Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35
Vous tournez en rond la nuit ? Impossible de trouver le bouton « off » pour couper votre mental ? L’insomnie n’est pas qu’une affaire de sommeil léger : c’est souvent une lutte silencieuse contre le stress, l’anxiété, ou les soucis qui s’accumulent au fil des jours. En Belgique, une personne sur trois se plaint de mal dormir. Certains se réveillent après deux heures. D’autres passent des nuits à guetter la moindre lumière sous la porte. Surpris ? Peut-être que c’est aussi votre réalité. Mais si je vous disais que l’hypnose médicale pratiquée par un professionnel de santé, ça change tout ?
On entend parfois : « L’hypnose, c’est pour les magiciens ». Faux. Oubliez les pendules et les clichés. Ici, il est question d’une technique reconnue, validée scientifiquement – utilisée par des médecins, infirmiers ou psychologues formés. C’est sérieux. À Liège par exemple, des patients bénéficient déjà de consultations d’hypnothérapie pour réapprendre à dormir, et enfin sortir du tunnel sans fin de l’insomnie. Pourquoi cela fonctionne ? Comment ça marche réellement ? Peut-on mixer hypnose et autres traitements ? Allons voir ensemble, au fil de ce dossier complet !
Motifs récurrents d’insomnie : stress professionnel, burn-out, difficultés relationnelles, douleurs chroniques, ou parfois un simple passage à vide. Mais toujours la même conséquence : le sommeil se casse la figure… Peu de solutions font vraiment la différence durablement. Les médicaments ? Parfois nécessaires, mais ils ne règlent pas la racine du problème. Et si la clé, c’était une autre voie d’accès : celle de l’hypnose médicale pour l’insomnie ?
Mettons les choses à plat : ici, on parle d’hypnose thérapeutique, pas de spectacle. Cette pratique se base sur une collaboration étroite entre vous (oui, vous !) et un professionnel formé (par exemple, Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH). Pas de baguette magique. Plutôt, une approche moderne et professionnelle, complémentaire à la médecine classique, avec des objectifs clairs : réduire les symptômes d’insomnie, apaiser l’esprit et reconnecter corps et cerveau au sommeil.
Mais, au fond, pourquoi on ne dort plus ? Le cerveau reste « en alerte ». Il rumine, il anticipe. Imaginez une alarme intérieure qui ne s’éteint jamais vraiment. L’hypnothérapie médicale vise à rééteindre ce système d’alerte, comme on baisse le son de la radio en fond… Vous restez acteur, éveillé, mais guidé vers un état modifié de conscience. Ce n’est pas du tout perdre le contrôle, au contraire : c’est reprendre la main sur votre système nerveux, et lui rappeler comment basculer vers ce précieux « off » réparateur.
Comment ça se passe ? Lors d’une consultation chez un professionnel de santé – dans le cas de Mme Monseur, souvent aux alentours de Liège –, la première étape, c’est l’écoute. On ne plaque pas une technique « clé en main ». On discute de votre rythme de vie, de vos angoisses, de ce qui vous réveille, de vos rituels du soir. Puis, la séance démarre : l’hypnothérapeute vous guide à travers un langage spécifique, induit un état de relaxation profonde, et propose des images mentales, des suggestions ciblées pour faciliter l’endormissement. Ce sont des stratégies sur-mesure, rien de standardisé.
Quelques chiffres : selon l’INSERM, l’hypnose médicale serait efficace dans plus de la moitié des cas d’insomnie chronique. Pas mal, non ? Les patients témoignent souvent qu’en trois à cinq séances, les nuits deviennent moins tendues, le réveil nocturne se fait plus discret, l’angoisse de ne pas dormir recule. C’est concret.
Que disent les dernières recherches ? L’hypnose agit sur le système nerveux autonome, en calmant les réponses au stress et à l’anxiété. Des IRM montrent même une modification de certaines zones du cerveau liées à la vigilance et à la perception du corps. Non, ce n’est pas du placebo : c’est du tangible, validé, et surtout adaptable.
C’est aussi là où Mme Monseur, hypnothérapeute professionnelle NGH, fait la différence : elle adapte son accompagnement à chaque histoire. Un étudiant stressé avant ses examens n’aura pas le même accompagnement qu’un senior qui se réveille 10 fois par nuit. Chacun sa métaphore, chacun ses leviers. L’hypnose médicale, c’est un peu comme tailler une clé pour une serrure très spécifique : la vôtre.
Au fil des années d’expérience, on observe que ce type d’accompagnement crée une dynamique positive : on redonne confiance en la capacité à pouvoir dormir (et rien que ça, c’est un énorme pas devant l’insomnie !). Cette confiance perdue, on l’appelle même parfois « l’auto-réparation ». L’hypnose ne fait pas dormir à votre place, mais elle relance la mécanique, un peu comme quand on remet du carburant dans un moteur en panne. Chaque semaine, des personnes témoignent de leur surprise : « Je pensais être un cas désespéré, mais j’ai dormi d’une traite ! ».
L’expérience montre aussi que l’hypnothérapie ne se contente pas d’effacer les symptômes. Elle travaille sur le terrain : stress, mémoire du corps, habitudes nocives ou auto-suggestions négatives (ces fameuses petites phrases qu’on se répète : « je ne vais jamais dormir », « ça recommence », etc.). Modifier ce disque rayé, c’est reprendre le contrôle. L’hypnothérapeute vous remet le volant, et la route du sommeil devient plus praticable.
Certains patients préfèrent apprendre l’autohypnose. On leur donne les outils pour recréer chez eux cet état de lâcher-prise et de relaxation. Ça, c’est la cerise sur le gâteau : non seulement on bénéficie de l’expertise thérapeutique, mais on apprend à devenir autonome quand le besoin s’en fait sentir.
Vous vous demandez sûrement : comment des mots et des images mentales peuvent-ils rivaliser avec l’arsenal chimique des somnifères ? Bonne question. La réalité, c’est qu’hypnose et sommeil travaillent main dans la main sur le cerveau, mais pas du tout sur les mêmes circuits. Le secret se cache dans le système nerveux autonome, ce grand chef d’orchestre qui règle la tension, la respiration, la digestion… et le sommeil.
Lorsqu’on ne dort pas, c’est souvent parce que le système de « veille » prend toute la place. Imaginez que vous essayez de dormir avec l’alarme incendie allumée dans toute la maison : compliqué, non ? L’hypnose ne fait pas disparaître le danger, mais apprend à reprogrammer votre alarme intérieure – à dire « tu peux t’apaiser ». C’est une « désactivation » ciblée des réactions de stress et d’adrénaline via ce qu’on appelle le système parasympathique (celui qui favorise la détente, la nuit, la digestion tranquille).
Les études montrent que quelques séances d’hypnose font baisser le rythme cardiaque, ralentissent la respiration, et réduisent même la tension musculaire. En clair, tout le corps passe en mode « récupération ». Comme si on passait du mode marathon à la position transat. Résultat : un sommeil qui revient, étape par étape, plus profond, plus stable.
Mais ce n’est pas tout : l’hypnose médicale facilite l’apparition des « ondes lentes », ces fameux états cérébraux où le cerveau se met vraiment au repos. C’est là qu’il fait le ménage, trie les souvenirs, efface les tensions. Les patients qui découvrent l’hypnose décrivent souvent une sensation de « reset », comme si quelqu’un avait passé une éponge sur leur mental. Du concret, donc.
L’autre force de cette approche, c’est la personnalisation. Chaque cerveau, chaque vécu, chaque cause d’insomnie exige une prise en charge spécifique. Une hypnothérapeute professionnelle, comme Mme Marcelle Monseur, pose des questions simples pour cibler l’origine réelle de la difficulté : anxiété, douleurs, déséquilibre hormonal, deuil, etc. Puis, elle va utiliser des métaphores, des images mentales, qui parlent à votre inconscient. L’idée, c’est de planter des graines de changement au bon endroit, à la bonne profondeur.
Petite anecdote : un patient hésitait à consulter pour ses réveils nocturnes. À chaque insomnie, il imaginait des « moutons électriques » qui parlaient… Après quelques séances, il a pu transformer ce scénario en « voiliers silencieux » qui voguaient sur une mer calme. Sa propre image, sa propre porte d’entrée vers le sommeil. Ça peut sembler naïf, mais le cerveau adore les histoires sur mesure.
Plusieurs études (voir références en fin d’article) montrent également que l’hypnothérapie médicale réduirait le temps d’endormissement de près de 30 % chez les insomniaques chroniques, et augmenterait la durée du sommeil profond. Ce n’est donc pas un simple effet de mode : c’est efficace, mesurable, suivi par des professionnels de santé formés. (D’ailleurs, vous voulez en savoir plus sur la certification NGH de Mme Monseur ? Lisez cet article sur les mythes et réalités de l’hypnose).
Enfin, on finit parfois par l’oublier : retrouver le sommeil, ce n’est pas retrouver uniquement des nuits pleines, c’est se réveiller avec de l’énergie, de l’envie, du sourire. C’est remettre du carburant dans la journée. Et pour beaucoup, l’hypnose thérapeutique en est le raccourci, là où tant d’autres méthodes n’ont fait qu’endormir… les symptômes.
Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Vous n’avez jamais testé de séance d’hypnose médicale ? Voici à quoi ressemble le cheminement, pas à pas, dans le cadre professionnel proposé par Mme Marcelle Monseur à Esneux.
Première étape : l’écoute approfondie. On prend le temps. On identifie le contexte, la durée des troubles, les habitudes de vie, mais aussi vos « petites manies » du soir… Ce n’est pas anodin : certains insomniaques dorment près de leur téléphone, d’autres prennent des somnifères, d’autres encore « se forcent » à dormir – ce qui produit l’inverse du résultat attendu. On choisit ensemble la stratégie. On explore les solutions déjà essayées, avec un objectif clair : vous proposer un accompagnement adapté, pas une recette magique universelle. Le centre médical où exerce Mme Monseur permet aussi, au besoin, de coordonner la prise en charge avec les autres soignants (médecin traitant, psychiatre, etc.).
Deuxième étape : la première induction hypnotique. La curiosité se mêle souvent à la crainte – et si je ne « décrochais » pas ? Rassurez-vous : toute hypnose thérapeutique respecte votre rythme, votre volonté. L’hypnothérapeute utilise des techniques de relâchement corporel, des métaphores et des suggestions positives pour vous accompagner vers un état de conscience « entre veille et sommeil ». On ne dort pas : on voyage. D’ailleurs, certains se rappellent tout, mot à mot ; d’autres « décrochent » comme au volant sur l’autoroute. Tout est normal. On teste ce qui vous parle. On ajuste le langage, le ton, les pauses.
Troisième étape : répétition, consolidation, autohypnose. C’est l’étape clé. On ne guérit pas l’insomnie en une seule fois – comme on n’apprend pas à jouer du piano en une soirée. Le cerveau a besoin de répétition. Après deux-trois séances, l’insomnie recule d’un cran : moins de réveils, des ruminations qui perdent leur pouvoir, une sensation d’avoir fait une vraie pause. On peut, si vous le souhaitez, apprendre à pratiquer l’autohypnose seul·e : exercices de respiration, ancrages corporels, rituel de détente. Plus besoin de consulter à chaque souci – vous avez votre propre trousse à outils pour la nuit.
Et ensuite ? Vous savez ce qui est génial ? Les progrès se voient souvent sur d’autres plans : moins de stress au travail, meilleure mémoire, appétit retrouvé, vie sociale allégée des cernes. Dans certains cas, on diminue petit à petit les somnifères, avec l’appui du médecin. Rien n’est imposé. Hypnose et médecine se serrent la main : chacune apporte ce qu’elle fait de mieux.
Est-ce que tout le monde répond ? Non. Il existe des causes d’insomnie qui relèvent d’un trouble médical grave, d’autres d’un déséquilibre hormonal ou d’un traumatisme plus complexe. L’hypnose aide dans la majorité des cas, mais elle ne se substitue jamais à une prise en charge médicale globale. C’est pourquoi une consultation chez un hypnothérapeute professionnel se déroule toujours en lien avec les autres soignants. Ne jamais promettre la lune : promettre un chemin.
Un mot sur les jeunes (étudiants, adolescents) : ils sont de plus en plus nombreux à utiliser l’hypnose pour lutter contre le stress du bac, les écrans ou la pression scolaire. Ici aussi, Mme Monseur adapte ses séances : des techniques de visualisation dynamique, d’ancrage rapide, ou d’autohypnose en 5 minutes pour se détendre avant de dormir.
Cas particulier : certains patients craignent de perdre le contrôle ou de « s’endormir à jamais ». Rassurez-vous, l’hypnose n’a rien à voir avec la perte de conscience : vous restez maître à bord. La preuve : on peut même sortir de l’état hypnotique à tout moment. L’idée, c’est plutôt de reprendre les manettes, et de réapprendre à voir la nuit comme une alliée – pas un adversaire.
Le bonus ? Les bienfaits de l’hypnose dépassent souvent le sommeil. Les patients relatent une meilleure capacité à gérer l’anxiété, les douleurs, ou le rapport au temps. C’est comme si, en restaurant le sommeil, on réparait les fondations de la maison. D’ailleurs, beaucoup témoignent revenir ponctuellement en consultation, pour « renforcer » ce qu’ils ont appris, sans que la rechute ne soit la règle.
Un dernier point : les séances chez une hypnothérapeute certifiée NGH comme Mme Monseur respectent des protocoles stricts, validés et reconnus internationalement. Les mots-clés sont sécurité, confidentialité, et adaptation constante aux besoins. Si des médicaments sont nécessaires, pas de souci : la hypnose vient en complément, pas en remplacement. Chacun avance à son rythme. Depuis Esneux, à Liège et aux environs, les retours sont encourageants : on ose parler, on ose dormir. Enfin.
La réponse, c’est oui – mais avec des nuances. L’effet « miracle », c’est le fantasme des insomniaques qui ne savent plus à quel saint se vouer. Dans la vraie vie, l’hypnothérapie médicale est surtout un catalyseur : elle aide à sortir du cercle vicieux de la peur de ne pas dormir. C’est souvent là que tout bascule.
Un insomniaque, c’est quelqu’un qui non seulement subit la privation de sommeil, mais qui, en plus, angoisse à l’idée que la nuit suivante sera identique, ou pire. Résultat : le cerveau s’emballe, les muscles se tendent, la moindre lumière ou bruit devient un ennemi. L’hypnose médicale vient faire pause là-dedans. Elle dédramatise la nuit, remet au centre la possibilité d’une bonne surprise (« et si cette fois, je dormais enfin ? »), et surtout, elle apprend à « lâcher prise », à ne pas lutter contre le fait d’être éveillé. Paradoxalement, c’est quand on arrête de se battre que le sommeil revient.
Certaines techniques sont spécifiques : on peut travailler sur les « scripts internes » (ces petites voix négatives), sur la peur de ne pas dormir, sur la gestion de la lumière ou du bruit, ou encore sur le rapport au temps (« je compte les heures, le réveil va bientôt sonner »). Tout cela ne disparaît pas du jour au lendemain, mais le vécu change. Un patient à aux alentours de Liège explique ainsi : « J’ai appris que j’avais le droit de ne pas dormir parfaitement ; la pression a diminué ; les nuits sont moins stressantes, et donc plus réparatrices. »
L’effet sur le long terme vaut le détour : là où la plupart des solutions rapides (médicaments, alcool, écrans) ne font qu’endormir la vigilance, l’hypnose replace la personne au cœur du changement. On redevient acteur. On s’autorise à réussir. La confiance retrouvée joue un rôle clé : quand on cesse de penser que « c’est fichu d’avance », le cerveau relâche sa surveillance – et le sommeil gagne du terrain, naturellement.
Un point précis : de nombreux patients rapportent un cercle vertueux : après une ou deux consultations, ils dorment mieux, ils stressent moins le jour, ils se disent « si ça ne marche pas ce soir, j’ai des outils pour rebondir ». C’est comme réapprendre à faire du vélo – au début, on a besoin d’être accompagné, guidé, puis, très vite, on retrouve l’équilibre, tout seul.
Enfin, n’ignorez pas l’importance du suivi. Les consultations d’hypnose médicale pour l’insomnie ne se limitent pas à la disparition des symptômes. Le thérapeute et l’insomniaque travaillent ensemble sur les causes plus profondes : rythme de vie, gestion du stress, activité physique, alimentation, etc. C’est toute une hygiène du sommeil qui se remet en place. Et ce, sans dépendance, ni effets secondaires lourds.
Vous hésitez encore ? C’est normal. Beaucoup se disent « je ne suis pas hypnotisable » – mythes et fausses croyances sont tenaces. Or, la science est claire : tout le monde peut tirer profit de l’hypnose, dès lors qu’on se sent en sécurité, écouté, accompagné par un professionnel compétent. On ne cherche pas la perfection, mais le progrès. Un petit pas, puis un autre.
Finalement, l’hypnose pour l’insomnie, c’est changer la météo intérieure : passer de l’orage à la brise légère. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est possible. Et si vous faisiez, ce mois-ci, le pas de consulter ? Les portes sont ouvertes – le sommeil aussi.
Comment se passe une première consultation d’hypnose médicale pour l’insomnie ?
Lors de la première séance, l’hypnothérapeute prend le temps de comprendre votre histoire, vos habitudes et vos difficultés nocturnes. Puis, elle vous guide vers un état de relaxation profonde adapté à votre rythme, en toute sécurité, afin de vous aider à retrouver des nuits plus sereines.
Pourquoi l’hypnose est-elle pertinente pour traiter les troubles du sommeil chroniques ?
L’hypnose agit directement sur le système nerveux en réduisant l’anxiété, les tensions musculaires et les pensées négatives, qui perturbent le sommeil. C’est une technique non médicamenteuse et complémentaire, reconnue pour sa capacité à rétablir les cycles naturels du sommeil, sans dépendance ni effets secondaires lourds.
Quand faut-il envisager l’hypnothérapie pour lutter contre l’insomnie ?
Dès que l’insomnie devient chronique, malgré de bonnes habitudes de vie ou en complément d’un suivi médical classique, l’hypnose médicale peut apporter une aide précieuse. Une dizaine de séances suffit souvent pour observer des résultats, notamment en cas de stress, anxiété ou réveils nocturnes fréquents.
Faut-il arrêter ses médicaments pour essayer l’hypnose médicale ?
Non, l’hypnose ne remplace pas les traitements prescrits par votre médecin, mais elle s’y associe harmonieusement pour améliorer votre état global. Toute modification de traitement doit être validée avec votre médecin après concertation avec l’hypnothérapeute.
1. Montgomery GH et al. « Hypnosis for Insomnia: A systematic review », Sleep Medicine Reviews, 2021. Cette revue met en évidence l’efficacité de l’hypnose dans la réduction de l’insomnie chronique, avec de nombreux patients rapportant un meilleur endormissement et moins de réveils nocturnes.
2. Cordi MJ et al. « Hypnotic Suggestions Enhance Slow-Wave Sleep in Healthy Humans », Frontiers in Psychology, 2014. Cette étude démontre que l’hypnose favorise l’augmentation du sommeil profond, essentiel pour la récupération.
3. Villani D et al. « The effectiveness of hypnotherapy in treating sleep disorders », International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2019. L’article confirme que l’hypnothérapie a des effets positifs démontrés sur de nombreux troubles du sommeil, chez l’adulte comme chez l’enfant.
4. Elkins GR et al. « Hypnotherapy for the management of chronic insomnia: A randomized controlled trial », Sleep, 2014. Les résultats indiquent que l’hypnose médicale, pratiquée en complément des soins habituels, permet une nette amélioration de la qualité et de la durée du sommeil chez les insomniaques chroniques.