Hypnose pour Acouphènes – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Les acouphènes, ces sifflements ou bourdonnements persistants qui semblent surgir de nulle part, touchent aujourd’hui près d’un adulte sur dix en Belgique. Derrière ce terme médical, c’est souvent une souffrance invisible qui gâche le quotidien de milliers de personnes. Aux alentours de Liège, de nombreux patients consultent pour cette plainte difficile à partager, submergés par l’impossibilité de “couper le son”, autant le jour que la nuit. Et si une solution pour “mettre en veille” ces bruits parasites existait, non pas en les effaçant totalement, mais en vous permettant de leur accorder moins d’attention ? Tel est le pari de l’hypnose comme prise en charge des acouphènes.
Loin d’être une baguette magique, l’hypnose hypnotique s’impose aujourd’hui dans la région liégeoise, portée par des données scientifiques de plus en plus solides. Son atout ? Permettre au cerveau de retrouver sa capacité naturelle à “ignorer” les bruits non pertinents, là où l’attention excessive aux sons ancrés dans le stress les amplifie. Entrons ensemble dans le détail d’une méthode à la fois douce, curieuse et étonnamment scientifique, pour retrouver paix et répit, même avec des acouphènes installés.
Qui souffre d’acouphènes le sait : le bruit n’est pas forcément le plus insupportable. C’est son omniprésence, et l’angoisse qu’il déclenche, qui finit par dominer tout l’espace mental. Le phénomène a été parfaitement décrit dans de nombreuses études en neurosciences auditives. Au fil du temps, notre cerveau “apprend” à remarquer, scruter voire redouter chaque sifflement, chaque grésillement, jusqu’à les rendre envahissants.
Souffrir d’acouphènes, c’est souvent souffrir d’un cerveau en hypervigilance : l’oreille “psychique” se branche en continu sur le bruit, amplifiant chaque distorsion. Ce processus d’attention exagérée est appelé en anglais cognitive focusing. Et il n’est pas linéaire : le stress, la fatigue, les contrariétés le relancent, ce qui explique pourquoi les périodes difficiles (travail, insomnie, épisodes anxieux) empirent la perception du trouble.
Les patients le décrivent bien : “Plus j’y pense, plus j’entends le son, moins j’arrive à m’en détacher”. Cette boucle mentale – je perçois → j’angoisse → je perçois plus fort – est au centre du handicap généré par les acouphènes chroniques en province de Liège comme ailleurs. Comment en sortir ?
L’une des conclusions majeures dans la recherche moderne sur les acouphènes est la suivante : plus on laisse notre attention prisonnière du bruit, plus le cerveau “gravitationalise” la perception auditive. L’hypnose intervient alors comme un levier de modulation de l’attention, capable d’aider le cerveau à reclasser le son parasite, le faire reculer en arrière-plan du paysage sensoriel, comme n’importe quel bruit environnant que l’on apprend à ignorer.
Des chercheurs (Delb W, et al., « Hypnotherapy in chronic tinnitus: A randomized, controlled clinical trial », 2002) ont montré que l’hypnose permet, non seulement d’apaiser l’angoisse, mais plus encore de créer, séance après séance, de nouveaux circuits neuronaux où l’acouphène perd son caractère d’alarme permanente. C’est bien cet aspect du soin qui intéresse de plus en plus de patients dans la périphérie liégeoise : apprendre à “mettre l’acouphène en veille”, à défaut de pouvoir le supprimer.
La démarche par l’hypnose appliquée aux acouphènes est aujourd’hui structurée, validée par la littérature scientifique, et enseignée en Belgique, notamment à Esneux, proche de Liège.
Chaque acouphène a son histoire. Lors d’une consultation initiale, la thérapeute en hypnose, tel que Marcelle Monseur à Esneux, prendra le temps d’en comprendre les modalités spécifiques (ancienneté, circonstances d’apparition, fluctuations, impact émotionnel). Il existe de nombreux "motifs fréquents de consultation" : acouphènes réveillés lors de périodes de stress au travail, après une perte auditive, ou suite à une maladie de l’oreille interne. Ces données personnalisées sont essentielles pour adapter la suggestion hypnotique.
L’un des premiers pas demeure l’explication scientifique du cercle attentionnel : pourquoi plus je scrute, plus je perçois, moins j’ai la paix. Les études neuroscientifiques ont montré (Roberts LE, et al., “Neural mechanisms of tinnitus and hyperacusis: Overview and clinical implications”, 2013) que la plasticité du cerveau auditif, si elle “se fige” dans une position d’hypervigilance, maintient le trouble. Rassurer, ce n’est pas promettre la disparition, mais démontrer qu’il est possible "d’apprendre à ne plus entendre par excès".
Les séances d’hypnose, dispensées en province de Liège par des professionnels formés, s’appuient sur des états de relaxation profonde, un relâchement guidé du corps et de l’esprit. On utilise des scripts, des métaphores adaptées (par exemple : “Le bruit, devenu vague en fond sonore”, “Votre acouphène comme le tic-tac d’une horloge lointaine, présent mais sans votre attention”) pour amorcer la dé-focalisation.
Chaque patient apprend ainsi, progressivement, à “mettre en veille” l’acouphène, à l’image du cerveau qui filtre naturellement les bruits non pertinents (comme le passage des voitures, le bourdonnement d’une lampe... dont on ne se rend plus compte à moins de s’y forcer).
Les profils perfectionnistes, surmenés, anxieux (très représentés parmi les patients en consultation à Liège et alentours) sont souvent les plus déstabilisés par la présence d’un bruit "impossible à contrôler". L’hypnose offre alors un double bénéfice : elle agit sur la capacité d’attention, mais également sur la “tolérance à l’incertitude”, permettant de relâcher l’emprise émotionnelle du symptôme.
Le terme “mettre en veille” ne signifie pas supprimer. Il s’agit plutôt de ramener l’acouphène à un niveau de conscience si bas qu’il ne perturbe plus l’activité, l’attention ou le sommeil. L’expérience clinique menée par Mme Marcelle Monseur, à proximité de Liège, s’inscrit pleinement dans cette logique progressive :
Les premières séances se déroulent en position assise ou semi-allongée, dans un cadre calme. Une induction hypnotique est réalisée pour apaiser le corps (“descente des tensions”). Puis, par différents exercices sensoriels, le patient est invité à “écarter” le bruit, à changer de point de vue (“observer l’acouphène comme un bruit extérieur, qui ne vous vise pas personnellement”) et à s’entraîner à détourner son attention vers d’autres sensations corporelles ou auditives agréables.
L’approche fonctionne quelles que soient la forme des acouphènes (unilatéraux, bilatéraux, pulsionnels), et peut être adaptée sur mesure.
Une part essentielle de la réussite réside dans l’apprentissage de l’auto-hypnose pour acouphènes. Cette technique, une fois expliquée puis pratiquée entre les séances, permet de s’entraîner à “éteindre l’attention”, sur demande, à la maison, le soir, ou lors de pics d’intensité.
De nombreux patients en province de Liège témoignent d’une amélioration nette de leur pouvoir d’action sur leur bruit interne, à défaut de suppression totale. Ils ressuscitent la possibilité de se promener en forêt, de se concentrer au travail ou sur des conversations, sans que le sifflement n’accapare toute leur énergie mentale.
Hypnose pour Acouphènes – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Plusieurs essais contrôlés, publiés dans des revues de référence, confirment aujourd’hui l’impact précieux de l’hypnose dans la gestion des acouphènes chroniques :
Ces études, menées chez des patients en Europe de l’Ouest, confirment l’intérêt d’une approche “centrée sur l’attention” – putôt que sur la simple hébétude médicamenteuse – dans la prise en charge moderne. Le bénéfice majeur constaté : une amélioration de la qualité de vie, du sommeil, du temps de concentration, chez des patients pourtant porteurs d’acouphènes persistants depuis plusieurs années.
Bien sûr, il convient de rappeler que l’hypnose n’effacera ni la cause physique (lésion de l’oreille interne, séquelle de traumatisme sonore) ni le bruit à proprement parler. Son action porte sur le vécu du trouble, sa part “invasive et catastrophique”. En complément, les soignants de la région de Liège recommandent souvent une approche pluridisciplinaire : bilan ORL, soutien psychologique, optimisation du sommeil et de l’environnement sonore.
L’hypnose a toutefois l’immense avantage de s’adresser à des patients “en impasse”, souvent désespérés par les échecs des traitements classiques ou médicamenteux, et réticents à l’idée d’engager une prise en charge psychothérapeutique de longue durée.
Se rendre en consultation d’hypnose pour acouphènes à Esneux, proche de Liège, c’est avant tout vivre une expérience bien différente de la visite médicale classique. L’atmosphère se veut accueillante, rassurante, orientée vers la recherche commune de stratégies de soulagement.
La première étape reste toujours l’écoute de l’histoire individuelle – chaque vie avec les acouphènes est unique. Par la suite, la thérapeute pose les bases d’un plan d’intervention : évaluation du terrain anxieux, des habitudes attentionnelles, de la réactivité au stress et au contrôle, sans oublier un recueil précis des antécédents médicaux.
Dans la majorité des cas confrontés à la périphérie liégeoise, les patients rapportent un mieux-être dès 2 à 4 séances : abaissement de l’angoisse, sentiment de pouvoir “avoir prise” sur la perception auditive, premières heures de répit (notamment en soirée et lors de phases d’endormissement). Un travail sur la durée (6 à 12 séances) consolide l’effet de veille. L’auto-hypnose, ensuite, permet aux personnes motivées de progresser de façon autonome.
Il est aussi conseillé, dans certains cas, d’impliquer l’entourage : l’explication du “cercle attentionnel”, la compréhension de ce qu’il ne faut pas faire (forcer le silence absolu, dramatiser, renforcer la plainte) participent à un climat favorable à la dé-focalisation. L’hypnose ne se pratique pas “contre” la réalité du symptôme, mais avec la volonté de lui donner une place secondaire.
La typologie des consultations en hypnose pour les acouphènes, que ce soit à Liège ville, en périphérie ou plus largement en province de Liège, s’articule autour de quatre grands profils :
Tous partagent ce même besoin de “mettre en veille” le bruit, ne serait-ce que pour retrouver une qualité de vie, une capacité d’attention à l’essentiel et une paix émotionnelle relative.
Nombreux sont les témoignages recueillis en province de Liège auprès de patients suivis pour acouphènes par Mme Marcelle Monseur et son équipe. Certains évoquent la sensation de “reprendre le contrôle” pour la première fois depuis des mois, voire des années :
À noter que ces progrès s’inscrivent dans un temps long : l’effet “veille” n’est pas une éradication soudaine, mais un déplacement, une relativisation de la gêne.
Presque tous les patients, à l’exception de rares contre-indications psychiatriques sévères, peuvent bénéficier de cette approche. La motivation et l’entraînement personnel sont cependant déterminants.
L’efficacité est observée pour l’ensemble des acouphènes hors causes physiques graves (tumeurs, infections persistantes), en particulier pour les installations “centrales”, c’est-à-dire les phénomènes de fixation attentionnelle fortement associés au stress.
Certains patients ressentent un allégement en 2-3 séances, d’autres nécessitent une dizaine de rendez-vous pour stabiliser le bénéfice. L’auto-hypnose accélère considérablement le processus.
Non, l’acouphène persiste mais cesse d’être un bruit d’alarme obsédant. L’objectif est de restaurer la “distance”, la possibilité d’oublier.
Oui. Nombreux sont les patients suivis conjointement par leur médecin traitant, ORL, psychologue ou kinésithérapeute. L’hypnose vient alors en appui, en voie d’accès prioritaire à l’apaisement attentionnel.
Loin des fausses promesses, l’hypnose clinique à la liégeoise s’impose aujourd’hui comme une aide pragmatique, nuancée, sérieuse. Soutenue par les neurosciences, fondée sur un raisonnement attentionnel éprouvé, elle s’adresse à tous ceux qui veulent reprendre la main sur leur quotidien, même sans “guérison miracle”. Dans la région de Liège, c’est parfois le premier pas vers une vie réconciliée avec soi-même… et avec le silence intérieur qui, lentement, revient s’installer au cœur du tumulte.
Pour aller plus loin sur les mécanismes émotionnels et auditifs de l’acouphène, n’hésitez pas à consulter l’article dédié à la modulation émotionnelle des acouphènes, ou découvrez cinq faits surprenants sur le sujet dans cet article spécialisé.