KinésithérapeuteKinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Vous venez de traverser une pneumonie ou une grippe sévère ? Vous vous sentez encore essouflé(e), fatigué(e) au moindre effort, la cage thoracique comme nouée ? Très fréquent ! Ce que l’on néglige, c’est l’impact des infections respiratoires sur notre corps, même après la phase aiguë. Il existe pourtant une réponse efficace, peu connue du grand public : la kinésithérapie respiratoire.
Imaginez vos poumons comme un orchestre. Une grippe, c’est comme si une baguette tombait sur tout le pupitre. Rien ne fonctionne optimalement, la respiration se désorganise. La kinésithérapie va remettre tout le monde au diapason, instrument après instrument, geste après geste, souffle après souffle.
À Esneux, aux alentours de Liège, beaucoup ignorent que consulter un kinésithérapeute spécifiquement formé en kiné respiratoire peut faire toute la différence dans le “retour à la vie normale”. Encore plus après une longue hospitalisation ou si vous souffrez déjà d’autres pathologies respiratoires, cardiaques ou chroniques. En Belgique, le parcours de soins est souvent coordonné, la kiné travaille avec le médecin traitant mais aussi l’infirmier(e) ou le pneumologue. Vous n’êtes pas seul.e.
Dans cet article, nous allons vous expliquer concrètement ce qu’est la kinésithérapie respiratoire en post-infection, pourquoi elle est essentielle, comment se déroulent les séances et quels résultats peuvent être espérés. Nous le ferons avec transparence, sans langue de bois, en abordant également l’accompagnement à domicile, car tout le monde n’a pas l’énergie de venir au cabinet après une telle épreuve.
Vous allez voir, il y a de vraies solutions pour retrouver souffle, mobilité et énergie. Que vous ayez 25 ou 85 ans. Commençons sans plus attendre !
Seules les personnes qui l’ont vécu le savent : une pneumonie ou une grippe sévère ne “passe” pas simplement avec un peu de repos. L’infection laisse des traces durables, parfois invisibles au départ. Ça commence souvent par une toux lancinante, un souffle court au moindre escalier, la sensation d’être continuellement “encrassé”. Parfois, le simple fait de prendre une grande inspiration déclenche une gêne, voire une douleur. Vous vous reconnaissez ?
Mais pourquoi se sent-on autant diminué ? L’inflammation provoquée par l’infection altère la fonction des alvéoles pulmonaires. Le mucus s’accumule, les voies aériennes s’épaississent, la cage thoracique se rigidifie. Cela peut durer des semaines, voire des mois. La force musculaire s’effondre, la respiration devient superficielle, inefficace.
Et puis, il y a la fatigue chronique. “C’est dans la tête”, pensent certains. Erreur : c’est dans les poumons, d’abord. Le corps doit redoubler d’efforts pour maintenir un niveau normal d’oxygène. Comme courir un marathon en pantoufles chaque matin…
La kinésithérapie respiratoire va, ici, jouer un rôle clé. Elle vise trois objectifs :
À Liège, plusieurs patients consultent pour des suites d’infections pulmonaires. Le bouche-à-oreille fonctionne : “Lucas m’a aidé à retrouver mon souffle quand je n’arrivais même plus à balayer mon salon.”
Mais ce n’est pas que du bon sens ou de l’empirisme. Les études scientifiques l’attestent : une réadaptation précoce, personnalisée, diminue le risque de complications secondaires (fibrose résiduelle, bronchites chroniques, pneumopathies à répétition… voir les références ci-dessous). On évite bien des hospitalisations, des arrêts maladie prolongés, et surtout… des années de vie gâchées.
Pour les personnes âgées ou polypathologiques (cardiaques, diabétiques, insuffisants respiratoires…), la kiné respiratoire participe de la prévention des décompensations. On l’oublie trop souvent ! Les techniques utilisées sont adaptées à l’état de chacun (massage, drainage, exercices respiratoires, reconditionnement à l’effort). Et tout cela ne se résume pas à “souffler dans un ballon” !
Enfin, l’accompagnement individuel joue un rôle motivant : sortir de l’isolement psychique, transformer la fragilité en capacité d’action. Une main tendue professionnelle et empathique.
Le mot “kiné respiratoire” évoque encore parfois, à tort, la seule image du bébé enrhumé tapoté sur le dos. Mais chez l’adulte, tout change. Le thérapeute dispose d’un arsenal d’outils bien plus large, et c’est la combinaison de techniques qui fait la réussite.
1. Drainage bronchique (manuel et mécanique) : Des techniques manuelles permettent de mobiliser les sécrétions profondes et d’aider leur évacuation. Les gestes sont doux, adaptés à la fragilité de chacun. On utilise votre gravité (positions allongées sur le côté, sur le ventre) pour aider les sécrétions à “couler” vers la trachée. Si besoin, des appareils (cages vibrantes, oscillateurs mécaniques) renforcent l’action.
2. Techniques d’expirations lentes : La base ! Souvent enseignée à l’aide de petits exercices d’expiration prolongée. Ces manœuvres font travailler le diaphragme, expulsent naturellement les déchets respiratoires, réapprennent aux muscles respiratoires à fonctionner harmonieusement. Pas besoin d’être sportif !
3. Reconditionnement à l’effort : Très vite, le travail musculaire global reprend le dessus. La respiration, c’est un tout. Progressivement, le kinésithérapeute conventionné INAMI met en place des exercices posturaux (assis, debout, marche…), adaptés à chaque cas. Le but : éviter la fonte musculaire, retrouver la confiance dans son corps, remobiliser la cage thoracique.
4. Étirements thoraciques : Après une infection, le thorax devient rigide, douloureux. Par des étirements et mobilisations douces, on assouplit les côtes, le sternum, les articulations costo-vertébrales. Comme huiler un vieux mécanisme. Rapidement, le patient respire plus librement.
Parfois, vous aurez l’impression d’avoir été “dérouillé”. Et c’est positif !
5. Apprentissage de l’auto-drainage : Pour ceux ou celles qui souffrent d’infections à répétition ou de pathologies pulmonaires chroniques (asthme, BPCO), le but est d’apprendre à pratiquer certains exercices chez soi. Le kiné devient coach du quotidien : la sollitude laisse place à l’autonomie. Précieux entre deux rendez-vous, ou par mauvais temps.
6. Relaxation respiratoire et travail sur l’anxiété : On sous-estime le stress né de l’essoufflement. La kiné respiratoire sait aussi s’appuyer sur la relaxation (respiration consciente, pleine conscience, techniques inspirées du yoga…).
7. Conseils posturaux et ergonomiques : Marcher en tenant le dos courbé, rester alité, c’est offrir un terrain propice aux récidives. L’éducation du patient est alors essentielle : gestes du quotidien, reprise progressive de l’activité, accompagnement pour limiter le risque de retomber malade.
Vous voulez un exemple ? Lucie, 64 ans, raconte : “Je croyais ne jamais réussir à remonter une volée d’escaliers après ma pneumonie. En trois semaines avec Lucas, j’ai pu refaire mes courses seul et préparer les crêpes pour mes petits-enfants.” C’est ça, la magie de la kinésithérapie respiratoire moderne.
Vous doutez encore de l’efficacité ? Consultez le top 10 des raisons de consulter un kinésithérapeute : les suites de pneumonie y figurent en bonne place.
Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Vous vous demandez : “Dois-je me déplacer, attendre des semaines avant d’être pris en charge ? Est-ce que la kiné, c’est pour moi ?” On l’entend souvent. Voici les étapes d’un suivi typique avec un kinésithérapeute conventionné INAMI comme Lucas Wauters, que ce soit au cabinet à Esneux ou lors de séances à domicile dans la région à Liège.
Première étape : Bilan personnalisé. Cette première rencontre n’est jamais bâclée. On écoute votre histoire, on s’intéresse à votre vécu de la maladie, vos antécédents (opérations, maladies chroniques, douleurs musculo-squelettiques déjà présentes…). Vient ensuite le test clinique : analyse du souffle, force musculaire, souplesse thoracique. Quelques mesures objectives : fréquence respiratoire, saturation, essoufflement à l’effort (petite marche, épreuve de montée d’escaliers…). Le bilan guide le plan d’action, pour éviter la routine stérile.
Seconde étape : Mise en place des séances. En cabinet ou à domicile (particulièrement important pour les patients plus âgés ou en retour d’hospitalisation : voir cet article sur la kiné à domicile). La fréquence est adaptée, en général 2 à 5 séances par semaine selon l’état initial. Les exercices sont personnalisés, parfois à l’aide de petits outils ou de matériel portable (ballons, tubes, appareils d’exercices respiratoires, etc.).
Entre deux séances, des conseils pratiques sont donnés : gestion de la toux, postures idéales, hydratation, surveillance des signes d’alerte (fièvre, aggravation de l’essoufflement, etc.). La liaison avec votre médecin traitant est continue : il n’y a pas de solution miracle, mais une démarche multidisciplinaire.
Une caractéristique forte du suivi à Esneux : la disponibilité réelle. Lucas Wauters accorde une importance au lien tissé, ce qui optimise la motivation du patient et donc les résultats. On l’appelle, il rappelle. On prend peur, il rassure et adapte. Sur la route du souffle retrouvé, ce n’est pas négligeable.
Spécificité du suivi dans les alentours de Liège : la kiné respiratoire s’adapte à tous les âges et à tous les profils. Que vous rentriez d’une hospitalisation pour pneumonie, que vous ayez un terrain asthmatique ou de la broncho-pneumopathie chronique (BPCO), si vous êtes victime d’une “grosse grippe” avec complications, l’accompagnement sera précis, jamais standardisé. C’est toute l’importance d’un professionnel local, formé, en lien avec les autres acteurs de santé du secteur.
Votre rôle dans tout cela ? Être acteur.rice de votre guérison. Le kiné vous encourage, vous guide, mais c’est votre implication au long des semaines qui permet des changements profonds et durables. On avance en duo.
Et pour les proches ? Le kinésithérapeute n’hésite pas à expliquer : “Votre mari fatigue vite, c’est NORMAL. Laissez-le récupérer, encouragez-le doucement, sans le pousser à bout.” Car la famille joue un rôle : prévenir la rechute, soutenir sans juger, sécuriser le quotidien.
Vous hésitez encore ? Vous trouverez de nombreux témoignages sur les bénéfices d’une consultation à domicile.
Voilà LA question que tout le monde se pose. Et la réponse, comme souvent, n’est ni toute blanche ni toute noire. Les progrès dépendent de nombreux facteurs : sévérité de l’infection, état de santé général, âge, motivation… Mais une chose est sûre, TOUS les patients constatent une amélioration, parfois spectaculaire. Un exemple de plus : Jean, 51 ans, entrepreneur, a repris la randonnée 4 semaines seulement après une pneumonie sévère. “Sans Lucas, je serais resté cloué au canapé. Je remonte aujourd’hui les kilomètres comme avant.”
Sur le plan respiratoire, la kiné vise :
Et sur le plan psychologique ? Immense bénéfice rarement mesuré. Le patient reprend confiance en lui, sort du cercle vicieux anxiété-isolement-rechute. L’apaisement retrouvé se lit sur le visage. Parfois, cela vaut tous les médicaments.
Petites astuces en plus qui font la différence :
Et surtout… anticipez ! La rééducation ne sert pas qu’à “rattraper”. Elle est aussi préventive. On publie d’ailleurs de plus en plus d’études montrant que la kiné respiratoire régulière réduit le risque de récidive grave. On gagne du temps de vie, on évite des complications inutiles.
C’est exactement ça, le message : prendre soin de son souffle, c’est protéger son avenir. Comme on promène son chien pour entretenir ses jambes.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la prise en charge multi-professionnelle (post-chirurgie, chroniques, etc.), explorez aussi cet article sur la kinésithérapie des douleurs chroniques ou sa déclinaison pratique sur le site Consultations-Liège.
Comment savoir si je dois commencer la kinésithérapie respiratoire après une pneumonie ou une grippe ?
Si vous ressentez un essoufflement anormal, une toux persistante, des douleurs dans la poitrine ou une fatigue inhabituelle après une infection, la kiné respiratoire est vivement recommandée. Il est utile de consulter votre médecin ou un kinésithérapeute conventionné INAMI pour évaluer vos besoins.
Pourquoi la kiné respiratoire peut-elle m’aider à récupérer plus vite ?
La kinésithérapie respiratoire aide à éliminer les sécrétions, à restaurer la mobilité thoracique et à renforcer les muscles respiratoires. Cela optimise l’oxygénation, réduit la fatigue et accélère donc la récupération après une pneumonie ou une grippe sévère.
Quand consulter un kinésithérapeute respiratoire à domicile ?
Il est recommandé de consulter à domicile si vous êtes trop faible pour vous déplacer ou en retour d’hospitalisation. La prise en charge à domicile est également idéale pour les personnes âgées ou atteintes de maladies chroniques pour leur éviter tout risque supplémentaire.
Faut-il continuer la rééducation longtemps après avoir retrouvé une respiration normale ?
Généralement, il est conseillé de poursuivre quelques semaines pour consolider les acquis et prévenir les rechutes. Des exercices simples pourront ensuite être réalisés en autonomie sur le long terme, après l’arrêt des séances intensives.
Pour tout renseignement ou une prise en charge rapide, n’hésitez pas à contacter Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters à Esneux.
Spruit MA, et al. “Physical rehabilitation in adults after hospitalisation for COVID-19 infection.” The Lancet Respiratory Medicine, 2020. – Résumé : Importance de la réadaptation respiratoire après hospitalisation pour diminuer séquelles et améliorer autonomie, extrapolable aux autres pneumopathies.
McWilliams D, et al. “The role of physiotherapy and exercise in pulmonary rehabilitation.” Respiratory Medicine, 2016. – Résumé : Les exercices spécifiques et la réhabilitation améliorent significativement le pronostic après infections respiratoires aiguës.
Hernandez MT, et al. “Benefits of physical exercise training in patients with chronic obstructive pulmonary disease.” Respiratory Medicine, 2015. – Résumé : Les techniques de kiné respiratoire améliorent la force musculaire, la ventilation et réduisent les hospitalisations.
Ambrosino N, et al. “A’la carte’ rehabilitation after COVID-19 will be needed.” Respiratory Physiology & Neurobiology, 2020. – Résumé : Les experts recommandent une prise en charge rééducative personnalisée après toute atteinte respiratoire sévère, basée sur la kinésithérapie, pour un meilleur rétablissement.