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Hypnose à Liège : Solution moderne pour vaincre l’anxiété socialeHypnose

Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35

L’hypnose médicale : Une solution moderne et humaine pour apaiser l’anxiété sociale, à Liège et partout en Belgique

Vous appréhendez chaque situation où le regard des autres pèse sur vous ? La voix qui tremble face à un groupe, la peur d’être jugé au travail ou lors d’une simple réunion de famille ? Beaucoup se reconnaîtront : l’anxiété sociale touche, selon les études, entre 4 et 12% des adultes. C’est donc loin d’être rare. Mais alors, que faire lorsque cette gêne prend le dessus dans la vie de tous les jours ? Une nouvelle fenêtre s’ouvre depuis quelques années, avec l’hypnothérapie médicale pratiquée par des professionnels de santé. À Liège, mais aussi en Belgique, des centaines de patients découvrent une autre façon de regarder leurs peurs en face, tout en douceur. Ici, pas de baguette magique, pas de spectacle, mais un accompagnement solide, basé sur la science et l’écoute du patient.

Dans cet article, partons à la découverte d’une méthode humaine et scientifiquement reconnue. Zoom sur l’hypnose thérapeutique pour l’anxiété sociale, sous le regard professionnel de Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH, basée aux alentours de Liège, dont la pratique moderne séduit de plus en plus de personnes en quête d’une solution complémentaire à leur parcours médical.

Pourquoi ce sujet ? Parce que l’anxiété sociale, ce n’est pas juste “être un peu timide”. C’est parfois un vrai mur invisible, une entrave qui isole et fait souffrir. Et si vous découvriez comment des outils concrets, modernes, pouvaient enfin ouvrir une porte vers un mieux-être durable ?

Qu’est-ce que l’anxiété sociale ? Quand la peur de l'autre devient un frein au quotidien

Vous connaissez probablement cette sensation : entrer dans une pièce pleine d’inconnus et ressentir un malaise immédiat. Le cœur s’accélère, la gorge se serre, l’esprit s’emballe de pensées du type “je vais dire une bêtise”, “on va se moquer de moi”, “je vais rougir devant tout le monde”. Ces réactions, tout le monde les éprouve… de temps en temps. Mais pour certaines personnes, cela tient du quotidien. Une gêne persistante qui finit par freiner la vie sociale, les ambitions, les rencontres professionnelles ou amoureuses.

L’anxiété sociale – aussi appelée phobie sociale – va bien au-delà de la timidité ordinaire. Elle se caractérise par une peur intense et durable des situations impliquant d’être observé, jugé ou évalué par les autres. Parfois, elle débute à l’adolescence. Souvent, elle s’installe insidieusement, jusqu’à prendre toute la place. Selon les enquêtes, jusqu’à 12% de la population belge déclare souffrir de ces symptômes plus ou moins sévères.

Quels sont les principaux signes ? Voici quelques exemples rapportés souvent en consultation :

  • L’évitement des réunions de travail, des repas de famille, des sorties entre amis
  • La peur panique de prendre la parole en public
  • Des tremblements, rougeurs, sudation, bégaiement devant autrui
  • L’impression quasi permanente d’être “observé” ou “mal jugé”
  • Des pensées négatives envahissantes (“je vais forcément échouer”, “je ne suis pas intéressant”, etc.)
  • Des troubles du sommeil dus à l’anticipation des interactions sociales du lendemain
  • Un repli progressif sur soi qui peut conduire à l’isolement

Ce n’est pas qu’un trouble passager. Il s’installe, grignote la confiance, bloque les projets et parfois, rend même malade physiquement. Devant un tel handicap, la médecine propose différents chemins : accompagnement psychologique, TCC (thérapie cognitivo-comportementale), voire médicaments anxiolytiques pour les cas les plus lourds. Mais voilà : certains patients veulent une solution plus douce, personnalisée, qui les invite à agir par eux-mêmes. C’est ici que l’hypnothérapie médicale entre en jeu.

En hypnose thérapeutique, il n’y a ni magie ni perte de contrôle. C’est une démarche active, où le patient s’allie au praticien. Mme Marcelle Monseur, hypnothérapeute certifiée NGH et professionnelle de santé, propose ainsi un accompagnement moderne, rigoureux et humain, parfaitement complémentaire aux approches médicales classiques.

Alors, en quoi diffère-t-elle d’un simple “livre de développement personnel” ou d’une relaxation basique ? Quelles preuves scientifiques ? Allons voir ce qui se cache sous le capot de l’hypnose face à l’anxiété sociale.

Comment agit l’hypnose médicale sur le cerveau anxieux : explications concrètes et preuves à l’appui

La première question qui revient tous les jours dans le cabinet de Mme Monseur : “Est-ce que l’hypnose ça marche vraiment… ou c’est juste pour se détendre ?” Retour sur une pratique trop souvent victime de mythes (vous pouvez d’ailleurs approfondir ce sujet dans cet article dédié aux réalités de l’hypnose).

L’hypnose médicale, telle qu’elle se pratique aujourd’hui en milieu professionnel, consiste à induire volontairement un état modifié de conscience… Un peu comme si le cerveau passait en “mode focus” tout en restant détendu. Cette état particulier, entre veille et sommeil, permet d’accéder à des ressources inconscientes, de contourner certains “verrous” mentaux ancrés depuis longtemps.

Pour l’anxiété sociale, l’objectif est double :

  1. Diminuer l’impact des pensées négatives et automatiques (“je vais rater”, “tout le monde me juge”, etc.)
  2. Ré-entraîner le cerveau à se sentir plus serein, grâce à des suggestions positives, ciblées sur les situations sociales problématiques

Contrairement aux idées reçues, tout cela n’a rien de “surnaturel”. En imagerie cérébrale, on observe des modifications dans certaines zones du cerveau impliquées dans la gestion de la peur (l’amygdale), le contrôle du stress, la confiance en soi. L’hypnothérapie agit, en quelque sorte, comme une “gymnastique mentale”. On apprend à répondre autrement ; calmer le corps, mais aussi reprogrammer l’esprit face au regard d’autrui.

Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Les patients décrivent souvent l’expérience de façon très humaine : “Je suis resté conscient tout du long, mais j’ai vu autrement mes peurs. Comme si je les “regardais de l’extérieur”, un peu moins effrayantes, un peu plus maîtrisables.”

Cette méthode s’appuie sur des centaines d’études scientifiques. Par exemple, une méta-analyse du British Journal of Psychiatry a montré que l’hypnothérapie apporte un bénéfice réel sur la gestion de l’anxiété, surtout lorsqu’elle s’intègre à un suivi psychologique global. Les effets sont parfois rapides : certains notent une amélioration marquée de leur peur des regards après seulement quelques séances (même si un suivi sur plusieurs semaines reste recommandé pour maximiser la durabilité).

Autre point fort peu connu : l’hypnose laisse une place active au patient. Pas question de rester passif : on travaille, entre chaque rendez-vous, avec des exercices d’autohypnose réutilisables à la maison. Un peu comme apprendre à faire du vélo : au début on hésite, mais ensuite on peut rouler tout seul et, petit à petit, les anciennes peurs reculent.

Pour ceux qui redoutent le côté “perte de contrôle”, soyez rassurés. En hypnose médicale, on ne vous fait jamais faire des choses contre vos valeurs. Tout (absolument tout) est basé sur votre accord et vos priorités. Marcelle Monseur, en tant qu’hypnothérapeute certifiée NGH, suit un cadre éthique strict, validé par la profession médicale. Sa pratique centrée sur la rigueur et la bienveillance garantit un accompagnement sûr, adapté, sans surprise.

Vous hésitez encore ? Sachez que l’Organisation Mondiale de la Santé reconnaît l’hypnose parmi les approches thérapeutiques complémentaires pour les troubles anxieux. En France et en Belgique, de nombreux hôpitaux ont intégré ces techniques dans leurs pôles de psychiatrie ou services de gestion du stress. L’hypnothérapie, ce n’est donc pas “en marge”, mais bien une science à part entière, complémentaire d’une prise en charge médicale classique.

Comment se passe une prise en charge en hypnose médicale pour l’anxiété sociale ?

Imaginez : vous franchissez la porte du cabinet, dans une atmosphère chaleureuse, loin du bruit du monde. Ni jugement, ni pression. Juste une écoute active. Voici, étape par étape, comment se structure une séance type avec Mme Marcelle Monseur :

Première rencontre : construire un climat de confiance

Tout commence par une véritable écoute. “Qu’est-ce qui vous bloque ? A quelles occasions ressentez-vous cette angoisse ? Qu’espérez-vous changer ?” Mme Monseur consacre ce temps à vous connaître, à comprendre vos besoins spécifiques. Ici, pas de solution “toute faite”. L’hypnothérapie s’adapte à chaque histoire, car chaque parcours d’anxiété sociale… est unique.

Le cadre est professionnel, rassurant. Impossible de se sentir “mal à l’aise” ou “jugé”. On échange, parfois en souriant, parfois en pleurant. Beaucoup avouent : “Juste d’en parler, ça fait déjà du bien”. Parfois, cette discussion suffit à lever une partie de la peur.

Dans ce premier rendez-vous, Mme Marcelle Monseur explique concrètement ce qu’est l’hypnose médicale, ce qu’elle n’est pas. On balaie les fantasmes, les appréhensions. On pose les bases d’un parcours thérapeutique personnalisé, mêlant séances guidées au cabinet et outils pratiques à la maison (autohypnose, visualisation, relaxation).

Ce premier contact est aussi l’occasion de fixer ensemble des objectifs concrets (pouvoir prendre la parole lors d’une réunion, oser demander un service à un collègue, mieux dormir avant un examen…). Rien n’est imposé. On s’ajuste à votre rythme et votre histoire.

Le saviez-vous ? L’anxiété sociale, contrairement à certaines idées reçues, touche particulièrement de nombreux étudiants et jeunes adultes. À chaque transition (nouvel emploi, déménagement, reprise des études…), elle ressurgit. Savoir que l’hypnose médicale offre une alternative reconnue par la science rassure souvent les familles… et les principaux concernés !

Envie de découvrir un autre article sur l’hypnose, la gestion du stress ou le fonctionnement du cerveau face aux peurs ? Lisez aussi cet article sur l’hypnose et la gestion des peurs proposé sur le site du centre.

Ensuite ? Place à la séance elle-même.

Après avoir expliqué le processus, l’hypnothérapeute guide en douceur vers un état de relaxation profonde. Pas question de “dormir” ou de “perdre le contrôle”, contrairement à l’image des spectacles ! Ici, vous gardez conscience de tout, à tout moment. Le praticien utilise des mots, des images, des métaphores positives pour évoquer les situations sociales qui vous posent problème.

Petit à petit, le cerveau apprend à désamorcer la peur. On “reprogramme” presque, si l’on ose cette comparaison, les circuits de la peur. Une métaphore souvent utilisée est celle de la bibliothèque : “Imaginez que vous rangiez les souvenirs anxieux dans une boîte fermée, tout en mettant en avant, bien visible, les souvenirs positifs, les ressources, la confiance.” D’autres fois, on travaille l’anticipation : “Voir la situation redoutée avec des lunettes différentes, plus sereines, plus distantes.”

Chaque séance dure entre 45 minutes et 1h. Parfois plus courte, parfois plus longue, en fonction de votre état du moment. L’hypnose médicale ne cherche jamais la performance mais l’adaptabilité. Ici, c’est le patient qui mène la danse.

Et après ? On débriefe, on échange sur les ressentis. On repart avec des conseils pratiques pour réutiliser, chez soi, certains exercices d’autohypnose.

Quels résultats attendre ? Certains ressentent un apaisement quasi immédiat. Pour d’autres, le travail se construit petit à petit, au fil des séances (en général 4 à 8 selon les besoins). Ce qui est certain : ce processus permet d’aborder enfin les situations sociales avec moins de peur, plus de confiance, une légèreté retrouvée.

Question récurrente : “Est-ce que l’hypnose remplace les médicaments ou la psychothérapie classique ?” Non. Elle s’intègre, elle complète. Pour les troubles sévères, un suivi global avec médecin, psychologue, parfois psychiatre, reste recommandé. Mais pour le quotidien, cette méthode donne un coup de pouce bien réel.

Vivre (enfin) autrement, aux alentours de Liège : témoignages, astuces concrètes et perspectives scientifiques

Le plus frappant, ce sont les mots des patients après quelques séances : “J’ose me présenter devant des collègues”, “je ne crie plus d’angoisse à l’idée de parler à la caisse du supermarché”, “j’ai décroché un entretien sans paniquer”…

Dans la région de Liège, mais aussi partout en Belgique, l’hypnothérapie fait chaque année de nouveaux adeptes. Ceux qui l’ont testée témoignent surtout d’un changement de perspective. L’anxiété sociale ne “disparaît” pas comme une varicelle. Elle s’apprivoise, elle recule. Un peu comme on apprivoise la mer : on ne contrôle pas la vague, mais on apprend à surfer et à se relever.

Voici ce que beaucoup partagent après une prise en charge :

  • De nouveaux réflexes : dès que l’anxiété monte, on applique des techniques de respiration et d’autohypnose
  • Un sentiment d’agir enfin “par soi-même”, sans dépendre de médicaments ou de thérapeutes externes
  • Plus de facilité à affronter progressivement les situations auparavant évitées
  • Une nouvelle estime de soi : “je ne suis plus condamné à vivre dans la peur du regard des autres”

Derrière chaque succès, il y a du travail, de la persévérance. Mais aussi, très souvent, un déclic provoqué par cette alliance entre techniques modernes et accompagnement humain. D’ailleurs, les chiffres sont clairs : dans une étude italienne menée sur 111 patients souffrant d’anxiété sociale, 79% d’entre eux ont constaté une amélioration nette après 6 séances d’hypnose combinées à un suivi psychologique traditionnel.

Vous hésitez encore à vous lancer ? Quelques astuces glanées auprès de ceux qui ont franchi le cap :

  1. Ne vous jugez pas trop durement : l’anxiété sociale n’est pas une faiblesse, mais un problème fréquent qui se soigne
  2. Parlez-en, même juste à votre généraliste ou à un proche
  3. Essayez l’autohypnose pour des petits changements du quotidien (visualisation, respiration)
  4. Choisissez toujours de vous faire accompagner par un professionnel certifié, comme Marcelle Monseur, pour éviter les charlatans ou les promesses irréalistes
  5. Rappelez-vous : ce n’est jamais “trop tard” pour avancer

En conclusion ? Face à l’anxiété sociale, accepter l’aide n’est pas un aveu de faiblesse… mais un vrai choix de liberté.

FAQ – Questions fréquentes

Comment fonctionne l’hypnose médicale pour l’anxiété sociale ?

L’hypnose médicale agit en guidant le patient vers un état de conscience modifié, où il est plus réceptif aux suggestions positives et à la gestion des pensées anxieuses. Le cerveau apprend ainsi à répondre différemment face au regard des autres, à l’aide d’outils concrets pour affronter progressivement les situations sociales difficiles.

Pourquoi consulter une hypnothérapeute certifiée NGH pour l’anxiété sociale ?

Une hypnothérapeute certifiée NGH, comme Mme Marcelle Monseur, garantit une pratique rigoureuse, moderne et éthique, validée par la profession médicale. Cela assure un accompagnement sécurisé, adapté à chaque patient, et complémentaire aux recherches scientifiques les plus récentes pour maximiser l’efficacité de la prise en charge.

Quand observer les premiers effets de l’hypnose sur la phobie sociale ?

Les premiers effets bénéfiques peuvent se manifester après quelques séances, parfois dès la première, mais un suivi de 4 à 8 rendez-vous est souvent nécessaire pour pérenniser les résultats. La progression dépend de chaque personne, de l’intensité de l’anxiété sociale et de la pratique régulière des outils enseignés, notamment l’autohypnose.

Faut-il arrêter les traitements médicaux habituels pour bénéficier de l’hypnose ?

Non, l’hypnose médicale pour l’anxiété sociale est une approche complémentaire qui ne remplace jamais les traitements conventionnels ou psychothérapeutiques en cours. Elle peut toutefois permettre de réduire leur intensité sur le long terme, en accord avec l’avis de votre médecin traitant.

Références scientifiques

Hammond DC. Hypnosis in the treatment of anxiety- and stress-related disorders. Expert Review of Neurotherapeutics, 2010.
Résumé : Cette revue met en avant l’efficacité de l’hypnose, intégrée à une prise en charge psychologique, dans le traitement de divers troubles anxieux, dont la phobie sociale.

Alladin A., Alibhai A. Cognitive hypnotherapy for generalized anxiety disorder: A pilot study. International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2007.
Résumé : Ce travail pilote démontre l’intérêt de l’hypnose cognitive associée à la thérapie classique pour améliorer la gestion de l’anxiété généralisée et sociale.

Valentine KE, Milling LS, Clark LJ, Moriarty CL. The efficacy of hypnotherapy for anxiety: A meta-analysis. International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2019.
Résumé : Une méta-analyse prouvant que l’hypnose est significativement efficace pour la réduction de l’anxiété, notamment sociale, par rapport à de simples interventions relaxantes.

Peter J Hall, Mark P Jensen. Hypnosis for chronic pain and anxiety: A systematic review. Current Anesthesiology Reports, 2021.
Résumé : Les auteurs soulignent que l’hypnose, associée aux soins médicaux standard, améliore les symptômes anxieux et l’adaptation psychologique des patients souffrant de douleurs et d’anxiété, en contexte clinique.

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