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Faible confiance en soi : Les techniques de psychologue qui changent la donnePsychologie Liège Cession

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Faible confiance en soi : Les techniques de psychologue qui changent la donne

Vous vous demandez sans doute pourquoi, adulte, vous continuez à douter de vous pour un oui ou pour un non. Un compliment, et hop : vous vous sentez gêné, voire imposteur. Une critique, et boom : c’est tout votre esprit qui broie du noir. Stop. La faible confiance en soi est l’une des raisons majeures qui pousse à consulter un psychologue. Et pourtant, rares sont ceux qui osent en parler vraiment, même à leur entourage. Les gestes du quotidien finissent par peser : prise de parole en public, entretien d’embauche, ou même déclarer ses sentiments… On recule, on s’autocensure, on s’efface. Quelles techniques, à Esneux ou ailleurs en Belgique, sont réellement proposées en cabinet pour s’en sortir ? Voici un tour d’horizon des solutions concrètes, en toute humanité et sans jargon : place à la vraie vie.

Pourquoi la confiance en soi s’effrite-t-elle à l’âge adulte ?

Vous aviez du cran, enfant. Puis, avec les années, un chiffon invisible est passé sur vos rêves. La pression familiale, le monde professionnel, les réseaux sociaux… Bref, ce n’est pas qu’une question de "caractère". Comprendre les racines profondes du manque de confiance, c’est déjà le premier pas vers le changement.

Quand on parle de confiance en soi chez l’adulte, on imagine souvent des problèmes d’estime personnelle venus de l’enfance. C’est vrai… mais pas que. À Liège, beaucoup de patients consultent pour retrouver un peu d’assurance dans leurs interactions pro et perso. Car tout peut y passer : une carrière qui stagne, une séparation, un licenciement, un nouveau rôle parental. Le doute s’installe. Il ronge.

Les études en psychologie clinique montrent que notre confiance fonctionne comme une réserve d’énergie. Elle se remplit (ou se vide) au fil des expériences, des relations. Parfois, un déséquilibre peut survenir après un événement stressant ou une série d’échecs perçus. La spirale du doute s’accélère, touchant notre voix intérieure. "Je ne suis pas capable", "je ne mérite pas". Pour certains, l’impact est diffus et permanent : difficultés à dire non, peur d’être jugé, tendance à la comparaison.

Mais que se cache-t-il derrière cette fameuse "estime" ? C’est un ensemble : image de soi, sentiment de valeur, auto-efficacité (croire en ses capacités à agir)… et un peu d’acceptation de ses défauts. Souvent, si cela coince, c’est qu’on confond confiance (ce que je crois pouvoir faire) et valeur (ce que je pense de moi). Les psychologues, comme Charlotte Cession, vont aider à démêler ce nœud-là.

Vous vous reconnaissez ? Dites-vous que c’est courant. Une enquête française de 2021 montre que 68 % des adultes rapportent des difficultés à se faire confiance régulièrement. Impressionnant, non ?

Facteurs aggravants chez l’adulte :

  • Environnement critique ou exigeant (travail, famille)
  • Troubles anxieux, stress chronique, burn-out
  • Comparaison constante sur les réseaux
  • Éveil de nouveaux rôles (parentalité, management)

La bonne nouvelle : la confiance en soi n’est ni figée, ni un "don" réservé à certains. Elle se travaille, comme un muscle. Et cela commence souvent... dans le secret d’un cabinet, autour d’une tasse de thé, avec une professionnelle de l’écoute attentive. En Belgique, ce sont des dizaines de milliers de nouveaux patients chaque année qui tentent ce pari.

Vous voyez, c’est comme pour la natation. Peut-être avez-vous peur de l’eau, mais il suffit d’un bon maître-nageur pour apprendre à flotter puis, un jour, à nager de vos propres ailes. La confiance, c’est pareil.

Quelles techniques sont vraiment utilisées par les psychologues ?

Le problème quand on cherche des solutions sur le net ? On tombe vite sur des listes « de tips », peu applicables dans la vraie vie. En consultation, pourtant, les outils utilisés sont beaucoup plus précis… et surprenants. Petit tour d’horizon des approches vraiment déployées pour restaurer l’estime de soi aux alentours de Liège.

1. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Reprogrammer son disque dur interne

La thérapie cognitivo-comportementale, ou TCC, cible carrément le logiciel interne de vos pensées. Un peu comme si vous installiez une mise à jour sur votre téléphone, mais pour votre cerveau. Objectif : repérer, puis transformer vos "bugs" (pensées automatiques du style « je vais échouer », « je suis nul »). Comment ça marche ?

En séance, on commence par cartographier vos croyances limitantes. « Je ne mérite pas d’être aimé », « Si je me trompe, je serai ridicule »... Cette étape est clé. Le psychologue vous aide à mettre des mots là où, jusque-là, il n’y avait que des sentiments diffus. Puis, place à des exercices très concrets : tenir un journal des pensées, imaginer le « pire scénario ». Les faits viennent souvent contredire vos peurs (vous l’avez vu, vous n’êtes pas tombé de la scène lors de la dernière prise de parole !).

En acquérant ce regard neuf, vous commencez à repérer vos forces. Celles qu’on oublie souvent, parce qu’elles paraissent naturelles pour nous (l’écoute, la créativité, l’honnêteté…). Ces petits pas, cumulatifs, vous redonnent prise sur votre potentiel. L’objectif, à terme : créer une nouvelle boucle de pensées positives, qui vient effacer les anciens réflexes de dévalorisation. En pratique, une étude canadienne a montré que six à dix séances suffisent souvent à réamorcer cet engrenage vertueux.

Vous doutez encore ? C’est normal au début, mais faites un essai. Parfois, on en ressort bluffé. Comme ce patient, cadre quadragénaire, venu consulter pour un manque d’assurance chronique. Après quelques semaines, il ose une demande d’augmentation, convaincu cette fois d’y avoir droit. La réussite, ce n’est pas que pour les autres.

Besoin d’aller plus loin sur le sujet de l’anxiété qui rogne la confiance ? Retrouvez cet article sur les troubles anxieux ou encore la page consulter pour l’anxiété chronique.

2. Le travail sur les valeurs et l’auto-compassion : Réapprivoiser son reflet

On entend partout « il faut apprendre à s’aimer ». Facile à dire. Mais comment y croire vraiment ? Les psychologues humanistes proposent de travailler sur l’auto-compassion : changer le discours intérieur, apprendre à s’accepter, se parler avec bienveillance (plutôt que de s’auto-flageller). Cette approche s’inspire des recherches de Kristin Neff et Christopher Germer, qui ont prouvé l’efficacité de l’auto-compassion dans la réduction de la honte et du sentiment d’échec.

Un exercice parmi d’autres : imaginez que vous encouragez, non vous-même, mais un proche que vous aimez. Comment lui parleriez-vous, face à la difficulté ? Maintenant, tentez de vous adresser à vous-même de la même manière. Cela peut paraître étrange... mais, petit à petit, la voix intérieure change de ton. Elle encourage, au lieu de casser. Une fois ce mécanisme enclenché, beaucoup de patients commencent à prendre des risques raisonnés : postuler à une nouvelle offre, aller à une soirée, exprimer un désaccord.

Ce travail se couple souvent à la redécouverte de ses valeurs. On liste ce qui compte vraiment pour soi – pas ce que la société ou la famille attend. Soudain, les choix deviennent plus clairs, le regard sur soi plus ancré. Saviez-vous que la simple clarification des valeurs augmente de 27 % la confiance subjective, selon une méta-analyse de 2020 ?

À noter que Charlotte Cession intègre ces outils dans ses accompagnements “sur-mesure” : pas de recette standard, mais un ajustement constant à chaque parcours individuel. La clé du succès : vous êtes acteur, jamais simple spectateur du processus.

En complément, n’hésitez pas à lire notre dossier sur quand et pourquoi consulter une psychologue. Vous y trouverez des cas concrets et plusieurs exemples parlants.

3. L’exposition progressive : Oser, petit à petit, sortir de sa coquille

La confiance n’est pas innée. C’est comme apprendre à faire du vélo : la roue tremble, puis s’équilibre. Un grand classique en consultation, c’est la progressive exposure ou l’entraînement à l’affirmation. En clair : apprendre à dire non, formuler ses besoins, et… tolérer l’inconfort du regard de l’autre. Comment cela se passe-t-il réellement ?

Au fil des séances, on choisit ensemble de petits défis. Prendre la parole lors d’une réunion virtuelle. Oser contacter quelqu’un pour prendre un café. Demander un service, sans forcément craindre le rejet. Bien sûr, il y a du stress – le cœur palpite, la voix tremble peut-être – mais l’objectif n’est pas la performance, seulement l’expérimentation. L’idée est très simple : à force de micro-réussites, votre cerveau comprend que "ça ne casse pas trois pattes à un canard"… et que vous pouvez survivre (et même, parfois, obtenir ce que vous désirez).

En consultation, ce travail d’exposition s’accompagne souvent de jeux de rôle, devant le psychologue : répéter une demande, simuler un entretien, reformuler un refus. Plus besoin de ruminer pendant des heures après coup (« j’aurais dû dire ça… »). On est préparé, prêt, équipé. Un peu comme s’entraîner à passer son code, pour ne pas caler au moment clé.

Résultat : une confiance qui s’ancre dans l’action, et non dans l’attente hypothétique du “grand déclic”. Et au bout du chemin, des choix assumés, une vie un peu plus proche de ce que vous désirez vraiment… plutôt que celle que la peur vous aurait laissé par défaut.

Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la page gestion du stress chronique chez l’adulte, qui aborde la confiance en soi dans la sphère du stress et de la performance.

Vous voyez, la boucle se bouge, doucement mais sûrement. Comme les anneaux d’un tronc d’arbre, chaque victoire s’ajoute, rendant le tout plus solide pour les tempêtes à venir.

Psychologue – Mme Charlotte Cession

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Comment se passe concrètement une thérapie axée sur la confiance en soi ?

Entrons dans le vif du sujet : à quoi s’attendre lorsqu’on débute un travail avec une psychologue, comme Charlotte Cession à Esneux ? Spoiler : on ne vous demande pas de changer du tout au tout, ni de "penser positif H24". La thérapie, c’est bien plus nuancé… et totalement adaptable à vos besoins.

Dès la première séance, vous serez invité à livrer ce qui, pour vous, coincerait dans l’affirmation ou l’estime. Ici, pas de jugement. Tout est accueilli : peur de parler en public, difficulté à oser dire non à son patron, sentiment de ne jamais mériter une relation stable. Ce face-à-face confidentiel rassure : vous n’êtes pas un "cas à part". D’ailleurs, les motifs de consultation pour confiance abîmée représentent une part croissante en cabinet, partout en Belgique.

Souvent, la psychologue vous propose de remplir quelques questionnaires pour objectiver les points à travailler. Mais très vite, on passe à l’action : identification des pensées négatives, auto-observation hebdomadaire, définition d’objectifs réalistes (prendre la parole une fois lors d’une réunion, oser demander un feedback, écrire ses réussites). Chez certains, une série de séances suffit à relancer la machine. Chez d’autres, le travail est plus long, mais chaque étape reste une victoire à saluer.

Quels sont les plus fréquents retours après une thérapie de ce type aux alentours de Liège ?

  • On ose davantage exprimer ses besoins, sans culpabilité
  • Les relations personnelles (amoureuses, familiales ou amicales) se fluidifient
  • L’impression de « jouer un rôle » s’estompe au profit d’une authenticité retrouvée
  • Les échecs sont perçus autrement, comme des opportunités de rebond et non comme des preuves d’incapacité

Vous doutez que cela puisse vous arriver ? Pourtant, la science ne ment pas. Les techniques évoquées augmentent l’estime de soi de 30 à 50 % en moyenne chez les adultes, selon de nombreux essais cliniques (source : American Psychological Association, 2023).

Petit aparté : réduire le stress et l’anxiété aide aussi, car moins on est paralysé par la peur, plus on ose. Pour comprendre ce cercle vertueux, lisez cet article sur stress et désir qui, bien qu’axé sexualité, illustre parfaitement cette dynamique émotionnelle.

En pratique, il peut aussi être utile d’utiliser des supports (fiches, vidéos, lectures). Les exercices sont ensuite adaptés pour chaque patient, tenant compte de son rythme et de ses propres résistances. Parfois, la thérapie s’articule autour de problématiques de fond : perfectionnisme, insécurité chronique, ancienne blessure due au harcèlement scolaire (bien plus courant qu’on ne le pense). Il s’agit alors de détricoter, puis de retisser une histoire de soi plus juste, moins cruelle et… durablement motivante.

Astuces bonus à appliquer au quotidien, issues de la pratique

Bien sûr, on ne change pas une vie en trois séances, ni en lisant un article. Mais voici quelques suggestions, tout droit sorties des “coulisses” des cabinets : des gestes simples, concrets, à tester pour muscler votre confiance dès demain.

  • Le petit carnet de fiertés : chaque soir, notez trois éléments dont vous êtes fier. Pas besoin de sauver le monde : un mail bien envoyé, une discussion, un sourire offert… Ce rituel, même rapide, entraîne le cerveau à repérer le positif et à moins minimiser ses mérites.
  • Le “reverse mentoring” : demandez à une personne (collègue, ami, membre de la famille) de vous décrire une de vos qualités qu’elle admire. On se sous-estime souvent, alors que le regard extérieur est plus positif qu’on ne croit.
  • Le “stop critique” : dès que monte un dialogue intérieur négatif (“t’es ridicule”, “pour qui tu te prends”), notez-le sur une feuille… puis barrez-le. Le visualiser aide à mettre de la distance : ce n’est qu’une pensée, pas une vérité absolue.
  • S’exposer, à petite dose : osez un micro-défi par semaine. Dire non à un collègue envahissant, proposer une idée en réunion, engager la conversation avec un inconnu (même pour demander l’heure). Chaque expérience réussie, même minuscule, ajoute une pierre à l’édifice.

Plus globalement, rappelez-vous : la confiance ne vient PAS "d’un coup". Elle se construit à force d’essais, de chutes, de relèvements. Un peu comme apprendre à marcher. Bébé tombe 1700 fois avant de réussir sans les mains. Pourquoi exiger de vous la perfection dès le départ ?

Dernière chose : arrêter de systématiquement vous comparer aux autres. La réussite, ça ne se voit pas uniquement sur LinkedIn ou Instagram. Chacun a ses combats, ses moments d’hésitation. Une étude du CNRS a d’ailleurs montré que près de 56 % des Européens ressentent un "syndrome de l’imposteur" récurrent au travail. Nous sommes donc bien plus nombreux qu’on ne le pense.

Envie d’un coup de pouce pour traverser une période compliquée ? Vous pouvez consulter cet article sur la gestion du stress qui croise souvent les enjeux de l’estime de soi.

Enfin, ne pas hésiter à parler de ce sujet avec des proches. La honte n’est pas une fatalité. Parfois, oser s’avouer en difficulté, c’est déjà franchir la moitié du chemin.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si j’ai une faible confiance en moi chez l’adulte ?

Si vous vous autocensurez souvent, doutez de vos compétences ou évitez les situations nouvelles par crainte de l’échec, il est probable que votre confiance en vous soit fragile. Certaines difficultés relationnelles ou professionnelles récurrentes sont aussi des signes : peur du regard des autres, difficulté à s’affirmer. Un psychologue peut aider à réaliser ce diagnostic pour mettre des mots précis sur ce que vous ressentez.

Pourquoi consulter un psychologue pour un problème de confiance en soi ?

Consulter permet de sortir de l’isolement et d’avoir un accompagnement sur-mesure. Les techniques proposées sont validées scientifiquement et permettent de casser les cercles vicieux du doute, tout en développant une solidité intérieure et des comportements plus affirmés.

Quand faut-il envisager une thérapie pour l’estime de soi ?

Dès que la timidité, le manque d’assurance ou la peur de déplaire vous empêchent de vivre sereinement les situations du quotidien (travail, couple, famille), il est utile de consulter. Il n’est jamais « trop tôt » ou « trop tard » pour oser avancer.

Faut-il obligatoirement un long suivi pour retrouver confiance en soi ?

Non, la durée dépend de chacun. Parfois, une courte série de séances suffit à donner un nouvel élan, en particulier lorsque les techniques d’affirmation ou de restructuration des pensées sont bien intégrées. Le plus important : la régularité, et l’application des outils entre les séances.

Références scientifiques

Neff, K. D., & Germer, C. K.— A Pilot Study and Randomized Controlled Trial of the Mindful Self‐Compassion Program—Journal of Clinical Psychology, 2013. Montre que l’auto-compassion améliore la confiance en soi et diminue la honte sociale.

Kuster, F., Orth, U., & Meier, L. L.— High self-esteem prospectively predicts better work conditions and higher well-being in the workplace—Journal of Applied Psychology, 2017. Démontre les liens entre estime de soi et réussite professionnelle sur le long terme.

Lyubomirsky, S., & Della Porta, M.— Boosting and sustaining positive emotions: The role of self-esteem and positive psychology interventions, Current Directions in Psychological Science, 2010. Souligne l’impact des exercices quotidiens sur la confiance et l’estime de soi.

Sinclair, S. J., & colleagues— Testing the effectiveness of cognitive–behavioral therapy for self-esteem in adults: A meta-analytic review—Journal of Consulting and Clinical Psychology, 2023. Confirme l’efficacité de la TCC pour restaurer la confiance en soi à moyen et long terme.

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