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Imaginez, c’est le soir, le repas vient de finir et soudain… votre enfant file en courant aux toilettes. Ça arrive aux petits, dites-vous ? Mais si cela dure, que les accidents se multiplient – surtout à l’adolescence – cela mérite qu’on s’y attarde. Troubles urinaires chez l’enfant et l’adolescent : on pense spontanément au pipi au lit, aux fuites involontaires en journée, mais aussi à cette gêne qui s’installe, parfois au collège ou même au sport. Beaucoup de familles cherchent longtemps la solution, oscillant entre explications psychologiques et recherche de maladie cachée. Or, dans bien des cas, il s’agit d’un vrai souci fonctionnel… que la kinésithérapie urinaire peut prendre en charge.
Prenons un chiffre simple : plus de 15% des enfants de 5 à 7 ans souffrent encore d’énurésie (le fameux pipi au lit). Et à 10 ans, ils sont encore 3 à 4% à faire face à cette difficulté. Ce n’est pas “si rare”, contrairement à ce que vous pourriez penser. Les troubles sont variés : mictions urgentes, fuites à l’effort, fuites la nuit, difficultés à retenir. Chez l’ado, cela peut gêner la vie sociale, avec parfois un repli, voire de la honte ou de la colère envers son propre corps.
Pourquoi le système urinaire, si bien programmé chez le bébé, devient-il parfois “capricieux” en grandissant ? Chaque parcours est unique, mais souvent, il s’agit d’un apprentissage incomplet des bons réflexes périnéaux, d’un dérèglement des signaux cerveau-vessie ou d’une gestion émotionnelle perturbée. Autre souci : certains enfants, absorbés par le jeu, “oublient” d’aller aux toilettes, même si leur corps signale l’urgence. En grandissant, ce sont les contraintes scolaires, sportives, ou la peur de la moquerie qui viennent s’ajouter.
C’est là qu’intervient le rôle tout particulier du kinésithérapeute urinaire pour enfants , conventionné INAMI. Cette approche, encore méconnue il y a quelques années, s’est imposée comme une solution douce, respectueuse de l’enfant, et basée sur des preuves scientifiques solides. Le métier reste rare : il existe peu de professionnels formés spécifiquement à ce domaine en Belgique. Lisa MOENS, exerce justement à Esneux avec une expertise toute particulière et une approche multidisciplinaire de la prise en charge. Pédiatre, urologue, psychologue, psychomotricien échangent alors au service de l’enfant… et de sa famille.
La kinésithérapie urinaire, ce n’est pas “juste refaire du sport pour la vessie”. Il s’agit d’apprendre, de réapprendre et surtout de jouer avec les signaux corporels pour les écouter, les apprivoiser. C’est redonner confiance à un enfant dans ses possibilités : des outils simples, parfois ludiques, des exercices adaptés à chaque âge et des conseils sur l’hygiène de vie. Parfois, il s’agit aussi de casser de mauvaises habitudes (retiens-toi jusqu’à la pause, dépêche-toi, bois le moins possible en journée... ces petits gestes qui perturbent la mécanique fragile de la continence).
À quoi sert alors le bilan chez un kiné périnéal pédiatrique à Esneux? D’abord, à faire le point précisément sur le trouble. Est-ce un problème de maturation ? De posture ? Un geste périnéal mal acquis, un souci du muscle ou du plancher pelvien ? Parfois, une petite évaluation suffit à mettre à jour des pièges simples, et la rééducation commence. Le traitement ? Doux, adapté, et toujours dans le respect du rythme de l’enfant. Vous verrez, au fil des séances, le découragement peut laisser place à la confiance retrouvée.
Concrètement, pourquoi consulter ? Parfois, c’est le médecin référent (pédiatre, généraliste, urologue) qui vous oriente. Mais ce sont aussi les parents observateurs qui notent des signaux d’alerte. Jetons-y un œil. Parfois discret, le trouble urinaire se glisse dans une routine familiale sans alarmer : quelques pantalons “mouillés” après l’école, votre enfant qui court aux toilettes mais arrive trop tard... Ou une fratrie où “on s’inquiète moins”, persuadé que ça passera avec l’âge. Et pourtant : une consultation précoce permet souvent d’éviter la chronicité.
Les motifs fréquents de consultation sont très variés :
Certains parents se sentent démunis, doutent, voire culpabilisent. “Ai-je tardé à enlever les couches ?”, “Est-ce ma faute s’il/elle fait encore pipi au lit ?”… Rassurez-vous : la cause est rarement psychologique. Mais le stress, la fatigue ou un changement de rythme (rentrée, déménagement, séparation des parents…) peuvent favoriser ou aggraver le trouble. Dans un quart des cas, il existe une histoire familiale de troubles de la continence. Héritage génétique ? Oui, mais pas irréversible.
Le regard du spécialiste, lui, est bienveillant et pragmatique. Le kinésithérapeute urinaire, c’est un peu ce “coach” discret du périnée, qui observe la posture sur les toilettes, détecte une mauvaise coordination des abdos, ou explique aux plus petits que “pousser fort” n’est pas toujours la solution. Le tout, souvent, en jouant : chasse aux ballons, jeux de souffle, exercices de respiration adaptés. Les consultations en cabinet à Esneux, ou même à domicile aux alentours de Liège, sont pensées pour mettre l’enfant à l’aise, rassurer les parents, et former… une équipe.
Petit témoignage d’une famille (proche de Liège) : “Notre fille avait de fréquents accidents à l’école, elle n’osait pas demander à la maîtresse et rentrait toujours anxieuse. Après trois séances avec Lisa MOENS, elle a appris à reconnaître les signaux de sa vessie et applique maintenant les ‘astuces pipi’ au quotidien. Sa confiance a changé, à l’école, elle ose en parler. Et les incidents ont disparu ! ” Comme quoi, une solution douce vaut mieux qu’un dialogue de sourds ou un sentiment d’échec.
Pour mieux comprendre comment la prise en charge kinésithérapique peut s’inclure dans une approche multidisciplinaire, n’hésitez pas à consulter l’article sur le rôle des parents lors de la rééducation périnéale pédiatrique. Vous y verrez que la famille a toute sa place dans ce chemin vers la continence retrouvée.
De nombreux enfants souffrent de troubles urinaires aux alentours de Liège, parfois ignorés, parfois traités “à la dure”. La kinésithérapie urinaire, elle, choisit la douceur, la patience et les progrès à petits pas. C’est l’engagement quotidien de Lisa MOENS, kinésithérapeute spécialisée chez l’enfant et l’adolescent, conventionnée INAMI, pour qui chaque petite victoire compte.
Ici, oubliez les idées reçues : non, la kiné urinaire chez l’enfant ce n’est pas “faire du sport pour muscler la vessie”. C’est plus subtil : il s’agit d’une éducation, d’une transmission, souvent ludique, des bons réflexes et des nouvelles sensations. Chaque séance va comme un détective, chercher les failles. L’enfant ne connaît pas toujours son corps : il faut apprendre à “sentir” quand la vessie est pleine, apprendre à détendre le périnée, ou à ne pas pousser n’importe comment. Cela peut paraître évident… jusqu’au jour où vous vous rendez compte que, pour votre enfant, ce n’est pas si naturel !
Quelques outils de la kiné urinaire :
Vous l’avez compris, la kinésithérapie urinaire mêle à la fois science, pédagogie et empathie. Ce n’est pas que du corps à corps, c’est aussi une grande part de psychologie, surtout chez l’enfant qui a honte ou qui a peur du jugement à l’école. Quand on transforme l’apprentissage en jeu, on dédramatise. Quand on explique avec des mots simples, l’enfant devient acteur de son propre progrès. Que ce soit pendant la rééducation périnéale effectuée en jeux (épatante chez les petits !) ou dans le cadre d’une rééducation structurée pour l’adolescent, cette démarche nourrit l’estime de soi.
Autre aspect clé : l’approche multidisciplinaire. Lisa MOENS travaille souvent en lien avec les pédiatres, les urologues infantiles, mais aussi (quand c’est utile) des psychomotriciens ou des psychologues spécialisés. Parfois, c’est la coordination des acteurs de soin qui permet une amélioration durable. Un enfant aux besoins spécifiques trouvera sa place, sans culpabilisation ni stigmatisation.
Vous hésitez à consulter pour votre enfant qui “pense arriver trop tard à chaque fois” ? Sachez que plus la prise en charge est précoce, moins le cercle vicieux s’installe. Beaucoup d’accidents urinaires non traités deviennent sources de stress, d’évitement scolaire, de repli sur soi. Des études montrent que la rééducation fonctionnelle de la vessie, même débutée tardivement, permet un retour à la continence stable dans plus de 85% des cas. Ce n’est pas un miracle, juste une pédagogie douce et respectueuse.
Parfois, il faut du temps, parfois les progrès sont rapides. Ecoutez ce que disent les jeunes patients : “J’ai pu aller en classe de neige sans accident.” “J’ai enfin osé retourner au foot.” Des petites victoires, impossibles sans cette alliance thérapeutique entre l’enfant, ses parents… et le kiné.
Ne négligez pas l’importance de l’éducation à l’école : un contact avec l’infirmière scolaire, quelques conseils à l’équipe éducative, peuvent transformer la routine et éloigner la honte. On n’imagine pas tous les pièges du fameux “petit coin” à la récré : files d’attente, portes sans verrou, moqueries… Une erreur classique ? Limiter l’accès à l’eau sous prétexte de “contrôler le problème”. Au contraire, la bonne hydratation est la clé d’un apprentissage réussi !
Curieux d’en savoir plus sur l’implication des parents ? Retrouvez l’article de fond sur l'importance du rôle parental lors de la rééducation périnéale chez l’enfant. Car la continence, c’est aussi un travail d’équipe, patiemment construit à domicile et en cabinet.
Souvent, l’histoire familiale révèle d’autres membres qui ont traversé ce chemin – mais n’en ont jamais parlé ! Parfois, ce sont les frères et sœurs qui aident, soutiennent, et permettent une approche positive, loin du tabou.
La kinésithérapie, dans ce contexte, joue le rôle du chef d’orchestre invisible, qui accorde chaque “instrument” du corps. Le périnée d’un enfant n’est pas celui d’un adulte : il faut finesse, patience et écoute. Parfois, la simple correction d’une mauvaise posture ou le réapprentissage du “ressenti” modifie profondément le rapport de l’enfant à son corps, sa confiance et sa capacité à grandir sans complexes.
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Vous vous demandez comment se passe, en pratique, un rendez-vous chez un kinésithérapeute urinaire pour enfants et adolescents ? Pas de mystère, ni d'examens invasifs : tout se fait dans la confiance, à votre rythme. Habituellement, un premier contact téléphonique ou médical oriente vers la consultation au cabinet à Esneux, avec possibilité, dans certains cas, de suivi à domicile (notamment pour les enfants à mobilité réduite).
La première séance ? On écoute, on questionne, on décrypte les habitudes : fréquence des pipis, contexte des accidents, antécédents médicaux ou familiaux. On recueille aussi la parole de l’enfant : “Qu’est-ce qui te gêne ?”, “As-tu déjà peur de certains moments ?”, “Comment ça se passe à l’école ?” Parfois, des petits dessins ou jeux facilitent le dialogue avec les plus jeunes. À ce stade, pas de jugement, chacun avance à son rythme.
Le bilan se poursuit par des observations simples : posture, respiration, tonus abdominal et périnéal. Parfois, quelques manœuvres très douces, jamais douloureuses. C’est une évaluation fonctionnelle : où en sont les automatismes ? Y a-t-il des “blocages” ? Peut-on proposer rapidement des petits changements, des exercices faciles à refaire à la maison ? L’objectif n’est pas la performance, mais la confiance. À chaque séance, on adapte, on ajuste, et on encourage, toujours dans le respect de l’enfant.
Le rôle de Lisa MOENS ? Être le maillon entre l’enfant, la famille, et parfois l’école ou d’autres professionnels de santé. Conventionnée INAMI, elle permet un accès facilité aux soins pour tous, sans dépassement d’honoraires. Sa spécialité n’est pas seulement médicale : elle possède une vraie expérience dans le dialogue avec les ados, souvent plus pudiques. Elle sait reconnaître – et accompagner – les troubles associés, comme le stress, la timidité excessive ou un petit retard psychomoteur.
La durée du suivi est variable : certains enfants progressent en 3 à 5 séances, d’autres mettent plusieurs mois à intégrer leurs nouveaux “codes corporels”. L’important ? Ne jamais brusquer. Chaque progrès, même minime, participe à la victoire finale.
Un point clé : la famille retrouve rapidement un rôle apaisé. Les crispations, les conflits autour des “accidents”, s’estompent peu à peu. Les parents comprennent comment ils peuvent aider sans culpabiliser, instaurer un climat de confiance et, surtout, relâcher la pression. Car l’enfant sent tout : la honte, le stress, la peur d’échouer ! Un climat familial détendu favorise la réussite du parcours.
N’oubliez pas, la kinésithérapie urinaire n’est pas réservée aux cas “graves”. Trop de familles attendent la dernière minute. Dès que la gêne s’installe, que votre enfant retient trop longtemps ou évite les activités de groupe, c’est le bon moment pour agir. Pour aller plus loin, lisez sur les erreurs fréquentes des parents face aux troubles urinaires pour comprendre l’intérêt d’un accompagnement précoce. Parfois, un simple conseil de posture ou un agenda mictionnel fait toute la différence.
La prise en charge est également adaptée à l’adolescent : parfois, il s’agit d’aborder la question “intime” des fuites à l’effort, de la peur de sentir l’odeur d’urine ou de ne pas être “comme les autres”. La kinésithérapie, alors, devient un espace neutre où la parole se libère, loin des jugements du groupe scolaire.
Et après ? Quelques contrôles de suivi, des conseils pour prévenir les récidives (hydratation, hygiène, activité physique régulière), parfois un lien avec le suivi scolaire. L’objectif dépasse la simple disparition des accidents : il s’agit de prévenir les réapparitions à l’adolescence, de renforcer l’autonomie, et d’éviter le risque (réel) d’isolement social.
En Belgique, on observe une vraie progression de la spécialisation des kinésithérapeutes en périnéologie pour enfants et adolescents. Les réseaux se structurent, les familles trouvent plus facilement de l’aide, même pour des troubles “légers” mais gênants. Pourtant, un grand nombre de patients restent encore sans solution, parfois par méconnaissance des ressources existantes, parfois par excès de pudeur (“Il/elle finira bien par contrôler son pipi tout seul…”). Mais est-il si facile de changer ses habitudes sans accompagnement ? La kiné urinaire propose une voie médiane : ni médicalisation à outrance, ni laisser-faire fataliste. Juste un pas de côté, pour investir le corps autrement.
Lisa MOENS intervient dans le secteur de Esneux et des alentours de Liège, territoire où le besoin est fort : nombreuses écoles, population jeune, mais aussi un manque d’équipements publics adaptés pour accompagner les enfants porteurs de troubles fonctionnels. C’est le maillon manquant, entre le “tout psychologique” et la médicalisation excessive.
L’assurance de la prise en charge conventionnée INAMI, les liens tissés avec les autres soignants, la pédagogie et l’expérience de l’accompagnement parental font de ce suivi un véritable atout. Les familles gagnent en sérénité, les enfants retrouvent leur liberté. Ce gain de confiance, difficile à mesurer mais toujours perceptible, vaut bien plus qu’un simple “traitement” !
Vous voulez aller plus loin sur la question des cystites et des infections urinaires ? Découvrez l’article sur la rééducation périnéale et la cystite pour comprendre les liens parfois méconnus entre hygiène, continence et infections.
Pour conclure, rappelez-vous de ceci : la kinésithérapie urinaire chez l’enfant et l’adolescent est une démarche douce, respectueuse, mais diablement efficace. Elle s’adresse à toutes les familles, à tous les âges, et offre bien plus qu’une simple “pause pipi” : elle redonne confiance, autonomie et envie de grandir sans tabou.
Quand consulter un kinésithérapeute urinaire pédiatrique pour mon enfant ?
Il est conseillé de consulter dès que vous constatez des fuites urinaires fréquentes, une énurésie persistante au-delà de 5 ans, ou si votre enfant montre des signes de gêne ou d'évitement des toilettes. Une prise en charge précoce permet d'éviter l'installation de troubles chroniques et favorise un retour rapide à une vie sereine.
Comment se passe une séance de kinésithérapie urinaire pour enfant chez Lisa MOENS ?
La séance débute par un entretien pour comprendre les habitudes et le contexte familial, puis par une évaluation fonctionnelle tout en douceur (posture, respiration, tonus pelvien). Les exercices sont adaptés à l’âge, souvent ludiques, pour que l’enfant apprenne à mieux sentir et contrôler son corps, toujours dans un climat de confiance.
Pourquoi choisir la kinésithérapie urinaire plutôt qu’un traitement médical ?
La kinésithérapie urinaire offre une approche non-médicamenteuse qui cible directement les causes fonctionnelles, en aidant l’enfant à acquérir de meilleurs réflexes et à reprendre confiance. Elle se combine parfois avec d’autres suivis médicaux, mais évite souvent la prescription de traitements inutiles.
Faut-il un avis médical ou une prescription pour débuter la kiné urinaire en cabinet ?
En Belgique, il est recommandé d’avoir une prescription de votre pédiatre ou médecin traitant pour débuter la rééducation chez un kinésithérapeute conventionné INAMI, comme Lisa MOENS. Ceci assure un suivi coordonné et permet une prise en charge optimale adaptée à la situation spécifique de votre enfant.