Psychologue pour Dames, Psychologie fémininePsychologue – Mme Diane Perrot
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous vous levez un matin, préparez les enfants, filez au travail, jonglez avec les tâches, souriez devant les collègues. Tout semble bien, mais à l’intérieur, vous avez cette impression étrange : « Qui suis-je devenue ? » Lorsqu’on devient femme, puis maman, puis parfois les deux à la fois, notre identité peut soudain sembler flotter dans le brouillard.
À Esneux et aux alentours de Liège, de nombreuses femmes confient ce sentiment. Il ne s’agit pas d’un « simple passage ». Non, c’est parfois un vrai raz-de-marée intérieur. Perte de repères, d’envies, d’assurance. L’image que vous aviez de vous-même avant, pouf, volatilisée. Vous êtes une autre ? Mais qui ?
Cette transformation identitaire – profonde, parfois silencieuse – est au cœur de la psychologie au féminin. Elle touche toutes les femmes : jeunes adultes, mères débutantes, quadra en quête de renouveau. Pourquoi ce changement est-il si bouleversant ? Comment retisser son identité à travers les épreuves, les cycles de vie, et les émotions invasives ? C’est ce voyage parfois chaotique que nous allons explorer ici, armés de bienveillance… et de beaucoup d’humanité.
Vous souvenez-vous de vous, à 15 ans ? À 25 ? Peut-être juste avant la maternité, ou au début d’une vie de couple. L’identité paraît solide, presque inébranlable. Puis, petit à petit – ou parfois d’un seul coup – elle vacille. Chez les femmes, ce sentiment de « ne plus se reconnaître » survient souvent à des étapes-clefs : devenir adulte, tomber enceinte, accoucher, mais aussi lors d’un divorce, d’une reprise d’études ou d’un passage à la ménopause.
C’est comme si la maison que vous aviez patiemment construite en vous-même prenait l’eau. Vos passions d’hier ne résonnent plus. Vos valeurs semblent ébranlées. Parfois, vous vous surprenez à ne plus aimer le même café, la même musique. Ou à perdre vos repères dans le miroir, entre les rides nouvelles et les cernes de fatigue.
Derrière cette crise identitaire, il y a souvent de grandes mutations psychologiques. Devenir mère est, aux dires de beaucoup, « l’expérience la plus bouleversante et la plus renversante qui soit ». Mais même sans enfant, assumer ses choix de femme se heurte à des pressions sociales – injonction à la performance, culpabilité maternelle, image corporelle ciselée par la société… Comme autant de couches d’oignons qui recouvrent votre vrai visage.
Le cerveau, en fait, s’adapte. Les circuits neuronaux changent. Oui, de vrais changements chimiques et biologiques se jouent en silence (des études récentes montrent que le cerveau d’une jeune maman n’est jamais tout-à-fait celui d’avant…). Mais ce n’est pas juste une histoire de biologie. Il y a aussi tout l’environnement, les conditionnements familiaux, la charge mentale, et cette implacable question : « Est-ce que j’ai encore le droit d’être juste moi ? »
L’estime de soi prend parfois la fuite, laissant place au doute permanent. Le risque ? Se laisser happer par le tourbillon, et finir par s’oublier. Le résultat, c’est cette fatigue de l’âme, qui fait dire à beaucoup « je me sens vide », « j’ai l’impression d’être transparente », ou « je suis une version dégradée de moi-même ».
Mais à y regarder de plus près, cette période de désordre est aussi, étrangement, une forme de renaissance. Comme une forêt brûlée qui repousse plus forte, se retrouver est possible. À condition de comprendre les étapes… et de s’offrir de la compassion.
Quand une femme – surtout une maman – franchit la porte du cabinet de Diane Perrot, Psychologue agréée, l’histoire démarre souvent par : « Je ne sais plus où j’en suis ». Derrière cette phrase, il y a de multiples sources de confusion. Pas question d’en minimiser la portée avec un « c’est juste une phase ». Listons ces causes, pour lever le voile sur ce brouillard intérieur.
1. Les montagnes russes hormonales
Les cycles menstruels, la grossesse, l’accouchement, la lactation ou la pré-ménopause chamboulent – littéralement – le cerveau et l’humeur. Les différences hormonales modifient la perception, la mémoire, la capacité de concentration. À chaque cycle, une femme traverse des micro-transformations de son identité psychique – pas uniquement physique.
Fatigue, hypersensibilité, irritabilité ? Ce n’est pas « dans la tête ». Par exemple, le taux d’ocytocine après l’accouchement peut décupler l’empathie et la vulnérabilité. Mais il peut aussi exacerber le besoin de protection, ou la peur d’être insuffisante.
Vous êtes désorientée par vos propres réactions ? C’est normal – personne n’est à 100% stable dans sa construction de soi. Et comme en témoigne cet article sur les cycles et l’humeur, comprendre son propre fonctionnement permet déjà de retrouver une forme de pouvoir personnel sur ses ressentis.
2. La charge mentale : ce fardeau invisible
Prévoir, planifier, anticiper pour tous… Jusqu’à oublier d’exister pour soi. C’est le lot commun de quasiment toutes les femmes que reçoit la psychologue à Esneux. Une étude récente montre que 62% des femmes en Belgique estiment passer leur journée à « s’occuper des autres », avec à la clé un effacement de leurs propres besoins. La charge mentale, c’est ce poids silencieux qui ronge l’identité comme une goutte d’eau une pierre. À force de tout régenter, on finit par s’oublier. Qui serai-je si je posais enfin ce « sac à dos invisible » cinq minutes ?
Cette pression sociale insidieuse tue peu à peu la confiance en soi. L’image de la femme, idéale et infatigable, sans faille, omnisciente. Un mythe, oui, mais qui nous habite toutes inconsciemment.
Envie d’approfondir ce sujet ? Découvrez l’analyse complète de la charge mentale féminine. La première étape pour s’en libérer, c’est déjà de l’identifier… et d’oser lever le pied.
3. Les défis émotionnels : l’anxiété, la culpabilité, la peur de ne plus être « assez »
Vivre avec un cerveau en ébullition émotionnelle, c’est notre lot à toutes par moments. L’anxiété fait tourner la tête à cent à l’heure : « Est-ce que je fais tout bien ?». La culpabilité (ah, ce poison !) surgit dès qu’une pause est envisagée. Et la peur du jugement, de ne pas être à la hauteur, vient s’ajouter à la liste…
Diane Perrot accueille ces émotions sans jugement, parce qu’il n’est pas attendu d’une femme de « tout gérer » sans broncher à Liège ou ailleurs. Au contraire, reconnaître et honorer ses émotions féminines est une étape fondamentale vers la reconstruction identitaire. C’est possible – c’est même libérateur.
Besoin de clés concrètes ? Cet article complet sur les émotions féminines peut vous éclairer.
4. L’estime de soi grignotée par le regard social
Imaginez un miroir déformant : la société, la famille, parfois les amis, nous renvoient une image non fidèle à nous-même. Pour beaucoup de femmes, l’image corporelle, les attentes de perfection ou la réussite professionnelle deviennent des fardeaux. À force de vouloir plaire à tous, on finit par ne plus savoir ce qui vient de soi – et ce qui appartient aux autres.
Dans ce contexte, une prise en charge spécifique pour les femmes s’avère cruciale afin de déconstruire ces schémas, retrouver confiance et se reconstruire avec justesse.
Psychologue – Mme Diane Perrot
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Prendre conscience de ce trouble identitaire, c’est déjà sortir de l’ombre. « Mais après, je fais quoi ? » demandent beaucoup de patientes. Bonne nouvelle : on peut reconstruire, morceau par morceau, une identité plus authentique. Qui n’est pas juste « la mère de », « la compagne de », ou « la salariée de », mais « moi, femme unique ».
Un miroir, mais pas celui qu’on croit
Dans son cabinet à Esneux, Diane Perrot propose souvent un exercice simple : s’asseoir face à une feuille, griffonner quelques mots sur « qui je suis aujourd’hui », « ce qui me rend fière », « ce dont je rêve encore ». Rien de plus. Mais derrière la simplicité, il y a la force d’oser se regarder autrement qu'à travers les attentes extérieures.
1. Accueillir la vulnérabilité et la diversité de soi
Accepter d’être traversée de contradictions, d’envies changeantes, de doutes. Ne pas chercher à redevenir « comme avant », mais ouvrir la porte au « moi d’aujourd’hui ». Diane Perrot encourage ce travail dans une atmosphère humaine, empathique, confidentielle. Pas de recette toute faite, mais un accompagnement sur mesure pour chacune.
L’estime de soi, en ce sens, se reconstruit lentement. C’est le fil doré à retisser, maille après maille. Pour en savoir plus sur ce point crucial, l’article estime de soi chez les femmes à Esneux propose des pistes approfondies.
2. Se reconnecter à son corps, à ses besoins
Souvent, la sensation de perte de soi vient d’un oubli du corps : écouter ses signaux, ses envies, poser ses limites. Pas besoin d’être yogi ou méditante aguerrie ! Marcher dehors, respirer, s’offrir 5 minutes de silence – c’est parfois tout ce qu’il faut pour entendre à nouveau sa voix intérieure.
À Liège, des ateliers de groupe sont aussi proposés par la psychologue agréée, pour explorer ses émotions, ses ressentis, et ressortir plus ancrée.
Besoin de ressources pratiques ? Les outils abordés dans la gestion du stress chez l’adulte s’adaptent aussi très bien aux femmes traversant une crise identitaire.
3. Réapprendre à dire « non » et à déposer la charge mentale
Impossible de reconstruire une identité forte sans « faire du tri » dans sa to-do-list. Dire « stop » à l’ingratitude, à la sur-sollicitation. S’autoriser à ne pas tout porter… c’est un acte d’amour envers soi-même. Facile à dire ? Oui. Mais possible, pas à pas, avec l’aide d’une psychologue qualifiée. Résultat ? On se sent moins perfusée à la fatigue, et un peu plus vivante chaque jour.
Des outils pour « déboulonner » la pression au féminin sont à retrouver dans notre article dédié à la charge mentale.
4. Oser raconter son histoire, tisser du lien
Parler, partager, s’entourer : être écoutée, comprise et soutenue est une étape clé. Quand on expose ses doutes à d’autres femmes (en cercle, entre amies, ou lors d’une consultation en groupe), on réalise que ce trouble de l’identité n’est pas un caprice individuel. C’est une étape du parcours de presque toutes les femmes ! À Esneux, Diane Perrot favorise ces échanges, décapant la solitude.
Lisez également l’article approfondi sur l’épuisement mental féminin et le rôle du soutien psychologique : déculpabiliser, écouter, c’est déjà changer la donne.
5. Vers une identité « multi-facettes »… C’est la clé
L’identité d’une femme n’est pas un bloc figé ! Elle évolue, s’enrichit, se transforme avec les étapes de la vie. Vouloir s’enfermer dans une seule case – super maman, working-girl, femme parfaite – c’est renoncer à sa vraie richesse. Diane Perrot travaille sur cette dimension « plurielle », pour aider chaque femme à accueillir toutes ses facettes sans honte, ni regrets.
Marie, 32 ans, deux enfants, raconte : « Je me sentais totalement perdue, épuisée, comme si je n’étais plus personne à part une maman/exécutante. En thérapie, j’ai redécouvert mes propres goûts. J’ai repris une activité artistique, rien que pour moi. Je me suis sentie renaître. »
Elena, 45 ans, séparée, témoigne : « J’avais toujours été “la gentille fille”, la maman qui ne dit jamais non. Suite à ma séparation, j’ai tout remis à plat. J’ai osé m’affirmer, prendre soin de moi. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’être devenue l’adulte que j’attendais de rencontrer. »
Le point commun entre ces histoires ? Aucune reconstruction n’est linéaire. On avance, puis on doute, puis on relâche à nouveau. Mais « se perdre » n’est pas une fatalité. C’est souvent l’ouverture vers une meilleure connaissance de soi. Comme le printemps après l’hiver.
Si vous vous reconnaissez dans ce tableau – la sensation d’être effacée, perdue, débordée ou « en miettes » – sachez que vous n’êtes pas seule. Oser consulter, c’est s’autoriser à se remettre au centre de sa vie. Non, ce n’est pas un aveu de faiblesse. C’est le contraire : un vrai acte de courage et de respect de soi.
Une prise en charge spécifique, comme celle pratiquée par Diane Perrot, psychologue agréée à Esneux, propose :
Dans la région de Liège, trop de femmes attendent d’être « au bout du rouleau » avant de demander de l’aide. Pourtant, il n’y a pas de « bon » ou « mauvais » moment pour consulter. Dès que la sensation de ne plus se reconnaître prend trop de place, c’est le signe que « faire une pause sur soi » est prioritaire.
Le nombre de femmes ayant déjà fait l’expérience positive d’une psychothérapie augmente chaque année en Belgique. Les retours sont nets : une plus grande clarté intérieure, moins de fatigue émotionnelle, plus de bienveillance envers soi. Loin des clichés sur la psychologie, il s’agit souvent d’une démarche discrète, libératrice… et fondamentale.
Besoin de lumière dans le brouillard ? Même quelques séances peuvent suffire à enclencher un processus de changement durable.
Quand faut-il consulter une psychologue si je ne me reconnais plus en tant que femme ou mère ?
Dès que le sentiment de perte de soi, de fatigue ou d'irritabilité vient perturber votre quotidien, il est temps de consulter. Un accompagnement spécialisé va vous aider à mettre des mots sur vos difficultés et à reconstruire votre identité.
Comment la psychologie au féminin aide-t-elle à retrouver sa vraie personnalité après une crise identitaire ?
La psychologie au féminin favorise une écoute empathique, centrée sur les bouleversements propres aux femmes. Grâce à des outils adaptés, elle accompagne la redécouverte de soi, l'expression des émotions, la gestion de la charge mentale et l'affirmation des besoins personnels.
Pourquoi l'identité féminine est-elle si vulnérable aux changements de vie (maternité, divorce, cycles) ?
Les changements hormonaux, l'évolution des rôles sociaux et les pressions extérieures fragilisent l’estime de soi et les repères personnels. L'identité féminine est ainsi soumise à des transitions qui nécessitent parfois un accompagnement professionnel pour être traversées avec sérénité.
Faut-il attendre d’être en burn-out pour consulter une psychologue à Esneux ?
Non, il n'est jamais nécessaire d'attendre d'être épuisée ou en crise majeure. Consulter en amont permet de prévenir l’aggravation des difficultés et d’agir rapidement pour se sentir mieux, dans une ambiance humaine et respectueuse.
Miller, R.L., "Exploring Maternal Identity: Stressors, Supports and Growth", Journal of Family Psychology, 2016. Résumé : Cette étude montre qu’après la maternité, beaucoup de femmes traversent une période de remise en question identitaire, accentuée par la pression sociale et la charge mentale.
Slade, A., "Parental Reflective Functioning and the Development of Self", Attachment & Human Development, 2017. Résumé : L’article explore l’impact des changements relationnels sur la construction de l’identité parentale, particulièrement chez les femmes.
Lobato, C.M.A., "The impact of motherhood on women's identity: A qualitative study", Women’s Studies International Forum, 2018. Résumé : Recherche qualitative sur les bouleversements vécus par les femmes après l’arrivée d’un enfant et les stratégies de reconstruction identitaire.
Brooks, J., "Psychological Resilience and Identity in Women Across Life Transitions", Psychology of Women Quarterly, 2019. Résumé : Analyse approfondie du processus de résilience et de ré-affirmation de l’identité féminine lors des transitions majeures de vie.