Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0474 10 90 33
Le couple est le théâtre de nombreux mouvements émotionnels et intimes. Parmi les difficultés fréquentes, la dépendance affective s’impose souvent de façon insidieuse, impactant autant la sexualité que le bien-être relationnel. Ce phénomène, loin d’être anodin, représente un vrai motif de consultation auprès d’une sexologue spécialisée, au cœur de la région liégeoise, pour apprendre à s’en libérer et réinventer une vie intime épanouie.
La dépendance affective désigne une attitude excessive d’attachement à l’égard de l’autre, caractérisée par de l’angoisse, de la peur d’abandon et un besoin constant d’être rassuré. Selon Ferrand et al., cette dynamique se construit souvent dans l’enfance, mais se cristallise à l’âge adulte sous forme de schémas répétitifs de relations déséquilibrées (Ferrand et al., "Affective dependency and attachment styles", PMC003547).
En sexologie, on constate qu’un fort sentiment de vide intérieur ou une faible estime de soi conduit à rechercher dans la relation—et dans la sexualité—une validation, un “pansement” émotionnel.
Lorsqu’une personne dépendante affective est en couple, sa sexualité devient un espace où la peur de perdre l’autre domine. Le désir, l’excitation, le plaisir, sont souvent conditionnés par la crainte du rejet ou du jugement. Les inquiétudes sur la performance, la fréquence ou la qualité des rapports sexuels cristallisent alors une pression parfois insupportable.
Ce phénomène a été mis en évidence par Brassard et al., qui montrent que la dépendance affective induit une anxiété de séparation pouvant totalement teinter la dynamique sexuelle et mener à des difficultés à lâcher prise lors de l’acte intime (Brassard et al., "Romantic attachment and sexual functioning: A systematic review", PubMed 2021).
En consultation en sexologie, les professionnels de la région de Liège observent des situations typiques :
À la longue, cette dynamique déséquilibre la relation et la sexualité : l’un se sent étouffé, l’autre reste insatisfait, perpétuant le malaise.
Pour beaucoup, faire appel à une sexologue en province de Liège reste encore chargé de tabous. Pourtant, solliciter un accompagnement spécialisé offre une sortie du cercle vicieux de la dépendance. Comme le rappelle la consultation de sexologie de Mme Sabrina Bauwens, il n’y a ni honte, ni faiblesse, mais beaucoup de courage à oser demander du soutien dans ces situations complexes.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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D’après John Bowlby, fondateur de la théorie de l’attachement, les stratégies de rapprochement, d’angoisse de séparation et de fusion émotionnelle naissent dans la petite enfance. Si ces stratégies se déséquilibrent, elles donnent lieu à une dépendance affective pathologique à l’âge adulte, qui s’exprime puissamment dans le couple et la sexualité.
De nombreux travaux en sexologie montrent que les couples dont au moins un membre souffre de dépendance affective présentent :
Le schéma fréquent : une personne en demande, une autre sur la défensive. L’équilibre est rompu, et la sexualité devient alors un terrain de souffrance ou d’insatisfaction chronique.
Le piège de la dépendance est de confondre l’acte sexuel avec le gage de sa propre valeur et du lien à l’autre. L’intimité devient alors un devoir—aimer c’est faire l’amour à tout prix—ou un instrument de réassurance. Ce mécanisme, analysé par Brassard et al., nuit à la spontanéité et à la complicité érotique qui sont les piliers d’une sexualité saine et satisfaisante.
Dans la pratique en cabinet proche de Liège, il n’est pas rare de croiser ces patient(e)s dont le désir d’être aimé(e) déborde tellement, qu’il envahit chaque sphère du couple, jusqu’à l’épuisement.
Dans la région d’Esneux et aux alentours de Liège, les couples consultent car ils se retrouvent piégés dans un engrenage où plus rien ne fonctionne : perte d’attraction, baisse du plaisir, communication dégradée. Le ou la dépendant(e) affectif(ve) réclame : “Pourquoi tu ne veux plus de moi ?”, tandis que le ou la partenaire se dit fatigué(e) de cette pression, voire coupable de ne pas être “assez” pour l’autre.
La sexualité devient alors symptôme d’une maladie relationnelle sous-jacente : perte du désir, pannes sexuelles, ou besoin de s’éloigner pour retrouver son souffle.
Face à la peur, la personne dépendante peut tout accepter pour “garder” l’autre : soumission aux envies du partenaire, acceptation de pratiques non désirées, oubli de ses propres limites. Cette suradaptation, loin d’aider le couple, génère frustration, colère rentrée, ou crises de colère lorsqu’on sent que tout cela ne suffit pas à vraiment rassurer ou unir.
Dans le cas typique de dépendance, le rapport sexuel est envisagé comme une nécessité, une urgence anxieuse : plus on multiplie les rapports, plus on cherche à apaiser la peur d’être abandonné. Mais le manque d’authenticité condamne la sexualité à une routine stressante et stérile, où la notion de plaisir s’efface au profit de l’angoisse.
Enfin, la dépendance plonge souvent le couple dans un isolement progressif. Les disputes se multiplient, le dialogue disparaît. Les tentatives d’aborder les vraies difficultés sexuelles sont souvent vécues comme des attaques ou des reproches, instaurant un climat défensif ou agressif où personne ne peut évoluer.
Face à la complexité de la dépendance affective, une prise en charge professionnelle est primordiale. Les sexologues en région liégeoise sont formés pour aborder cette problématique aux multiples facettes, en prenant en compte le vécu intime, relationnel, sexuel et individuel de chaque personne et de chaque couple.
En consultation, le premier objectif sera de différencier : “Qu’est-ce qui appartient à mon désir ? À mon besoin d’amour ? À mes peurs ?”
Le processus thérapeutique vise à :
Cette étape est essentielle pour réhabiliter une sexualité libre, authentique, où chaque partenaire redevient sujet de ses envies et non objet de validation.
Les sexologues proches de Liège recommandent de redéfinir ensemble les bases du dialogue dans le couple : que souhaite vraiment chacun ? Quels sont nos “oui”, nos “non”, nos “peut-être” ?
Au cœur du travail, le consentement redevient le fil rouge : sortir des rapports “par devoir”, pour réinstaurer l’intimité comme un choix, et non une obligation anxieuse.
Oser explorer sa propre sexualité—se masturber, développer sa sensualité, redécouvrir son corps—est encouragé en thérapie. Cela permet de garantir que l’éveil du désir ne dépend plus de l’extérieur, mais est ancré dans une complicité avec soi-même.
Avec le soutien d’une sexologue en province de Liège, les personnes dépendantes trouvent de nouveaux repères, dépassent les schémas de fusion ou de soumission, et osent finalement demander une sexualité, et une relation, plus justes et authentiques.
Parfois, à défaut de soutien spécialisé, les personnes dépendantes affectives développent d’autres stratégies compensatoires : hypersexualité, surinvestissement professionnel, addictions (consommation d’alcool, relations virtuelles...).
Toutefois, ces palliatifs ne font qu’aggraver le mal-être intime. Le recours à un professionnel de la sexologie à Liège reste la clé pour enclencher un vrai travail de réparation durable.
Rompre l’isolement est fondamental ! Les sexologues en périphérie liégeoise insistent sur l’intérêt de retisser du lien en dehors du couple, de renforcer les amitiés, d’ouvrir le dialogue sur sa façon de vivre l’attachement. Cela participe activement à la restauration de l’autonomie affective et à l’équilibre sexuel du couple.
Certaines alertes doivent inciter à consulter rapidement à Esneux ou aux abords de Liège :
Chaque suivi est unique, respectueux de l’histoire de chacun. En première intention, la sexologue réalise un état des lieux sans jugement, et construit avec vous un plan de travail mêlant :
Le but : ramener un souffle nouveau et sincère dans la vie intime et relationnelle.
Cheminer hors de la dépendance affective permet d’accéder à une intimité enfin libre, où chacun s’exprime, ose ses envies, respecte ses propres rythmes. Le couple redevient espace de confiance, et la sexualité retrouve sa place de jeu, de plaisir, de partage voluptueux plutôt que celle d’un médicament.
Cet élan est à la portée de tous, à condition d’oser reconnaître la souffrance et de faire le choix d’un accompagnement professionnel, en province de Liège, avec une sexologue bienveillante.
Q : La dépendance affective est-elle une fatalité ?
Non ! Même si elle s’ancre dans les premières années de la vie, elle n’est pas irréversible. Accompagné par un soutien adapté, il est tout à fait possible de sortir de ces schémas et de réinventer un couple et une sexualité équilibrés.
Q : Peut-on consulter seul(e) si le/la partenaire refuse ?
Absolument. Même si une prise en charge de couple est souvent recommandée, travailler sur soi-même engage déjà un vrai changement pour le binôme.
Q : Combien de temps dure un suivi en sexologie ?
Tout dépend de l’intensité de la dépendance et des attentes. Parfois quelques consultations suffisent à ouvrir les yeux, d’autres fois le travail prend plus de temps. Le rythme s’adapte à chaque histoire.
Découvrez également l’article 10 conseils pour les couples en sexologie, utile pour approfondir votre compréhension de la dynamique de dépendance et du lien avec la vie intime.
Vous trouverez également des références scientifiques sur la prise en charge des troubles sexuels liés à la dépendance affective dans la littérature spécialisée (Ferrand et al., 2019 ; Brassard et al., 2021).
Loin d’être une faiblesse, consulter une sexologue en province de Liège est un acte de soin qui permet de transformer la souffrance en levier de croissance. À l’écoute, respectueuse, Mme Sabrina Bauwens s’engage à vos côtés pour ouvrir le chemin de l’autonomie affective et d’une sexualité épanouie, fondée sur le consentement, le plaisir et le respect de soi.
Ne restez pas seul(e) : le changement est possible, il commence en vous.
Sexologue – Mme Sabrina Bauwens
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