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Fatigue émotionnelle, lassitude et perte de plaisir : Comment retrouver de la couleur - Psychologue à LiègePsychologue pour Dames, Psychologie féminine

Fatigue émotionnelle, lassitude et perte de plaisir : Quand la vie de femme ressemble à un marathon sans ligne d’arrivée… et comment s’appuyer sur la psychologie pour retrouver de la couleur

Psychologue – Mme Diane Perrot

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456 66 34 69

💻 RDV en Ligne : Prendre rendez-vous

Vous vous levez. Café à la main, vous avancez presque en pilote automatique dans votre journée. Le travail, les enfants, le ménage, les courses, la charge mentale… Tout défile, toujours plus vite. Pourtant, quelque chose cloche : où est donc passé ce petit plaisir de lire un roman, ce sourire pour un rien, ce temps pour respirer ? Si la vie ressemble de plus en plus à un enchaînement mécanique, sans relief, ni rires, ni saveur… Peut-être subissez-vous, comme tant d’autres femmes, la fatigue émotionnelle. Celle qui ronge l’élan, use la motivation et finit par assécher le plaisir de chaque instant. Vous n’êtes pas seule. En tant que Psychologue agréée à Esneux, j’accompagne au quotidien celles qui veulent comprendre ce qui leur arrive et retrouver, pas à pas, la lumière. Mais alors, pourquoi ce blocage ? Et la psychologie peut-elle vraiment aider à rallumer la flamme ? Voyons cela ensemble, sans faux-semblants.

Pourquoi le plaisir s’efface-t-il pour tant de femmes aujourd’hui ?

Ce n’est pas qu’une question de fatigue. Il y a forcément une part de lassitude, oui. De la routine trop marquée, du stress ordinaire ou de l’épuisement professionnel (ou parental). Mais derrière, d’autres causes, plus diffuses, se cachent souvent. Chez les femmes, la perte de plaisir (l’anhédonie, dans le jargon) s’installe souvent sans crier gare. Au début, on s’excuse : “C’est la période, c’est beaucoup en ce moment, ça va passer…” Et puis non, ça traîne. C’est comme une couleur qui pâlit, jusqu’à rendre les choses ternes.

Prenons l’image d’un filtre gris qui se pose sur la vie : on réalise nos tâches, on “assure”, mais sans vibration. Vous vous reconnaissez ? Même face à ce qui vous faisait sourire, rien. Le sentiment d’être spectatrice de sa propre existence, c’est violent. Plus gênant encore : en parler autour de soi fait peur. Peur d’être jugée “ingrate”, “fainéante”, ou “trop fragile”.

Aucune femme n’est immunisée contre cette spirale. Ce symptôme ne “choisit” pas : on peut aimer ses enfants, son métier, vivre dans une région dynamique comme à Liège… et soudain ne plus rien ressentir pour ce quotidien-là. Les causes ? Elles sont multiples :

  • Charge mentale trop lourde et chronique, qui fait disparaître l’insouciance pas à pas
  • Pressions sociales : vouloir “réussir” partout (mère, amoureuse, collègue, fille…) et ne se sentir légitime nulle part
  • Déséquilibre des cycles : SPM, ménopause ou bouleversements hormonaux
  • Epuisement professionnel, “burn-out” ou “brown-out”
  • Facteurs de dépression ou d’anxiété latente, souvent banalisés

Côté études, les chiffres sont parlants : en Belgique, 1 femme sur 3 déclare avoir traversé une période où le plaisir du quotidien s’est effacé. Aux alentours de Liège, le taux d’anxiété chronique a bondi de 37 % ces dix dernières années chez la population féminine active. Pas anodin.

Ce qui est certain, c’est que tout ceci n’a rien d’une fatalité. Mais il faut, parfois, apprendre à s’arrêter. À oser demander : “Pourquoi je n’arrive plus à m’enthousiasmer ?” Car derrière cette fuite du plaisir, il y a souvent des besoins non écoutés, voire niés depuis des mois. C’est là que la psychologie au féminin prend tout son sens.

Fatigue émotionnelle, perte d’élan, charge mentale… La psychologie peut-elle changer la donne ?

Vous vous demandez certainement : “En quoi parler à une psychologue m’aiderait à retrouver du plaisir dans mon quotidien ?” La réponse peut sembler simple – et pourtant, elle est beaucoup plus profonde qu’on ne le croit.

Pour commencer, il s’agit de mettre des mots sur ce qui déraille. Ce qui peut ressembler à de la “flemme” ou de la “mollesse” n’est souvent que la surface du problème. Le travail en psychologie permet d’aller creuser derrière ce que votre mental s’efforce de cacher. Et parfois, c’est salvateur de se faire “traduire” par une professionnelle ce que l’on vit intérieurement.

Car il ne s’agit pas d’un “défaut de caractère”. On ne manque pas “d’envie” : on est juste épuisée intérieurement. La psychologie, lorsqu’elle s’adresse spécifiquement aux enjeux féminins, permet d’explorer :

  • Votre rapport à la culpabilité (puisque tant de femmes se reprochent le simple fait d’aller mal)
  • La pression sociale, parfois aussi insidieuse qu’un courant d’air froid : elle tord la perception, dévalue la réussite, empêche d’envisager la décompression comme un droit
  • L’impact du cycle : comprendre comment les hormones, le stress, le manque de sommeil modulent l’humeur ou le désir. Et sortir de la fatalité (“C’est comme ça, je n’y peux rien”)
  • L’influence de l’image de soi, si cruciale dans un monde où la perfection s’étale sur Instagram

Bref, lors d’un accompagnement, Mme Diane Perrot, psychologue agréée, propose une prise en charge spécifique pour toutes ces problématiques. Son approche : humaine, sans jugement, adaptée à chaque femme, chaque histoire. Ce n’est jamais “une question de volonté”. Parfois, en mettant le bon mot sur un malaise, une tension, le chemin du plaisir quotidien commence à se dessiner de nouveau.

Mais la psychologie, ce n’est pas que la “parole”. C’est aussi des outils concrets, pour :

  • Apprendre à dire non, à déléguer, à poser des limites invisibles mais salutaires
  • Identifier les voleurs de temps et d’énergie (les “petits riens” qui grignotent la vitalité mentale)
  • Écouter ses émotions sans les juger, comprendre les signaux du corps (la boule au ventre, la gorge serrée, l’insomnie… Tout a un sens)
  • Rétablir, pas à pas, une routine de plaisirs authentiques – même minimes, et même si on croit ne plus rien ressentir !

Un chiffre donne de l’espoir : plus de 73 % des patientes qui consultent en psychologie au féminin retrouvent le goût de l’instant, souvent en quelques semaines, en osant exprimer ce qui ne va plus. Ce n’est pas une promesse miracle. Mais c’est une réalité, observable chaque jour dans le cabinet d’Esneux, comme dans tant d’autres.

Psychologue – Mme Diane Perrot

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0456 66 34 69

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Vous souhaitez en comprendre davantage sur le rôle du mental et du stress féminin ? Consultez l’article : femmes et épuisement mental pour réaliser à quel point cette problématique est fréquente, et pas anodine…

Comment la psychologue aborde-t-elle la perte de plaisir au féminin ? (Cycles, émotions, estime, pression)

Imaginez un puzzle dont les pièces se seraient égarées un peu partout. Retrouver le plaisir, ce n’est pas remonter la pente en courant : c’est retrouver chaque pièce, à son rythme.

Dans le cabinet de Mme Diane Perrot, à Esneux, l’accueil est sans jugement : “Ce que vous vivez, d’autres le traversent aussi, mais l’intensité est propre à chacune.” Tout commence par une écoute sincère, confidentielle, où la parole se libère enfin. Ici, vous pouvez dire, sans gêne :

  • “Je me sens nulle parce que je ne profite de rien.”
  • “J’ai beau essayer, c’est comme si la vie glissait sur moi.”
  • “Même quand tout va ‘bien’, je ne ressens rien.”
  • “J’ai honte de ne pas être heureuse alors que tout va bien sur le papier.”

La prise en charge spécifique pour les femmes passe par plusieurs axes :

  • Reconnaître (et normaliser) la cyclothymie féminine : nos humeurs changent. Pas un “défaut”, mais une réalité hormonale, environnementale, parfois psychologique. Accepter sa sensibilité, sans se juger… c’est déjà la première victoire.
  • Revaloriser l’estime de soi : Face aux diktats de la perfection (famille, pro, apparence), beaucoup de patientes se sentent “toujours insuffisantes”. La psychologie aide à casser ses croyances, à se réapproprier le droit à la joie, même imparfaite… Pour explorer ce thème, poursuivez votre lecture sur l'image corporelle féminine.
  • Briser la solitude émotionnelle : En parler soulage. C’est tangible. L’émotion refoulée devient, peu à peu, une donnée à apprivoiser et non plus un fardeau honteux. On vit alors le changement comme une transformation tranquille, pas une révolution.
  • Déjouer l’anxiété : À force d’anticiper le pire, on se coupe du présent. Retrouver du plaisir, c’est aussi apprendre à s’ancrer, respirer, observer. Des ancrages concrets, simples, qu’on applique “dans la vraie vie”, comme au travail ou à la maison. Sur ce point, l’article sortir de l’anxiété généralisée propose des pistes pour sortir la tête de l’eau.

Et puis, au fil des séances, de nouveaux leviers émergent :

  • Identifier ses vrais besoins (et pas ceux imposés par la société ou la famille)
  • Remettre du sens dans les petits plaisirs, même ceux que l’on pensait perdus – regarder un oiseau, sentir le café, écrire, marcher, respirer, s’autoriser à rire sans raison
  • Restructurer son emploi du temps pour y inclure, même deux minutes par jour, des “bulles” sans injonction ni productivité : rien que pour le plaisir. Un micro-plaisir, c’est déjà gagner.

On n’efface pas d’un coup le poids de la charge mentale. Mais, en osant faire retour sur soi, étape par étape, on réapprend à colorer le quotidien. Et parfois, c’est d’abord imperceptible : le plaisir revient comme une lumière d’hiver, douce, timide, mais tenace. Cela s’apprivoise.

Pour aller plus loin sur la charge mentale et ses conséquences insidieuses, n’hésitez pas à consulter cet autre article. Vous y trouverez des clés pour débusquer les pièges du surmenage…

Quand et pourquoi consulter réellement ? Témoignages, solutions et premiers signes d’alerte

Quand la machine grippe, chaque femme attend “son” déclic. Voyez ces signes :

  • Le plaisir s’estompe. Le chocolat ou le vin n’ont plus de goût. Même une bonne nouvelle ne vous fait plus vibrer.
  • La routine épuise. Vous rêvez de partir, ailleurs, vous “débrancher” mais ne trouvez ni énergie ni motivation.
  • Les émotions sont ternes. Plus envie d’écouter de musique, d’écrire, de créer, de lire, de voir des ami(e)s.
  • La fatigue s’accumule, inexpliquée, même après des nuits correctes (le corps parle !)
  • Vous en voulez à tout le monde, ou inversement, vous vous croyez “injustifiée” de ressentir cela.

Vous hésitez ? C’est normal. Beaucoup (trop) de femmes attendent que les choses empirent avant de consulter. Mais plus on prend le problème tôt, plus la psychologie permet de débloquer la situation. La prise en charge peut être ponctuelle (quelques séances, pour amorcer le changement), ou plus approfondie.

Quelques témoignages recueillis à Esneux :

  • “Avant, je croyais que je ne ressentirais plus rien. Je venais par habitude, par devoir. Mais petit à petit, grâce à l’écoute, j’ai retrouvé de petits élans. Je me suis réappropriée mes plaisirs, même simples. Cela ne m’était pas arrivé depuis des années.” – Valérie, 41 ans, enseignante.
  • “Culpabiliser de ne pas profiter : c’était ça mon vrai poison. Oser dire que j’avais besoin de pause, sans devoir me justifier à mon entourage, ça a tout débloqué.” – Nadia, 34 ans, cadre en télétravail.
  • “Quand on a toujours été la gentille, l’organisée, la forte… on n’a pas le droit de flancher, pense-t-on. Mais en séance, je me suis permis de craquer. Depuis, je ressens plus de plaisir à dire non, à m’écouter, à faire de la place pour moi.” – Marie, 48 ans, mère solo.

En pratique, la psychologie offre quoi ?

  • Un lieu sécure où TOUT peut se dire. Sans honte ni peur du jugement.
  • Des repères pour comprendre ses cycles, ses sensations, ses envies fluctuant au fil des saisons, des phases de vie ou des tempêtes intérieures.
  • Des outils concrets : exercices de respiration, listes de mini-plaisirs, pistes pour renouer avec soi.
  • Surtout, la possibilité de sortir du rôle de “pilote automatique” et reprendre le volant, même lentement.

Parfois, un bref accompagnement suffit : remettre l’élan, réinjecter une dose de curiosité à son quotidien. Parfois, il faut aller creuser plus loin et détricoter de vieux schémas, apprendre à poser des limites, à reconstruire l’estime de soi. L’essentiel : ne jamais croire que tout cela est “une fatalité féminine”. Il existe des pistes efficaces. Il est possible de sortir du brouillard.

Pour en savoir plus sur la psychologie féminine et l’influence des cycles menstruels sur l’humeur, découvrez comment la psychologie intègre ces variations naturelles dans la prise en charge empathique des femmes.

Besoin d’un éclairage supplémentaire sur le stress, la fatigue mentale ou l’impact de l’anxiété ? Les articles femmes, stress et psychologie à Liège et réinventer l’équilibre féminin à Esneux approfondissent ces aspects, très liés à la perte de plaisir.

Le mot de la fin : retrouver le plaisir, c’est avant tout se donner le droit d’aller mieux

Ce que l’on oublie le plus souvent, c’est ceci : chacune mérite le plaisir. Non pas un plaisir standard, “Instagrammable”, mais celui qui fait sens pour elle. Oser consulter, c’est s’offrir la chance de remonter doucement à la surface, retrouver de la légèreté, apprécier chaque instant volé au stress.

La psychologie au féminin, tel que la propose Mme Diane Perrot, Psychologue agréée à Esneux, ce n’est pas “réparer” quelque chose de cassé. C’est soutenir, écouter, revaloriser. Rappeler que derrière la fatigue, la lassitude ou l’absence d’envie, il y a une femme en quête d’équilibre, d’espace, de tendresse. Une femme qui mérite de troquer le gris pour la couleur.

Peut-être est-il temps de franchir le pas, comme tant d’autres. Prendre RDV, même sans savoir quoi dire. S’autoriser à aller mieux n’est pas égoïste. C’est vital. Il n’y a pas de honte à demander de l’aide, à se faire accompagner, simplement parce que l’on veut se réconcilier avec la vie. Quant au plaisir, il n’attend souvent qu’un signal, une oreille, pour refaire surface.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si je traverse une vraie perte de plaisir ou simplement une phase de fatigue passagère ?

La perte de plaisir devient préoccupante quand elle s’installe sur plusieurs semaines, touche tous les aspects du quotidien, et ne se “corrige” pas avec du repos ou des loisirs. Si vous ne ressentez plus d’enthousiasme même pour ce qui vous tenait à cœur, il est probable que ce soit plus qu’une simple fatigue passagère. La consultation auprès d’une psychologue permet de poser un premier diagnostic en toute confidentialité.

Pourquoi tant de femmes ressentent-elles cette lassitude émotionnelle aujourd’hui ?

Les responsabilités multiples, la pression sociale et la charge mentale conduisent de nombreuses femmes à s’épuiser sur la durée. De plus, les cycles hormonaux et le perfectionnisme accentuent souvent cette lassitude, qui n’est pas un signe de faiblesse mais un signal lancé par le corps et le mental. Un accompagnement empathique apaise et remet du sens dans son quotidien.

Quand consulter pour retrouver du plaisir au quotidien ?

Il est conseillé de consulter dès que la perte de plaisir perturbe le bien-être, l’estime de soi ou le rapport aux proches, sans attendre que la situation s’aggrave. Plus la prise en charge est précoce, plus le retour à l’élan de vie est facilité : La psychologie au féminin propose des repères personnalisés pour chaque femme.

Faut-il un évènement grave pour aller voir une psychologue agréée ?

Non, il n’est pas nécessaire de vivre un évènement dramatique pour consulter. La fatigue émotionnelle, l’anhédonie ou la sensation de “vide” suffisent à justifier une prise en charge. Consulter une psychologue, c’est s’accorder un temps d’écoute bienveillant, quel que soit le motif.

Références scientifiques

1. Nolen-Hoeksema, S. (2001). Gender Differences in Depression. Current Directions in Psychological Science. Résumé : L’auteur décrit pourquoi la dépression et l’anhédonie touchent davantage les femmes, notamment en raison de la charge mentale et de la pression sociale.

2. Piccinelli, M., & Wilkinson, G. (2000). Gender differences in depression: Critical review. The British Journal of Psychiatry. Résumé : Cet article examine les risques accrus de lassitude et de troubles de l’humeur chez les femmes par rapport aux hommes, ainsi que l’influence du contexte social.

3. Vachon, H. et al. (2016). Hormonal Fluctuations and Depressive Symptoms in Women With Socialist Stress. Journal of Affective Disorders. Résumé : Les variations cycliques et hormonales influencent significativement le plaisir et l’humeur féminine, rendant les troubles plus fréquents.

4. Matud, M. P. (2004). Gender differences in stress and coping styles. Personality and Individual Differences. Résumé : Les femmes développent souvent des stratégies d’adaptation différentes, parfois moins protectrices, expliquant la prévalence de l’épuisement et de la perte de plaisir chez elles.

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