📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux
📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25
Vous êtes parent et vous entendez parfois parler du périnée ? Ce mot peut paraître lointain ou même anecdotique dans la vie d’un enfant. On l’associe plus fréquemment aux adultes, à la maternité, ou aux soucis intimes du troisième âge. Mais détrompez-vous : le périnée, chez les plus petits comme chez les plus grands, joue un rôle fondamental dans la continence urinaire. C’est un peu comme la fondation invisible d’une maison. Personne ne la voit, mais si elle faiblit, tout vacille.
Imaginez : une digue qui protège un village contre la rivière. Si cette digue est percée, la moindre fuite peut se transformer en inondation. Chez l’enfant, la maturation du périnée emprunte un chemin tout aussi fragile, parfois sinueux, et pourtant essentiel au quotidien. Quand les mécanismes ne sont pas harmonieux, les conséquences se font vite ressentir1 : pipi au lit (énurésie), fuites accidentelles à l’école, anxiété, mauvaises expériences pour l’estime de soi. Ce ne sont pas de simples accidents, ce sont souvent des signaux qu’une aide professionnelle s’impose.
En tant que Kinésithérapeute urinaire chez l’enfant, conventionné INAMI, Mme Lisa MOENS reçoit au cabinet à Esneux des enfants et des ados, parfois dès 5 ou 6 ans, en équipe multidisciplinaire, pour aider à remettre en place ces fameux “freins” musculaires. Car, oui, les muscles du périnée, c’est un système de petits freins bien orchestrés, comme ceux d’un vélo ; s’ils grincent, déraillent ou s'épuisent, les “accidents” ne se font pas attendre.
En Belgique, la prise en charge de ces troubles évolue rapidement, les kinésithérapeutes spécialisés en pédiatrie peuvent suivre les jeunes à l’aide d'exercices adaptés en cabinet ou à domicile, permettant de retrouver contrôle et confiance. Voyager dans le monde du périnée, c’est donc bien plus passionnant qu’il n’y paraît ! Prêt(e) à comprendre ce rôle méconnu, mais ô combien vital ?
Si vous posez la question à des enfants : “À quoi sert le périnée ?”, il y a fort à parier que les réponses iront du sourire gêné au silence perplexe. Et pourtant, tout commence très tôt. Dès la naissance, le périnée existe, mais il n’a pas encore appris à jouer sa partition. Petit à petit, à mesure que l’enfant grandit, le chemin vers la propreté et l’autonomie se précise : ce sont les fameuses étapes “propre le jour”, “propre la nuit”… et parfois, des imprévus sur la route.
Le périnée, c’est en fait un réseau de muscles et de tissus qui ferment la base du bassin, un véritable “hamac” qui soutient les organes pelviens, en particulier la vessie et le rectum. Il fonctionne comme une porte automatique : il doit savoir s’ouvrir au bon moment (pour uriner, aller à la selle), et surtout se refermer avec fermeté le reste du temps, sous le contrôle du cerveau. La continence, vous l’aurez compris, n’est pas uniquement affaire de commandement (“Je veux aller aux toilettes”), mais de coordination fine entre le cerveau, les nerfs, et les muscles du périnée. Un peu comme une chorégraphie invisible que l’on apprend dès les premières années, sans même s’en rendre compte.
Mais pourquoi ce mécanisme déraille-t-il parfois chez certains enfants ? Plusieurs raisons existent :
Le plus important à retenir ? Aucun enfant ne fait “exprès”. Derrière chaque fuite, chaque nuit mouillée, se cache une explication physiologique et/ou émotionnelle. Blâmer ne sert à rien ; comprendre et intervenir, en revanche, peut tout changer. Quand le périnée ne joue plus pleinement ce rôle, on sort vite des rails, et le quotidien devient source de stress… pour l’enfant et toute la famille.
Kinésithérapie périnéale chez l’enfant n’est donc pas une discipline marginale mais un véritable pilier de l’accompagnement, encore trop méconnu. Elle s’adresse à tous ces petits héros (et “grands”) qui luttent en silence contre les fuites et l’embarras. Dans les environs de Liège, Mme Lisa Moens, conventionnée INAMI, travaille main dans la main avec médecins, urologues pédiatriques, psychologues et éducateurs, pour proposer un suivi global centré sur l’enfant et ses besoins.
À ce sujet, les statistiques sont claires : jusqu’à 15% des moins de 7 ans et autour de 5% des pré-adolescents continuent à présenter des troubles urinaires. On parle de centaines d’élèves concernés dans chaque ville, chaque école. Vous n’êtes pas seuls !
Et si, au fond, on parlait du périnée comme d’un chef d’orchestre de la propreté et de la confiance en soi ? Car aider un enfant à apprivoiser ce réseau de muscles, c’est lui donner les clefs d’une tranquillité retrouvée, à l’école comme à la maison.
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Même si le sujet reste tabou, les motifs de consultation en kinésithérapie périnéale pédiatrique sont variés ! Certains parents arrivent désemparés, usés par des nuits hachées, d’autres par des mots d’école, des équipes éducatives. Ces troubles ne sont pas réservés aux tout-petits. Ils peuvent s’inviter chez les enfants jusqu’au collège, parfois même au lycée. Quels sont les scénarios types ?
Voici quelques-unes des situations fréquentes observées proche de Liège :
Les signes doivent alerter, sans jamais stigmatiser. La rééducation sera bénéfique aussi bien pour les “très grands” que les plus jeunes. Résoudre ces accidents, c’est redonner à l’enfant une liberté perdue, éviter la solitude des toilettes isolées ou des vêtements cachés dans le cartable. Les jeunes racontent parfois l’angoisse que ces incidents génèrent dans la vie sociale : refus des pyjamas-party, repli sur soi, peur de “sentir mauvais”, absence aux sorties scolaires. Il y a donc un enjeu émotionnel fort, bien loin des simples couches et lessives !
La kinésithérapie urinaire chez l’enfant est justement pensée pour apprivoiser ces situations sans jugement, grâce à une boîte à outils complète :
Un volet, souvent négligé, est aussi l’attitude à l’école : aménagements, discrétion, carte spéciale, dialogue avec les enseignants. Autant d’outils pour protéger l’estime de l’enfant, éviter les moqueries, cultiver la sérénité. Mme Moens et son équipe, aux alentours de Liège, insistent sur cet aspect souvent tabou.
Vous l’aurez compris : derrière chaque trouble urinaire se cache un parcours unique, mais la première étape reste toujours la même. Parler, expliquer, dédramatiser… et chercher des solutions personnalisées. La magie de la kiné ? Donner à l’enfant les moyens d’agir, là où il se croyait victime. Reprendre le pouvoir.
Question cruciale : comment aider un enfant à “muscler” ce périnée invisible ? Ce n’est pas du sport traditionnel ! Il n’existe pas de “salle d’entraînement du périnée”, ni de médailles olympiques pour la meilleure contraction ! Et pourtant, la rééducation périnéale est tout sauf un parcours médical classique.
L’objectif numéro 1 est de réapprendre à l’enfant ce que son corps sait déjà faire, mais qu’il a, pour une raison ou une autre, oublié ou mal appris. Voilà pourquoi la prise en charge est ultra-pratique, tournée vers l’expérimentation, le jeu et la confiance. Il ne s’agit jamais de “forcer” un muscle, mais de réactiver un réflexe, comme on réapprendrait à faire du vélo après une chute.
Quelques exemples concrets de ce qui attend votre enfant en séance de kinésithérapie périnéale :
Cette approche multidisciplinaire, associant médecin, éducateur, psychologue si besoin, garantit un résultat solide et durable. Il n’est pas rare que des enfants retrouvent calme nocturne et journées sans accident en quelques semaines. Parfois, il faut quelques mois, notamment si un autre trouble (constipation, anxiété) se cache derrière les fuites.
À Esneux, Mme Lisa MOENS assure le suivi au cabinet ou propose, selon les cas, une intervention à domicile. Cela rassure certains enfants, qui préfèrent travailler dans leur univers familier. En Belgique, l’aspect conventionné INAMI est précieux : il permet une prise en charge financière adaptée, évitant de renoncer aux soins pour raison de coût.
En kinésithérapie périnéale pour enfant, aucun jugement ; tout est bienveillance. Le parent accompagne, observe les progrès, consolide l’estime de son enfant. Le kiné, tel un coach, donne des astuces, encourage et célèbre chaque étape. Rien de tel qu’un “ça y est, j’ai passé toute la semaine sans accident” pour lire dans les yeux de l’enfant ce mélange de fierté, de soulagement et peut-être… une première victoire sur soi.
Bien sûr, chaque parcours est différent. Mais on voit souvent, dès les premiers exercices, les bénéfices qui dépassent la simple zone intime : meilleure gestion du stress, confiance en soi, relations apaisées à l’école, retour à une vie sociale normale. Car, au fond, la propreté, ce n’est pas juste “ne plus mouiller son lit”, c’est aussi retrouver la liberté d’être soi, sans peur du regard ou du jugement des autres.
C’est la question qui revient sans cesse : “À quel moment doit-on s’inquiéter ?” Faut-il attendre “que ça passe” ? Certains médecins rassurent en disant que “ça se réglera seul”. D’autres proposent des traitements médicaux rapides. La réalité, c’est qu’il n’y a pas d’âge “limite”. Dès que la situation devient source de gêne, de repli, de tension familiale, il est temps d’agir.
L’expérience montre que plus la prise en charge est précoce, plus les résultats sont rapides. Il n’est jamais “trop tôt” pour commencer la rééducation, mais il vaut mieux ne pas attendre que la honte s’installe.
La bonne nouvelle ? Dans la majorité des cas, quelques séances suffisent à initier une vraie dynamique : l’enfant apprend, progresse, y prend même parfois goût. Les familles témoignent souvent d’un climat apaisé, d’un regain de dialogue (“on en parle enfin !”). En résumé ? Comme pour tout apprentissage, c’est l’écoute, la patience et la bienveillance qui font la différence.
Dans les alentours de Liège, la consultation de Mme Lisa MOENS au cabinet ou à domicile reste l’une des adresses de référence. A chacun son chemin, mais tous bénéficient de l’écoute personnalisée, d’une pédagogie adaptée à l’âge et à la personnalité de l’enfant. Consultation individuelle ou travail en lien avec d’autres professionnels (pédiatre, psychologue, éducateur). C’est l’esprit de la rééducation fonctionnelle du périnée : sur-mesure, rassurant, évolutif.
Si votre enfant présente encore des accidents urinaires après l’âge de 5 ans, souffre de pipi au lit fréquent ou de fuites pendant la journée, ou si cela change son comportement (isolement, peur de l’école), il est conseillé de consulter un kinésithérapeute spécialisé. La prise en charge précoce améliore le pronostic et limite l’impact sur le bien-être.
Le contrôle du périnée dépend de plusieurs facteurs : maturité neurologique, apprentissage de la propreté, contexte émotionnel, et parfois même hérédité. Des troubles comme l’anxiété ou la constipation peuvent aussi perturber cette zone. Un bilan en kinésithérapie urinaire permet d’identifier les causes et de proposer des solutions adaptées.
Dès que les troubles urinaires persistent, réapparaissent ou deviennent sources de malaise chez l’enfant ou la famille, il est recommandé de consulter rapidement. Les professionnels comme Mme Lisa MOENS à Esneux, conventionnée INAMI, travaillent en réseau pour une prise en charge multidisciplinaire sur-mesure, y compris aux alentours de Liège.
Oui, la présence et l’encouragement des parents sont souvent capitales lors des premières séances. Cela rassure l’enfant et permet de comprendre les exercices à reproduire à la maison. L’implication familiale renforce le succès de la rééducation périnéale et redonne confiance à l’enfant au fil des séances.