Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
La perte de libido liée à la fatigue et au stress est un motif de consultation fréquent en sexologie, notamment à Liège et dans la région liégeoise. Face à un quotidien exigeant, de nombreux couples et personnes seules se retrouvent confrontés à cette baisse du désir sexuel qui perturbe l’équilibre individuel et la dynamique du couple. Mais que révèle réellement cette perte de libido ? Est-elle un simple symptôme de surmenage ou une alerte à prendre au sérieux pour préserver son bien-être et l’harmonie conjugale ? Cet article, appuyé par les recherches scientifiques les plus récentes et l’expertise de la sexologue Sabrina Bauwens, vous propose de mieux comprendre ce phénomène, d’identifier les facteurs psychologiques, physiques et relationnels impliqués, et surtout de découvrir des pistes concrètes pour retrouver l’élan du désir.
Le désir sexuel n’est pas un état figé ni un simple reflet de l’attirance physique. Il constitue une énergie vivante, profondément ancrée dans le corps, le mental et le contexte relationnel. Selon la définition de la Classification Internationale des Troubles Sexuels (DSM-5), la baisse de libido, ou trouble du désir hypo-actif, se manifeste par une diminution persistante ou récurrente de l’intérêt sexuel, des pensées érotiques ou de la réceptivité aux avances du ou de la partenaire (Krychman ML et al., 2019).
L’Organisation Mondiale de la Santé considère la sexualité comme un état de bien-être physique, émotionnel et social. Or, le stress et la fatigue, aujourd’hui omniprésents dans les sociétés occidentales, perturbent ce fragile équilibre. Les habitants de province de Liège n’y échappent pas, surtout dans une conjoncture marquée par des exigences professionnelles croissantes, une vie familiale intense, des sollicitations permanentes et les nombreux défis liés à l’actualité.
La fatigue chronique est devenue le mal du siècle. Qu’il s’agisse de nuits écourtées, de travail de nuit, de charge mentale parentale ou d’un rythme de vie effréné, l’épuisement s’installe insidieusement. Mais quel rapport entretien-t-elle avec le désir sexuel ?
Pour fonctionner, le désir sexuel nécessite une certaine disponibilité physique et mentale. Les circuits neurobiologiques du plaisir impliquent, entre autres, la dopamine (hormone du plaisir), dont la production chute lors de la fatigue et du stress. La testostérone, autre hormone-clé de la libido masculine et féminine, baisse également en cas de manque de sommeil prolongé (Mahoney MM et al., 2017).
La fatigue perturbe aussi la perception de soi. On se sent peu désirable, moins motivé·e à l’intimité, plus irritable. L’acte sexuel, qui devrait être une source de régénération, est alors vécu comme une contrainte supplémentaire, voire comme un effort impossible à fournir.
En consultation à Esneux, proche de Liège, on observe fréquemment l’impact négatif du stress sur la vie intime. Le stress chronique, qu’il soit professionnel, familial ou émotionnel, active l’axe « hypothalamo-hypophyso-surrénalien » du corps, qui libère du cortisol : une hormone dite « de la survie ».
Le cortisol, lorsqu’il est en excès, agit comme un inhibiteur du désir : il freine les circuits cérébraux du plaisir au profit de la vigilance et de la gestion des menaces. Plus le stress dure, plus il s’installe dans le quotidien, accumulant des tensions qui étouffent l’élan désirant. De nombreux patients témoignent d’une difficulté accrue à se détendre, à lâcher-prise et à ressentir du plaisir sexuel.
La charge mentale, omniprésente chez les femmes mais aussi chez certains hommes, accentue ce phénomène. Penser à tout, tout le temps (enfants, organisation, gestion des tâches…), c’est laisser peu de place à la spontanéité et à l’imaginaire érotique.
Quand la fatigue et le stress s’installent, ils engendrent de la frustration, une auto-critique (je ne suis plus désirable), voire des tensions de couple (on se sent rejeté·e, incompris·e). Cela peut aboutir à un évitement de l’intimité, puis à une baisse de la production d’hormones libérées pendant l’orgasme (ocytocine, dopamine). Cette diminution d’hormones du plaisir aggrave la fatigue et le stress, bouclant ainsi un cercle vicieux particulièrement difficile à rompre si rien n’est fait.
En province de Liège, de nombreux couples se sentent alors « emmurés » dans cette routine épuisante. Certains craignent que cette absence de désir ne signifie la fin de leur amour ou de leur compatibilité. Or, dans la majorité des cas, la dynamique relève de facteurs physiologiques et contextuels plutôt que d’une désaffection profonde.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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À la périphérie liégeoise, les patientes et patients rencontrés en sexologie expriment souvent :
Il est rassurant de rappeler que ces difficultés sont partagées par un grand nombre de personnes, quel que soit leur genre, âge ou orientation.
Hommes et femmes ne vivent pas la baisse du désir de la même façon. Chez l’homme, la fatigue et le stress peuvent parfois se traduire par des troubles érectiles, renforçant le sentiment d’inefficacité ou de honte (anxiété de performance).
Chez la femme, la diminution de la lubrification, une plus grande difficulté à se concentrer ou à « entrer dans l’ambiance », et la peur d’être jugée comme « froide » est souvent rapportée. Soulignons au passage que les mécanismes hormonaux sont aussi différemment sollicités ; lors d’un cycle menstruel irrégulier ou en période de ménopause, le stress et la fatigue exacerbent la perte du désir (Voir le rôle des hormones dans la libido).
En province de Liège, les hommes osent de plus en plus consulter, mais le tabou demeure important autour de la « virilité » et des problématiques sexuelles masculines. Les couples, eux, hésitent parfois à demander de l’aide de peur d’ouvrir la boîte de Pandore de leurs difficultés latentes.
De nombreuses solutions existent pour sortir de l’isolement et retrouver progressivement le désir. S’adresser à une sexologue à Liège ou aux alentours permet :
En consultation sexologique, la dimension non-jugement est fondamentale. On y déconstruit les mythes autour de la « norme sexuelle » et on adapte la prise en charge à chaque histoire de vie, à chaque personnalité.
Il n’existe pas de solution miracle ou universelle pour relancer la libido épuisée par le stress et la fatigue. Mais plusieurs approches complémentaires peuvent transformer la situation :
Le défi de la récupération commence par le respect de son propre rythme biologique. Travailler sur :
Ces petits ajustements progressifs favorisent aussi une meilleure perception de son corps et de ses envies.
Divers outils peuvent être proposés en sexothérapie :
Le but n’est pas de supprimer le stress, mais de retrouver une marge de manœuvre et de se reconnecter à l’instant présent, propice au plaisir sensoriel et sexuel.
Dans le couple, la communication ouverte sur la fatigue, les envies et les limites actuelles est essentielle. Parler de la baisse de libido, c’est éviter les malentendus qui pourraient conduire à des frustrations ou à des reproches injustifiés (conseils sexologue pour les couples).
Inventer d’autres moments de connexion sensuelle, hors du schéma « rapport sexuel classique », permet d’entretenir la complicité (massages, caresses, échanges affectueux…). Cela ouvre la porte à un désir alternatif, libéré de la pression de la performance.
L’accompagnement sexologique propose souvent des exercices axés sur la redécouverte du plaisir individuel, l’élargissement du champ érotique, et l’attention portée aux sensations sensorielles. Retrouver le fil de son imaginaire, sortir progressivement de la routine et expérimenter sans pression sont des clés puissantes pour ranimer une libido fatiguée.
Proche de Liège, Sabrina Bauwens déploie une série d’outils adaptés à chaque personne ou couple. Son approche se veut personnalisée, bienveillante, intégrant à la fois le psychologique, le corporel et le relationnel.
L’accompagnement débute par un échange approfondi sur l’histoire personnelle, les antécédents médicaux, la dynamique de couple, mais aussi les attentes, les espoirs et les craintes. Il s’agit d’identifier les origines de la perte de libido et du mal-être, de poser les mots là où ils manquaient, et de sortir de la culpabilité individuelle.
L’accompagnement n’est ni directif ni culpabilisant. Il s’adapte aux besoins, au rythme, au contexte du client ou du couple, et peut être ponctuel ou s’inscrire dans la durée selon les besoins.
Si la baisse de la libido s’accompagne d’autres symptômes (troubles anxieux sévères, dépression, douleurs chroniques, troubles hormonaux), un dépistage complémentaire peut être recommandé. En province de Liège, la collaboration entre sexologues, médecins généralistes, psychologues et gynécologues permet une prise en charge globale et sécurisée. Parfois, la prescription temporaire de traitements d’appoint peut être envisagée, toujours en accompagnement d’une démarche psychosexuelle.
Sabrina Bauwens, sexologue à Esneux (à la périphérie liégeoise), recommande d’accepter les fluctuations naturelles du désir. Voici quelques pistes pragmatiques :
Il n’y a pas de « bonne raison » ou de seuil de gravité pour consulter une sexologue. Dès lors que la perte de libido provoque de la souffrance, du doute, ou entrave l’équilibre conjugal/individuel, il est opportun de franchir le pas. Parfois, quelques séances suffisent à lever un verrou ou à ouvrir de nouveaux horizons.
Les consultations en sexologie sont confidentielles, bienveillantes et orientées vers la compréhension, la réconciliation avec soi-même, l’évolution positive.
Pour approfondir ce sujet et bénéficier d’un suivi personnalisé :
La perte de libido liée à la fatigue et au stress n’a rien d’une fatalité. Elle interpelle sur nos priorités, notre mode de vie, la place laissée à la détente, à l’échange, à l’écoute du corps. À Liège comme ailleurs, chaque personne peut retrouver le chemin du plaisir en s’autorisant à sortir des automatismes, à explorer d’autres façons d’aimer, et surtout à demander de l’aide dès les premiers signaux d’alerte.
L’accompagnement sexologique, en individuel ou en couple, repose sur la réconciliation avec soi-même et la découverte de nouvelles sources de désir. À Esneux et en région liégeoise, Sabrina Bauwens vous guide avec respect, écoute et compétences vers une sexualité plus vivante et plus joyeuse.
Pour aller plus loin :
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
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Références scientifiques :