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Douleurs chroniques : comment l’hypnose médicale transforme le quotidien (et parfois la vie)Hypnose

Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35

Douleurs chroniques : comment l’hypnose médicale transforme le quotidien (et parfois la vie)

Des douleurs qui s’invitent chaque matin. Un mal de dos qui cloue sur place, la migraine qui cogne dans la tête, ou cet étrange fourmillement qui ne vous lâche plus. En Belgique comme ailleurs, le mal chronique touche de plus en plus de personnes. Pourtant, pour beaucoup, la souffrance reste invisible. “Vous êtes stressé, c’est dans la tête”, entend-on parfois. Mais qui accepterait de souffrir volontairement ? Et si une approche moderne, complémentaire à votre traitement médical, pouvait changer la donne ? Ici, on vous propose d’embarquer pour un voyage inattendu – celui de l’hypnothérapie médicale, pratiquée par des professionnels certifiés, qui aide nombreux patients à retrouver une respiration, un peu d’air, parfois même une vraie embellie dans leur quotidien. À quoi ressemble ce chemin ? Qui consulter ? Et quels secrets la science commence-t-elle à nous révéler sur les effets de l’hypnose sur la douleur ? On lève le voile, sans mirage ni baguette magique, mais avec des faits et des témoignages concrets.

L’hypnose contre la douleur chronique : mythe ou vraie alternative ?

La douleur chronique, c’est comme une pluie fine qui ne cesse de tomber : on s’y habitue à contrecœur, mais elle finit par user. Savez-vous qu’environ 20 % des adultes vivraient avec une douleur persistante depuis des mois, voire des années ? Ce chiffre grimpe même à un adulte sur trois aux alentours de Liège, selon certaines enquêtes. Il y a la douleur due à l’arthrose, celle que la fibromyalgie cultive dans les muscles, ou cette sciatique qui s’invite à chaque effort. On connaît les médicaments anti-douleurs, mais bien souvent, les effets secondaires les rendent difficiles sur la durée. Et si l’on vous disait que l’hypnose, loin des stéréotypes du music-hall, s’impose peu à peu dans les hôpitaux comme une solution « à la carte », adaptée à chacun ? Pas pour remplacer un traitement médical, non. Mais pour offrir un nouveau souffle, atténuer la souffrance, et permettre de souffler – au propre comme au figuré.

Ici, fini le mythe des pouvoirs surnaturels. L’hypnose thérapeutique, c’est avant tout une méthode validée, exercée par des professionnels spécifiquement formés. Hypnothérapeute certifiée NGH, Mme Marcelle Monseur a choisi d’intégrer cette approche à une pratique thérapeutique rigoureuse. Elle le dit simplement : « On ne fait rien à la place du patient. On réveille des ressources que la douleur avait occultées. » Un peu comme si l’on apprenait à nager pendant l’orage au lieu d’attendre la fin de la tempête.

Mais comment ça marche ? L’hypnose médicale, ce n’est pas de la magie. C’est un état modifié de conscience, scientifiquement reconnu par des milliers d’études. Le patient, guidé par le praticien, entre dans une forme de « veille paradoxale » : il reste conscient, mais un peu comme dans les rêveries de l’enfance, l’attention se focalise sur autre chose que la douleur. Vous voyez, quand on est plongé dans un film, et qu’on oublie le monde autour ? C’est un peu ça, mais en plus ciblé, plus profond. Pendant ce temps, les neurosciences montrent que des régions du cerveau impliquées dans la douleur (cortex cingulaire, lobe pariétal) diminuent leur activité. La douleur ne disparaît pas toujours complètement, mais on la ressent différemment. Parfois elle s’éloigne, parfois elle change de forme. Parfois, on reprend juste le contrôle, ce qui change tout.

Les revues médicales sont claires : l’hypnose aide de nombreux patients à mieux gérer la fibromyalgie, les céphalées, les douleurs post-opératoires. L’Assurance Maladie française la recommande désormais en hospitalisation pour certains soins douloureux. Pourquoi pas à Liège et en Belgique ? Pourquoi continuer à subir sans essayer une alternative validée par la science ? Voilà le pari que font des praticiens engagés comme Mme Monseur.

Concrètement, que peut-on attendre d’une consultation d’hypnose en cabinet médical ?

Oublions les vidéos YouTube ou les spectacles où l’on fait la poule : une vraie séance d’hypnose thérapeutique, c’est tout autre chose. À Esneux, Mme Marcelle Monseur accueille ses patients dans un cadre rassurant, discret, aux portes de la ville mais loin du tumulte. Ce n’est pas psychiatrique, ce n’est pas du rêve éveillé non plus. Ici, on prend le temps de comprendre d’abord le vécu : Quelle est la nature de la douleur ? Comment se manifeste-t-elle ? Que cherche-t-on à améliorer ? Un entretien clinique, respectueux, sert de point de départ.

Puis, étape par étape, le praticien guide la personne vers un état de relaxation profonde. Rien d’obligé, tout est proposé. On commence souvent par des exercices simples : écouter sa respiration, imaginer un lieu sûr, jouer avec des souvenirs agréables. Beaucoup sont surpris au début : « Je pensais ne pas être réceptif, mais j’ai ressenti une vraie détente. » Peut-être ferez-vous partie de ceux qui “ressentent vite”. Ou pas. Chacun va à son rythme — il n’y a aucune performance à réaliser.

L’objectif ? “Détourner” l’attention du cerveau pour réduire le signal douloureux. Parfois, des exercices d’autohypnose sont enseignés pour continuer à la maison : visualiser la douleur en la transformant en une couleur fade, en la voyant rétrécir ou s’envoler. Cela peut sembler enfantin, mais les IRM cérébrales montrent bien l’impact de l’imaginaire sur les circuits nerveux ! Un patient fibromyalgique témoignait : « Grâce à quelques images clés, je peux soulager mes crises en cinq minutes, là où les cachets mettaient des heures à agir. Ça ne guérit pas, mais ça change la journée. »

Ce travail est toujours complémentaire au traitement prescrit : jamais on ne vous demandera d’arrêter vos médicaments sans avis médical. Ici, on parle d’un “plus” – un carnet de techniques à utiliser dans le métro, en réunion, quand le stress fait remonter la douleur. Ou, tout simplement, pour retrouver confiance dans ses ressources après des mois de découragement. Il se peut d’ailleurs que vous ayez déjà testé d’autres solutions : kiné, ostéo, acupuncture, voire thérapies comportementales… L’hypnose s’inscrit dans cet éventail, avec sa spécificité propre. À retenir : la relation de confiance avec l’hypnothérapeute fait 80 % du travail. D’où l’importance de choisir un praticien avec une certification reconnue, comme NGH (National Guild of Hypnotists), gage de sérieux et de formation continue.

Au fil des séances, certains patients constatent une évolution : le seuil de tolérance à la douleur s’élève, l’anxiété diminue, le sommeil s’améliore. D’autres décrivent un phénomène plus subtil, presque impossible à décrire en mots. Un peu comme si l’on cessait d’être envahi, pour redevenir acteur de sa vie quotidienne.

Pour approfondir les principes, les limites et les bénéfices, ce dossier “Mythes et réalités” offre un tour d’horizon complet, à lire avant de franchir le pas.

Hypnothérapeute – Mme Marcelle Monseur

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0496 55 00 35

L’avis de la science : que nous apprennent les neurosciences sur hypnose et douleur ?

Si l’on s’en tient aux images du passé, l’hypnose semblait bien mystérieuse. Aujourd’hui, les neuroscientifiques y voient un phénomène on ne peut plus tangible. Ce qui avait été ressenti depuis des décennies – cet apaisement sous hypnose – trouve à présent une explication pointue grâce à l’IRM fonctionnelle. Et la communauté médicale s’y intéresse au point de proposer l’hypnose comme outil dans de nombreux services hospitaliers, parfois même en chirurgie. C’est sérieux.

Vous vous demandez comment cela s’explique ? Sous hypnose, il a été observé que certaines zones du cerveau, impliquées dans l’analyse de la douleur (le cortex somatosensoriel, le cortex cingulaire antérieur), “ralentissent”. En même temps, des régions activant notre capacité à imaginer et à se “déconnecter” des stimulations désagréables sont stimulées. Il n’y a pas de coupure complète avec la réalité, mais plutôt une redistribution de l’attention : on cesse de donner toute son énergie au signal douloureux. C’est un peu comme baisser le volume d’une radio trop forte en se concentrant sur une mélodie intérieure.

Côté résultats, que dit la littérature ? Une méta-analyse parue en 2021 dans la revue Pain rapporte que l’hypnose médicale induit une réduction significative de la douleur dans des pathologies aussi complexes que la lombalgie chronique, le syndrome de l’intestin irritable, et bien sûr les céphalées persistantes. D’autres études évoquent une amélioration de la qualité de vie, une diminution de la prise de médicaments sur la durée. Mais pas de miracle : l’hypnose ne guérit pas tout, ni pour tout le monde. Certaines douleurs, notamment d’origine organique sévère (tumeur évolutive, lésions irréversibles), gardent leur puissance. Mais pour tous ces patients “sans solution parfaite”, dont la souffrance impacte vie pro, sociale, sommeil, couple, l’hypnothérapie sert de bouffée d’oxygène. Les personnes âgées, les enfants (à partir de 6-7 ans généralement), trouvent là un nouvel horizon.

Une question revient souvent : mais pourquoi tout le monde ne propose pas l’hypnose en première intention ? Plusieurs raisons. Manque de formation des soignants (cela demande un vrai savoir-faire). Parfois méfiance, ou idées reçues (“Et si c’était que du placebo ?”). Pourtant, la recommandation d’intégrer l’hypnose dans l’arsenal des thérapies antalgique ne faiblit pas. Et sur le terrain, les retours sont souvent spectaculaires.

Prenons un exemple : en hôpital, chez les enfants recevant une ponction lombaire, l’utilisation de l’hypnose réduit non seulement la douleur, mais aussi l’anxiété et la fréquence des complications postopératoires. Chez l’adulte, lors de soins dentaires complexes ou de suites opératoires, la récupération se fait plus douce, les médicaments de type morphinique deviennent parfois inutiles. Bref, l’hypnose ne remplace rien, elle complète. Mais parfois, elle fait toute la différence au quotidien, dans ces moments où la douleur prend toute la place.

Curieux d’en savoir plus ? Ce guide sur la gestion de l’anxiété et des peurs par l’hypnose explique comment les techniques utilisées sur la douleur s’appliquent aussi à d’autres souffrances invisibles.

Apprendre l’autohypnose pour gérer sa douleur : possible chez soi, encadré

Sortir du cercle infernal douleur-anxiété-fatigue. C’est le lot quotidien de tous ceux qui vivent, non pas “avec” leur douleur, mais en guerre contre elle. Or, une séance d’hypnose en cabinet n’est pas forcément un passage obligé à chaque crise. Beaucoup apprennent, en quelques séances, à utiliser eux-mêmes des techniques de relaxation hypnotique, adaptées à leur propre histoire. C’est l’autohypnose.

L’autohypnose, ce n’est pas un don réservé à quelques initiés. C’est une aptitude naturelle, un peu comme le fait de se plonger dans un livre passionnant, ou d’“oublier” la douleur en discutant avec un ami. Mais structurée, accompagnée, elle se révèle un formidable outil d’autonomie. Une fois les principes acquis avec la guidance d’un professionnel comme Mme Marcelle Monseur, certifiée NGH, l’autohypnose permet de faire face aux pics douloureux en activant, presque sur commande, cette fameuse “zone de calme” dans le cerveau.

On peut se préparer à une intervention chirurgicale, apaiser une crise migraineuse dès ses premiers signes, ou tout simplement offrir à son corps une pause régénératrice dans une semaine chargée. Ici, chacun adapte les techniques à sa sensibilité. Certains imaginent une lumière chaude qui enveloppe la zone douloureuse ; d’autres visualisent la douleur comme une vapeur qui s’évapore peu à peu. Les supports audio enregistrés par l’hypnothérapeute parfois aident à retrouver ce chemin, même “sur le pouce”, dans le train ou entre deux réunions.

Une métaphore souvent évoquée par Mme Monseur : « La douleur chronique, c’est une alarme restée bloquée. L’hypnose permet parfois de remettre en veille ce signal devenu fou. Pas toujours à 100 %, mais suffisamment pour retrouver du pouvoir sur sa vie quotidienne. »

Et puis, il y a cet effet “cascade” bien documenté : moins de douleur, c’est plus d’activité physique. Plus d’activité, c’est moins de stress et un sommeil amélioré. Un cercle vertueux se met en place. Évidemment, cela ne se fait pas du jour au lendemain. Certains y sont sensibles après deux séances. D’autres avancent plus lentement. Mais l’autohypnose donne des outils concrets, là, tout de suite, pour diminuer l’intensité de la douleur ou changer sa perception.

Petite histoire vraie : “Je revis, à ma façon”

Cécile, 41 ans, souffre de migraines depuis tout jeune. Après des années à enchaîner les traitements, elle arrive un peu sceptique chez Mme Monseur. “Je n’attendais rien. Je ne voulais plus espérer.” En trois séances, elle apprend à se plonger dans ses souvenirs d’enfance, à réinterpréter la douleur visualisée comme une boule de glace qui fond doucement. Elle lâche prise, doucement. “Je ne vous dirai pas que je ne souffre plus, mais j’ai repris la main. Je revis, à ma façon.”

Ces histoires, il y en a d’autres. Des patients atteints de polyarthrite, des opérés du dos qui retrouvent les balades, des adolescents pour qui la douleur n’est plus synonyme d’école buissonnière. L’hypnose ne promet rien d’autre que d’explorer des chemins délaissés par l’habitude de la souffrance.

Alors, pourquoi ne pas essayer ? On n’a rien à perdre sauf, peut-être, quelques heures sous une lumière tamisée, le temps d’offrir à son cerveau – et à son corps – une petite parenthèse de répit.

FAQ – Questions fréquentes

Comment fonctionne l’hypnose médicale pour soulager les douleurs chroniques ?

Sous hypnose, le cerveau réoriente son attention et “desserre” l’emprise des signaux douloureux, permettant ainsi une sensation d’apaisement. L’action n’est pas magique : elle repose sur des mécanismes neurologiques prouvés, validés par l’imagerie cérébrale moderne.

Pourquoi choisir un hypnothérapeute certifié NGH pour la prise en charge des douleurs chroniques ?

Une certification NGH garantit une formation sérieuse, une éthique professionnelle et une approche adaptée au contexte médical. Chez Mme Marcelle Monseur, la prise en charge reste complémentaire aux traitements médicaux et centrée sur le patient.

Quand faut-il envisager une consultation d’hypnose pour une douleur persistante ?

Dès lors que la douleur impacte la vie quotidienne, le sommeil, l’humeur, il peut être utile d’intégrer l’hypnose parmi les outils thérapeutiques. Même lorsque les traitements classiques ne suffisent pas, cette approche peut offrir des bénéfices concrets.

Faut-il arrêter ses médicaments contre la douleur quand on commence l’hypnothérapie ?

Non, l’hypnose ne remplace pas le traitement médical prescrit par le médecin. L’objectif est de compléter la prise en charge, apporter un mieux-être, et parfois permettre, seulement sur avis médical, d’ajuster progressivement les traitements si la douleur diminue.

Références scientifiques :

Jensen MP, Patterson DR. "Hypnotic Approaches for Chronic Pain Management: Clinical Implications of Recent Research Findings", American Psychologist, 2014. Résumé : Cette revue évoque l’efficacité de l’hypnose dans la gestion de la douleur chronique, avec une baisse démontrée des perceptions douloureuses.

Montgomery GH, DuHamel KN, Redd WH. "A meta-analysis of hypnotically induced analgesia: How effective is hypnosis?", International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2000. Résumé : Une méta-analyse qui souligne que l’hypnose réduit statistiquement la douleur, notamment dans les soins hospitaliers et post-opératoires.

Elkins GR, Jensen MP, Patterson DR. "Hypnotherapy for the Management of Chronic Pain", International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis, 2007. Résumé : L’article montre que l’hypnothérapie est une solution bien tolérée et efficace pour de nombreux patients souffrant de douleurs persistantes.

Patterson DR, Jensen MP. "Hypnosis and clinical pain", Psychological Bulletin, 2003. Résumé : Ce travail confirme les bénéfices de l’hypnose pour atténuer la douleur chronique, diminuer l’usage des médicaments et améliorer la qualité de vie.

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