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Douleurs pelviennes chroniques : comment l'acupuncture révèle les pistes du silenceAcupuncture

Acupuncture à Esneux – Katty Lhermitte – Acupunctrice proche de Liège

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0471 49 75 81

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Douleurs pelviennes chroniques : quand l’acupuncture s’intéresse au silence du corps

Un jour, une femme pousse la porte d’un cabinet d’acupuncture à Esneux. Son visage porte cette crispation que beaucoup connaissent, mais nomment difficilement. Cela fait des mois, parfois des années que son bassin se réveille, se contracte ou brûle sans raison évidente. Personne ne l’écoute. Ni dans sa tête, ni dans son ventre, elle ne trouve d’explication rationnelle à son mal. Soit. Les maux pelviens chroniques, insidieux, discrets pour l’entourage mais obsédants au quotidien, restent en marge des préoccupations médicales classiques. Pourtant, ils sont là, têtus, parfois silencieux, rayonnant jusque dans le dos ou les jambes. Parfois ils s’endorment, parfois ils reviennent sans prévenir. Comme si le corps parlait tout bas, et que personne ne tendait l’oreille.

Qui, autour de Liège, n’a jamais entendu un proche murmurer avec gêne : “j’ai encore des douleurs en bas, mais à quoi bon consulter, on ne trouve jamais rien…” ? Les douleurs pelviennes chroniques (DPC) concernent pourtant 1 femme sur 7 en Europe, selon plusieurs enquêtes. Le chiffre grimpe encore chez les plus de 40 ans ou après une chirurgie ! Et pour les hommes, le tabou est encore plus important.

Derrière le silence, la souffrance diffuse : c’est le propre des douleurs pelviennes chroniques. Et si l’acupuncture, cette technique venue d’Asie, venait écouter et décrypter autrement ce langage du corps ignoré par la médecine classique ?

Dans cet article, nous allons mettre la loupe sur ce problème ignoré, et voir comment l’acupuncture propose aujourd’hui des réponses étonnamment adaptées. Loin des médicaments, près du ressenti.

Acupuncture pour les douleurs ? Vous pensiez peut-être à l’arthrose ou au mal de dos ? Détrompez-vous ! La région pelvienne mérite aussi son acupunctrice.

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Douleurs pelviennes chroniques : comment naît ce silence insupportable ?

Lorsque la douleur survient dans le bassin, on a tendance à l’ignorer. Ou à minimiser. C’est « juste » un tiraillement, un pincement, une gêne diffuse. Pourtant, les statistiques sont formelles : les douleurs pelviennes chroniques représentent un motif de consultation très sous-évalué tant chez les femmes que chez les hommes. À Liège comme ailleurs, le parcours ressemble souvent à une errance entre généralistes, gynécologues, urologues, kinésithérapeutes, sans réponse claire. Pourquoi ?

La douleur pelvienne chronique (DPC), qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’une douleur persistante (plus de 6 mois), localisée entre le nombril et la région périnéale, qui n’a pas d’origine tumorale ou infectieuse bien définie. Elle peut être constante ou intermittente. Chez la femme, elle englobe les douleurs non expliquées par des règles, des grossesses ou de grosses pathologies. Chez l’homme, ce seront les douleurs pelviennes associées à la miction, à la défécation ou aux rapports sexuels, parfois qualifiées de prostatodynies ou de syndrome pelvien chronique.

Souvent, le diagnostic tourne court. On entend : “Tout est normal”, “c’est le stress”, “on ne voit rien aux examens”. D’où ce sentiment d’invisibilité du patient. La douleur reste. Derrière ce silence, plusieurs causes sont évoquées :

  • Douleurs post-opératoires après une chirurgie gynécologique, une césarienne ou une intervention prostatique.
  • Tensions myofasciales : muscles du plancher pelvien hypercontractés, points trigger dans les ligaments, le psoas, parfois liés à une mauvaise posture.
  • Algies neuropathiques, comme la névralgie pudendale : le nerf reste irritable, parfois coincé, donnant des brûlures ou des picotements.
  • Dysfonctions viscérales : intestin irritable, endométriose, syndrome prémenstruel, prostatite chronique.
  • Stress chronique accumulé, déclenchant crispations et hypersensibilisation centrale (certains parlent carrément de “fibromyalgie pelvienne”).

Concrètement, comment vit-on ces douleurs ? Imaginons : chaque déplacement, assise prolongée, mouvement du bassin devient source de craintes. Les rapports sexuels deviennent source d’anxiété. On n’ose plus sortir, de peur que la douleur ne s’invite de façon impromptue. La vie sociale, l’intimité, le sommeil : tout est grignoté petit à petit.

D’un patient à l’autre, le ressenti varie mais les conséquences sont bien réelles : fatigue chronique, anxiété, baisse de moral, perte de confiance en soi. Si vous vous reconnaissez, sachez que vous n’êtes pas seul(e).

À ce stade, faut-il se résigner ? Non. L’acupuncture propose d’écouter ce silence. Elle recherche là où il y a du « vide » d’énergie, où la douleur bloque la libre circulation du Qi. C’est une approche qui, sans promettre des miracles, peut déjà redonner espoir. Et ce n’est pas du tout réservé aux femmes : de plus en plus d’hommes consultent aujourd’hui pour ce motif aux alentours de Liège.

Avant de vous expliquer comment agit concrètement l’acupuncture, signalons que notre société ne prend pas assez en compte ces douleurs. Acupuncture et SPM, stress, intestin irritable… Nombreux sont les motifs de consultation trop vite attribués à la “tête”. D’où l’intérêt de réhabiliter une approche physique, centrée sur votre ressenti corporel unique.

Pourquoi l’acupuncture écoute ce que la médecine ne voit pas ?

L’acupuncture, ce n’est pas juste des aiguilles. C’est d’abord une écoute. Un entretien long, où le praticien prend le temps d’explorer les circonstances d’apparition des douleurs, leur rythme, votre histoire, les événements qui ont précédé. Imaginez… On commence par prendre votre pouls, regarder votre langue, explorer vos habitudes de vie : sommeil, alimentation, émotions. Ce n’est pas anodin : la médecine chinoise considère le corps comme un ensemble connecté. Le bassin n’est pas dissocié du reste de l’être.

Vous avez une douleur pelvienne chronique à Liège ? Le premier réflexe n’est pas de poser une étiquette psychiatrique ou d’embarquer dans une suite de médicaments antidouleurs. Non, l’acupuncteur va chercher à savoir si votre Qi (énergie vitale) circule mal. Si l’énergie est “en stagnation”, si le foie n’arrive pas à drainer les tensions, si le sang “est bloqué”.

Comment se construit ce blocage ? Parfois, l’acupuncteur va retrouver dans l’histoire du patient : une longue période de stress, une séparation, une épreuve. Le bassin devient alors une sorte de coffre-fort. Cela peut sembler ésotérique ? Pourtant, de plus en plus de recherches scientifiques montrent l’existence de phénomènes de sensibilisation centrale : le cerveau, la moelle épinière, gardent en mémoire la douleur. On appelle cela le “pain memory”. L’acupuncture interviendrait justement ici, pour “brouiller” ce message, travailler sur le seuil douloureux et restaurer un dialogue normal entre cerveau et bassin.

Explication imagée : Imaginez que votre bassin soit une ville dont les routes sont bouchées. L’acupuncteur, en plantant ses aiguilles sur des points précis, cherche à rétablir la circulation. C’est une métaphore, mais c’est tout l’art de la séance : relancer le flux, lever le barrage énergétique, remettre votre “ville” en mouvement.

Pour Katty Lhermitte, acupunctrice à Esneux, le travail se fait autant sur le ressenti du patient que sur le choix des points. Certaines zones du corps, comme l’intérieur des jambes (méridien du foie, rate, rein) ou le bas-ventre, sont très liés aux douleurs pelviennes. Parfois, en piquant un point cheville, on soulage une douleur profonde du bassin. Curieux ? C’est tout le mystère (et l’efficacité) de l’acupuncture.

Acupuncture, stress et douleurs : à votre avis, n’est-ce pas logique d’associer ces trois dimensions ? Même en Belgique, la médecine s’ouvre peu à peu à cette compréhension globale du corps. Des hôpitaux à Bruxelles et à Namur proposent désormais des ateliers de gestion de la douleur basés sur l’acupuncture ou la méditation.

L’acupuncture, ce n’est pas magique. Mais c’est méthodique :

  • Elle favorise la sécrétion d’endorphines (les antidouleurs naturels du corps).
  • Elle module la sensibilité de la moelle épinière (neuroplasticité).
  • Elle améliore la circulation sanguine dans le petit bassin.
  • Elle stimule la détente des muscles profonds (psoas, plancher pelvien).
  • Elle prend aussi en compte les causes psycho-émotionnelles du trouble.

Au final, le résultat n’est pas toujours immédiat, mais les études cliniques montrent une amélioration notable après 4 à 6 séances pour la majorité des patients. Souvent, le sommeil s’améliore, la douleur baisse d’un cran, et la vitalité revient. Difficile à croire ? Essayez une fois. L’acupuncture, à la différence des médicaments, ne présente pas de risques d’accoutumance ou d’effets secondaires lourds. C’est simplement votre corps qui retrouve ses capacités d’équilibre.

Aux alentours de Liège, de plus en plus de médecins et sages-femmes orientent les patients atteints de douleurs pelviennes chroniques vers l’acupuncture. Une reconnaissance tardive, mais réelle : la relation soignant/soigné change, les solutions s’élargissent.

Quels résultats attendre d’une prise en charge par l’acupuncture ?

L’acupuncture est-elle efficace sur les douleurs pelviennes chroniques ? Excellente question. Les études cliniques sont enfin là pour répondre. Plusieurs hôpitaux universitaires ont mené des essais contrôlés (Allemagne, France, Canada). Les résultats convergent.

1. Réduction de la douleur : Après 4 à 8 séances, 60 à 75 % des patients rapportent une baisse significative de la douleur. Le gain varie : parfois la douleur ne disparaît pas totalement, mais devient tolérable et perd son côté invalidant. Et même lorsque la douleur revient, elle est perçue différemment, moins “envahissante”.

2. Amélioration du fonctionnement quotidien : Reprise d’activités, meilleure concentration, moins d’absentéisme professionnel. Pour beaucoup, le handicap social recule. Certains reprennent la marche, le vélo, la natation. Un bel exemple : une patiente de 37 ans (cas réel), ne pouvant plus rester assise plus de 20 minutes, a retrouvé une vie professionnelle active après 5 séances. La clé ? Constance, écoute, accompagnement individualisé.

3. Diminution de la consommation de médicaments : Moins d’antalgiques, moins d’anti-inflammatoires. Ce point est crucial pour toutes les personnes sensibles à l’automédication et à ses effets collatéraux. Pour les douleurs résistantes, l’acupuncture vient parfois en addition d’une kinésithérapie pelvi-périnéale ou d’une psychothérapie, dans un vrai travail « d’équipe » autour du patient.

4. Travail sur la cause profonde : Ici, l’acupuncture se distingue. Par le choix précis des points (foie 3, rate 6, vessie 28, rein 4, etc.), l’acupuncteur travaille la « racine » du trouble (stress, baisse d’énergie, surmenage chronique, blocage émotionnel…), pas seulement le symptôme. C’est un aspect fondamental : le soulagement durable ne s’obtient pas en camouflant le signal mais en rétablissant l’équilibre général du corps. Cela explique pourquoi l’acupuncture a sa place parmi les solutions pour l’inflammation chronique silencieuse, comme l’explique cet article sur d’autres affections.

5. Séances et rythme : En général, on propose une séance par semaine pendant un mois, puis un espacement progressif. Chaque patient avance à son rythme. Pour certains, deux ou trois séances suffisent à faire basculer la courbe de la douleur. Pour d’autres, mieux vaut un accompagnement au long cours, avec des soutiens lors des périodes de stress ou de pics hormonaux.

6. Effets secondaires ? Souvent, les patients s’inquiètent : “Dois-je craindre des effets secondaires ?”. Presque jamais : de légères ecchymoses, parfois de la fatigue le soir même, mais rien de grave. Beaucoup notent une amélioration du sommeil – ce qui est capital, car la douleur chronique va souvent de pair avec l’insomnie (voir aussi traitement de l’insomnie).

7. Une prise en charge humaine et globale : L’acupuncture s’adresse aussi aux personnes qui se sentent “oubliées” par la médecine traditionnelle. Trop d’examens négatifs, trop de “ce n’est rien”, trop de solitude. Ce parcours, beaucoup de patients l’ont vécu avant d’oser une méthode plus douce, alliée à leur traitement classique. C’est le duo gagnant.

Acupuncture contre les douleurs : prenez rendez-vous tôt, pas quand la douleur vous cloue au lit. Il vaut mieux prévenir l’installation du cercle vicieux douleur-stress-insomnie.

Quelques chiffres clés, pour finir :

  • Les douleurs pelviennes chroniques touchent 14 % des femmes et 7 % des hommes adultes en Europe (source : EAU 2021).
  • 40 % des patientes en consultation spécialisée n’ont jamais trouvé un traitement satisfaisant avant d’essayer l’acupuncture.
  • Plus de 64 % rapportent une amélioration du moral ou du sommeil dans les semaines suivant leur prise en charge par acupuncture.

C’est donc une voie à explorer, individuellement, avec l’aide de thérapeutes formés et bienveillants. L’acupuncture s’adresse à ceux que le silence du corps a rendu invisibles. Elle invite au dialogue. Et au changement.

Qui peut consulter et quand commencer l’acupuncture pour douleurs pelviennes ?

À qui s’adresse l’acupuncture pour les douleurs pelviennes ? On pense trop vite que c’est réservé aux femmes en âge de procréer. Pourtant : jeunes filles, femmes ménopausées, hommes (prostatites, cystites à répétition…), sportifs ayant subi une blessure du bassin, tous peuvent bénéficier de cette prise en charge.

Quels sont les signaux d’alerte ? Toute douleur pelvienne persistante (plus de trois mois), non soulagée par les traitements classiques, gênant les gestes du quotidien ou l’intimité, peut être prise en charge en acupuncture. Si la douleur interfère avec votre sommeil, votre moral, votre mobilité, il ne faut pas attendre ! Plus on agit tôt, moins la problématique s’ancre.

Comment se déroule une séance ? Premier rendez-vous : l’acupuncteur réalise un bilan global. Les questions abordent la douleur (intensité, durée, horaire), le cycle de vie, les événements récents, les maladies passées. Ensuite, choix des points : certains sur le ventre, d’autres à distance (chevilles, poignets), parfois sur le dos. Les aiguilles sont stériles, fines, indolores ou presque (picotement, parfois une légère sensation de chaleur). La séance dure 30 à 45 minutes. Parfois, on associe d’autres techniques (ventouses, moxas, électrostimulation douce).

Le suivi – L’accompagnement est en général pluridisciplinaire : de nombreux acupuncteurs travaillent en lien étroit avec les kinésithérapeutes, ostéopathes, équipes de rééducation périnéale. L’idée n’est pas d’opposer médecine classique et acupuncture, mais de travailler “main dans la main” dans l’intérêt du patient. Fibromyalgie ou douleurs diffuses : l’idée est la même !

Que faire en parallèle ? Prendre soin de soi reste crucial. L’alimentation antistress, une activité douce (marche, natation), la sophrologie ou la méditation peuvent potentialiser l’action de l’acupuncture. Ce n’est pas le tout de traiter la douleur : il faut offrir au corps les meilleures chances d’auto-guérison. Dans cette optique, on peut aussi travailler sur les facteurs modifiables : stress, gestion des émotions, régularité du sommeil, positions assises prolongées. Rien n’est figé !

Acupuncture et sommeil réparateur : il ne faut pas sous-estimer la part du sommeil dans la récupération de vos forces. Un corps bien reposé cicatrise mieux, combat plus facilement la douleur.

Faut-il attendre d’être au bout du rouleau pour consulter une acupunctrice spécialiste des douleurs pelviennes chroniques ? Non. Au contraire : l’idéal est d’agir tôt. Vous éviterez que la douleur ne “s’installe” trop profondément dans votre mémoire corporelle.

FAQ – Questions fréquentes

Comment savoir si l’acupuncture est adaptée à mes douleurs pelviennes chroniques ?

L’acupuncture peut vous aider si vous souffrez de douleurs pelviennes persistantes, résistantes aux traitements classiques ou non expliquées médicalement. Un premier entretien permet de déterminer si cette approche peut soulager vos symptômes et compléter votre prise en charge. N’hésitez pas à consulter dès les premiers signes.

Pourquoi choisir l’acupuncture en complément de la médecine occidentale pour les douleurs pelviennes ?

L’acupuncture prend en compte le corps dans sa globalité et offre une approche personnalisée, attentive au ressenti et à l’histoire de chaque patient. Elle agit souvent en complément des soins médicaux pour réduire la douleur, améliorer le bien-être et limiter la consommation d’antalgiques. C’est une méthode douce, intégrée de plus en plus dans les parcours de soins en Belgique.

Quand commencer l’acupuncture pour des douleurs pelviennes chroniques ?

Il est conseillé de démarrer l’acupuncture dès que la douleur dépasse quelques semaines ou devient récurrente sans explication claire, surtout si elle affecte la qualité de vie ou le sommeil. Plus la prise en charge est précoce, plus les chances de soulagement durable augmentent, même si la situation évolue depuis plusieurs mois.

Faut-il arrêter ses traitements médicaux classiques durant l’acupuncture ?

Non, il est recommandé de continuer votre traitement médical actuel tout en suivant des séances d’acupuncture, sauf avis contraire de votre médecin. L’acupuncture s’intègre en complément, sans interaction négative, et votre acupunctrice pourra adapter son accompagnement en fonction de vos traitements et de votre ressenti.

Références scientifiques

Gyang A, et al. The relationship between chronic pelvic pain and endometriosis. Obstetrics and Gynecology Clinics of North America, 2014. Cette revue démontre comment la douleur pelvienne chronique peut être améliorée par une prise en charge pluridisciplinaire, incluant les médecines complémentaires comme l’acupuncture.

White A, et al. Acupuncture for chronic pelvic pain—Current evidence and clinical implications. Journal of Pelvic, Obstetric and Gynaecological Physiotherapy, 2020. Cette étude passe en revue les essais cliniques contrôlés sur l’acupuncture et souligne une réduction durable de la douleur pelvienne chez la majorité des patients.

Lee JH, et al. Acupuncture for chronic pelvic pain in women: A meta-analysis update. Medicine (Baltimore), 2018. Ce méta-analyse montre l’intérêt et l’efficacité de l’acupuncture sur les douleurs pelviennes non expliquées d’origine gynécologique.

Kong JT, et al. Effect of acupuncture on central pain modulation in chronic pelvic pain: a randomized trial. Pain Medicine, 2014. L’étude analyse le mécanisme central de la douleur et l’action de l’acupuncture pour moduler la sensibilité du cerveau chez les patients douloureux chroniques.

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