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Crise existentielle chez les jeunes adultes : Parcours tumultueux vers l'âge adultePsy Enfant - Ado

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0494 58 17 54

Crise existentielle chez les jeunes adultes : pourquoi un accompagnement psychologique spécialisé fait la différence ?

Comprendre la crise existentielle chez les jeunes adultes : pourquoi ce passage est-il si déstabilisant ?

Vous souvenez-vous de votre passage à l’âge adulte ? Pour beaucoup, ce n’est ni linéaire, ni doux. C’est plutôt un saut dans l’inconnu. Ce fameux vertige lorsqu’on se demande : “Qu’est-ce qui a du sens ? Pourquoi je fais ça ? Où vais-je ?” La crise existentielle se manifeste souvent dans ces moments charnières. Elle secoue l’équilibre, chahute les certitudes et met à nu les grandes questions. Pour les jeunes adultes, à la sortie de l’adolescence, ce sont des montagnes russes.

Le doute devient le parfum du quotidien. Que ce soit à la fin des études, au début de la vie professionnelle, ou suite à une rupture affective : soudain, la réalité bouscule. Le filet de sécurité de l’enfance disparaît, remplacé par la pression de devenir “adulte”. Certains le vivent comme un orage bref, pour d’autres, la tempête dure longtemps. À Liège, dans les cabinets de psychologues spécialisés enfants et adolescents, on constate : cette crise n’est pas une anomalie. C’est même un passage obligé pour devenir vraiment soi. Mais pourquoi certains jeunes s’effondrent alors que d’autres surfent sur la vague ?

Il y a plusieurs raisons. D’abord, le monde d’aujourd’hui ne rassure pas. Entre réseaux sociaux, chômage, urgences climatiques et crise sanitaire, l’incertitude s’invite partout. Ensuite, les attentes sont multiples. Réussite scolaire, emploi stable, couple idéal, réseaux, corps parfait… Le paquet de pression est livré sans mode d’emploi. Et puis, il y a la solitude. Les groupes d’amis se dispersent, la famille n’offre plus toujours la même écoute. Face à ce vide, la question du sens devient omniprésente.

Statistiquement, selon une enquête menée en Belgique, près d’1 jeune adulte sur 3 a déjà connu un sentiment d’angoisse existentielle. Cela se traduit par un mal-être diffus, parfois des crises d’angoisse, parfois des troubles du sommeil, une perte de motivation, ou une difficulté à s’investir dans les projets. Pire : certains jeunes ne savent même pas mettre un mot sur ce qu’ils ressentent. C’est un peu comme marcher dans le brouillard : on avance, mais on ne sait plus où – ni pourquoi.

D’où l’importance de reconnaître ces bouleversements. Ce n’est pas simplement de la paresse, ni un “caprice” de jeunesse. Un jeune qui ne va pas bien le montre rarement comme un adulte. Il va s’enfermer, se couper du monde, ou afficher une carapace d’indifférence. Parfois, c’est le corps qui parle : maux de ventre, migraines, palpitations… On cherche alors des réponses du côté médical, mais le malaise est intérieur.

Le défi majeur ? Trouver un espace où ces doutes peuvent être déposés, écoutés, sans jugement. C’est là que le rôle d’un psychologue spécialisé pour adolescents et jeunes adultes prend tout son sens.

Au quotidien, des jeunes venus d’un peu partout (Liège, Seraing, Esneux, aux alentours de Liège) expriment ce sentiment : “On a l’impression que tout le monde avance sauf nous.” Ou encore : “Ça fait trop, je ne m’y retrouve plus.” Ce ras-le-bol n’est pas synonyme d’échec. C’est souvent le premier signe d’un besoin de réajuster ses priorités.

Comment reconnaître que votre adolescent, ou votre jeune adulte, traverse une crise existentielle ? Quelques signes : irritabilité, repli, chute des résultats scolaires, envies de tout arrêter, ou surinvestissement paradoxal (tout contrôler, tout réussir, mais sans plaisir). Parfois, ce sont les proches – parents, amis, enseignants – qui repèrent un changement sans comprendre l’origine. À ce moment-là, la question se pose : comment aider, et surtout, qui peut vraiment comprendre ce chaos intérieur ?

Une chose est sûre : laisser traîner cette tempête sans y prêter attention peut conduire à l’emballement. Plus la crise est tue, moins il est facile d’en parler. Cela devient un nœud qui se resserre un peu plus chaque jour.

Pourquoi consulter un psychologue spécialisé dans l’accompagnement des jeunes adultes : de la parole libérée à la quête de sens

Psychologue Spécialisée Enfants - Adolescents Ados – Mme Lara TRESALLI

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Pourquoi se tourner vers un professionnel ? Après tout, certains pensent qu’on peut “s’en sortir tout seul” ou que “ça va passer”. Pourtant, les preuves scientifiques abondent : un accompagnement psychologique, même bref, chamboule le décours d’une crise existentielle. C’est comme allumer une lumière dans une pièce sombre : soudain, les contours deviennent plus nets.

Le psychologue spécialisé en soutien des jeunes adultes est formé à ces questionnements. À travers l’écoute et les échanges, il aide à faire émerger le sens caché derrière les paroles. Cela commence souvent par une histoire banale : “Je ne sais plus quoi faire”, “Je perds l’envie”, “Je me sens seul dans ma tête”. Pas de baguette magique, ici. Mais des outils puissants : reformulation, mise à distance, questionnaires adaptés, exploration des valeurs, et parfois même des tests de QI ou tests projectifs, selon la situation.

On entend souvent : “Les amis, la famille, ça suffit, non ?” Oui… et non. Les proches sont essentiels, mais ils n’ont pas la neutralité, ni toujours les compétences suffisantes. Parfois, ils projettent leurs propres peurs, ou tentent de rassurer trop vite. Le psychologue, lui, écoute sans jugement, permet de déposer la parole, même la plus douloureuse. On peut tout dire, même penser l’impensable (“J’ai peur de l’avenir”, “Je doute de tout ce que je croyais”, etc.). L’accompagnement devient alors un lieu-refuge où chacun peut, enfin, souffler.

Et quand la crise dure ? Les séances sur le long terme visent à résoudre les nœuds profonds. Il s’agit d’explorer ensemble les expériences passées, les peurs, les envies enfouies, jusqu’à retisser la cohérence de son parcours. C’est un vrai travail de détective intérieur. Et progressivement, le jeune adulte développe sa propre boussole. Moins de chaos, plus d’orientation.

Mais, au fond, que change réellement ce type d’accompagnement ? D’abord, la reprise de confiance. Plus on comprend ce qui se joue, moins le mal-être fait peur. Ensuite, le jeune adulte ose de nouveaux choix. Il entreprend, redevient acteur de ses décisions. Il évite aussi de tomber dans le piège du découragement chronique, qui peut mener à la dépression ou à l’addiction.

En Belgique, de plus en plus de jeunes adultes recourent à ce type de soutien. Les raisons ? Moins de stigmatisation sur la santé mentale, plus de dialogue, et des professionnels expérimentés, comme ceux que l’on peut retrouver à Esneux ou aux alentours de Liège. On oublie souvent que la force d’un jeune adulte, c’est aussi de savoir demander de l’aide.

À travers les séances, il se réapproprie son histoire. La pièce n’est plus noire. On rallume la lumière, un interrupteur à la fois.

Comment se déroule un accompagnement psychologique pour jeunes adultes ? Étapes, outils et bénéfices concrets

Entrer chez une psychologue spécialisée, c’est comme pousser la porte d’une salle d’attente pleine d’inconnus : on ne sait jamais ce qui va sortir de soi. Première rencontre : on pose les bagages. Pas de jugement, juste un espace pour parler. En général, la première séance est dédiée à la présentation : “D’où venez-vous ? Que vivez-vous ? Qu’attendez-vous ?” L’objectif : créer un climat de sécurité. Tout commence par l’accueil des émotions.

Ensuite, le professionnel propose une évaluation simple, sans chichi. On vérifie l’ampleur de la crise : est-elle ponctuelle, chronique, liée à un événement ? On s’assure aussi qu’il n’y a pas d’urgence (idéations suicidaires, conduites à risque majeures, etc.). Parfois, le psychologue travaille de concert avec le médecin traitant ou d’autres professionnels de santé.

Puis vient le temps d’identifier les ressources. Qu’est-ce qui fait encore plaisir ? Où le jeune trouve-t-il du réconfort ? Quels sont ses points d’appui : amis, loisirs, passions ? Parfois, on redonne du poids à ce qui semblait secondaire. Un étudiant passionné de dessin, mais qui croyait devoir tout miser sur la finance, réalise soudain qu’il a le droit d’explorer d’autres voies.

Parmi les outils utilisés dans l’accompagnement des jeunes : entretiens motivationnels, exercices de relaxation, journal de bord, techniques de “restructuration cognitive” (pour identifier et dépasser les pensées négatives). Pour certains, l’écriture sert d’exutoire : “J’ai enfin pu écrire ce que je n’osais pas dire à voix haute”. Pour d’autres, il s’agit de comprendre que c’est OK de ne pas tout contrôler…

À chaque étape, le professionnel ajuste son approche. Certains jeunes ont besoin de plus d’action : fixer des objectifs réalisables, planifier la semaine. D’autres préfèrent l’introspection. Pas de recette unique. Le cœur du travail, c’est l’adaptation.

Au fil des rendez-vous, des petits déclics se produisent. Un parent me racontait : “Après trois séances, ma fille a recommencé à sortir le week-end. C’était discret, mais cela tranchait avec le repli total d’avant.” Les résultats se mesurent rarement en notes chiffrées. Mais les progrès, même minimes, sont comme des éclats de lumière dans une caverne sombre.

La régularité est essentielle. Les crises existentielles adorent la procrastination. On traîne, on évite, on se dit que ça ira mieux demain. Mais la présence d’un rendez-vous fixe (même une fois tous les quinze jours) structure l’angoisse, appuie sur “pause”, et permet de faire évoluer les choses.

Quelle est la durée de l’accompagnement ? Tout dépend du contexte. Pour certains, quelques séances suffisent à débroussailler les grandes questions. Pour d’autres, un suivi plus long s’impose, surtout s’il y a des blessures anciennes qui n’ont jamais été dites.

Le retour des jeunes adultes ? Il se résume souvent ainsi : “Je ne me sens plus seul dans ma tête.” Et parfois, la crise existentielle devient le point de départ d’une vie plus alignée, plus authentique.

Envie d’en savoir plus sur le travail spécifique du psychologue pour jeunes adultes ? D’autres articles sur notre site abordent les spécificités des accompagnements selon l’âge, le contexte familial, ou la gestion du stress scolaire.

Accompagner sans infantiliser : quelle posture familiale et sociale favorise la résilience des jeunes adultes ?

Un mot d’ordre : ne pas faire “à la place de”, mais “avec”. L’accompagnement d’un jeune adulte ne se fait pas en coupant le cordon à la machette, ni en tirant sur la pousse pour la faire grandir. La famille, les proches, mais aussi la société toute entière doivent apprendre à soutenir sans imposer. Ce n’est pas évident.

Certains parents vivent la crise existentielle de leur enfant comme un échec personnel. Ils culpabilisent (“Ai-je raté quelque chose ?”), ou veulent tout contrôler (“Il faut en parler”, “ça va passer…”). D’autres préfèrent l’évitement (“Il a besoin d’être seul”, “C’est sa crise, il grandira avec…”). Mais, parfois, les jeunes adultes n’attendent ni le silence, ni la surveillance. Ils veulent juste être écoutés – vraiment écoutés.

En soutien à leur démarche, le rôle du psychologue est de rappeler l’importance de l’autonomie. Accompagner, oui, mais sans écraser, ni décider à leur place. Vous rappelez-vous ces petits vélos avec des roulettes ? L’adulte ne pédale pas, il pose une main rassurante dans le dos. C’est ça, accompagner la crise existentielle : être le filet, pas la cage.

L’école, le monde du travail, eux aussi ont un rôle à jouer. Les enseignants, les employeurs, peuvent offrir des espaces d’échange, reconnaître les difficultés de la transition adulte. Un chiffre intéressant : selon une enquête menée en universités à Liège, près de 40% des jeunes adultes en situation de crise auraient souhaité un lieu d’écoute sur le campus.

Socialement, les tabous doivent aussi tomber. Non, consulter un psychologue pour adolescents ou jeunes adultes n’est pas un aveu d’échec : c’est le signe d’une maturité grandissante. Se reconnaître perdu, c’est entamer le chemin vers l’apaisement.

Des groupes de parole, des ateliers de gestion du stress, ou même des événements dédiés à la santé mentale fleurissent en Belgique, favorisant cette approche bienveillante et déstigmatisante. Chaque action compte. Car plus le jeune adulte se sent épaulé, moins il a l’impression de tomber dans le vide.

Au fond, la vraie question est : comment aider sans étouffer ? Un secret : il vaut mieux être la main tenue que la voix qui crie. Parfois, écouter, c’est déjà beaucoup. Parfois, proposer un numéro, une adresse, une information, c’est ouvrir une porte.

Dans les familles, le dialogue reste l’outil le plus puissant. Avez-vous demandé récemment à votre jeune “Comment ça va… vraiment ?” Et, surtout, avez-vous écouté la réponse, sans la juger ?

L’accompagnement à long terme : vers l’autonomie et la résilience

Le chemin n’est pas toujours droit. Certains jeunes adultes traversent plusieurs crises, à différents tournants de la vie. La première fois, c’est souvent la plus déstabilisante. Mais, à la faveur d’un accompagnement régulier, la capacité à rebondir se renforce.

Avec le temps, ils développent leur propre boîte à outils : confiance, capacité de prise de recul, meilleurs choix relationnels. Finalement, la crise existentielle perd un peu de son pouvoir. Elle devient une étape sur la route, non plus un obstacle insurmontable.

Si l’on devait résumer : “On n’empêche pas la tempête d’arriver, mais on peut bâtir une maison plus solide pour l’affronter.”

Vous habitez aux alentours de Liège ? Cherchez un professionnel sensibilisé à cette tranche d’âge, habitué à accompagner les tempêtes psychiques des jeunes adultes. Il n’existe pas de formule magique, mais une multitude de petites victoires, une à une.

Accompagner sans infantiliser, c’est reconnaître que la vie adulte commence souvent par du flou – et qu’avoir une boussole, même temporaire, change tout.

FAQ – Questions fréquentes

Comment repérer une crise existentielle chez un jeune adulte ?

Les signes peuvent inclure un repli sur soi, une lassitude générale, des doutes sur l’avenir, ou une perte d’intérêt brutale pour ses activités habituelles. Si un jeune adulte exprime régulièrement des pensées comme “à quoi bon”, “je suis perdu” ou montre des troubles du sommeil, il peut s’agir d’une crise existentielle.

Pourquoi consulter un psychologue spécialisé pour jeunes adultes en cas de crise existentielle ?

Un psychologue spécialisé apporte un regard extérieur et des outils adaptés pour aider à traverser ces périodes de doute. L’accompagnement permet de remettre du sens dans le parcours, d’éviter l’isolement et de prévenir des troubles plus profonds comme la dépression.

Quand faut-il envisager un accompagnement psychologique professionnel ?

Dès que la crise déborde sur le quotidien (perte de motivation, troubles alimentaires, conduites à risque, absentéisme, souffrance durable), il est recommandé de consulter. N’attendez pas que la situation empire : un accompagnement précoce aide à éviter l’enlisement.

Faut-il impliquer la famille lors d’un suivi pour crise existentielle ?

L’implication de la famille peut être bénéfique pour soutenir le jeune adulte, mais le respect de son autonomie reste primordial. Un psychologue saura guider les parents dans leur posture d’accompagnement sans intrusion.

Références scientifiques :

Schulenberg, S.E., & Melton, A.M.A. “A confirmatory factor-analytic evaluation of the Purpose in Life test: Preliminary psychometric support for a short form.” *Journal of Happiness Studies*, 2010. — Validation d'outils pour détecter le manque de sens chez les jeunes.

Arnett, J. J. “Emerging adulthood: A theory of development from the late teens through the twenties.” *American Psychologist*, 2000. — Description du passage difficile entre adolescence et âge adulte.

Branje, S., Laursen, B., & Cillessen, A. “Longitudinal associations between perceived support from parents and friends and adolescents' depressive symptoms.” *Developmental Psychology*, 2010. — Impact du soutien familial dans la gestion du mal-être jeune adulte.

Ribeiro, J., et al. “The role of cognitive and emotional processes in the transition to adulthood: A systematic review.” *Journal of Adolescence*, 2018. — Mise en évidence des processus psychologiques à l’œuvre dans les crises existentielles.

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