Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous connaissez sûrement quelqu’un qui, depuis des mois ou des années, collectionne les rendez-vous chez les spécialistes. Kiné, médecin, IRM, puis encore un médicament… Rien n’y fait. La douleur s’incruste. Certains jours, elle grignote tout. Les anti-douleurs soulagent parfois, mais pas toujours. Les effets secondaires, eux, restent fidèles au poste. Comment supporter ? Comment vivre, tout simplement, sans renoncer à sortir, cuisiner, faire du vélo ou dormir ?
C’est là que l’on parle de douleurs chroniques. Une réalité connue de millions de personnes en Belgique et dans le monde. Les solutions semblent parfois à court d’idées. Mais depuis quelques années, un souffle nouveau arrive dans le cabinet médical : l’hypnose médicale. Pratiquée sérieusement, par des professionnels de santé formés, elle s’adresse aujourd’hui à tous ceux, toutes celles, pour qui “vivre avec la douleur” ne peut plus être la seule option.
Vous vous demandez si l’hypnose, ce n’est pas pour les spectacles ? Ou une sorte de placebo ? Détrompez-vous. Parlons science, mais aussi vécu du cabinet. Car l’hypnose appliquée à la prise en charge de la douleur chronique n’est plus un mystère. C’est un complément solide, validé, et surtout humain.
Dans cet article, vous allez découvrir en quoi l’hypnose, pratiquée par un professionnel de santé, offre un chemin d’espoir pour ceux qui souffrent depuis trop longtemps. Focus sur les douleurs physiques où “rien ne marche”, et sur ce petit levier parfois oublié : le cerveau. Vous allez voir, ça peut changer la vie.
D’abord, un constat : la douleur est d’abord un signal d’alarme. Une entorse ? Notre cerveau crie stop pour éviter le pire. Mais parfois, après des blessures, des opérations ou pour des raisons peu claires, la douleur s’accroche. Elle devient “chronique”, c’est-à-dire qu’elle dure plus de 3 à 6 mois. On parle de lombalgies persistantes, de migraine, de fibromyalgie, de douleurs post-opératoires, de névralgies… La liste est longue.
Même si le corps a guéri, le signal, lui, s’est “imprimé” dans le cerveau et le système nerveux. Un peu comme un compteur resté coincé dans le rouge. Résultat : chaque jour, la douleur colore les pensées, casse l’élan, use la patience. Beaucoup finissent par croire que c’est leur faute, ou que “c’est dans la tête”. Grave erreur.
Pourquoi ? Parce que la douleur chronique est un trouble complexe. Il mêle corps et cerveau. Les mécanismes “d’hypersensibilisation” rendent la zone douloureuse ultra-réceptive, comme une alarme hypersensible qui déclenche au moindre courant d’air. Dans le cerveau, certaines régions entretiennent la mémoire de la douleur, la peur, la colère, l’épuisement.
Vous avez peut-être entendu : “on ne peut rien faire, il faut vivre avec”. Parfois, c’est une réalité temporaire. Mais la recherche a dévoilé autre chose. Les neurosciences ont montré que le cerveau ne se contente pas d’enregistrer les messages de douleur, il peut aussi les moduler. Il existe des “filtres” naturels, des “régulateurs”, qui atténuent, amplifient ou détournent le signal douloureux. Et c’est là que l’hypnose médicale entre en jeu.
Loin d’être une baguette magique, l’hypnose vous invite à mobiliser vos ressources pour agir sur la perception de la douleur. Non, elle ne “guérit” pas une fracture. Mais elle apprend au cerveau à “diminuer le volume sonore” du signal, à désamorcer les réactions de stress, d’angoisse, d’anticipation. Avec de l’entraînement, c’est possible d’éteindre petit à petit cette alarme hypersensible.
Concrètement ? L’hypnose médicale propose des techniques ajustées, que l’on retrouve dans les recommandations scientifiques (HAS, SFETD, etc.), pour :
Chez hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur, la dimension humaine (savoir écouter, adapter les mots, prendre le temps) fait toute la différence. Rien à voir avec des tournées “spectacle”. Quand, aux alentours de Liège, vous trouvez un thérapeute certifié, sérieux, qui met la science au service du soin, c’est une autre histoire.
Envie de creuser la question ? Le mythe de l’hypnose mérite qu’on y regarde de plus près. Contrairement à certaines idées reçues, l’hypnose ne signifie pas “perdre le contrôle”. Vous restez toujours le pilote à bord.
Vous hésitez, peut-être, entre curiosité et scepticisme. Est-ce que vraiment, l’hypnose peut aider là où tout échoue ? La science répond oui, dans de nombreux cas. Mais il faut préciser ce qu’on veut dire par “aider”.
Imaginons. Marie, 54 ans, souffre de fibromyalgie depuis dix ans. Médicaments, kiné : elle connaît tout. Ignorée, parfois jugée d’”exagérer”, elle finit par s’isoler. Son énergie file aussi vite que le matin s’écoule. Après quelques séances d’hypnose avec une hypnothérapeute certifiée NGH, elle découvre qu’elle peut retrouver des instants de calme, éloigner l’orage de la douleur pendant quelques minutes, puis quelques heures. Pas de miracle. Mais, comme Marie le dit : “Je respire à nouveau. J’ai repris la marche, un peu. Je supporte mieux les mauvaises journées.”
Il y a aussi Paul, 38 ans, sciatique chronique. Un jour, il tente par curiosité la démarche d’hypnothérapie. Pour lui, c’est d’abord la détente qui l’a frappé. “On dit souvent que tout est dans la tête. Là, j’ai vraiment compris ce que ça voulait dire. Pendant la séance, j’ai eu la sensation de flotter. Plus tard, j’ai appris à reproduire ces moments chez moi avec l’autohypnose.”
Les bénéfices les plus souvent constatés sont :
En hypnose médicale, la première séance sert souvent à poser les bases : comprendre votre histoire, vos attentes, vos craintes. L’hypnothérapeute ne promet jamais “d’effacer” la douleur comme on éteint une lumière. C’est une démarche progressive, adaptative. Au fil des séances, l’objectif est de développer vos propres “outils internes”, des techniques pour apaiser le corps et le mental. Parfois, une dizaine de séances est suffisante pour avoir des effets concrets. Tout dépend de chacun : il n’existe pas de recette unique.
Ce qui change tout, dans l’approche pratiquée par Mme Marcelle Monseur (hypnothérapeute certifiée NGH), c’est la capacité à adapter chaque suggestion, chaque technique hypnotique, à votre histoire. Parfois, il s’agira de visualiser un paysage, d’autres fois, de diriger l’attention vers d’autres sensations, ou d’apprendre à “dialoguer” avec la douleur.
Le grand secret ? Le respect du temps, de la disponibilité, du rythme de chacun. En hypnose médicale, la clé, c’est la personnalisation, bien loin des “formules magiques”.
Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous vous attendez peut-être à venir, vous allonger, fermer les yeux et… plonger dans un état proche du sommeil ? Non. Ou pas totalement. L’hypnose médicale, pratiquée par un professionnel de santé, n’a rien à voir avec l’imagerie stéréotypée que l’on voit parfois à la télé. Oui, vous allez atteindre un état de conscience modifié : vous serez à la fois ici et ailleurs. Comme avant de s’endormir, ou quand on se laisse happer par un roman.
Lors d’une séance, tout commence par un moment d’accueil. On fait le point sur les douleurs, les difficultés, les progrès, les moments où vous vous sentez mieux. Ce dialogue compte autant que la séance elle-même. Il prépare l’esprit à “basculer” dans un mode plus réceptif.
Ensuite, on démarre l’induction hypnotique. Cela passe, selon les praticiens, par la voix, la respiration, parfois une musique douce. En quelques minutes, le corps se détend. Certains sentent leur respiration devenir profonde, d’autres se sentent lourds, ou au contraire légers. Chacun son expérience. Vous restez conscient, sans jamais rien perdre de ce qui se passe autour de vous.
Puis, la pratique de l’hypnose cible la douleur selon plusieurs axes :
À chaque étape, vous êtes acteur. Rien n’est imposé. Si un terme ou une image ne vous plaît pas, vous le signalez. C’est ensemble que le chemin se fait. Mme Marcelle Monseur, avec son expérience en hypnose à Liège, adapte chaque session pour qu’elle réponde à vos besoins et, surtout, respecte vos limites.
Enfin, la séance se conclut par un retour au présent. On prend alors le temps d’échanger, de noter les ressentis, de préparer des exercices simples à refaire entre deux séances. C’est ce que l’on appelle l’autohypnose : la boîte à outils qui prolonge le bénéfice de chaque rencontre. Le but n’est jamais de “rendre dépendant”, mais de transmettre un savoir-faire pour reprendre la main chaque jour, même pendant les périodes difficiles.
Un détail crucial : la douleur chronique va souvent de pair avec la fatigue, l’irritabilité, la tristesse, parfois le découragement. Plus vous souffrez, plus ces émotions s’accumulent. Plus elles sont présentes, plus la douleur monte.
L’un des grands atouts de l’hypnose médicale est, justement, de s’attaquer à ce cercle vicieux. Elle agit souvent sur la sphère émotionnelle autant que physique. D’ailleurs, les patients disent fréquemment : “Même si la douleur n’a pas disparu, je la vis autrement. C’est moins lourd, moins agressif.”
Des recherches ont mesuré l’impact de l’hypnose pour diminuer l’anxiété, la dépression, les troubles du sommeil, très fréquents dans les douleurs chroniques. Moins de stress, c’est aussi moins de tension musculaire, une meilleure oxygénation, et moins de “ruminations”.
Certains patients témoignent qu’après plusieurs séances, les jours deviennent “plus larges”, plus vivables. L’hypnose n’efface pas tout, mais elle offre parfois ce que les médicaments ne permettent plus : une bulle de répit, un souffle, une pause mentale dans le brouhaha de la douleur.
Aux alentours de Liège, nombreuses sont les personnes qui, après un parcours médical difficile, redécouvrent une certaine estime de soi grâce à l’hypnothérapie médicale. C’est aussi une question de qualité de vie. Parfois, il suffit de reprendre goût à un petit plaisir – lire, écouter de la musique, jardiner, parler à un ami – pour sentir que la vie peut à nouveau sourire, même les jours encore difficiles.
L’hypnose s’adresse à vous si la douleur est devenue une invitée encombrante, mais aussi si vous avez besoin de refaire équipe avec votre corps, de retrouver confiance ou d’adopter une autre façon de “cohabiter” avec la douleur. Et cela, sans jamais renoncer à la médecine conventionnelle. C’est ça, la force de l’approche moderne et complémentaire de Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH.
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur l’hypnose appliquée à des troubles proches, l’article sur la consultation en hypnose et le sommeil peut aussi être éclairant.
Vous vous demandez si cette approche vous correspond ? La réponse, c’est oui dans la majorité des cas, sauf rares contre-indications. L’hypnose médicale s’adresse à :
Attention : en cas de troubles psychiatriques graves, d’état confusionnel aigu, ou de suspicion de maladie grave non explorée, l’hypnose ne remplace jamais un avis médical. Elle intervient toujours en complément, jamais à la place. En Belgique, sa reconnaissance comme intervention complémentaire progresse vite, dans les hôpitaux, les centres antidouleur, dans certains cabinets médicaux spécialisés.
N’hésitez pas, lors d’un premier contact, à poser toutes les questions qui vous préoccupent : Est-ce compatible avec mon traitement ? L’hypnose est-elle vraiment adaptée à mon cas ? Mme Marcelle Monseur, experte en hypnothérapie à Liège, saura vous orienter.
Un dernier point. L’hypnose médicale n’est pas une course de vitesse. Certains constatent des bénéfices rapides, d’autres mettent plus de temps à “laisser faire” le processus. Il est important de ne pas se comparer. Ce n’est pas un concours, mais un chemin où chaque progrès compte : dormir un peu mieux, supporter une réunion sans trop de douleurs, retrouver le sourire avec ses proches. Ces petits pas, mis bout à bout, changent tout sur le long terme.
Pour ceux qui souhaitent découvrir plus largement les services proposés dans le centre, le site du centre médical Esneux présente une palette complète d’accompagnements en santé globale.
Si vous êtes fatigué d’attendre, de subir, si vous souhaitez redevenir le propre artisan de votre bien-être malgré la douleur, l’hypnose peut vous surprendre. La vraie question, c’est peut-être : “Qu’avez-vous à perdre à essayer ?”
Comment se déroule une première séance d’hypnose médicale pour la douleur chronique ?
La première séance commence par une discussion approfondie sur votre histoire, votre douleur, vos attentes et vos inquiétudes. Ensuite, l’hypnothérapeute guide progressivement vers un état de détente et vous propose des exercices adaptés à vos besoins, toujours à votre rythme. À la fin, un échange permet de préparer la suite et d’introduire quelques techniques simples d’autohypnose à pratiquer chez soi.
Pourquoi l’hypnose peut-elle diminuer l’intensité d’une douleur chronique ?
L’hypnose agit en modifiant la façon dont le cerveau perçoit, traite et “filtre” les signaux de douleur, aidant aussi à détendre le corps et calmer les réactions émotionnelles associés au stress. Les études neuroscientifiques montrent que l’hypnose réactive les circuits du cerveau capables de modérer ou d’atténuer le message douloureux. Elle permet donc souvent une amélioration du confort et de la qualité de vie.
Quand voit-on apparaître les premiers bénéfices de l’hypnose médicale sur la douleur ?
Certains patients décrivent un apaisement dès la première ou la deuxième séance, tandis que d’autres ont besoin de plusieurs rendez-vous pour ressentir une différence. L’évolution dépend du type de douleur, de votre vécu, et de votre capacité à pratiquer l’autohypnose. La régularité et l’implication personnelle jouent un grand rôle dans les progrès constatés.
Faut-il interrompre un traitement médical pour essayer l’hypnose contre la douleur chronique ?
Non, jamais : l’hypnose médicale se pratique en complément d’un suivi médical traditionnel et ne vise pas à remplacer les traitements prescrits. Il est même essentiel d’en discuter avec votre médecin traitant pour assurer une prise en charge globale et sécurisée de votre problématique de douleur.
Jensen MP, Patterson DR. Hypnotic approaches for chronic pain management: Clinical implications of recent research findings. American Psychologist, 2014 — Revue sur les preuves cliniques de l’efficacité de l’hypnose pour moduler la douleur chronique.
Montgomery GH et al. Meta-analysis of the efficacy of hypnosis for the treatment of procedural pain and distress in children and adolescents. Journal of Pediatric Psychology, 2010 — Analyse des effets positifs de l’hypnose lors de douleurs aiguës et chroniques chez l’enfant.
Elkins G, Jensen MP, Patterson DR. Hypnotherapy for the management of chronic pain. International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2007 — Article synthétisant les mécanismes et bénéfices de l’hypnose sur différentes formes de douleurs chroniques.
Adachi T, Fujino H, Nakae A, et al. A meta-analysis of hypnosis for chronic pain problems: A comparison between hypnosis, standard care, and other psychological interventions. International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2014 — Cette méta-analyse confirme la supériorité de l’hypnose sur les soins standards pour plusieurs douleurs chroniques.