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Consultation psychologue à Liège pour maîtriser les troubles de l’humeurPsychologie Liège Cession

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0491 34 89 76

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Consultation psychologue à Liège pour troubles de l’humeur : comprendre, agir, retrouver l’équilibre

Certains jours, le monde paraît gris. Ou alors trop vif, envahissant, comme un océan de bruits dans lequel on se noie. Ce n’est ni un simple coup de blues, ni “juste” une petite phase. Pour de nombreuses personnes à Liège et ailleurs, les troubles de l’humeur deviennent un véritable mur dans le quotidien. Un mur contre lequel on se cogne, encore et encore, sans toujours savoir comment faire pour le franchir.

Que vous soyez perdu dans une spirale descendante ou coincé dans des montagnes russes émotionnelles, une consultation psychologue à Liège peut tout changer. Parce que les troubles de l’humeur ne sont pas une fatalité. Parce qu’il existe des solutions, et surtout, qu’on a le droit de demander de l’aide. Avec la bonne écoute, le bon accompagnement, on peut, peu à peu, retrouver de la lumière derrière les nuages. Explorons ensemble ce que recouvrent ces fameux troubles de l’humeur, pourquoi consulter et comment une psychologue comme Charlotte Cession peut aider à rebâtir votre équilibre émotionnel, pas à pas.

Comment reconnaître les troubles de l’humeur : signaux, symptômes, vécu au quotidien

Le terme “trouble de l’humeur” paraît vaste. Presque fourre-tout. Il regroupe des réalités aussi diverses que l’épisode dépressif, les cycles bipolaires, la dysthymie (forme de baisse chronique de morale), mais aussi parfois les formes de troubles anxieux qui impactent la coloration générale de notre humeur.

À quoi reconnaît-on que ce n’est pas juste un coup de fatigue, une “mauvaise passe” d’une semaine ? Ce n’est pas simple. Parce que la vie nous cabosse, tout le monde a ses moments bas. Mais il y a plusieurs indices à surveiller. 
Vous vous demandez si ce que vous vivez peut s’apparenter à un trouble de l’humeur ? Voici des exemples :

  • Fatigue persistante, même après une bonne nuit de repos, qui s’accumule jusqu’à rendre chaque tâche pénible.
  • Humeur plafonnée : tout paraît plus fade, moins intéressant ; des choses qui faisaient plaisir ne déclenchent plus rien.
  • Irritabilité ou pleurs faciles, parfois sans raison évidente. On s’énerve vite ou, au contraire, on se replie sur soi.
  • Des montagnes russes émotionnelles : un jour tout va bien, le lendemain, c’est la chute. Parfois, on a même l’impression de ne plus se reconnaître.
  • Des pensées sombres : remise en question constante, ver qui ronge, idées noires qui tournent en boucle.
  • Baisse de libido, modifications de l’appétit, troubles du sommeil qui viennent se greffer, rendant le corps douloureux.
  • Isolement social, envies de tout annuler, de rester sous la couette.

Ce ne sont que des exemples variés, car les troubles de l’humeur ne sont pas des boîtes étanches. Chez une personne, ils se camouflent sous la forme d’une lassitude douloureuse, chez une autre, c’est l’irritabilité qui envahit tout. Certains sentent leur énergie “fuir” du corps. D’autres décrivent l’impression d’être coupé du monde, figé dans la mélasse. Mais le véritable point commun : ça dure. Et ça revient. Il y a une perte de contrôle sur la météo intérieure : vous ne pilotez plus vraiment votre barque, la houle décide pour vous.

En chiffres, c’est gigantesque : en Belgique, près de 15% de la population est confrontée à un épisode dépressif ou à un trouble de l’humeur au cours de sa vie. Et pourtant, trop souvent, on minimise encore.

Alors, quand consulter ? Très simplement, dès que l’humeur pèse sur la qualité de vie : couple qui souffre, travail impossible, relations sociales désertées, pensées noires qui s’invitent, épuisement qui s’accumule. Ce n’est jamais “trop tôt” pour parler de son humeur. Un médecin généraliste le rappellerait d’ailleurs : mieux vaut prévenir et prendre au sérieux ces signaux que se laisser entraîner vers des complications.

Vous ressentez ce “brouillard” émotionnel plus de quinze jours d’affilée, les intensités grimpent si haut ou plongent si bas que tout devient compliqué, voire invivable ? Il est temps d’en parler.

En parler à qui ? Un ami compréhensif, d’accord, mais surtout, à un professionnel des consultations psychologue Liège. Justement, à quelques kilomètres du centre, Charlotte Cession reçoit des patients confrontés aux montagnes russes de l’humeur. Spécialiste des adultes et des problématiques émotionnelles, elle accompagne depuis plusieurs années des personnes qui osent enfin franchir cette porte. Contact :

Psychologue – Mme Charlotte Cession

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

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Pourquoi prendre rendez-vous avec une psychologue pour l’humeur : retours d’expérience, apports scientifiques, premières étapes

Peut-être vous demandez-vous : "Qu’est-ce que ça m’apportera, une consultation chez le psychologue ?" Comme s’il fallait une raison de “gravité” pour oser ce pas. Pourtant, la consultation psychologue à Liège pour troubles de l’humeur, ce n’est ni pour les faibles, ni pour “ceux qui n’y arrivent pas tout seuls”, bien au contraire. C’est un geste lucide, un choix courageux, parfois vital.

Pourquoi ? Parce que les troubles de l’humeur ne se “réparent” pas par la seule volonté. On n’apprend pas à remonter un moteur tout seul si on n’est pas mécanicien. Alors pourquoi devrait-on savoir, sans aide, recâbler son cerveau ? Les émotions ne fonctionnent pas comme une simple application où il suffirait de “réinitialiser”.

Des recherches scientifiques l’ont prouvé :

  • Le fait de consulter dès les premiers signes de trouble permet de réduire significativement le risque de rechute ou de chronicité (M. Cuijpers, World Psychiatry, 2019).
  • Un accompagnement par un(e) psychologue bien formé(e) aide à comprendre les causes profondes de la fluctuation de l’humeur (travail sur les croyances, sur l’image de soi, sur la gestion du stress et du contexte de vie).
  • La thérapie Cognitivo-Comportementale (TCC) est reconnue comme l’un des outils principaux pour la gestion durable des troubles de l’humeur.

Que se passe-t-il en séance ? D’abord, c’est un espace neutre. Une bulle où l’on peut tout dire sans tabou, sans jugement. Le psychologue va aider à nommer ce qui ne va pas. Parfois, mettre des mots sur la souffrance, c’est déjà aider l’esprit à retrouver ses repères. Ensuite, on investigue : depuis quand ces variations de morale ? Y a-t-il eu un élément déclencheur ? Les mêmes schémas se répètent-ils ? Un peu comme un détective, on remonte les fils.

La fréquence, l’impact dans la vie, l’entourage, le contexte professionnel, familial, mais aussi le mode de vie (sommeil, alimentation, activité physique, consommation d’alcool ou médicaments) sont passés à la loupe. Cela permet de dresser une première carte. Et déjà, souvent, le simple fait d’obtenir un regard extérieur, bienveillant, permet de briser le cercle vicieux de la culpabilité.

Lorsque le trouble de l’humeur est identifié, plusieurs axes de travail peuvent être proposés :

  • Accompagnement psychologique individuel, avec ou sans médicaments en parallèle (notamment si l’intensité justifie une prise en charge médicale partagée avec le généraliste, le psychiatre).
  • Exercices de gestion des pensées négatives, travail sur les émotions, identification des déclencheurs (ceux qui, en silence, font basculer la stabilité d’humeur).
  • En fonction de la situation, implication du conjoint, de la famille, ou de groupes de parole pour sortir de l’isolement.

Des outils concrets sont souvent mobilisés : bilans d’humeur, carnet d’émotions, exercices de pleine conscience, visualisation, ateliers d’auto-compassion. L’écoute du corps occupe une place centrale. On va parfois aussi travailler sur le rythme de vie, les micro-actions du quotidien. Ce ne sont pas de “petites choses” insignifiantes : c’est la base d’un début de reconstruction.

Un point important : la relation de confiance. À Liège, un bon psychologue, c’est avant tout quelqu’un qui ne juge pas, qui ne cherche pas à “raccommoder” vite fait, mais qui prend le temps d’écouter ce que vous avez vraiment à dire. Pour certain(e)s, c’est même la première fois qu’ils se sentent vraiment entendus.

Lien vers un article sur les troubles anxieux sur esneuxmedical.be

Il est possible d’avancer, même quand tout paraît figé. Consultez aussi notre article sur l’anxiété chronique, car bien souvent, les troubles anxieux et les troubles de l’humeur s’entremêlent, se renforçant l’un l’autre.

Comment se déroule une consultation psychologique pour trouble de l’humeur à Liège : cadre, méthodes, évolutions

Quand on pousse la porte d’un cabinet de psychologue pour la première fois, la plupart des patients ressentent un mélange de honte, de soulagement et d’appréhension. C’est normal. Parce que parler de ses tempêtes émotionnelles demande du courage. Mais, rassurez-vous, la première étape, c’est d’accueillir qui vous êtes, là où vous en êtes.

Le schéma classique d’une consultation commence par un entretien où le/la psychologue pose des questions larges sur le vécu récent et passé, le contexte de vie. Les questions tournent autour de l’humeur, mais aussi de ce qui a précédé, des aspects familiaux, professionnels, du rapport au corps. Rien n’est imposé : c’est vous qui guidez l’entretien. Rien que le fait d’évoquer vos difficultés permet souvent de sortir du brouillard, de donner figure à l’indicible.

Petit à petit, votre psychologue à Esneux élabore avec vous une sorte de “carte d’identité de l’humeur” : ce qui déclenche les variations, les schémas récurrents (routines, croyances erronées, situations à risque…), les points d’appui sur lesquels rebondir. C’est une co-élaboration, pas un diagnostic “tombeau” ni une étiquette. Ici, pas de “tu es malade donc tu dois faire ceci”. On cherche ensemble comment rétablir l’équilibre.

Parfois, on utilise des outils comme les entretiens structurés, les échelles d’auto-évaluation (BDI pour l’humeur dépressive, HADS pour l’anxiété, échelle d’irritabilité, etc.). Mais c’est d’abord l’histoire du patient qui prime. Il arrive que l’on entame des séances de psychoéducation : expliquer ce que sont les troubles de l’humeur, pour que vous compreniez enfin ce qui se passe à l’intérieur. Parce qu’on combat mieux ce que l’on connaît.

Plus tard, en fonction de votre situation, on peut démarrer un accompagnement avec des objectifs plus précis :

  • Identifier les pensées négatives automatiques : apprendre à repérer l’auto-sabotage, les distorsions cognitives (“je n’y arriverai jamais”, “je suis nul(le)”, “tout est de ma faute”).
  • Travailler sur la régulation émotionnelle : trouver des alternatives pour faire face lorsque la vague d’émotions monte et devient trop forte (techniques de respiration, ancrage, pleine conscience, recentrage sur le corps).
  • Remettre du mouvement dans la vie quotidienne : parfois, la seule action possible, c’est de remettre un pied devant l’autre chaque jour : s’obliger à sortir, à voir un proche, à faire une activité.
  • Restructurer l’emploi du temps, réintégrer le lien social progressivement. Cela évite la spirale de l’enfermement.

Ce n’est pas magique. Ça prend du temps. Il y a des hauts et des bas, parfois des rechutes. Mais chaque petite victoire (se lever, sourire, prendre un café avec un ami) construit une marche vers l’apaisement.

Avez-vous déjà ressenti cette étrange impression d’avancer dans le brouillard ? La consultation psychologue aide à placer des balises, petit à petit, pour retrouver son chemin.

La parole libère : quand la honte laisse place à la compréhension

L’un des obstacles majeurs des patients souffrant de troubles de l’humeur, c’est la honte et le sentiment d’être “anormal”. Pourtant, on ne parlerait pas de honte si l’on souffrait d’une entorse ou d’un infarctus. La difficulté de “nommer” la souffrance psychique demeure un frein.

S’autoriser à se confier à un professionnel, c’est déjà changer de regard sur soi. Un peu comme lorsqu’on retire un sac trop lourd de ses épaules : tout semble plus facile. L’écoute active pratiquée dans le cabinet permet d’accueillir ce qui fait mal. C’est comme ouvrir des fenêtres dans une pièce suffocante.

Dans certains cas, l’accompagnement peut se compléter avec d’autres soins : prise en charge par un médecin, parfois traitement médicamenteux (antidépresseur, thymorégulateur) ou séances de relaxation. Mais la pierre angulaire demeure le suivi psychologique étroit, la régularité et la confiance.

Les témoignages sont nombreux : “Juste le fait de me sentir comprise m’a sorti d’un immense isolement”. “En mettant des mots sur ce que je vivais, j’ai enfin compris que ma souffrance avait du sens. Que je n’étais pas fou.”

Lien externe sur pourquoi consulter une psychologue à Liège

Lire comment mieux gérer le stress chronique chez l’adulte à Liège

Quels sont les résultats attendus d’un accompagnement pour trouble de l’humeur et comment prévenir les rechutes ?

Vous vous demandez peut-être combien de temps il faudra, combien de séances avant que “ça aille mieux”. Il n’y a pas de réponse universelle, chaque contexte de vie, chaque histoire émotionnelle est unique. Mais l’objectif n’est jamais une “perfection”, c’est l’amélioration de la qualité de vie, la reprise du contrôle sur l’humeur. De nombreux patients témoignent d’une baisse de l’intensité des symptômes au fil des séances, d’un retour de l’envie de faire des projets ou de retrouver du plaisir dans les petits moments du quotidien. C’est le signe que le chemin se dessine.

L’un des autres atouts de la consultation psychologue spécialisée aux alentours de Liège : la prévention des rechutes. Parce que les troubles de l’humeur sont parfois cycliques. Rechuter, ce n’est pas “échouer”, c’est parfois une étape dans le parcours. Mais plus le suivi est régulier, anticipé, plus vous apprenez à reconnaître les signaux d’alerte.

Quels résultats attendre du suivi psychologique ?

  • Une meilleure compréhension de soi : on apprend à donner du sens à ce qui paraissait illogique, ingérable.
  • Des outils concrets pour apaiser rapidement les montées d’angoisse ou les coups de cafard.
  • Un retour progressif des envies, du plaisir, de la capacité à se projeter (même de petits projets).
  • La possibilité de rétablir des relations de meilleure qualité, y compris dans le couple.
  • Le passage d’un pilotage “automatique” subi à une réelle capacité de choisir ses réactions, d’anticiper, d’agir avant que la vague émotionnelle n’envahisse tout.

Et après ? Parfois, on espace les séances, on consolide. Parfois, on travaille ponctuellement sur d’autres aspects : le stress et la sexualité ou l’impact de l’équilibre familial après un deuil. Parce que, parfois, un trouble de l’humeur n’est qu’un maillon d’une chaîne d’événements plus large. Le psychologue adapte alors le suivi, module les outils.

Vous n’êtes pas seul(e).

Ce que vous vivez n’est pas une “anomalie” ni un défaut personnel. Les troubles de l’humeur se soignent, se surveillent, se tolèrent parfois aussi. Ce qui compte : retrouver, malgré tout, l’envie d’avancer.

Envie d’en parler ? La porte est ouverte chez Charlotte Cession. Essayez. Ça peut tout changer.

FAQ – Questions fréquentes

Pourquoi consulter un psychologue en cas de troubles de l’humeur ?
Consulter un psychologue permet d’identifier précisément l’origine de ses troubles de l’humeur, de mettre en place des stratégies personnalisées pour les gérer au quotidien et de prévenir les rechutes. Un accompagnement professionnel offre un regard extérieur, objectif et bienveillant, qui aide à sortir de l’isolement et à reprendre progressivement le contrôle sur ses émotions.

Comment se passe une première consultation psychologique pour l’humeur à Liège ?
La première séance est surtout un temps d’échange où le psychologue cherche à comprendre votre vécu, votre histoire, vos symptômes et leur impact sur votre vie quotidienne. Il ou elle proposera ensuite un accompagnement sur mesure, basé sur l’écoute, l’analyse des déclencheurs de l’humeur et des exercices adaptés à votre situation.

Quand faut-il envisager une thérapie pour troubles de l’humeur ?
Il est conseillé de consulter dès que la tristesse, l’irritabilité, la colère ou les variations de moral durent plus de deux semaines et perturbent la vie quotidienne (travail, couple, lien social). Plus la prise en charge est précoce, plus les chances d’amélioration sans complications sont élevées.

Faut-il associer traitement médicamenteux et suivi psychologique pour apaiser les troubles de l’humeur ?
Dans certains cas, surtout si la souffrance est intense ou l’humeur très instable, une association médicament/psychothérapie peut être utile. Mais beaucoup de troubles de l’humeur se stabilisent aussi par la parole, l’écoute active et les outils thérapeutiques proposés en consultation psychologue à Liège.

Références scientifiques

Cuijpers P., Karyotaki E., et al., “Different types of depressive symptoms and their impact on the long-term course of depression,” World Psychiatry, 2019. Article montrant l’intérêt de l’accompagnement psychothérapeutique pour prévenir les rechutes en trouble de l’humeur.

American Psychiatric Association. “Practice guideline for the treatment of patients with major depressive disorder.” Am J Psychiatry, 2010. Cette recommandation détaille l’importance de l’accompagnement psychologique dans la stabilisation de l’humeur.

Montgomery SA, “The impact of depression on physical health,” Acta Psychiatrica Scandinavica, 2006. Met en avant le lien entre humeur, santé générale et nécessité d’une prise en charge globale.

Dunner DL, “Clinical consequences of underrecognized bipolar spectrum disorder,” Bipolar Disorders, 2003. Souligne la fréquence de troubles de l’humeur non diagnostiqués et l’importance de la prévention.

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