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Émotions bloquées : comment la thérapie individuelle libère ce qui freine votre viePsychologie Liège Cession

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491 34 89 76

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Émotions bloquées : comment la thérapie individuelle libère ce qui freine votre vie

Tout le monde connaît, au moins une fois dans sa vie, ce sentiment d’être “coincé” à l’intérieur. Ça grince, ça pèse, ça serre la gorge ou le ventre. Parfois, ce sont des souvenirs, parfois une colère rentrée ou une tristesse qui ne lâche pas prise. Ces blocages émotionnels ressemblent à de vieilles valises jamais défaites. Vous en portez sans même vous en rendre compte. Le problème ? Ces émotions bloquées finissent, tôt ou tard, par ronger l’énergie, l’estime de soi et notre capacité à avancer.

Bref, ce n’est pas de la flemme. Ce n’est pas “dans la tête”. Et ça ne disparaît pas en fermant les yeux très fort. Alors, que faire lorsque tout ce qui coince ne bouge pas malgré tous les bons conseils des proches ? La thérapie individuelle devient alors une vraie piste pour aller débloquer – en douceur, sans pression – ce qui entrave une vie pleine de vitalité.

Dans cet article, vous comprendrez :

  • Comment repérer les signes d’émotions bloquées, même si elles sont cachées ;
  • Pourquoi le corps, l’esprit et la mémoire s’en mêlent ;
  • Comment la thérapie individuelle, menée par un.e psychologue expérimenté.e comme Charlotte Cession, peut vous aider pas à pas.

Un voyage. Pas une obligation. Juste l’envie de respirer à nouveau – profondément, cette fois-ci.

Pourquoi et comment les émotions restent-elles “bloquées” ?

Tout le monde réagit différemment face à la vie. Mais parfois, après un choc, un stress intense ou même des petits accrocs répétés, notre cerveau met en place des stratégies de survie. On parle souvent de “digérer une émotion”, sauf que si le repas est trop lourd ou si la situation est trop douloureuse… on finit par tout garder pour soi. Comme un tiroir fermé à clé, plein à craquer.

Le cerveau fonctionne alors comme un ordinateur saturé. Des souvenirs ou sensations sont relégués à l’arrière-plan. Ça ne fait pas mal au début ; ça protège. Mais à force, ces émotions non traitées s’enkystent : pensées, sensations physiques, comportements qui “dérapent”. Un jour, ça peut ressembler à une boule d’angoisse, un mal de dos persistant, ou tout simplement ce sentiment diffus que “ça ne va pas”, sans qu’on puisse mettre un mot précis dessus.

L’image est frappante : comme un barrage qui retient de l’eau. Petit à petit, la pression monte. Un rien peut faire déborder. Colère soudaine, pleurs inexpliqués, corps épuisé. Et si on regardait de plus près ?

Voici quelques signes fréquents, repérés en consultation psychologique :

  • Difficultés à exprimer ce qu’on ressent… ou, au contraire, explosion de larmes sans cause précise ;
  • Irritabilité, sautes d’humeur, repli sur soi ;
  • Troubles du sommeil, fatigue chronique, tensions musculaires ;
  • Boulimie d’activités pour ne pas penser ; agressivité subite envers des situations banales ;
  • Impression de porter “une charge” invisible, depuis des mois, voire des années.

Ce ne sont pas des caprices. Ce n’est pas une question de volonté. À Liège et ailleurs, de plus en plus d’adultes reconnaissent cette réalité : on peut vivre fort longtemps avec des émotions qui n’ont jamais trouvé leur chemin de sortie. Parfois à cause d’une éducation valorisant la retenue (“ne pleure pas !”), parfois après un deuil, une rupture, le burn-out ou même un événement marquant oublié depuis longtemps.

Santé mentale et troubles anxieux : ces mots résonnent quand on cherche des réponses. La science le confirme : émotions refoulées = terrain propice à la somatisation (maux physiques sans cause médicale), à la dépression, à l’anxiété. Le corps compense, jusqu’à saturer.

Dans un monde où l’on court après la performance, beaucoup masquent ces symptômes. Mais le silence prend de la place. La qualité de vie, les relations, le plaisir même, en pâtissent.

Vous vous reconnaissez ? Vous n’êtes pas seul.e.

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Quels sont les impacts sur la vie quotidienne ?

Prenons un exemple : Julie, 38 ans, mère de deux enfants, cadre dynamique, habite aux alentours de Liège. Elle essaye de “tenir bon”, ne se plaint jamais… Jusqu’au jour où, sans raison apparente, elle fond en larmes devant ses collègues. Plus tard, elle dira : “Je ne comprenais pas, je pensais que c’était juste la fatigue.”

En réalité, Julie s’est peu à peu coupée de ses ressentis. Colère non dite envers un chef injuste, tristesse enfouie suite à une fausse couche, culpabilité venue de l’enfance. Résultat : tension permanente. Fatigue chronique. Troubles digestifs. Mémoire en vrac. Parfois, la vie émotionnelle ressemble à une maison dont on a condamné le grenier. Tout est radieux au rez-de-chaussée, mais l’espace manque à l’étage. Difficile, dans ces conditions, d’accueillir de nouvelles expériences avec légèreté.

Comment expliquer ce phénomène ? La santé mentale et santé physique dialoguent en permanence. Dans les dernières études cliniques, on estime que 40 % des troubles somatiques (maux de dos, migraines, problèmes digestifs) seraient liés à une composante émotionnelle – inconsciente, très souvent.

Mais il n’y a pas que le corps. Les liens sociaux aussi trinquent :

  • Isolement, car à force de se protéger, on décroche des autres ;
  • Conflits répétés en couple : pour “des broutilles” mais en réalité, parce que tout s’accumule ;
  • Difficultés à dire non, à poser des limites, par peur de déranger ou de raviver une émotion mal digérée ;
  • Perte de plaisir, car la joie et la colère voyagent parfois dans le même train. Si on bloque l’une, l’autre s’essouffle aussi.

Le risque ? Basculer dans la résignation silencieuse ou la sur-adaptation. On “gère”… Jusqu’à ce que tout lâche.

Good news : aujourd’hui, il existe des outils thérapeutiques éprouvés pour ouvrir ces tiroirs sans tout casser. Et si on osait explorer comment la thérapie individuelle peut transformer ces pierres d’achoppement en nouveaux appuis ?

Comment la thérapie individuelle aide-t-elle à débloquer les émotions ?

Il n’existe pas de méthode miracle ni de baguette magique. Mais chaque blocage émotionnel a sa “porte d’entrée”, unique selon l’histoire de chacun. Le travail avec une psychologue expérimentée – comme Charlotte Cession, en Belgique – consiste à créer un espace sécure. Un temps à part pour déposer, déplier, explorer, sans jamais être jugé. Un lieu où souffler enfin : “Là ça coince, là ça fait mal.”

Au fil des séances, la relation de confiance s’installe. Ce n’est pas rien. Pouvoir nommer ce qu’on tait parfois depuis des années, c’est déjà lancer la machine de dégivrage. La thérapie individuelle ne se résume pas à “parler de ses problèmes”. C’est aussi :

  • Mettre des mots sur ce qui a été tû (anecdotes douloureuses, peurs, vieilles colères enterrées) ;
  • Identifier les stratégies d’évitement, les croyances qui entretiennent la fermeture ;
  • Relier le présent et le passé, sans y rester coincé ;
  • Recontacter les sensations corporelles, car le corps garde tout en mémoire, même quand la tête oublie.

Un psychologue utilise différents outils, selon la personne et le contexte :

  • Approche cognitive et comportementale : observer comment les pensées auto-critiques renforcent la répression de l’émotion ;
  • Techniques de pleine conscience ou de relaxation : apprendre à “être avec” l’émotion, sans la fuir ;
  • Travail sur les schémas relationnels : explorer comment la peur du rejet, du conflit ou de la perte influence nos automatismes ;
  • Exploration corporelle (respiration, sensations) ou écriture thérapeutique : accéder autrement à ce qui ne demande qu’à sortir.

La thérapie, c’est comme ouvrir une fenêtre dans une pièce trop confinée. L’air circule. Ce n’est pas toujours confortable – il y a des courants d’air, les souvenirs reviennent, les défenses s’activent. Mais peu à peu, la pression retombe. L’émotion relâchée perd sa charge. Le blocage s’estompe. Et la confiance en soi revient, solide.

Une bonne consultation psychologique permet de :

  • Modifier la perception des événements passés ;
  • Acquérir une autonomie pour gérer l’émotion le moment venu ;
  • Aider à prévenir rechute, angoisse, burn-out ;
  • Reprendre contact avec ses besoins et ses envies véritables.

Oui, ça prend du temps. Non, ce n’est pas un signe de faiblesse. C’est même l’inverse : il faut du courage pour aller voir, en face, ce qui bloque, et en sortir grandi.e.

Pourquoi consulter ? Est-ce “nécessaire” ou seulement pour les situations graves ?

À entendre certains discours, la thérapie individuelle serait réservée aux “cas lourds”, aux grands chocs, à ceux qui n’ont vraiment “plus le choix”. Grosse erreur. En réalité, de plus en plus de personnes consultent non pas parce qu’elles “craquent”, mais parce qu’elles veulent éviter d’en arriver là.

Un adulte stable peut ressentir un mal-être diffus, une perte de sens, une fatigue dont on ne comprend pas la source. Parfois, tout court-circuite lors d’un déménagement, d’un changement professionnel, d’une rupture ou à la naissance d’un enfant. D’autres fois, c’est l’accumulation de “petites” blessures jamais exprimées ; la goutte qui fait déborder le vase.

Ce qui pousse à consulter, ce n’est pas la gravité objective de l’événement, mais la manière dont il impacte la vie, l’envie d’avancer, les relations. L’objectif : retrouver sa marge de manœuvre, trier ce qui appartient au passé, faire de la place pour la suite.

Dans certains cas, la thérapie va révéler l’existence d’anciens chocs non digérés, repérés par des troubles anxieux ou une dépression larvée. Dans d’autres, il s’agira juste de se réconcilier avec une partie de soi, et apprendre à faire la paix avec son histoire. Pas besoin d’attendre de “perdre pied” pour consulter.

Oser en parler : la première étape, souvent la plus difficile

Il y a un paradoxe : ceux qui ressentent le plus la nécessité de consulter sont souvent ceux qui tardent le plus à franchir le pas. “Je n’ose pas déranger ; il y en a qui ont plus de problèmes que moi ; je devrais m’en sortir seul.e.” Ces discours intérieurs sont fréquents… mais ils entretiennent l’isolement.

À Esneux, à Liège ou ailleurs, venir déposer son histoire face à un.e professionnel.le, c’est se donner rendez-vous avec soi-même. Sans promesse d’aller vite, sans objectif de “performance”. Simplement s’offrir, enfin, la possibilité de souffler. Et de déposer, petit à petit, ces gros sacs invisibles portés sur le dos depuis bien trop longtemps.

Les effets ? Plus de légèreté. Non, tout ne “disparaîtra” pas d’un coup de baguette, mais la place laissée vacante permettra d’accueillir d’autres choses : projets, liens, créativité, envies de vivre vraiment.

Besoin d’en savoir plus sur le stress chronique et son impact sur la santé psychologique ? Consultez cet article interne : Gérer le stress chronoique chez l'adulte.

Ou sur l’anxiété chronique et les solutions psychologiques à Liège ? Parcourez cet article complet.

Thérapie de couple : raviver l’intimité – car souvent, ce qui bloque l’émotion bloque aussi la relation à l’autre…

Envie d’aller plus loin, en parler dans un cadre rassurant ? Testez la consultation avec Mme Charlotte Cession à Esneux.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si mes émotions sont réellement “bloquées” ?
Si vous ressentez des tensions persistantes, de l’irritabilité, des difficultés à exprimer ce que vous ressentez ou une fatigue mentale et physique inexpliquée, il est possible que certaines de vos émotions soient bloquées. Un entretien avec un.e psychologue permet d’éclairer cette situation.

Pourquoi consulter un psychologue pour des blocages émotionnels ?
Consulter un.e psychologue offre un espace sécurisé pour explorer vos émotions et comprendre d’où viennent ces blocages. La démarche permet d’apprendre à libérer ces freins afin d’améliorer sa qualité de vie, ses relations et sa santé globale.

Quand commencer une thérapie individuelle suite à un événement difficile ?
Il n’y a pas de règle : il est conseillé de consulter dès que l’émotion devient envahissante et perturbe votre quotidien. Trop attendre peut rendre les blocages plus difficiles à dénouer, mais il n’est jamais trop tard pour s’engager dans ce travail thérapeutique.

Faut-il avoir vécu un “grand traumatisme” pour bénéficier d’une thérapie sur les émotions bloquées ?
Pas du tout. Les blocages émotionnels peuvent naître de petites blessures répétées, d’une éducation stricte ou de stress chronique. La thérapie individuelle est utile même en l’absence d’événement “traumatique” ; elle s’adresse à toute personne souhaitant retrouver un meilleur équilibre émotionnel.

Références scientifiques

Greenberg, L. S. & Pascual-Leone, A., "Emotion in psychotherapy: A practice-friendly research review", Journal of Clinical Psychology, 2006. Résumé : Cette revue synthétise l'importance de travailler directement sur les émotions en thérapie pour lever les blocages psychiques et améliorer le bien-être.

Frederickson, J. J., "Unlocking the Emotional Brain: Eliminating Symptoms at Their Roots Using Memory Reconsolidation", Routledge, 2012. Résumé : L’auteur détaille comment l’expression guidée des émotions “gelées” favorise l'intégration émotionnelle et la transformation durable des symptômes.

Lane, R. D., & Schwartz, G. E., "Levels of emotional awareness: a cognitive-developmental theory and its application to psychopathology", American Journal of Psychiatry, 1987. Résumé : Explique le rôle du développement émotionnel dans la santé mentale et les conséquences des blocages émotionnels sur la psyché adulte.

Solomon, M. F., & Siegel, D. J., "Healing Trauma: Attachment, Mind, Body and Brain", Norton, 2003. Résumé : Cet ouvrage aborde les mécanismes neurobiologiques des blocages émotionnels et l'efficacité des thérapies centrées sur la relation pour les surmonter.

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