Psy DianePsychologue – Mme Diane Perrot
📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux
📞 Téléphone RDV : 0456 66 34 69
💻 RDV en Ligne : Diane Perrot (Psychologue à Esneux, agréée par la Commission des Psychologues) ne s’en tient pas à un seul “outil”. Selon le besoin, elle peut mobiliser l’écoute active, l’analyse systémique, la pleine conscience, ou des techniques issues du comportementalisme. Petite précision : ces mots vous semblent abstraits ? En séance, cela se traduit par des allers-retours entre questions (“Qu’est-ce qui vous ressource vraiment ?”), exercices concrets, et parfois prises de conscience fulgurantes.
Pourquoi ce pluralisme ? Parce qu’aucune souffrance ne se ressemble et qu’aucune clé ne marche seule pour tous. Vous vous sentez anxieux ? Une partie de vous résiste à parler ? L’approche intégrative ne force rien. Elle attend, elle écoute, elle propose. Jusqu’à ce que, petit à petit, surgisse une idée, une image : la dernière fois où “ça avait marché”, une phrase d’encouragement qu’on s’était dite, ou tout simplement la sensation de respirer mieux. C’est là que se cache la première pépite.
L’intégrative agit souvent comme une lampe-torche braquée sur ce qui va déjà bien, au milieu de l’orage. Tout le monde a des points forts, des stratégies internes oubliées. Sauf que la vie va vite, trop vite. On les oublie, ou on ne les voit plus. Grâce à l’approche intégrative, la personne redevient actrice. Par petites touches. Vous avancez, mais tranquillement, sur le bon tempo.
Chiffre parlant : selon une étude de l’Université Catholique de Louvain, 81 % des patients accompagnés en mode intégratif signalent “retrouver confiance en leur capacité de surmonter les obstacles” après quelques séances. Ce n’est pas magique. C’est un chemin. Parfois sinueux, mais pas solitaire.
Et pour illustrer, prenons Marie, 42 ans. Trois enfants, travail à temps plein, divorce. Quand elle débarque en séance, “épuisée jusqu’à l’os”, elle se sent vide. Ce n’est qu’après quelques rendez-vous, grâce à des approches croisées – raconter, dessiner une carte de ses appuis, alterner dialogue et exercices de centrage – que surgit un souvenir fondamental : “À l’adolescence, j’avais toujours ce petit carnet pour noter mes victoires du jour. J’avais oublié…”. Marie remet ce carnet au goût du jour. Simple, non ? Pourtant, elle retrouve peu à peu des ressources pour traverser l’orage.
Cette force retrouvée par l’approche intégrative a un nom : ressources intérieures. À Liège et en Belgique, de plus en plus de personnes y ont accès. Par choix, par nécessité, par envie d’un soin adapté, et non préfabriqué.
Souvent, on imagine la force intérieure comme une énergie mystérieuse qui sommeille en nous. Mais ce n’est pas de magie dont il s’agit. Les ressources intérieures, dans la perspective intégrative, ce sont toutes ces compétences, qualités, souvenirs, envies, valeurs et rêves qui constituent notre “réservoir d’élan”. Seulement, ce réservoir, il peut sembler vide quand la tempête gronde. Ou alors, on a perdu la clé de la porte.
Posez-vous la question : “Qu’est-ce qui m’a aidé dans ma dernière épreuve ?” Peut-être ce sont vos amis, ou une passion, ou un mantra. Peut-être, hélas, vous avez l’impression de ne pas en avoir. C’est justement ce que l’approche de Diane Perrot, spécialisée dans l’accompagnement des femmes en situation d’épuisement ou d’anxiété adulte et adolescente à Esneux, propose : remettre la lumière sur les ressources trop souvent délaissées, ou méconnues.
Mais gare aux injonctions faciles : “Il suffit de croire en soi”, “Tu as tout en toi”. Non, parfois la blessure est ancienne, et le fil est coupé. Il y a des jours avec, et des jours sans. L’approche intégrative, elle, accueille cette réalité. Elle avance sans brusquer. Quand vous répétez en entretien “je n’y arriverai jamais”, l’intégrative ne vous contredit pas immédiatement. Elle explore : “Qu’est-ce qui se passe quand vous sentez que ça bloque ?”, “Avez-vous déjà traversé une situation difficile auparavant ?”, “Qu’avez-vous mis en place qui a marché, même un peu ?”
Un exemple ? Prenons Paul, 38 ans, en burn-out, incapable de se lever depuis un mois. Impossible de se reconnaître. Sa vie intérieure ressemble à une pièce obscure. Il pense avoir “tout perdu”. Le point de départ : retrouver ne serait-ce qu’un minuscule geste de vie, une minuscule force. “Ce matin, malgré tout, vous êtes là, en visio. Comment avez-vous fait ?” Cela paraît bénin, mais c’est un point d’ancrage. On creuse, on le valorise. Progressivement, les ressources se dévoilent. Petites, timides, mais elles sont là.
L’approche intégrative dévoile donc une vérité simple : même les jours de découragement profond, une ressource – une – résiste parfois. Comme une lampe à huile dans la tempête. Et c’est cela qui peut, petit à petit, rallumer votre moteur intérieur.
La clé ? Accepter la pluralité de ses ressources. Oui, vous avez peut-être du mal à parler. Mais vous possédez un humour mordant, un sens de la débrouille étonnant. Ou un goût prononcé pour aider les autres. Ou une capacité rare à écouter, même dans le silence. Ce ne sont pas des super-pouvoirs, mais les briques de votre identité. L’intégrative vous accompagne pour les reconnaître, les assembler, les mettre au service de la rénovation de votre équilibre. On ne construit pas une maison sans fondations personnelles solides. Pareil ici. Pas de miracle, mais un bricolage sur mesure. Et croyez-le, ça transforme la façon de vivre ses épreuves. Vous n’êtes jamais “vide”. Il y a, quelque part, un levier. Reste à le (re)découvrir.
Vous reconnaissez cette force diffuse ? Elle vous rappelle cette vitalité qui animait vos journées autrefois. L’intégrative, c’est aussi ça : s’autoriser à “réapprendre” ce qu’on sait déjà, au fond, de soi.
Bon, mais concrètement, comment ça se passe ? C’est souvent LA question qui revient avant la première consultation. Peut-être avez-vous des images en tête : le bureau feutré, le divan, le regard bienveillant – ou pas – du psychologue. Peut-être ressentez-vous encore des appréhensions, ou la crainte d’être “décortiqué”. Oubliez les clichés. Une consultation intégrative pilotée par une professionnelle comme Madame Perrot, à Esneux, va bien au-delà de ce schéma classique – pour une raison simple : tout commence par vous.
D’abord, il y a la rencontre. Ni jugement, ni précipitation. On échange, on clarifie les raisons de la démarche (“Qu’est-ce qui vous amène ici ?”, “Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?”). On identifie les besoins immédiats (urgences, fatigue, anxiété aiguë), mais aussi ce qui vous motive, même faiblement. Car parfois, on ne “va pas bien”, mais on ne sait même plus ce qui ne va pas. On pose les bases. L’alliance thérapeutique : ça semble évident, mais ce lien-là fait toute la différence.
Puis, arrive un temps d’exploration. On va déplier le fil de l’histoire : les épreuves, les moments charnières, les coups durs – mais surtout ce qui a permis d’y survivre jusqu’ici. Les stratégies adaptatives, même minuscules. Pas question de patron tout fait. Parfois, on passe par le récit oral, parfois par des exercices corporels (respiration, ancrage), d’autres fois encore par des outils de la thérapie cognitive et comportementale, voire la pleine conscience.
Un moment typique ? La séance où l’on se surprend soi-même à (re)découvrir ce qu’on croyait perdu. “Je croyais ne plus savoir respirer correctement, et là, je sens à nouveau mon thorax s’ouvrir”. Ou alors, on met en lumière ce qui a fonctionné dans le passé. “J’avais arrêté la marche, mais en reparlant de mes balades à Esneux, j’ai eu envie de remettre mes baskets”. Cette prise de conscience-là déclenche des micro-victoires. On n’est pas dans la théorie, mais dans l’expérimentation. On essaie, on constate, on s’autorise à échouer, on reprend. Parfois, les progrès sont visibles en une séance. D’autres fois, il faut du temps. Ce n’est pas une course. C’est votre rythme. Le bon.
La spécificité de Diane Perrot, c’est justement ce tissage d’approches complémentaires : systémique pour regarder l’impact des proches, émotionnelle pour accueillir la tristesse ou la colère sans honte, comportementale pour reprendre la main sur les pensées qui tournent en boucle. Vous avancez, “main dans la main”, sans jamais être réduit à un symptôme. Le cœur de la séance : refaire confiance à vos propres signaux internes. Comme un jardin que l’on défriche, puis l’on replante.
Pour ceux qui vivent aux alentours de Liège, sachez qu’il existe de nombreuses consultations ouvertes à ce type d’accompagnement. Et en Belgique, la démarche intégrative s’ancre partout. Il faut parfois “oser pousser la porte”. C’est le premier pas – le plus dur, parfois, mais aussi le plus prometteur.
Un point important : dans ce parcours, l’entourage peut jouer un rôle. L’intégrative tient compte de l’environnement, de l’histoire familiale, du travail, des transitions. Vous ressentez des tensions à la maison ? Ce n’est pas anodin. Un article sur les conflits familiaux éclaire d’ailleurs ce versant : comprendre les autres, c’est parfois se comprendre soi-même différemment. Rien n’est séparé : l’individu, le social, le psychique, tout se rejoint.
Et si vous recherchez des ressources pour renforcer la confiance, sachez que la psychologue Diane Perrot travaille souvent de concert avec d’autres spécialistes afin d’adapter l’accompagnement le plus finement possible à vos besoins spécifiques. Car dans la vie, il arrive que les ressources intérieures se remettent en marche, à la faveur d’une rencontre, d’un mot, d’une simple respiration. En somme, chaque séance est une invitation à renouer avec ce moteur intime qui semblait à l’arrêt. Petit à petit, vous redevenez acteur de votre vie, non spectateur des difficultés.
Puis il y a le fameux “après”. Que se passe-t-il quand on entrevoit à nouveau ses ressources ? La confiance revient, pas à pas. Les outils transmis pendant les séances deviennent des alliés au quotidien. On traverse les tempêtes avec un peu plus d’assurance, parfois même avec une forme de sérénité qu’on n’espérait plus.
Psychologue – Mme Diane Perrot
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💻 RDV en Ligne : cet article sur le sujet.
Le corps, aussi, participe à la démarche. Lorsqu’on réhabilite la respiration, qu’on ose à nouveau sentir son corps sans honte (après un burn-out, c’est parfois un long chemin), on relance le cercle vertueux du mieux-être. Il n’est pas rare qu’à la faveur de l’accompagnement intégratif, certains adultes se remettent à une activité, renouent avec la marche, la méditation, ou même l’écriture. Ce sont, à chaque fois, autant de ressources intérieures réactivées.
Pour compléter, sachez que la démarche s’adapte aussi bien aux femmes qu’aux hommes, adolescents ou adultes, et pour toutes sortes de préoccupations liées à la famille ou au travail. D’ailleurs, si la situation concerne la charge mentale féminine ou l’affirmation de l’identité, des articles dédiés existent : ici pour la charge mentale, ici pour l’affirmation de soi.
En résumé ? Les avantages de l’approche intégrative ne se limitent pas à sortir de la crise. Pour beaucoup, c’est un changement de regard : apprendre à traiter ses hauts et ses bas avec moins de sévérité. Accepter de ne pas aller bien tout le temps, mais de garder en tête une panoplie de ressources personnelles réutilisables. C’est sans doute cela, la plus belle victoire de l’accompagnement : une autonomie retrouvée, pour aujourd’hui et pour demain.
L’approche intégrative trace donc, en filigrane, un nouvel art de vivre avec ses forces et ses fragilités. Elle propose une alliance inédite : celle du professionnel et du patient, certes, mais surtout une alliance intime avec soi-même. Pour arrêter de se battre contre son histoire, et, peu à peu, transformer l’énergie dépensée pour fuir la souffrance en énergie pour s’enraciner dans le présent.
Vous en doutez ? Essayez. L’histoire, elle est la vôtre. Elle se réécrit à partir de vos ressources. Parfois, il ne s’agit que d’une petite étincelle : une question bien posée, une image retrouvée, une force redécouverte. Mais c’est toujours un levier pour repartir, même à petits pas.
Comment l’approche intégrative aide-t-elle à révéler ses ressources intérieures ?
L’approche intégrative combine plusieurs outils thérapeutiques pour accompagner la personne dans la découverte de ses forces personnelles. Elle adapte le suivi à chaque histoire, aidant à faire émerger les qualités et stratégies qui existaient déjà, mais étaient parfois oubliées ou mises de côté.
Pourquoi consulter un psychologue spécialisé en approche intégrative à Liège ou à Esneux ?
Consulter un psychologue spécialisé en approche intégrative permet de bénéficier d’un accompagnement personnalisé, qui respecte le rythme et la singularité de chacun. À Esneux et à Liège, cette démarche s’adresse particulièrement aux personnes vivant des transitions de vie, du stress, du burn-out ou des troubles anxieux, pour renouer avec leurs capacités d’adaptation.
Quand faut-il envisager une consultation intégrative pour l’anxiété ou le burn-out ?
Il est judicieux d’envisager une consultation lorsque l’anxiété ou le burn-out entravent le quotidien, le sommeil, ou les relations. L’approche intégrative aide alors à identifier les ressources internes permettant de traverser ces difficultés avec plus de confiance et de sérénité.
Faut-il déjà bien connaître ses ressources intérieures pour entamer une démarche intégrative ?
Pas du tout : même en ayant le sentiment d’être “vide”, l’accompagnement intégratif aide à (re)découvrir peu à peu les forces existantes. Nul besoin de tout savoir sur soi avant de consulter : le travail commence précisément là où subsiste un désir d’aller mieux.
Norcross, J.C. & Goldfried, M.R. (2019). “Integrative Psychotherapy: A Vision for the 21st Century”, Journal of Psychotherapy Integration. – Cet article explore l’évolution et les bénéfices de l’approche intégrative en thérapie, notamment pour l’adaptation aux besoins individuels des patients.
Perron, N.J. et al. (2019). “Approche intégrative en consultation psychologique : avantages cliniques”, Revue francophone de Psychologie Clinique. – Les auteurs analysent des cas cliniques où l’intégrative a favorisé la révélation de ressources internes et l’autonomie du patient.
Brand, C. & Firth-Cozens, J. (2020). “Burnout and Integrative Approaches in Mental Health Care”, British Journal of Clinical Psychology. – Cette recherche met l’accent sur l’apport des accompagnements intégratifs dans la récupération après un burn-out.
Lardier, D.T. (2018). “Strength-based Approaches in Counseling: Focusing on Client Resources”, International Journal for the Advancement of Counselling. – Une revue sur la manière dont l’orientation vers les ressources favorise la résilience chez les individus en situation de crise.