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Douleurs bassin & pipi : Pourquoi consulter un kiné spécialiste à Liège ?Kinésithérapeute Urinaire Périnéale pour ENFANTS

Pourquoi mon enfant a-t-il des douleurs dans le bas-ventre ? Découvrez l’impact des troubles urinaires et l’aide de la kinésithérapie périnéale

Kinésithérapeute Périnéale Pédiatrique - Troubles urinaires chez l'enfant et l'adolescent – Mme Lisa MOENS

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 à Esneux

📞 Téléphone RDV : 0486 18 72 25

Rendez-vous en Ligne

Vous êtes parent et voyez votre enfant se plaindre de douleurs dans le bas-ventre ? Les mandalas sur le frigo n’y changent rien. Le matin, il grimace. À l’école, il peine à se concentrer. Vous vous demandez s’il s’agit simplement d’un moment de croissance, ou si vous devez agir. C’est un point d’inquiétude commun, mais rarement évoqué simplement. Pourtant, les douleurs abdominopelviennes chez l’enfant ou l’adolescent ne sont pas à banaliser, surtout lorsqu’elles s’accompagnent de problèmes de miction, d’envies pressantes, ou de fuites urinaires.

C’est justement là que la kinésithérapie urinaire – un métier encore méconnu – peut transformer le quotidien de toute la famille. Savez-vous qu’en Belgique, jusqu’à 15 % des enfants de 4 à 12 ans présentent des troubles urinaires ? Même si les chiffres peuvent glacés le sang, la solution passe souvent d’abord par un regard global, une oreille attentive et – surtout – une prise en charge adaptée.

Dans cet article, nous allons décortiquer les causes courantes des douleurs dans le bas-ventre chez l’enfant et l’ado, donner des clés concrètes pour repérer un trouble urinaire (beaucoup passent inaperçus !) et expliquer comment un kinésithérapeute urinaire conventionné INAMI comme Lisa MOENS à Esneux aborde le problème avec une rééducation bienveillante. Prêt ? On commence par la question que tous les parents se posent : d’où vient vraiment ce mal au ventre ?

Quelles sont les principales causes de douleurs dans le bas-ventre chez l'enfant et l’adolescent ?

Ça commence parfois par une remarque banale à table : “J’ai mal au ventre.” Si la douleur persiste plusieurs jours, la question émerge : faut-il s’inquiéter ? Petite statistique frappante : moins de 30 % des consultations pour mal de ventre se soldent par une pathologie digestive avérée. Cela veut dire que les autres causes – souvent plus fonctionnelles que médicales – sont largement sous-estimées.

Chez l’enfant (dès la maternelle) comme chez l’ado, le bas-ventre est une “zone carrefour” : tout y transite, tout s’y croise. Voici les principaux “candidats” responsables :

  • Troubles digestifs fonctionnels : constipation, ballonnements, syndrome du côlon irritable. L’enfant a-t-il tendance à se retenir d’aller à la selle ? La constipation fait parfois pression sur la vessie et le périnée.
  • Pathologies infectieuses : une infection urinaire, une gastro, une appendicite. Symptômes le plus souvent aigus, avec de la fièvre notamment.
  • Troubles urinaires : c’est là que beaucoup de familles passent à côté. Retards d’acquisition de la propreté, fuites urinaires diurnes ou nocturnes (énurésie), envies pressantes… tout ça peut créer des douleurs chroniques dans le bas-ventre !
  • Anxiété ou stress : Eh oui, le ventre est le “deuxième cerveau”. Les soucis scolaires, les tensions à la maison, les déménagements, tout peut rejaillir par des douleurs abdominales diffuses.

Mais comment savoir s’il s’agit d’un trouble urinaire plutôt que d’une simple petite grippe ou d’une douleur passagère ? Quelques signes ne trompent pas :

  • Douleur en urinant (brûlures, sensation gêne, ou “ça pince”...)
  • Enfant qui va “tout le temps” aux toilettes… ou au contraire, qui se retient pendant des heures
  • Fuites en journée ou la nuit (pipi au lit)
  • Envie pressante, votre enfant court sans prévenir aux toilettes, parfois trop tard
  • Réflexe de croiser fort les jambes, de danser sur place devant la classe
  • Fatigue, irritabilité : on croit à un caprice, c’est le corps qui hurle…

Un exemple, vécu lors d’une consultation chez un kinésithérapeute urinaire pour enfants proche de Liège : Lucie, 8 ans, alternait coliques et fuites urinaires. Un suivi médical a éliminé les causes organiques majeures. Après quelques séances ciblées sur le plan périnéal, Lucie a retrouvé le sourire, et sa maman aussi. C’est souvent ainsi : le mal de ventre cache un trouble du périnée, un mécanisme complexe, mais accessible à la rééducation.

Lisa MOENS, conventionnée INAMI et spécialiste en kinésithérapie périnéale, rappelle souvent : “Le diagnostic ne se pose pas tout seul. Une évaluation globale est essentielle, tout comme l’implication des proches et du médecin.” Dans certains cas, le lien entre maux de ventre et troubles urinaires saute aux yeux… pour peu qu’on sache les repérer.

Pour mieux cerner ces troubles, vous pouvez lire les erreurs fréquentes des parents face aux troubles urinaires sur consultations-liege.be.

Comment reconnaître les troubles urinaires chez l’enfant et l’adolescent ? Les signaux à ne pas négliger

C’est la grande difficulté de ce sujet : les enfants n’ont pas toujours le réflexe de verbaliser leur douleur. Parfois par honte, parfois parce qu’ils ne comprennent pas l’origine du problème. On croit que tout est “dans la tête”, mais il existe des signes d’alerte bien concrets. Certains ne trompent pas !

Mais pourquoi un trouble urinaire fait-il mal au ventre ? Imaginez un barrage qui retient l’eau au mauvais endroit. Si la vessie ne se vide pas bien (dysfonction du muscle détrusor), la pression monte. Ça tire, ça “pousse” sur le bas-ventre et parfois sur les intestins. Le périnée devient, malgré lui, le seuil de douleur – comme une porte mal fermée qui “grince”.

Voici les principaux symptômes “sentinelles” qui doivent vous interpeller :

  • Fuites urinaires intempestives, que ce soit la nuit (énurésie) ou le jour, l’enfant essaie de cacher ses vêtements mouillés, redoute les sorties scolaires
  • Pollakiurie : besoins d’aller uriner très fréquemment, parfois toutes les 30 minutes
  • Urgenturie : sensation d’envie irrépressible, l’enfant ne tient pas “jusqu’au bout”
  • Présence de douleurs pelviennes cycliques, surtout lors de l’effort ou après une course
  • Comportements d’évitement : ne veut plus aller aux toilettes à l’école, retient systématiquement
  • Constipation chronique : la douleur pelvienne peut être indirectement liée à l’accumulation de selles, ce qui pèse sur la vessie

Petite anecdote : lors d’une consultation à Esneux, une ado explique : “Je préfère ne pas boire à l’école pour ne pas aller aux toilettes“. Ce réflexe aggrave le problème, provoque parfois des infections urinaires à répétition et renforce la douleur chronique. L’entourage n’y voit souvent que du feu, d’autant que “la chasse aux toilettes” est tabou à l’adolescence.

Pour éviter la spirale, il faut savoir qu’un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant va d’abord réaliser un bilan global :

  • Antécédents médicaux et chirurgicaux
  • Mode de vie (hydratation, activité, stress scolaire…)
  • Habitudes de miction (tenue du carnet urinaire sur 4 à 5 jours)
  • Évaluation posturale et musculaire du périnée

C’est un métier d’enquêteur, un peu comme Sherlock Holmes du pipi. Certains enfants, une fois en confiance, révèlent d’ailleurs des anecdotes insolites. Dans la région des aux alentours de Liège, le manque d’informations sur cette prise en charge retarde parfois l’accès aux soins adaptés. C’est en changeant ce regard qu’on amorce la guérison.

Pour découvrir une méthode ludique de la rééducation périnéale, explorez cette approche ludique de la rééducation périnéale chez l’enfant sur consultations-liege.be.

Bon à savoir : Certains signes dépendent de l’âge : chez les petits, les douleurs pelviennes se manifestent par des pleurs ou des troubles du sommeil, tandis que chez l’adolescent, la gêne physique est souvent accompagnée d’une gêne sociale importante.

Vous l’aurez compris, si le mal de ventre s’éternise et que l’enfant modifie ses habitudes, il est temps de consulter. Le suivi en cabinet permet de faire le tri entre toutes les causes et d’agir, main dans la main avec l’enfant et la famille.

Vous souhaitez un accompagnement personnalisé ?

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Comment la kinésithérapie périnéale soulage-t-elle les douleurs dans le bas-ventre chez les enfants ?

Il n’y a pas de baguette magique. Mais il existe une approche structurée, progressive, adaptée au rythme de chaque enfant. La prise en charge par une kinésithérapeute urinaire conventionnée INAMI à Esneux commence par un dialogue : comprendre ce qui pèse, ce qui freine, ce qui “coince”. Souvent, l’anamnèse révèle des histoires déroutantes : “Dès que je bois un peu, j’ai peur de ne pas tenir“. Ou encore : “J’ai mal quand je cours, alors je préfère rester assise“. Le déclic passe par la compréhension du schéma corporel.

La kinésithérapie périnéale pédiatrique n’est pas réservée qu’aux adultes ! Elle apprend à l’enfant à se ré-approprier son corps, à reprendre le contrôle sur ses sphincters, et à relâcher les tensions musculaires. Pour le dire autrement : il s’agit de “réaccorder le piano”, pour que toutes les touches jouent juste, ni trop fort, ni trop faiblement.

Voici les grandes étapes de ce suivi :

Le parcours en kinésithérapie urinaire : étapes, outils et méthodologies adaptées aux enfants

  • Éducation et démystification : expliquer (avec des images, des jeux…) le fonctionnement de la vessie, du périnée, du colon. L’enfant et les parents apprennent à reconnaître les signaux corporels, à repérer les “pièges” du quotidien.
  • Rééducation périnéale : exercices ludiques de contraction et de relâchement du plancher pelvien. Chez les plus petits, on mobilise le souffle, les images, parfois les marionnettes ou les jeux vidéo thérapeutiques !
  • Biofeedback et renforcement : des appareils doux permettent à l’enfant de voir concrètement comment il active (ou non) ses muscles. Cela retire la part “magique” du corps, donne des “super pouvoirs” à l’enfant.
  • Rééducation comportementale : réapprendre à aller aux toilettes au bon moment, à boire assez, à repérer les situations à risque. Un vrai coaching de vie, entre autonomie et responsabilisation.
  • Travail sur la posture : améliorer la position assise, la mobilité du bassin, réduire la pression abdominale, surtout pour ceux qui passent des heures à l’école, statiques.
  • Intégration familiale et multidisciplinaire : le rôle des parents est clé – et parfois celui de la psychologue, du médecin, ou de l’ergothérapeute, pour débloquer les situations les plus complexes.

Parfois, une simple “mauvaise habitude” suffit à entretenir la douleur : retenir trop longtemps pour ne pas quitter le cours de gym, se crisper en cas de stress scolaire ou familial… Chaque détail compte. L’aspect multidisciplinaire permet de soigner à la fois le corps et le contexte, sans négliger l’émotionnel.

Un exemple concret : Louis, 10 ans, présente des envies pressantes et douleurs pelviennes. Après 8 séances de kiné urinaire, les douleurs diminuent de moitié, le nombre de passages aux toilettes se régule. Au fil des semaines, c’est la confiance qui revient, et la scolarité qui s’améliore. Le secret ? L’accompagnement global, adapté à son âge et à sa personnalité.

Pour en savoir plus sur l’importance de l’implication parentale, consultez cet article sur la place des parents en rééducation périnéale pédiatrique sur esneuxmedical.be.

L’intérêt de cette approche, c’est qu’elle ne traite pas seulement le symptôme, mais la cause. Le bas-ventre devient moins “sensible”, moins “piégeux”. L’enfant reprend sa place dans la famille, à l’école, dans ses groupes d’amis. La douleur cesse de dicter le quotidien.

Vous hésitez à initier ce parcours ? Sachez qu’en Belgique, la prise en charge en kinésithérapie urinaire est remboursée par l’INAMI pour les enfants et adolescents, à condition d’une prescription médicale adaptée. Mme Lisa MOENS accueille les familles au cabinet à Esneux et peut, selon les cas, se déplacer à proximité.

Quand consulter un kinésithérapeute urinaire périnéale pour enfant ? Portrait-robot des situations à ne pas laisser traîner

On a tous le réflexe : “Ça va passer…”. Mais la plupart des retards de prise en charge complexifient le problème. Un trouble urinaire mal ou tardivement traité peut s’installer des années. Conséquence ? Baisse d’estime de soi, difficulté d’intégration à l’école, repli sur soi et bien sûr… douleurs qui deviennent chroniques.

Voici les situations types qui doivent inciter à consulter un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant conventionné INAMI à Esneux :

  • Mal de ventre récurrent SANS cause digestive évidente
  • Douleurs associées à des envies pressantes ou des difficultés à uriner
  • Fuites d’urines le jour ou la nuit au-delà de 5-6 ans
  • Habitudes de “rétention” (l’enfant se retient trop longtemps par peur ou honte)
  • Gêne sociale ou scolaire — l’enfant évite sorties, colonies, piscine…
  • Contexte anxieux ou émotionnel compliqué ; le corps parle souvent avant l’esprit
  • Douleurs qui s’aggravent lors d’efforts physiques, de sport ou de déplacements
  • Constipation chronique qui résiste aux conseils hygiéno-diététiques

L’important, c’est d’écouter et de ne pas juger. Souvent, l’enfant sait ce qui lui pose problème, mais a besoin d’un cadre sécurisant pour poser les bons mots. Le temps passé en consultation de kinésithérapie périnéale devient alors un cocon, un sas de décompression.

Sur le plan pratique, la prise de rendez-vous est simple (prescription médicale à prévoir : médecin généraliste, pédiatre…). Les séances ont lieu en cabinet à Esneux, dans un lieu pensé pour rassurer les petits et les grands. La rééducation peut aussi se poursuivre à domicile, pour ceux qui en ont besoin, notamment en cas de handicaps ou si le déplacement s’avère compliqué.

Pour des situations spécifiques comme l’énurésie persistante à l’adolescence, vous pouvez aussi lire ce dossier complet sur les troubles urinaires persistants à l’adolescence sur consultations-liege.be.

Sur le terrain, les familles disent souvent : “On aurait dû consulter plus tôt, le changement a été radical.” Vrai. 92 % des prises en charge précoces (avant 10 ans) aboutissent à une résolution ou amélioration notable des symptômes sous six mois, selon une étude présentée lors du dernier congrès de kinésithérapie pédiatrique en France.

Aucune honte à consulter ! Comme on ferait appel à un cardiologue pour le cœur, on fait appel à un kinésithérapeute urinaire pour la vessie et le périnée. Un métier technique, mais humain avant tout.

Pour comprendre en quoi la kinésithérapie périnéale est un atout essentiel contre les pertes urinaires nocturnes, consultez cet article sur esneuxmedical.be.

Enfin, le suivi ne s’arrête pas à la fin des séances : on apprend à l’enfant, à la famille, à s’auto-observer, à repérer les situations à risque, à anticiper les rechutes. L’objectif est double : autonomie, et surtout, gagner en sérénité.

Vous êtes hésitant à consulter, ou ne savez pas vers qui vous tourner ? Le Cabinet Lisa MOENS propose un premier échange pour évaluer la situation et vous orienter au mieux selon les besoins — notamment en collaboration avec d’autres spécialistes de la santé pédiatrique proche de Liège.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi mon enfant a-t-il souvent mal au bas-ventre et des problèmes urinaires ? Les douleurs dans le bas-ventre associées à des troubles urinaires chez l’enfant sont fréquentes, souvent causées par des tensions musculaires, une mauvaise coordination du périnée ou de mauvaises habitudes comme la rétention. Il est important de consulter pour éviter que la situation ne s’aggrave et mette en jeu la confiance de votre enfant.

Comment la kinésithérapie urinaire aide-t-elle face aux douleurs du bas-ventre chez l’enfant ? La kinésithérapie urinaire spécialisée permet de rééduquer le périnée, améliorer la coordination des muscles impliqués dans la miction et de diminuer durablement les douleurs du bas-ventre. Elle agit aussi sur les habitudes et la gestion des émotions, points essentiels chez l’enfant et l’ado.

Faut-il s’inquiéter si mon enfant se plaint de douleurs en urinant ou de fuites ? Oui, il est conseillé de consulter un professionnel, car ces signes sont parfois le reflet d’un trouble fonctionnel (dysfonction périnéale, infection, rétention, etc.). Une prise en charge précoce, comme proposée en cabinet à Esneux, évite la chronicisation et améliore la qualité de vie.

Quand consulter un kinésithérapeute urinaire chez l’enfant en cas de douleur au bas-ventre ? Dès que la douleur persiste plus de quelques jours et s’accompagne d’autres signes comme des envies pressantes, des fuites urinaires ou une gêne sociale, il est pertinent de demander l’avis d’un kinésithérapeute urinaire conventionné INAMI. L’intervention précoce permet de lever les blocages, restaurer le confort et le bien-être au quotidien.

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