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Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique à Liège : Prévenir et Traiter les Troubles Urinaires chez l'EnfantKinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Kinésithérapie périnéale et éducation corporelle préventive chez l’enfant : comment prévenir, comprendre et accompagner les troubles urinaires

Pourquoi parler de périnée et de vessie chez l’enfant ?

Vous vous demandez sans doute : “Le périnée, ce n’est pas uniquement un sujet pour les adultes ?” Détrompez-vous. Le périnée est au cœur de bien des soucis dès l’enfance. Et oui, même les petits peuvent avoir besoin d’un kinésithérapeute urinaire. Loin d’être anecdotique, la santé périnéale chez les enfants est une affaire sérieuse, capitale pour leur croissance physique, leur confiance et leur vie sociale.

On parle souvent des enfants “qui mouillent encore leur lit”. Mais il n’y a pas que le pipi au lit. Beaucoup de jeunes, même adolescents, vivent des troubles urinaires : fuites, envies pressantes, accidents imprévisibles… C’est gênant. Parfois même douloureux ou anxiogène. Pourtant, on ose rarement en discuter. On pense : “Ça va passer”. Ou bien “C’est juste de la paresse”… Attention, c’est souvent plus subtil !

La vérité ? Le fonctionnement de la vessie et du périnée chez l’enfant, c’est comme une partition à apprendre. Certains n’ont jamais posé les doigts sur le piano… D’autres ne savent pas “écouter” leurs sensations. Résultat : le corps n’envoie pas toujours le bon signal au bon moment. Ou la réponse musculaire n’arrive pas. Voilà pourquoi la kinésithérapie périnéale est, dès le plus jeune âge, un outil précieux. Un relève-tête. Un révélateur de potentiel.

En Belgique, plus de 15% des enfants entre 5 et 10 ans présentent au moins un épisode d’énurésie (pipi au lit) mensuel. Quant aux fuites diurnes, elles touchent jusqu’à 7% des enfants d’âge scolaire. Aux alentours de Liège, Mme Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire conventionnée INAMI, accompagne au quotidien ces jeunes et leurs familles en cabinet à Esneux, mais aussi à domicile.

Pourquoi faire appel à la kinésithérapie périnéale pédiatrique ? Ce n’est pas une histoire de gymnastique ou de “stop pipi” bête et méchant. Il s’agit de réapprendre au corps ses repères, de redonner du pouvoir aux muscles et aux sensations. D’aider l’enfant à écouter et respecter son propre rythme, tout en levant culpabilité ou découragement. C’est par l’éducation corporelle préventive et un accompagnement bienveillant que l’on agit sur le long terme. Pas à pas, en famille.

Le saviez-vous ? La notion d’éducation corporelle est un pilier. Dans de nombreuses cultures, on oublie de guider l’enfant à “écouter sa vessie” ou “sentir son périnée”… Résultat ? Les mauvaises habitudes s’installent, au risque de voir apparaître des troubles. Pourtant, on peut prévenir bien des déboires. Tout se joue parfois sur un conseil, une prise de conscience des parents… ou la rencontre précoce avec un expert !

Des questions surgissent ? Sachez-le : consulter un spécialiste n’est JAMAIS un signe que votre enfant est en échec. Au contraire, c’est lui offrir un tremplin. Un vrai cadeau pour la vie.

Pour aller plus loin et comprendre les différentes étapes de l’accompagnement, je vous invite à lire cet article détaillé sur les étapes clés de la rééducation périnéale chez l’enfant.

Quels sont les motifs fréquents de consultation ? Savoir reconnaître les signaux d’alerte

Il y a mille raisons pour lesquelles un enfant, ou un adolescent, franchit la porte d’un cabinet de kinésithérapie urinaire. Parfois, c’est flagrant. Parfois, c’est beaucoup plus discret, presque invisible. Vous vous reconnaissez peut-être dans l’une de ces situations :

  • Votre enfant fait encore pipi au lit à 6, 7, 10 ans… voire à l’adolescence ?
  • Il a des fuites urinaires la journée ? Cela peut être en se marrant à la récré, en courant, ou même en se retenant trop longtemps.
  • Vous remarquez des urgences : “J’ai envie ! Vite !” mais parfois trop tard…
  • Il va très souvent aux toilettes ou, au contraire, se retient pendant des heures (vous connaissez cette fameuse phrase “je n’ai pas envie”, puis soudain il doit courrir aux toilettes ?).
  • Des infections urinaires à répétition ?

Voici l’une des situations types décrites par de nombreux parents : “Au parc, il joue, rien ne se passe. Mais dès qu’on monte en voiture, il annonce ‘Je dois faire pipi !’ et, trop tard, l’accident est là…” D’autres enfants semblent “attendre le dernier moment”. Mais entre l’attente et l’accident, il n’y a parfois qu’une seconde.

Ce qu’il faut savoir, c’est que chaque cas est particulier. Certains jeunes souffrent dans le silence, de peur de se faire gronder ou de déranger. D’autres banalisent. Mais si ces situations se répètent, deviennent sources d’anxiété, de honte ou d’isolement, c’est qu’il y a un vrai besoin d’accompagnement.

Lisa MOENS, kinésithérapeute urinaire spécialisée chez l’enfant, intervient en collaboration étroite avec les pédiatres, urologues et psychologues. Son rôle ? Écouter, évaluer, et proposer un programme personnalisé. À Esneux ou près de Liège, elle pose un regard neuf sur la situation de chaque famille.

Un chiffre marquant : Selon l’Association Européenne de la Continence Pédiatrique, près d’1 élève sur 12 au primaire vit une forme de trouble urinaire mineur ou modéré. Plusieurs souffrent en silence. Raison de plus pour abattre les tabous et oser pousser la porte du cabinet.

Dans sa pratique, l’implication des parents en rééducation périnéale pédiatrique est essentielle. Pourquoi ? Parce qu’un gamin livré à lui-même a peu de chance de “deviner” comment faire différemment. L’accompagnement multidisciplinaire, c’est souvent la clé d’un changement durable.

Peut-on prévenir ces troubles ? La réponse est oui. Mais il faut savoir repérer les signes qui doivent alerter. Les rendez-vous chez le kinésithérapeute urinaire pédiatrique, ce n’est pas que pour les cas “graves” ! Ils sont un allié précieux pour casser le cercle vicieux des mauvaises habitudes et éviter que des petits soucis ne deviennent de grosses galères.

Sur le terrain, il n’est pas rare que des parents racontent : “On pensait que c’était de la paresse. Mais finalement, elle ne sentait simplement pas quand sa vessie était pleine…” Parfois, quelques séances suffisent à tout changer. Parfois, un accompagnement au long cours est nécessaire.

Aux alentours de Liège, le cabinet de Lisa MOENS accueille aussi bien des enfants dès 4 ans que des ados de 16 ans. Le but ? Que chaque jeune retrouve confiance et autonomie, sans honte ni stress.

En résumé : repérer, écouter, agir vite pour éviter que la honte ou l’échec ne s’installent.

La kinésithérapie urinaire : en quoi consiste-t-elle concrètement pour les enfants ?

D’accord, mais qu’est-ce qu’on fait donc chez le kinésithérapeute périnéal pédiatrique ? Là aussi, les idées reçues ont la vie dure. Beaucoup s’imaginent des exercices bizarres, des machines, ou des situations “gênantes”. La réalité est tout autre. Ici, on privilégie la pédagogie, le jeu, l’écoute et l’expérimentation. L’enfant est acteur.

Le point de départ, c’est toujours l’anamnèse : on interroge les habitudes, l’alimentation, le rythme quotidien, les antécédents (prématuré ? constipation ? allergies ?). On explore aussi le vécu émotionnel. Car oui, le stress ou l’anxiété jouent parfois un rôle énorme. Vous l’ignoriez ? Un déménagement, une séparation des parents, ou la pression scolaire peuvent totalement dérégler la “machine”.

Puis viennent l’éducation corporelle et sensorielle. Comment apprendre à sentir son périnée ? Par des petits jeux, pour localiser ce groupe de muscles souvent invisible, comme un super-héros secret. On apprend à contracter, relâcher, sentir les différences. Parfois, on utilise des images : “Imagine que tu veux retenir un gaz !” ou “Fais comme si tu stoppais l’eau de la rivière…” Des métaphores plus parlantes qu’une leçon d’anatomie !

On travaille aussi la conscience de la vessie. Cela passe par des carnets mictionnels. L’enfant note ses passages aux toilettes, les quantités, les circonstances. Ce carnet devient un outil pour lui... et pour l’équipe soignante. On repère ainsi s’il boit assez, s’il retient trop, ou s’il “anticipe” trop parce qu’il a peur de l’accident.

Ensuite, place à des exercices progressifs. Cela peut inclure :

  • Des jeux de relaxation pour diminuer la tension du périnée ou du ventre.
  • Des défis, façon jeu vidéo, pour apprendre à différer ou déclencher la miction.
  • Des séances en famille pour élaborer de nouvelles routines (par exemple, “aller aux toilettes avant de partir en balade”, ou “boire à heures fixes”).
  • Une approche ludique, avec parfois des figurines, du dessin, des métaphores (le réservoir, les écluses, etc.).

Chaque enfant progresse à son rythme. Il n’y a pas de compétition. Ici, pas de honte ni de “notes”. On procède par étapes, avec bienveillance et soutien. On accompagne aussi les échecs, car ils font partie de la route.

Pour les cas plus résistants ou complexes, une approche multidisciplinaire sera proposée : en lien avec l’urologue, le pédiatre ou même un psychologue. L’objectif ? Traiter le jeune dans sa globalité, pas uniquement son symptôme ! Au fil des séances, il devient expert de son propre corps, gagne en assurance et peut même, pourquoi pas, expliquer à ses copains ce qu’il a appris sur la vessie !

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

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Un chiffre qui parle : chez les enfants suivis pour énurésie, les études montrent que moins de 5% bénéficieraient spontanément d’une guérison après 10 ans sans accompagnement. La prise en charge en kinésithérapie urinaire augmente drastiquement le taux de succès… et la confiance en soi !

Quand consulter ? Les clés pour ne pas attendre trop longtemps

On se pose souvent la question fatidique : “Faut-il attendre ? Jusqu’à quel âge est-ce normal ?” Il n’y a pas de règle universelle, mais voici des repères :

  • Au-delà de 5–6 ans, si l’enfant mouille encore son lit toutes les semaines, une prise en charge est conseillée.
  • Des accidents réguliers dans la journée (hors maladie, fièvre ou événement exceptionnel) nécessitent un avis spécialisé.
  • Lorsque le trouble isole l’enfant : sorties scolaires évitées, peur de dormir chez des amis, vêtements de rechange en cachette dans le sac…
  • Si le problème s’accompagne de douleurs pelviennes, de constipation aigüe, ou d'infections à répétition, l’avis médical s’impose rapidement.
  • En cas de retentissement émotionnel : angoisses, crises, repli… Le corps et la tête doivent aller ensemble !

Une certitude : mieux vaut consulter “trop tôt” que “trop tard”. Plus la prise en charge démarre tôt, plus elle est légère… et rapide ! Retarder la prise en charge, c’est comme marcher sur une planche pourrie : le risque de chute augmente de jour en jour.

Il faut aussi s’armer de patience et de bienveillance. Le chemin vers la continence peut être sinueux, semé d’embûches. Mais avec un accompagnement adapté, chaque enfant peut retrouver des nuits (et des habits) au sec. Et surtout, une fierté retrouvée !

Vous hésitez encore ? Lisez cet article rédigé par Lisa MOENS, Kinesithérapie urinaire chez l’enfant à Liège, pour découvrir davantage de conseils pratiques.

L’éducation préventive, une arme précieuse face aux troubles urinaires

Parlons prévention. Cela vous semble ringard ? “Mieux vaut prévenir que guérir”, un vieux dicton… Mais dans la réalité, l’éducation corporelle, c’est le plus sûr moyen d’éviter que le problème n’apparaisse ou ne s’aggrave. Trop souvent, on attend l’accident pour agir, alors que tout commence parfois… aux toilettes de l’école primaire !

L’éducation corporelle préventive, c’est quoi ? C’est apprendre les bases : boire suffisamment, reconnaître les signaux d’envie, ne jamais se retenir sans bonne raison, avoir une position physiologique correcte sur la cuvette (oui, les pieds qui pendent, ça bloque l’expulsion des urines et favorise la constipation…).

Cela consiste aussi à :

  • Favoriser la communication “propre” autour du pipi. Bannir la honte et le secret.
  • S’adapter au rythme de l’enfant (certains sont “prêts” plus lentement, c’est normal !).
  • Éviter les “stratagèmes” (culottes d’apprentissage prolongées, privations de boisson dans la journée, etc.).
  • Insister sur le rôle du transit intestinal : un enfant constipé, c’est un enfant qui peut avoir du pipi qui déborde, tout simplement parce que l’intestin appuie sur la vessie !

En coordonnant son action avec les médecins, enseignants et familles, le kinésithérapeute urinaire fait de l’éducation corporelle un levier de prévention. Il apprend aux enfants à faire de leur corps un allié, pas un adversaire hypocrite ! C’est un peu comme offrir à chacun son “manuel d’utilisation” personnalisé. Pour certains, quelques séances suffiront à changer la donne ; pour d’autres, un suivi régulier sera le gage de la réussite.

Dans la région proche de Liège, Lisa MOENS propose cette éducation préventive dès le plus jeune âge, au cabinet à Esneux. Parce qu’ici, mieux vaut commencer tôt que rattraper tard !

Pour compléter votre approche, découvrez sur le site Kine périnéale et pertes urinaires nocturnes chez l'enfant un article sur les outils complémentaires à la prise en charge.

Vous vous interrogez sur les erreurs classiques à ne pas commettre ? Lisez un autre article sur les erreurs fréquentes des parents face aux troubles urinaires de l’enfant. On y trouve des astuces concrètes pour agir sur l’environnement, l’écoute, les habitudes de vie. Comme quoi, parfois, un simple réaménagement de la routine quotidienne suffit à faire des miracles.

Enfin, qu’on se le dise : la prévention, c’est aussi donner confiance à l’enfant, lui montrer qu’il peut parler, demander de l’aide et progresser à son rythme. On casse l’idée reçue du “c’est la faute à l’enfant”, car chaque histoire est unique… et mérite respect.

FAQ – Questions Fréquentes

Comment savoir si mon enfant doit consulter un kinésithérapeute urinaire ?
Si votre enfant a des accidents urinaires fréquents, le pipi au lit après 6 ans, ou des difficultés à contrôler ses besoins, il est conseillé de consulter. Si ces situations deviennent sources de stress, de honte ou isolent votre enfant, un bilan par un kinésithérapeute urinaire, comme Lisa MOENS à Esneux, est recommandé.

Pourquoi l’éducation corporelle préventive joue-t-elle un rôle clé chez l’enfant ?
L’éducation corporelle permet à l’enfant de se reconnecter à ses sensations, de comprendre son corps et de prévenir l’apparition de troubles urinaires. Elle aide à instaurer des habitudes saines, réduit l’anxiété, et favorise la continence durablement.

Quand commencer la rééducation périnéale si mon enfant fait pipi au lit ?
La rééducation peut débuter dès 5–6 ans si les accidents nocturnes persistent. Plus tôt l’accompagnement commence, plus il est efficace, car il évite l’installation de mauvaises habitudes et de complexes émotionnels.

Faut-il une prescription médicale pour consulter un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant en Belgique ?
Oui, en Belgique, une prescription médicale est généralement nécessaire pour démarrer la kinésithérapie urinaire. Cela permet une prise en charge adaptée, souvent remboursée, surtout chez les praticiens conventionnés INAMI comme Lisa MOENS à Esneux.

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