Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Dans la région liégeoise comme partout ailleurs, la perte de désir sexuel au sein du couple est l’un des motifs de consultation les plus fréquents en sexologie. Entre routines bien installées, charge mentale, fatigue, stress professionnel ou parental, il est presque inévitable de vivre un creux du côté du désir au cours d’une vie à deux. Or, la sexualité est un pilier essentiel de l’épanouissement individuel et conjugal. Que faire lorsque la passion des débuts laisse place à une forme d’habitude, voire à une distance érotique ? Comment comprendre et dépasser une baisse de libido sans culpabilité, et surtout, comment ranimer cette énergie du désir, si précieuse à la complicité ? À travers une analyse scientifique et des conseils pratiques, voyons ensemble comment réenchanter la vie sexuelle du couple, un enjeu majeur pour nombre d’habitants à Liège et proches de Liège.
La littérature scientifique internationale confirme que la baisse de désir dans le couple est un phénomène partagé dans toutes les sociétés, touchant autant les jeunes que les couples installés. Selon une étude menée par Mark (2012) publiée dans The Journal of Sex Research, près de 40% des femmes et 30% des hommes rapportent une fluctuation importante de leur libido au fil des années de vie commune. En Belgique francophone comme à Esneux ou à la périphérie liégeoise, ce phénomène conduit beaucoup de personnes à consulter une sexologue spécialisée. Mais d’où vient cette perte de désir ?
Les motifs de la perte de désir sexuel sont fréquemment multiples, entremêlant facteurs psychologiques, biologiques, relationnels et contextuels :
En province de Liège comme ailleurs, la croyance selon laquelle seuls les femmes manqueraient de désir est fausse : au contraire, la baisse de libido concerne très souvent les hommes également. Selon la même étude (Haavio-Mannila et Kontula, 2001), les hommes vivant en couple au-delà de 5 ans connaissent une baisse progressive de leur désir, souvent difficile à verbaliser mais bien réelle. Culpabilité, honte ou peur de décevoir leur compagne freinent la prise de parole. Or la question du désir se pose nécessairement chez les deux membres du couple, quel que soit leur genre.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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L’un des principaux enjeux lors des consultations en sexologie à Liège est de gérer l’écart de libido : l’un des partenaires manifeste une appétence sexuelle maintenue ou forte, tandis que l’autre se sent moins désireux(se), peu enclin(e) aux rapports. Ce fossé, au fil du temps, crée des tensions, blessures, culpabilité et mésententes. La personne ayant moins de désir se sent « en défaut », l’autre incompris(e) et frustré(e).
La société valorise souvent le couple par sa fréquence sexuelle, en induisant l’idée qu’une libido faiblissante est pathologique ou révélatrice d’un désamour. Pourtant, l’usure relative du désir fait partie de la vie de couple : vivre plusieurs années avec la même personne implique inévitablement de passer par des phases de moindre envie. Aucun couple n’échappe durablement à la routine ni à la fluctuation de la libido. Prendre conscience de cette réalité universelle est déjà un premier soulagement d’après les patient(e)s des consultations de sexologie à Esneux.
Plusieurs méta-analyses démontrent que la fréquence, la qualité et la diversité de la sexualité en couple chutent le plus souvent dans les deux à cinq premières années de relation. Factors included are:
Avec l’omniprésence de modèles de couples « parfaits » dans les médias ou sur les réseaux sociaux, nombreux sont les habitants d’Esneux, aux alentours de Liège ou ailleurs à se sentir « anormaux » de ne plus désirer leur partenaire autant qu’aux premiers temps. Or, chaque couple a son propre rythme sexuel, ses propres dynamiques, ses attentes et ses besoins – autant de facteurs subjectifs qu’aucune statistique ne saurait résumer.
La première étape pour réajuster le désir dans le couple consiste donc à ouvrir le dialogue, dans un cadre bienveillant et sans accusation. Il ne s’agit pas d’exiger du partenaire un retour immédiat de la passion, mais d’exprimer honnêtement ses ressentis, ses besoins, ses craintes. Beaucoup de couples vivant en province de Liège craignent que la discussion sur le désir débouche sur une crise – alors qu’au contraire, elle est souvent une clé de la reconnexion émotionnelle et physique. Si le dialogue est difficile, une consultation en sexologie se révèle souvent salutaire.
La fatigue chronique, symptôme fréquent chez les adultes actifs autour de Liège, est sans conteste l’ennemi du désir sexuel. Or, ce facteur est souvent négligé dans la parole médiatique au profit d’analyses psychologiques ou relationnelles uniquement.
La fatigue affecte la libido via la sécrétion de certaines hormones : le stress chronique stimule le cortisol tout en inhibant la production de dopamine et de testostérone, toutes deux impliquées dans la stimulation sexuelle, aussi bien chez l’homme que chez la femme. Chez les couples actifs professionnellement et/ou parents, une sexualité « planifiée » peut sembler dénuée de spontanéité mais constitue souvent un levier d’action efficace pour préserver un minimum de moments d’intimité, y compris aux alentours de Liège ou à la périphérie liégeoise.
Des recherches pointent que le déficit de sommeil, fréquent chez les actifs et les jeunes parents, est fortement lié à la baisse de la libido : selon une étude publiée sur PubMed par Kalmbach et al. (2014), chaque heure de sommeil supplémentaire augmenterait de 14% la probabilité d’avoir un rapport sexuel le lendemain. Mieux vaut donc prioriser le repos que forcer un rapport pour « sauver » la sexualité du couple !
Heureusement, il n’existe pas de fatalité en matière de routine ou de baisse de désir. Différentes stratégies simples, validées par les sexologues et par la recherche, permettent de redynamiser l’élan sexuel, même au sein de couples installés depuis longtemps en province de Liège. En voici les principales :
Le cerveau humain est avide de stimuli nouveaux – et n’échappe pas à cette règle dans la sphère sexuelle. Introduire de la nouveauté ne rime pas toujours avec « pimentations extrêmes » ou « jeux osés » : il suffit parfois de changer de lieu, de varier les horaires, d’essayer de nouvelles caresses ou jeux de séduction, voire même de planifier des rendez-vous galants. La diversification des scénarios sexuels rehausse l’anticipation et la curiosité mutuelle.
L’image de soi joue un rôle capital dans le maintien du désir. Prendre soin de son corps, de sa santé physique et mentale, valoriser ses atouts plutôt que de focaliser sur ses complexes : autant de démarches qui favorisent l’estime de soi, gage de disponibilité à l’autre. Ne sous-estimez pas les effets de petits rituels de préparation, que ce soit un parfum, une touche de lingerie, ou simplement un moment de détente avant la rencontre.
Partager ses envies, ses rêves, ses souvenirs sensuels, ses fantasmes ou émotions, même en dehors des moments sexuels, stimule l’intimité et la connexion. Certains couples ressuscitent leur complicité par le biais de SMS coquins, d’écrits ou de discussions à cœur ouvert. Parler de sexe ne rend pas l’acte moins spontané, bien au contraire : cela rappelle au couple sa qualité d’« amants », au-delà des rôles utilitaires du quotidien (parents, gestionnaires de maison, collègues…)
Associer systématiquement rapports sexuels à « coït » ou à « orgasme » met une pression néfaste sur les partenaires et bride la détente nécessaire à l’érotisme. Il est bénéfique d’élargir la notion d’intimité à des caresses, des massages, des effleurements, voire des moments simplement câlins. Le fait de ne pas viser systématiquement « une performance » libère d’une grande part de stress et relance, à terme, le cycle du désir, surtout chez celles ou ceux qui y étaient devenus réfractaires à cause de la fatigue.
La clé du désir, c’est souvent la réceptivité : ralentir, s’offrir des temps de pause à deux sans écrans, sans préoccupations extérieures, favorise l’ouverture à la légèreté et au jeu érotique. Beaucoup de couples actifs dans la région de Liège constatent que c’est dans ces espaces déconnectés de la logistique quotidienne que surviennent le plus spontanément les élans de désir retrouvés.
Il n’est pas rare que, malgré toutes les bonnes volontés et tentatives du couple, la perte du désir sexuel s’installe durablement, devenant source d’anxiété, d’évitement ou même de souffrance psychologique. Faire appel à une spécialiste comme une sexologue à Esneux, Mme Sabrina Bauwens, c’est offrir au couple un espace neutre, sécurisé et accompagné pour :
Il est conseillé de ne pas attendre que les difficultés s’enveniment avant de consulter : parfois, quelques séances suffisent à relancer une dynamique positive et renouer durablement avec la complicité sexuelle.
Les interventions sexologiques s’appuient sur différentes méthodes, utilisées seules ou combinées selon le contexte et l’histoire du couple. Voici les principales approches reconnues et appliquées en région liégeoise :
Ces différentes modalités sont toujours travaillées dans le respect du rythme, de l’histoire et des valeurs du couple. Il ne s’agit jamais d’imposer un modèle, mais de réactiver la créativité et le plaisir mutuel, souvent avec succès.
La science vient conforter les solutions évoquées ci-dessus. Dans une revue publiée sur PubMed Central (Brotto LA, et al., 2014), il ressort que les pratiques d’attention intentionnelle au corps et à l’autre, de pleine conscience, et d’expression des envies, renouent efficacement le lien érotique dans de nombreux couples en difficulté. De même, une équipe danoise (Birch Petersen K, et al., "Sexual function in couples before and after a course in communication and sensual therapy") a démontré qu’un travail sur la communication intime et la revalorisation des caresses quotidiennes faisait significativement augmenter le niveau de satisfaction sexuelle et la fréquence des rapports.
Que ce soit à Esneux, en province de Liège ou ailleurs, la perte de désir sexuel n’est pas une fatalité ni le témoignage d’une défaillance amoureuse. C’est, avant tout, un signe de l’évolution naturelle du couple, qui implique des ajustements constants. Redynamiser la flamme implique de se reconnecter à soi, à l’autre, de oser exprimer ses attentes, de sortir de la routine et d’accepter les fluctuations inévitables. Pour celles et ceux qui peinent à dialoguer ou à retrouver le plaisir, la consultation sexologique est une solution efficace pour retisser les liens du désir, dans le respect du couple, sans culpabilité ni tabou.
Pour aller plus loin, découvrez aussi : Quand consulter une sexologue pour son couple ?
Et sur la communication intime : dix conseils pour les couples
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