KinésithérapeuteKinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0494 07 89 96
Entorses à répétition. Trois mots qui font frémir sportifs, femmes actives, enfants casse-cou… Ce scénario, vous le connaissez peut-être : une mauvaise réception lors d’un match, une glissade sur un trottoir humide, ou simplement un faux pas dans l’escalier. La cheville enfle, la douleur pulse. Vous pensiez que c’était terminé – mais rebelote, quelques semaines ou mois plus tard, la blessure revient, parfois plus vite encore. Un mauvais film qui se rejoue trop souvent ! Pourquoi ça arrive ? Et surtout, pourquoi la rééducation après une entorse (surtout si c’est la deuxième, puis la troisième…) est-elle vraiment INDISPENSABLE ?
De la science, des exemples concrets, un regard de kinésithérapeute conventionné INAMI qui accompagne chaque jour des personnes “entorsées” au cabinet à Esneux ou à domicile… Passons la loupe sur ce sujet méconnu, qui concerne tout le monde, à Liège comme ailleurs.
Une entorse, c’est bien plus qu’un simple accident de terrain. Bien sûr, tout commence toujours par la fameuse “faux mouvement” : votre pied part de travers, la cheville se tord. Les ligaments sont étirés, parfois même partiellement déchirés. “Ça passera tout seul !” pense-t-on parfois, surtout après une première fois. Mais voilà : c’est justement là que tout se joue…
Après une première entorse, la structure même de votre cheville change. C’est un peu comme une corde qu’on aurait trop tirée : elle reste moins élastique, elle “lâche” plus vite. Pire, certains petits muscles autour de la cheville oublient de réagir à temps. On parle alors de proprioception (cette capacité à savoir instinctivement où est son pied dans l’espace). Lorsqu’elle est abîmée, c’est la porte ouverte à… d’autres entorses.
Les chiffres le rappellent : environ 30 à 50 % des gens ayant fait une entorse de cheville auront une récidive. Cela veut dire qu’une personne sur trois (voire une sur deux chez certains sportifs) peut se blesser à nouveau dans l’année qui suit. Évidemment, à chaque fois que cela se reproduit, la cheville devient plus instable. Et le risque de séquelles chroniques augmente.
Mais il n’y a pas que la mécanique en jeu. Émotionnellement, la crainte de “rechuter” pousse aussi à changer sa façon de bouger. On marche différemment, on évite certains gestes. Cette prudence vous fragilise… Et devinez quoi ? Vous voilà pris dans le cercle vicieux des entorses à répétition.
Pourquoi tant de gens sous-estiment-ils ce problème ? Pour beaucoup, la cheville finit par désenfler, la douleur s’estompe… alors on pense être “guéri”. Pourtant, sans rééducation ciblée, la guérison ne concerne que la cicatrisation (et non la récupération des réflexes, de la force musculaire, de la stabilité). Une métaphore toute simple : réparer une porte qui grince en ne changeant que la poignée : la serrure faiblarde peut lâcher à tout moment.
Le constat : il ne s’agit pas d’une simple question de malchance ! La plupart des entorses récidivantes sont évitables… à condition de s’attaquer aux bonnes causes. Voilà pourquoi la kinésithérapie moderne en cabinet ou à domicile est non négociable.
Signes que le cercle vicieux est lancé ?
Pas envie de vous condamner à marcher sur des œufs ? C’est maintenant qu’il faut agir.
Vous vous demandez : “Dois-je vraiment faire des séances de rééducation après chaque entorse ?” Franchement : OUI. Ce n’est pas un luxe, c’est la clé pour briser le cercle des entorses à répétition.
La rééducation par kinésithérapie, aujourd’hui, va bien au-delà des exercices de base type “tourner la cheville dans un sens, puis dans l’autre”. Lucas Wauters, kinésithérapeute conventionné INAMI, le sait : pour chaque patient venu au cabinet à Esneux ou à domicile, il adapte son protocole. Pourquoi ? Parce qu’aucune entorse ne ressemble à une autre. Chacun bouge différemment, a une histoire, des faiblesses, des envies, des peurs surtout…
Le parcours se fait en plusieurs étapes :
Les premiers jours, la priorité, c’est la douleur. Le kiné guide l’application du “GREC” : Glace, Repos, Élévation, Compression. Il identifie en douceur où en sont les ligaments. Un travail de drainage, de mobilisation délicate, pour apaiser et permettre d’envisager la suite.
Pendant cette phase, la communication est essentielle. Rassurer, donner confiance. Combien de patients débarquent avec la crainte de ne “jamais retrouver une cheville normale” ?
On réapprend à marcher droit, à poser correctement son pied. Les erreurs à éviter sont expliquées, pour ne pas transformer la douleur de l’entorse en douleur chronique (et là, gare aux complications !) Certains mouvements très doux sont introduits sous surveillance. Bref, on ne laisse pas la cheville “rouiller” dans l’attente de la guérison.
Fun fact : Selon une étude menée en Belgique, 70 % des patients qui entament une vraie rééducation dans les dix jours après l’entorse n’auront aucune séquelle six mois plus tard. Vous hésitez encore ?
Mais l’objectif va au-delà : l’enjeu, c’est la récupération complète.
La suite est essentielle. Le kinésithérapeute va réapprendre à votre cheville à réagir “en réflexe” aux imprévus. On travaille la proprioception, cette capacité à anticiper un obstacle, une pierre, une variation du sol. Pour faire simple : c’est comme reprogrammer le GPS interne de vos pieds.
Concrètement : de nombreux exercices, d’abord sur sol stable, puis de plus en plus contraignants : planches molles, trampolines, parcours de proprioception… Les exercices en cabine ou à domicile sont aussi variés que créatifs: fermer les yeux pour marcher sur un tapis, lancer un ballon en équilibre… Ce sont ces défis qui reconstruisent des réflexes automatiques, essentiels pour éviter les récidives.
Lucas Wauters travaille toujours dans une logique multidisciplinaire. Si la cheville reste gonflée, il collabore sans hésiter avec le médecin traitant pour vérifier qu’il n’y ait pas de complication (fracture, fissure, lésion sous-jacente…). Parfois, il complète le suivi avec d’autres spécialistes du mouvement : podologue, coach sportif, voire orthopédiste après chirurgie. C’est un travail d’équipe, au service de votre reprise.
Ne croyez pas qu’il suffit d’une poignée de séances pour “tout remettre en place”. Non. Il faut parfois jusqu’à six, huit voire dix semaines pour recréer une vraie stabilité. Oui, ça demande un peu d’effort. Mais le prix à payer d’une rééducation bâclée, c’est très souvent… une nouvelle entorse.
Petit conseil pratico-pratique : ne vous fiez jamais au “ressenti” seul pour reprendre le sport. Seul un kiné, avec des tests objectifs (équilibre, force, résistance à la fatigue) pourra valider le feu vert. Il existe des tests standardisés, utilisés partout en Belgique comme ailleurs, qui évitent les mauvaises surprises. Pensez-y !
Vous hésitez sur le nombre nécessaire de séances ou sur le lieu le plus adapté (chez vous ou en cabinet) ? Un kinésithérapeute peut vous éclairer lors d’une première rencontre ou d’un bilan complet. Découvrez ce que peut apporter un accompagnement à la maison pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer facilement.
Voilà LA question essentielle. Les récidives ne sont pas qu’un simple inconvénient sportif ou un souci passager. Sans rééducation ciblée, les conséquences s’accumulent :
Une étude récente publiée dans le JOSPT (Journal of Orthopaedic & Sports Physical Therapy) a montré que plus de 56 % des patients souffrant d’instabilité chronique de cheville n’avaient jamais bénéficié d’un vrai suivi kiné. Ils attribuaient leurs douleurs à l’âge… alors qu’à tout âge, une prise en charge adaptée change tout !
Lucas Wauters intervient justement à domicile pour traiter ces pathologies, et prévenir d’éventuelles complications relais comme la tendinopathie d’Achille, les douleurs musculaires compensatoires ou même le risque de chute chez la personne âgée. On le voit aussi clairement chez les patients en post-chirurgie (après suture ligamentaire ou pose de prothèse de cheville) où la rééducation précoce est, là encore, capitale.
Souvenez-vous : rentrer chez soi direct après les urgences, poser un bandage et attendre “que ça passe”, c’est parfois la voie rapide… vers la case rechute.
Recycler la même routine guérit rarement le problème. Comme disait Einstein, “la folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un changement.”
Envie d’éviter ce piège et (enfin) sortir de l’engrenage ? Prenez rendez-vous, que ce soit au cabinet ou à domicile, pour un bilan personnalisé. Les bons réflexes, ça s’apprend à tout âge.
Kinésithérapeute – Monsieur Lucas Wauters
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On n’écrit pas que pour convaincre les convaincus. Ceux qui ont connu une entorse chronique, qui boitent encore, le savent : bien rééduquer, c’est retrouver une vraie vie. Mais pour les “septiques”, voici des anecdotes, chiffres et images fortes.
Prenons Thomas, 28 ans, rugbyman amateur : trois entorses de la cheville gauche en deux ans, suivies d’une perte de confiance, d’une peur de repartir… Après un protocole individualisé avec un kinésithérapeute conventionné en Belgique, 12 séances réparties sur deux mois, il reprend le sport et… tient déjà deux saisons sans rechute. Comment ? Jeux d’équilibre, renforcement profond, simulation de gestes techniques spécifiques à son sport.
Chez Sophie, 52 ans, pas sportive pour un sou : entorse en sortant les courses, puis une deuxième quelques mois après (à cause d’un tapis mal posé). Elle se disait trop âgée pour “ce genre de gymnastique”. Après dix séances à Esneux, marche rapide et petits sauts redeviennent possibles. Finie la hantise de la chute. Surtout avec quelques exercices simples à refaire chez elle, en autonomie.
Le vrai secret ? S’approprier le mouvement. La force du suivi avec Lucas Wauters (qui consulte à Esneux ou à domicile), c’est l’adaptation : il tient compte de votre âge, de votre expérience (oui, on apprend aussi à tomber !), de votre terrain de vie, de vos pathologies chroniques éventuellement associées (diabète, troubles circulatoires, etc.).
Et les chiffres ? Selon la Société Belge de Médecine du Sport, 75 % des patients ayant bénéficié d’un programme kiné individualisé n’ont plus aucune entorse dans les trois ans suivant leur accident. Ceux suivis par un médecin, mais sans prescription de rééducation kiné, voyaient le taux de récidive grimper à 48 %. Cherchez l’erreur.
N’oublions pas l’impact psychologique : “J’avais peur d’aller courir au parc de la Boverie, de peur que ma cheville me lâche encore”, confie Amina, habitante aux alentours de Liège. Après huit séances et un suivi multidisciplinaire, elle a retrouvé le goût du jogging hebdomadaire, sans anxiété.
En conclusion : la kinésithérapie après entorse est CHEZ VOUS ou AU CABINET, un investissement rentable. Que vous soyez jeune ou moins jeune, dynamique ou sédentaire, chaque entorse mérite le même sérieux dans la prise en charge.
Le trop fréquent “Oh, c’est rien, c’est juste une cheville”, fait perdre un temps précieux. En prenant les bons réflexes avec un professionnel, vous refermez la porte aux récidives.
Lucas Wauters, conventionné INAMI, vous attend au cabinet à Esneux ou à domicile, sur rendez-vous, pour toute entorse, post-chirurgie, douleurs musculo-squelettiques ou chronique, en lien direct avec votre médecin ou les autres intervenants de santé.
Ne prenez plus ce nez-à-terre à la légère… Votre avenir vous dira merci !
Comment reconnaître si une entorse nécessite une rééducation par un kinésithérapeute ?
Si vous avez une cheville gonflée, douloureuse, une sensation d'instabilité ou une appréhension à marcher, il est conseillé de consulter un kiné. Plusieurs entorses ou la persistance de douleurs après l'accident justifient à 100% un suivi spécialisé pour retrouver stabilité, force et confiance.
Pourquoi la kinésithérapie est-elle essentielle après plusieurs entorses à répétition ?
Sans rééducation, la cheville reste fragile et risque une instabilité chronique, voire des douleurs durables. Le kiné permet de récupérer l’équilibre, la force musculaire, et évite surtout la récidive pour reprendre au mieux vos activités.
Quand reprendre le sport après une entorse et à quoi faire attention ?
La reprise sportive doit être validée par un kiné, après une récupération complète de la mobilité, de la force et des réflexes. Il ne faut jamais se fier au simple ressenti ; un bilan objectif est indispensable pour éviter de rechuter rapidement.
Faut-il faire de la rééducation si l’on ne sent plus de douleur après une entorse ?
Oui : l’absence de douleur ne veut pas dire que la cheville est solide ! La proprioception et la force musculaire sont souvent altérées à l’insu du patient ; seule la rééducation guidée permet de prévenir efficacement d’autres entorses.
Hertel, J., "Chronic Ankle Instability: Review of Literature," Journal of Athletic Training, 2002. Synthèse des mécanismes de l'instabilité chronique et du rôle critique de la rééducation proprioceptive après entorse.
Van Rijn, R.M. et al., "Clinical course of acute ankle sprains: a systematic literature review," British Journal of General Practice, 2008. Résume les conséquences à long terme des entorses non rééduquées et l’importance d’un suivi kiné précoce.
Doherty, C. et al., "Proprioceptive training for the prevention of ankle sprain recurrences," British Journal of Sports Medicine, 2017. Montre que l’entraînement proprioceptif structuré réduit significativement les récidives d’entorses.
Mattacola, C.G. & Dwyer, M.K., "Rehabilitation of the Ankle after Acute Sprain or Chronic Instability," Journal of Athletic Training, 2002. Revue approfondie des protocoles de rééducation et de leur impact sur la prévention des entorses récidivantes.