HypnoseHypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Le stress chronique. C’est cette tension de fond, ce nœud dans le ventre au réveil, ces pensées qui s’accumulent et tournent en boucle, jour après jour. Pour beaucoup, notamment à Liège, c’est devenu presque une seconde nature. Mais à trop vivre avec, on en oublie le poids qu’il fait peser sur nos épaules et notre santé. Dans cet article, nous allons plonger dans les bénéfices concrets de l’hypnothérapie médicale contre le stress chronique : comment elle agit, ce qu’on en dit (preuve scientifique à l’appui) et pourquoi il pourrait bien s’agir de la clé que vous attendiez. Surtout si aucune autre méthode ne semble opérer ce fameux déclic.
Avant toute chose, parlons de l’essentiel : la consultation avec Mme Marcelle Monseur. Hypnothérapeute certifiée NGH, elle vous accueille dans une approche moderne et rassurante, en parfaite alliance avec les recommandations médicales.
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Vous avez déjà entendu la phrase « Le stress, c’est la maladie du siècle » ? Ce n’est pas pour rien. Le stress aigu, celui qui nous prépare à agir face à un danger ou un défi, a son utilité. Mais dans le stress chronique, tout se dérègle : le système d’alerte reste bloqué sur “ON”. Au fil des semaines, des mois, parfois des années, c’est tout l’organisme qui souffre.
Imaginez : chaque jour, vous courez après le temps. Le sommeil est léger, voire haché. Les muscles sont tendus, la digestion capricieuse. Les petites contrariétés deviennent des montagnes. Soudain, accumuler les petits tracas finit par exploser en migraines, troubles digestifs, insomnies, même maux de dos.
Le stress chronique, c’est un sol humide sur lequel poussent les plantes de l’anxiété, de l’irritabilité, de l’épuisement. Ce n’est pas vous qui êtes faible, c’est la mécanique du corps qui, à force de tourner à plein régime, finit par gripper. Sur le plan médical, les chiffres font peur : selon l’OMS, près de 60% des consultations générales auraient, en toile de fond, des symptômes liés au stress. Surtout en période d’incertitude ou de forte pression, comme on le vit depuis quelques années.
En Belgique, de nombreuses études montrent que le nombre de jours d’arrêt maladie pour motifs liés à la santé mentale (stress, burn-out, anxiété généralisée) ne cesse de grandir. Des métiers du soin aux entreprises, personne n’est totalement à l’abri. À force, ce “stress qui colle à la peau” ronge tout – la mémoire, la patience, la joie de vivre, même le système immunitaire.
Vous vous reconnaissez dans ces signes ? Fatigue toujours présente, tensions dans la nuque, concentration impossible, impression de courir sans ligne d’arrivée… La bonne nouvelle, c’est qu’aujourd’hui, on ne doit plus subir. La démarche d’hypnose médicale offre une bouffée d’air, un espace pour désapprendre ce stress devenu réflexe, et ouvrir la porte à de nouvelles habitudes saines.
Vous hésitez ? Hésiter, c’est normal. Dès qu’on parle d’hypnose thérapeutique, on imagine souvent les clichés : spectacle, perte de contrôle, trucs bizarres… Sauf qu’en réalité, rien de tel dans le cabinet d’une hypnothérapeute certifiée NGH comme Mme Marcelle Monseur. Au contraire. C’est tout l’inverse.
Ce dont il s’agit, c’est d’utiliser le fonctionnement naturel de l’esprit pour installer une forme de pause intérieure. Mettons les choses au clair : le praticien ne prend pas le contrôle de votre esprit. Il vous guide, par la parole, des images mentales, une respiration adaptée, vers un état de conscience modifié (ce fameux “transe hypnotique”). Un peu comme lorsqu’on est “dans la lune” en écoutant de la musique, ou absorbé par un livre au point d’oublier le reste autour.
Que se passe-t-il alors, dans le cerveau et le corps ? De nombreuses études ont documenté le phénomène : en hypnose, l’activité du cerveau se réorganise. L’amygdale, cette zone hyperactive chez les anxieux, se calme. Tout comme le cerveau limbique, siège des émotions. Le rythme cardiaque ralentit, la tension musculaire décroît. Et, surtout, on peut alors accéder à ce fameux “mode automatique” du cerveau, là où sont logées nos habitudes, nos réflexes. C’est là, précisément, que l’on va cibler, ajuster, remplacer les réponses inadaptées au stress, pour y substituer de nouveaux codes plus paisibles.
Centrons-nous sur la gestion du stress chronique par hypnose : l’objectif n’est pas de faire disparaître tous les soucis du quotidien. Impossible, on est bien d’accord. Mais de rebrancher notre cerveau sur un autre mode : celui qui sait faire la part des choses, prendre du recul, dédramatiser… Un peu comme si, dans un embouteillage, au lieu de klaxonner et pester, vous enclenchiez le mode “relax”, musique douce, et concentration sur le souffle. Cela ne change pas le fait d’être coincé, mais tout change dans la façon de le vivre.
L’hypnothérapie ne se substitue pas aux traitements médicaux conventionnels ; elle vient souvent en soutien, en complément. D’ailleurs, elle est de plus en plus prescrite, surtout pour les personnes présentes aux alentours de Liège – médecins, psychologues, kinés s’accordent à dire qu’il s’agit d’un levier réellement efficace, non médicamenteux, pour retrouver sa capacité d’action. Et surtout, se reconnecter à ses ressources internes, parfois oubliées sous les couches d’inquiétude.
Dans la pratique, les séances avec Mme Marcelle Monseur s’appuient sur une écoute attentive, une alliance solide, et des techniques éprouvées. Le but : que chaque patient reparte non seulement apaisé, mais surtout autonome, avec de vrais outils à utiliser au quotidien. Pour en apprendre davantage sur la réalité de l’hypnose médicale face aux idées reçues, jetez un œil à ce décryptage des mythes et réalités autour de cette pratique.
Vous vous dites : “C’est bien, mais je ne vais pas aller chez l’hypnothérapeute chaque semaine pour le restant de mes jours…” Bonne question. L’un des atouts majeurs de l’hypnothérapie moderne, c’est de ne pas tomber dans la dépendance au praticien. Toute la démarche de Mme Marcelle Monseur vise l’acquisition d’outils d’autohypnose : des techniques simples, répétables, que l’on finit par maîtriser soi-même pour désamorcer les montées de stress dès qu’elles se manifestent.
Prenons un exemple : vous êtes pris dans une réunion qui tourne au vinaigre, ou le trajet du matin devient source d’énervement... Il ne s’agit pas d’entrer dans une transe profonde sur son fauteuil de bureau, évidemment, mais plutôt de mobiliser, en deux minutes, une technique de respiration hypnotique, ou de détourner l’attention vers une image mentale associée à la détente.
L’autohypnose n’a rien de magique : c’est un entraînement. Un peu comme apprendre le vélo. Les premières fois, on a peur de “tomber”, de ne pas y arriver. Et puis, à force, cela devient naturel. Plus besoin d’y penser, le geste s’installe. L’hypnose médicale agit de la même façon : à chaque usage, le cerveau enregistre le chemin vers le calme, la détente, la confiance. Résultat : le stress n’a plus autant d’accroche sur vous.
Concrètement, comment ça se passe en cabinet ? Mme Marcelle Monseur propose une découverte progressive : mise en situation, expérimentation des scripts d’autohypnose adaptés, conseils pour intégrer les mini-pauses dans la journée. La pratique ne requiert aucun équipement, ni état particulier. Juste un endroit où l’on peut s’asseoir, quelques minutes, fermer les yeux, et s’autoriser cette vraie pause intérieure.
Les patients décrivent souvent un effet domino : moins de ruminations, meilleure qualité de sommeil, sensation de reprendre le contrôle de leur corps et de leurs émotions. Plus question de se laisser happer par la spirale du stress à chaque imprévu. Et, au fil du temps, ce sont parfois des symptômes très concrets qui s’estompent : les fameuses douleurs “qui n’ont rien”, les crises d’angoisse, les sensations d’oppression… On parle ici d’un travail sérieux, méthodique, dans le respect du rythme de chacun.
Vous hésitez encore ? Laissez-vous inspirer par les nombreux retours d’expérience et témoignages visibles lors des consultations au centre médical d’Esneux. Ce sont les patients eux-mêmes qui racontent comment l’hypnose a changé leur façon d’être au monde… et surtout, d’être à soi.
Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
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Vous vous demandez : est-ce que tout cela est prouvé ? Est-ce que ce n’est pas juste “dans la tête” ? Ces interrogations sont légitimes. La place de l’hypnose médicale en Belgique a beaucoup évolué ces dernières années, précisément parce que la recherche scientifique s’en est emparée. On ne parle plus de croyance, mais bien de validation par des équipes universitaires, des CHU, des institutions sérieuses.
Plusieurs revues médicales ont analysé l’efficacité de l’hypnothérapie sur le stress chronique. Verdict ? Les résultats sont proches de ceux de la méditation de pleine conscience, et supérieurs à beaucoup d’autres approches psychocorporelles, en termes de réduction de l’anxiété, des troubles du sommeil, du cortisol (l’hormone du stress). Dans la vie de tous les jours, cela se traduit par : des patients qui dorment mieux, se concentrent à nouveau, voient décroître leurs douleurs chroniques et retrouvent le goût des petits plaisirs simples.
Les neurosciences ont même documenté ce phénomène : sous hypnose, les réseaux de stress dans le cerveau se “débranchent” en partie, permettant aux aires de la créativité, de la distance émotionnelle, de la lucidité rationnelle de prendre le relais. C’est un peu comme redémarrer un ordinateur qui buggue : l’esprit repart sur de bonnes bases.
Chez les patients suivis par Mme Marcelle Monseur, on observe souvent un tournant décisif après quelques séances. Chacun le vit différemment. Pour certains, c’est la sensation de lâcher une valise de plusieurs kilos. Pour d’autres, c’est un sommeil retrouvé, ou la capacité à dire “non” sans culpabiliser. Parfois il suffit d’un déblocage, d’un souvenir “retravaillé”, pour qu’une relation au stress vieille de dix ans change, presque du jour au lendemain.
Des hôpitaux en France et en Belgique intègrent désormais l’hypnose thérapeutique pour accompagner les soignants eux-mêmes, épuisés par la crise sanitaire ou la surcharge de travail. Certains cabinets médicaux s'entourent de praticiens formés, pour proposer à leurs patients une approche complémentaire et respectueuse. Les recommandations sont claires : aucun arrêt de traitement sans avis médical. Mais une place à part entière pour l’hypnothérapie du stress chronique, dès lors que l’objectif est de lisser les pics, restaurer la confiance et, sur le long terme, changer la façon dont on réagit au stress quotidien.
C’est souvent la question qui rassure les plus sceptiques. Et aussi ceux qui, au fond, craignent de perdre tout contrôle. Rassurez-vous : chaque étape est expliquée, cadrée, adaptée à vos besoins. L’hypnothérapeute commence par cerner vos attentes, votre vécu du stress, vos objectifs. Ensuite vient la phase de mise en détente : une assise confortable, parfois quelques respirations ou mouvements simples, une invitation à se centrer sur une image ou une sensation agréable. La voix accompagne, guide, module en fonction de votre rythme.
La phase hypnotique proprement dite ne ressemble ni à une anesthésie, ni à un état inconscient. On entend, on comprend, on peut interrompre à tout moment. Le praticien va ensuite “négocier” avec votre inconscient pour déprogrammer certaines réponses automatiques aux situations stressantes : on visualise un contexte, on modifie la perception, on installe de nouveaux “réflexes mentaux”. L’objectif n’est pas de “rester” en hypnose, mais bien de repartir avec des outils concrets à réutiliser au quotidien.
En général, quelques séances suffisent à percevoir des changements profonds, qui s’ancrent avec la pratique de l’autohypnose. Ce n’est pas la solution du lendemain, mais c’est souvent la révélation que les solutions sont déjà en soi. Il suffit de savoir les réactiver.
À la fin du parcours, ce qui fait la différence, c’est ce qu’on met en place entre chaque séance. L’hypnose médicale n’est pas une baguette magique, mais un catalyseur. Voici quelques astuces issues de la pratique clinique, qui transforment l’essai hors du cabinet :
1. Le rituel des micro-pauses : Accordez-vous deux minutes toutes les deux heures – une respiration contrôlée, les yeux fermés, la visualisation d’un lieu “ressource”. Au fil des jours, votre esprit associera ce geste à une vraie coupure, gain de concentration garanti. C’est la clé pour enrayer les pics de stress avant qu’ils ne prennent de l’ampleur.
2. La reformulation positive : Quand l’angoisse monte, ne vous dites plus “je n’y arriverai jamais”, mais “je peux essayer, étape par étape”. L’hypnothérapie enseigne, à travers des suggestions, l’art de se parler à soi comme on parlerait à un ami. Au fond, qui a envie de passer sa journée avec une voix intérieure cassante ?
3. Le corps, allié du calme : L’hypnose rappelle que l’esprit et le corps fonctionnent en miroir. N’hésitez pas à associer vos exercices hypnotiques avec quelques étirements, automassages du crâne ou des épaules. Rien qu’en massant la mâchoire ou la base de la nuque, vous faites “redescendre” le mode stress.
4. Le carnet des réussites : Après chaque situation où vous avez appliqué un outil de gestion du stress (un ancrage, une image mentale, une technique d’autohypnose…), notez-le. C’est dans le constat des petites victoires que la confiance se restaure. L’hypnothérapie, c’est aussi une question d’accumulation de nouveaux repères, aussi quotidiens soient-ils.
Enfin, n’oubliez jamais : demander de l’aide, c’est la première étape. Cela ne veut pas dire qu’on a perdu la bataille. Au contraire, c’est ouvrir la porte à de nouvelles ressources, souvent insoupçonnées. Le stress chronique n’est pas une fatalité. Si en lisant cet article vous vous reconnaissez, ne restez pas seul. Faites comme tant d’autres en Belgique : osez franchir la porte du cabinet, investir dans votre mieux-être et retrouver le plaisir d’une vie allégée, apaisée.
Comment l’hypnothérapie médicale permet-elle de réduire le stress chronique ?
L’hypnothérapie médicale agit en guidant la personne dans un état de relaxation profonde, ce qui permet d’apaiser l’esprit et de diminuer les réactions automatiques face au stress. Ce travail aide à modifier les schémas mentaux responsables de l’anxiété chronique, pour installer durablement plus de calme et de distance face aux pressions du quotidien.
Pourquoi choisir une hypnothérapeute certifiée NGH à Liège pour gérer son stress ?
Faire appel à une hypnothérapeute certifiée NGH comme Mme Marcelle Monseur garantit un accompagnement professionnel, respectueux des recommandations médicales et basé sur des techniques validées scientifiquement. L’expérience, l’écoute et la personnalisation de l’accompagnement, essentielles à Liège, favorisent l’obtention de résultats durables.
Quand observer les premiers effets de l’hypnose médicale contre le stress ?
La plupart des patients ressentent un soulagement notable dès les premières séances, parfois même immédiatement après la première rencontre. Cependant, les effets s’ancrent et se renforcent avec la pratique et la répétition des exercices d’autohypnose, proposés entre chaque session.
Faut-il arrêter ses médicaments pour suivre une hypnothérapie ?
Non, il ne faut jamais interrompre un traitement médical sans l’avis de votre médecin traitant. L’hypnothérapie médicale vient en complément des approches conventionnelles et contribue à améliorer la gestion du stress sans substituer les prescriptions médicales.
Barabasz A, Barabasz M. “Hypnosis in the Treatment of Stress-Related Disorders.” International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2013. – Résumé : Cette revue détaille les preuves cliniques d’efficacité de l’hypnose dans la gestion du stress et des troubles associés.
Van Dyck R, Spinhoven PH. “Hypnotherapy versus Cognitive-Behavioural Therapy for Stress Management: A Critical Review.” British Journal of Clinical Psychology, 1997. – Résumé : Cette étude compare les bénéfices de l’hypnose à ceux de la thérapie cognitivo-comportementale pour la réduction du stress chronique.
Elkins G, Johnson A, Fisher W. “Cognitive Hypnotherapy for Stress Management.” American Journal of Clinical Hypnosis, 2012. – Résumé : Ce travail met en évidence l’intérêt des interventions d’hypnothérapie cognitive dans la prise en charge intégrée du stress.
Gruzelier J. “A review of the impact of hypnosis, relaxation, guided imagery and meditation on stress.” Contemporary Hypnosis, 2002. – Résumé : Cette publication synthétise les principaux mécanismes neurobiologiques par lesquels l’hypnose influence la réponse au stress.