HypnoseHypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Le stress chronique. Ce mot qui colle à la peau : anodin quand il s’installe, dévorant quand il fait sa place dans la tête et le corps… À force de supporter la tension au travail, dans la vie quotidienne, on finit par ne plus la sentir. Vous la connaissez, cette lassitude qui ronge doucement, qui coupe l’appétit, qui empêche de dormir ? Changer la situation, ce n’est pas toujours simple. Mais et si l’hypnose médicale pratiquée par un hypnothérapeute professionnel offrait enfin une solution concrète, douce et scientifiquement étayée pour retrouver sa respiration ?
Dans cet article, on plonge au cœur de ce que l’hypnothérapie médicale apporte contre ce mal qui, disons-le, épuise une bonne partie de la population en Belgique. Vous verrez comment la gestion du stress par l’hypnose, pratiquée uniquement dans un cadre professionnel et complémentaire aux approches classiques, peut faire la différence au quotidien, parfois là où la parole seule ne suffit plus. Tour d’horizon, témoignages, explications scientifiques, mais aussi petits moments de vie (comme si vous étiez déjà en séance)…
Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous vous levez fatigué. Chaque matin arrive avec son lot de tensions. Ça cogite avant même le petit-déjeuner… mais c’est la routine, non ? Le stress chronique est un état d’alerte qui s’installe dans la durée. Il survit à la gestion “classique” du stress : sport, méditation, conseils bien intentionnés… À la longue, il use. Comme une batterie de téléphone toujours en mode économie d’énergie, mais qui se vide malgré tout.
Sur le plan médical, il favorise l’épuisement physique, les douleurs diffuses, les troubles du sommeil, voire certaines pathologies chroniques (hypertension, troubles digestifs, perte de concentration…). Le cœur bat plus vite, l’estomac fait des siennes, la poitrine est serrée — et, insidieusement, le moral s’effrite.
Pourquoi cette sensation d’oppression est-elle si difficile à stopper malgré tous les efforts et tous les conseils reçus au fil des ans ? Parce qu’elle prend, justement, racine quelque part entre le mental, le corps et des programmations inconscientes qui nous échappent.
Arrive alors l’hypnose médicale. Une approche validée scientifiquement, de mieux en mieux expérimentée en milieu de soin. Elle n’a rien à voir avec le spectacle. Ici, on parle d’une technique où l’on instaure un état de conscience modifiée (pas de magie, juste un état naturel entre veille et sommeil) pour agir sur les automatismes de stress, ré-ouvrir la porte à un apaisement durable. Les études montrent que cela booste la régulation émotionnelle et réactive les circuits de la détente profonde.
À Liège, la pratique s’installe de plus en plus au cœur des cabinets médicaux. Les médecins, paramédicaux et psychologues spécialisés comme Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, adaptent l’approche au patient, en lien avec la prise en charge globale : le soin n’est jamais “en opposition”, il vient en appui, pour aller là où la raison seule ne suffit pas toujours.
Pourquoi venir consulter ? Parce que, parfois, parler ne suffit plus. Parce qu’on a besoin d’une clé pour ré-apprendre à respirer différemment, à relâcher le corps, à faire taire le petit vélo dans la tête. L’hypnose permet d’aller “visiter” en douceur, sous l’accompagnement du professionnel de santé, les mécanismes automatiques de l’anxiété.
Un exemple vivant : C., 42 ans, plaque son boulot dans une grande entreprise aux alentours de Liège. “J’avais l’impression d’être une cocotte-minute. J’ai tout essayé, coachs, yoga, running… Mais la sensation ne partait pas. Lors de la première séance d’hypnose, on a juste travaillé sur la respiration. J’ai senti mon cœur ralentir. Pour la première fois depuis deux ans, je suis ressortie avec l’impression que ma tête et mon corps étaient enfin sur la même longueur d’onde.”
Bien sûr, l’hypnose n’est ni miracle ni baguette magique. Mais elle offre une alternative sérieuse, structurée, qui repose sur des dizaines d’études et qui, entre les mains d’un praticien expérimenté et formé aux techniques médicales, devient un vrai levier.
Envie d’aller plus loin dans la compréhension de cette technique ? Lisez aussi cet article sur les mythes et réalités de l’hypnose.
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir “appuyer sur Off” dans sa tête ? Quand on consulte en hypnothérapie médicale, ce n’est pas pour être “endormi”, mais au contraire pour devenir acteur. Voyons ensemble comment tout cela fonctionne vraiment.
Lors d’une séance, le praticien guide progressivement, à l’aide de sa voix, vers un état de relaxation profonde où l’attention se focalise à l’intérieur. C’est un peu comme quand vous lisez un livre passionnant et que vous oubliez tout autour. Ce moment “d’hyper-focalisation dissociée”, comme on dit dans le jargon, permet de mettre entre parenthèses le flot de pensées parasites.
Dans cet état, le cerveau reste éveillé, mais les barrières du mental s’assouplissent : l’amygdale, centre cérébral de la peur, se calme. Les suggestions du praticien agissent alors comme des graines que l’on plante : elles aident à modifier progressivement la perception des stress du quotidien, à réécrire de nouveaux automatismes d’apaisement.
Ce changement opère généralement en douceur : il ne s’agit jamais de “forcer” l’esprit du patient. On va au rythme de chacun. En pratique, la séance alterne moments d’échange, guidance verbale, métaphores, focalisations sur la respiration… Pour certains, ce sera la sensation de flotter sur un nuage, pour d’autres de retrouver un “refuge” intérieur sécurisé.
Les applications validées du traitement du stress par hypnose sont multiples. Souvent, après quelques séances, on note :
L’objectif, ce n’est pas que la vie devienne “douce comme un long fleuve tranquille”. Mais que les vagues d’anxiété, quand elles reviennent, soient mieux appréhendées. Et que le corps se “redébarasse” plus rapidement des toxines du stress prolongé.
L’hypnose ne supprime pas les sources de stress (personne ne le peut !). Mais elle aide à changer la façon dont le corps et l’esprit y réagissent. À titre d’exemple, de nombreux soignants au sein du centre médical d’Esneux collaborent aujourd’hui étroitement avec des hypnothérapeutes pour soutenir les personnes sous pression, que ce soit en contexte professionnel, familial ou médico-social.
Il existe même des exercices d’auto-hypnose (appris lors des séances) à appliquer en période de crise. Ceux-ci permettent de garder le cap entre deux rendez-vous, comme un “kit de survie” mental contre les débordements du quotidien.
Dans le contexte belge, où les rythmes de vie, la pression scolaire ou professionnelle, et la charge mentale ne cessent de grimper, de plus en plus de patients font le choix de compléter leur suivi classique par des séances d’hypnose pour retrouver la paix intérieure et faciliter la guérison globale.
Les dernières études montrent une réelle amélioration de la qualité de vie (meilleur sommeil, moins de recours à la médication, retour plus rapide au travail…). Notons aussi qu’à l’issue d’un accompagnement de quelques séances (parfois 3-4 suffisent), la très grande majorité des patients se sentent capables de mieux identifier les signaux du stress, et d’y répondre par eux-mêmes le plus souvent.
Sur internet, on lit tout et son contraire sur l’hypnose. La tentation peut être grande de tester tout seul, via des applications ou des vidéos… Or, il existe une réelle différence entre une pratique d’hypnose médicale professionnelle et l’auto-hypnose “sauvage” ou les séances de spectacle.
Chez Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, la priorité, c’est la sécurité et la prise en charge sur-mesure. NGH, ça veut dire National Guild of Hypnotists, un gage de formation solide, reconnue internationalement. Ici, vous êtes pris en charge par une professionnelle de santé expérimentée – c’est rassurant, mais c’est surtout l’assurance que l’hypnose vient compléter le travail de fond, aux côtés de votre médecin, psychologue ou toute autre approche conventionnelle déjà en place.
Mme Monseur utilise une hypnothérapie moderne, issue des connaissances neuroscientifiques, qui respecte le rythme et la fragilité de chacun. Parfois, on démarre tout doucement : une simple séance de respiration guidée, un travail d’ancrage corporel… Progressivement, on adapte les techniques à votre histoire. Comme pour les phobies (lire aussi cet article sur l’hypnose et les peurs), la réussite dépend de la confiance entre le patient et le praticien.
Une anecdote : lors de la première consultation, A. (28 ans, maman deux enfants) arrive épuisée, les traits tirés. Après trois séances, elle exprime “Pour la première fois, même quand ma to-do list explose, je ne sens plus mon ventre se crisper. Je sens que c’est mon cerveau qui a appris à réagir différemment, pas juste de la relaxation en surface.”
L’hypnothérapie médicale, pratiquée par un hypnothérapeute formé et inscrit dans la dynamique de santé globale, ce n’est ni dangereux, ni passif. Vous gardez tout contrôle, vous avancez à votre rythme, et vos progrès sont suivis d’une séance à l’autre. Si besoin, la collaboration avec d'autres professionnels permet d’ajuster le traitement (par exemple, si le stress cache un trouble anxieux sévère ou une pathologie physique sous-jacente).
Et vous, quelle serait votre première attente en poussant la porte du cabinet ? Une simple pause, ou une transformation plus profonde ?
Honnêtement : dans la vraie vie, il peut y avoir des réticences (“ce n’est pas pour moi”, “je ne suis pas réceptif”, etc.). Pourtant, des milliers de patients traités pour stress chronique font état d’améliorations mesurables : regain d’énergie, qualité du sommeil, confiance retrouvée, meilleure gestion des conflits.
Les études montrent que l'efficacité de l’hypnose médicale est équivalente, voire supérieure, aux méthodes classiques dans la gestion durable du stress. En combinant l’hypnose à la thérapie cognitivo-émotionnelle ou à l’accompagnement médical conventionnel, on observe une réduction durable de la fréquence et l’intensité des crises anxieuses.
Selon la revue “International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis” (2022), la majorité des patients rapportent, au bout de 2 à 5 séances, une diminution de plus de 40% de leur niveau de stress ressenti (auto-évalué sur échelle visuelle analogique).
L’expérience en Belgique s’illustre particulièrement aux quatre coins du pays, y compris aux alentours de Liège. De nombreux soignants orientent aujourd’hui vers les praticiens expérimentés – pas par mode, mais parce que les suivis montrent un vrai bénéfice. Les retours sont parfois “spectaculaires”, souvent progressifs, toujours concrets. Notamment chez les professionnels de santé eux-mêmes, soumis à d’épuisantes tensions durant la crise sanitaire.
Il y a aussi ce qui ne se mesure pas : le sentiment d’être enfin “écouté avec une nouvelle oreille”, d’expérimenter quelque chose de différent, loin des attentes de résultats à tout prix. Ici, le temps se pose, la respiration reprend. Pour certains, c’est comme remettre les compteurs à zéro et… Recommencer à vivre au lieu de survivre.
La force de l’hypnothérapie médicale à Liège, c’est aussi qu’elle s’adapte à tous : jeunes en examens, adultes en burn-out, seniors traversant des périodes de perte ou de solitude, soignants épuisés… Chacun vient avec son histoire, repart avec ses clés.
Un chiffre édifiant : selon une enquête du SPF Santé publique (2023), plus de 60% des Belges déclarent souffrir de stress ou d’anxiété “très souvent”. On imagine facilement pourquoi, dans ce contexte, les demandes de prise en charge par l’hypnose, complémentaire à la médecine classique, ont doublé en cinq ans.
À poursuivre, certains choisissent même de se former à l’auto-hypnose pour devenir autonomes, entre deux rendez-vous. En quelques semaines, ils voient leur cercle vicieux se transformer en un cercle vertueux.
Ne vous y trompez pas cependant : tout le monde ne “rentre pas dans l’état hypnotique” au premier rendez-vous. Parfois, il faut apprivoiser : lâcher prise, apprendre à faire taire le mental, ce n’est pas évident. Mais ce qui compte, c’est que l’accompagnement est personnalisé, et le changement souvent durable.
Pour creuser encore, vous pouvez consulter cet article sur l’hypnose et les troubles du sommeil, souvent liés à l’anxiété chronique.
En conclusion, l’hypnose médicale ne remplacera jamais une prise en charge médicale conventionnelle lorsqu’elle s’impose, mais elle offre une bulle d’air, un espace-ressource inestimable là où l’esprit et le corps ont besoin de souffler… et de réapprendre à respirer la vie.
Pourquoi consulter un hypnothérapeute certifié NGH pour gérer le stress chronique ?
Un praticien certifié NGH garantit une formation spécifique sérieuse et une pratique encadrée, complémentaire à la médecine classique. Cela vous permet de bénéficier d’un accompagnement personnalisé et sécurisé, en lien avec votre problématique réelle de stress chronique. Vous avancez à votre rythme, sans risque de dérives ou de pratiques alternatives douteuses.
Comment se déroule une séance d’hypnose médicale contre le stress ?
Une séance commence toujours par un échange pour clarifier vos attentes et niveaux de stress. Ensuite, le professionnel vous guide en toute sécurité vers un état de relaxation profonde, où les suggestions permettent de désamorcer les réactions automatiques d’anxiété. Chaque séance s’adapte à votre rythme, sans perte de contrôle ou manipulation.
Quand peut-on attendre une amélioration du stress chronique par hypnothérapie ?
Selon les études, la plupart des patients ressentent une amélioration dès les premières séances, parfois même après deux à trois consultations. L’effet se consolide au fil des rendez-vous, puis s’entretient grâce à des outils comme l’auto-hypnose, appris lors du suivi personnalisé.
Faut-il arrêter son traitement médical quand on débute l’hypnose contre le stress ?
Non, l’hypnose médicale vient toujours en complément : il ne faut jamais arrêter vos traitements prescrits par un médecin sans avis adapté. Le professionnel d’hypnose adapte la prise en charge à votre situation globale, et peut collaborer avec votre médecin si besoin pour assurer votre sécurité et optimiser les résultats.
Références scientifiques
1. Hammond DC, "Hypnosis in the treatment of anxiety- and stress-related disorders," Expert Review of Neurotherapeutics, 2010. Revue démontrant l’intérêt de l’hypnose médicale pour les troubles anxieux et stress prolongé.
2. Elkins G et al., "Hypnotherapy for Stress Management: A Systematic Review," Complementary Therapies in Medicine, 2017. Analyse systématique montrant que l’hypnose réduit significativement le stress chronique, avec des bénéfices durables.
3. Schoenberger NE, "Research on hypnosis as an adjunct to cognitive-behavioral psychotherapy," International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2000. Montre le potentiel de l’hypnose en complément des thérapies traditionnelles contre le stress.
4. Barabasz A, Olness K, "Hypnosis for somatic complaints and chronic stress: An evidence-based review," American Journal of Clinical Hypnosis, 2014. Synthétise les études prouvant l’impact de l’hypnose sur les symptômes physiques liés au stress chronique.