dans l’individualisation du suivi, tenant compte de l’âge, du diagnostic précis et du contexte éducatif.

Plusieurs axes d’intervention sont privilégiés :

1. Automatisation du geste graphique

Pour une majorité d’élèves TDAH, l’écriture manuscrite n’est pas automatisée : chaque mot, chaque lettre, demande effort et concentration. Le logopède travaille donc en priorité sur :

  • La remise à niveau du geste : posture, appui, angle de la feuille, tenue du crayon ;
  • L’exécution de séquences motrices répétitives et rythmées (suites de lettres, boucles, cercles, association dessins-lettres) ;
  • La fluidité de l’enchaînement des lettres, par des exercices de copie à vitesse contrôlée ;
  • La pratique du relâchement musculaire pour combattre la crispation ou les douleurs de main.

Un focus particulier est porté sur les temps de pause, la gestion des micro-coupures, le découpage de la tâche en « étapes courtes et atteignables ».

2. Adaptations au cadre scolaire

Parce que le temps imparti pour écrire en classe dépasse souvent les capacités de vitesse de l’élève TDAH, le logopède propose des aménagements validés :

  • Photocopies de leçons, évitant une surcharge de copie inutile ;
  • Temps majoré pour les évaluations écrites ;
  • Utilisation d’un ordinateur, d’un logiciel de retranscription vocale, ou de supports numériques adaptés ;
  • Feuilles à grands carreaux, lignages colorés, utilisation de couleurs pour structurer le texte (voir la méthodologie Montessori, très utilisée lors de séances en logopédie).

L’intérêt de ces adaptations est double : éviter la survenue d’une double peine (retard de production + pénalisation académique), et valoriser l’enfant dans ses apprentissages écrits.

3. Entraînement des fonctions exécutives et attentionnelles

L’intervention logopédique ne se limite pas à l’écriture au sens restreint. Des programmes spécifiques aident à : renforcer la mémoire de travail (retenir l’information pendant la réalisation d’une tâche complexe), améliorer la capacité de planification, apprendre à séquencer un texte, augmenter l’attention soutenue…

Des jeux de sociétés, des exercices ludiques, ou l’utilisation de méthodes inspirées de la pleine conscience (mindfulness) viennent enrichir la séance pour apprendre à l’enfant à se recentrer, à repérer ses moments de dispersion et à mettre en place ses propres “trucs et astuces” d’auto-encadrement.

4. Soutien psycho-affectif et motivationnel

La réussite d’une rééducation logopédique tient également à la restauration d’une image positive de l’acte d’écrire. Par la médiation thérapeutique, le logopède :

  • valorise chaque progrès, même minime ;
  • explique aux familles (et aux enseignants) la réalité du TDAH, démystifie les notions de paresse ou d’opposition, lutte contre la culpabilisation ;
  • met en place des collaborations avec d’autres professionnels en cas de trouble associé ou de besoin d’accompagnement psychologique.

Enfin, la rééducation est d’autant plus efficace qu’elle intègre la dimension “écologique” : les conseils sont adaptés au contexte de vie (école, maison, loisirs), avec un suivi à distance possible en consultation de logopédie numérique, de plus en plus plébiscitée en Belgique.

L’efficacité de l’action logopédique contre la lenteur et la désorganisation est aujourd’hui reconnue : plusieurs études démontrent une amélioration nette de l’autonomie, du rendement scolaire, et du bien-être subjectif des enfants suivis.

Quelles perspectives pour demain ? Quand et comment orienter vers la logopédie à Liège ?

Le dépistage précoce des difficultés d’écriture liées au TDAH à l’école primaire, voire dès la maternelle grande section, est un gage de réussite future. Plus l’enfant reçoit un accompagnement personnalisé tôt, plus les automatismes se développent, limitant la survenue du cercle vicieux effort/échec/fatigue.

Repérer les premiers signaux d’alarme :

  • L’enfant prend beaucoup plus de temps que ses camarades pour terminer ses devoirs écrits ;
  • Il évite toutes les tâches d’écriture quand cela est possible, ou s’y confronte anxieusement en réclamant de l’aide constamment ;
  • Son écriture est illisible et inconstante (même son propre prénom paraît difficile à déchiffrer à chaque page) ;
  • Il multiplie les ratures, oublis, inversions de lettres, et sa présentation diffère radicalement d’un exercice à l’autre (selon son état de fatigue ou d’émotion) ;
  • Des enseignants font remonter des inquiétudes quant à la lenteur, ou la difficulté à copier correctement des consignes ou leçons du tableau.

C’est précisément à ces étapes que l’intervention logopédique peut faire la différence, permettant rapidement d’objectiver la nature du trouble, de proposer un diagnostic différentiel, puis d’engager une rééducation ciblée.

La collaboration entre les professionnels (enseignants, parents, médecins, paramédicaux) est essentielle pour harmoniser les modes d’intervention, évaluer l’évolution des stratégies et aménager le quotidien. À noter l’importance du dialogue avec l’école : le logopède transmet recommandations concrètes, évaluant l’opportunité d’un accès à un ordinateur pour la prise de notes ou d’autres outils innovants.

Plusieurs établissements scolaires, cabinets libéraux et centres de santé accueillent les enfants et adolescents concernés par le TDAH aux alentours de Liège, offrant un accès graduel aux bilans et suivis adaptés. L’importance d’un repérage territorial ne doit pas être sous-estimée : disposer d’un annuaire de logopèdes spécialisés dans l’écriture et le TDAH accroît l’égalité d’accès à la prise en charge.

Enfin, il faut rappeler que la prise en charge peut, selon les besoins, intégrer des séances individuelles, en petit groupe (atelier d’écriture, atelier de speedwriting, groupes de gestion attentionnelle) ou, pour les plus grands, en mode distanciel (télé-logopédie). Le suivi est systématiquement réévalué en équipe, parfois en lien avec les structures d’aide sociale, pour adapter la fréquence et la modalité des soins.

L’avenir de la logopédie dans ce champ réside probablement dans l’hybridation des méthodes : approche classique centrée sur la graphomotricité, nouveaux outils numériques (tablettes tactiles, applications éducatives, logiciels d’orthographe ou de remédiation), sans oublier le maintien d’un lien humain fort, garant de l’engagement du jeune.

En résumé, promouvoir un regard nuancé sur les difficultés d’écriture dans le TDAH, reconnaître les manifestations de lenteur et de désorganisation, et agir de façon ciblée grâce à la logopédie apporte une vraie valeur ajoutée au parcours de l’enfant. Cela évite la “double peine” de l’effort non reconnu, rend leur dignité aux jeunes apprenants et donne à chaque famille la possibilité de retrouver confiance dans l’école, en développant autour de chaque élève un cercle de soutien fondé sur la bienveillance et les compétences croisées.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître la lenteur d’écriture liée au TDAH chez un enfant ?
Le principal signal est une grande différence de temps pour réaliser des exercices écrits par rapport aux autres enfants du même âge. Cette lenteur s’accompagne souvent de fatigue, de découragement et d’une présentation désorganisée des copies.

Pourquoi la logopédie est-elle recommandée pour les difficultés d’écriture dans le TDAH ?
La logopédie permet d’évaluer précisément la nature des difficultés (lenteur, désorganisation, troubles associés), puis de proposer des exercices ciblés pour automatiser le geste et structurer l’écriture. Ce suivi personnalisé redonne confiance à l’enfant et améliore ses résultats scolaires.

Quand faut-il consulter un logopède en cas de TDAH et d’écriture lente ou chaotique ?
Il est conseillé de consulter dès que des troubles persistants empêchent l’enfant de terminer ses travaux, de suivre le rythme de la classe, ou génèrent un mal-être lié à la production d’écrit. Un bilan logopédique précoce optimise les possibilités de progrès et d’adaptation.

Faut-il privilégier l’écriture manuscrite ou l’ordinateur pour les élèves avec TDAH à Liège ?
Le choix se fait au cas par cas, selon l’importance de la lenteur et la qualité graphique. L’ordinateur est parfois recommandé pour alléger la charge d’écriture mais un entraînement logopédique reste profitable pour renforcer les bases et l’autonomie de l’enfant, en lien avec les attentes scolaires locales.

Références scientifiques

Gaga, N. et al., « Handwriting difficulties in children with attention deficit hyperactivity disorder », Research in Developmental Disabilities, 2022.
Résumé : Cette étude montre que les enfants avec TDAH présentent fréquemment une écriture lente, variable et désorganisée par rapport à leurs pairs.

Kushki, A. et al., « Co-occurrence of ADHD and Dysgraphia », Child Neuropsychology, 2011.
Résumé : Les auteurs soulignent la fréquence des troubles de l’écriture chez les enfants TDAH, distincts du trouble moteur isolé, et l’importance du diagnostic différentiel en rééducation.

Perrin, S. et al., « Le rôle des fonctions exécutives dans le TDAH : impact sur les apprentissages scolaires », Revue Française de Pédagogie, 2019.
Résumé : L’article explore l’impact des atteintes exécutives sur la capacité à organiser, planifier et réaliser des tâches graphiques ou écrites complexes.

Sumner, E. et al., « Handwriting and spelling difficulties in children with attention deficit hyperactivity disorder », Research in Developmental Disabilities, 2016.
Résumé : Les difficultés d’écriture et d’orthographe sont fréquentes et aggravent les retards académiques des enfants TDAH, nécessitant une approche ciblée dès le diagnostic.

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