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Consultation psychologique : (re)construire son rapport à la nourriture adultePsychologue-Liege

Consultation psychologique : comment (re)construire son rapport à la nourriture adulte quand tout semble bloqué ?

Psychologue – Mme Samanta Widart

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21

Il y a tous ces silences. Devant le frigo ouvert, devant une assiette qui refroidit, devant un miroir. Certains jours, la relation à la nourriture ressemble à une bataille invisible, un bras de fer contre ses propres pensées. Les troubles alimentaires, on imagine souvent que c’est “pour les ados” – mais chez l’adulte aussi, ils se faufilent. Ancrés, tenaces. En Belgique et partout ailleurs, ça peut toucher n’importe qui.

Pourquoi en parler avec un psychologue ? Pour mettre des mots, parfois pour relâcher la pression. Parce que les troubles comme l’anorexie adulte, la boulimie ou l’hyperphagie ne sont pas toujours ceux qu’on croit. Parfois, ils se glissent dans les habitudes : un repas évité ici, une compensation là, des petits arrangements avec la faim. C’est subtil. Mais ça pèse. Beaucoup.

La bonne nouvelle ? Décider de consulter représente souvent le tout premier pas – celui que beaucoup redoutent mais qui change la donne. Chez Samanta Widart, psychologue conventionnée INAMI de première ligne à Esneux, le travail se fait en douceur, avec respect. Dans le secret du cabinet, on range la honte au vestiaire.

Oubliez l’image d’un psy qui ausculte vos assiettes : ici, c’est l’humain qui compte. Le vécu. Les émotions. On vient pour réapprendre à se connecter à ce corps qui parfois, nous joue des tours. Et non, ce n’est pas “un caprice”. Ce n’est pas “juste une question de volonté”. La science le sait : l’alimentation a mille liens cachés avec notre monde intérieur. En consultation, il s’agit de comprendre, de réparer, et parfois – de pardonner.

Vous hésitez ? Laissez-vous guider.

Pourquoi la relation à la nourriture peut-elle se détraquer à l’âge adulte ?

Il y a tant de scénarios. Une rupture, une grossesse, un déménagement, le stress au travail. Même aux alentours de Liège, personne n’est à l’abri. Le trouble alimentaire, ce n’est pas un caprice d’ado : c’est une réponse complexe, un moyen de tenir debout, parfois maladroit, face au chaos. Et l’adulte, comme l’ado, peut se retrouver piégé.

Tiens, prenons Julie. 42 ans. Après une période de stress intense au boulot, les repas deviennent difficiles. “Je n’ai plus faim. Je grignote, ou alors je saute des repas. Chaque bouchée me coûte.” Julie ne voit pas tout de suite le lien. Pour elle, la perte d’appétit, ce n’est rien. Sauf que ça dure. Le poids baisse, l’anxiété monte. Et un jour, le corps lâche. Une fatigue tenace, des vertiges. Au fil des consultations, Julie réalise : contrôler son alimentation, c’était tenter de garder la main face au problème au boulot. Un mécanisme d’adaptation. Chez d’autres, ce sera la compensation – le jogging après un excès, les pensées envahissantes autour des calories, un rapport bourré de jugements à chaque repas.

Les causes des troubles alimentaires chez l’adulte sont plurifactorielles : biologique, psychologique, sociale. Parfois, tout commence par une envie de “mieux manger” ou une tentative de perte de poids. Puis la machine s’emballe. Les TCA savent se déguiser : obsession alimentaire, besoin de contrôle, malaise corporel, perfectionnisme, peur de décevoir, événements de vie difficiles, stress chronique, identité secouée (nouveau couple, parentalité, ménopause…)… Pas de portrait type.

Ce qui frappe, c’est le silence. Beaucoup cachent leur malaise. À Liège comme ailleurs, on ose rarement dire : “Je ne supporte plus mon reflet”, ou “Je mange pour calmer l’angoisse, puis je culpabilise”. Pour certains, c’est la prise de poids. Pour d’autres, la peur panique d’en prendre. Un homme sur dix est également concerné. Bref, les troubles alimentaires n’ont pas d’âge. Pas de sexe. Ils traversent les couches sociales et les générations.

Un chiffre choc ? Selon les dernières études, près de 10 % des adultes francophones auront un jour un rapport problématique à la nourriture. Mais peu franchissent la porte d’un cabinet de psychologue pour en parler. Par tabou, par méconnaissance. Par peur du regard des autres.

Qu’est-ce qui se joue vraiment lors du premier rendez-vous chez la psychologue ?

Vous imaginez peut-être qu’on va éplucher vos repas, mesurer la taille de votre plat. C’est tout le contraire. Chez une psychologue de première ligne comme Samanta Widart, le premier entretien est un espace d’accueil. Aucun jugement. On écoute, on pose des questions, on prend le temps de comprendre. Qui vous êtes. Comment tout a commencé. Ce qui fait mal, ce que vous ne voulez plus.

Parfois, la nervosité est de la partie. Normal : parler de son rapport à la nourriture, c’est parler du rapport à soi. De son histoire, de ses failles. Cela peut faire remonter des souvenirs, des émotions fortes. Mais c’est aussi là que le soulagement pointe le bout du nez. Le sentiment d’être entendu, de ne pas être “anormal”, ni bizarre, ni incompris.

Concrètement, à la consultation, on fait l’inventaire. On retrace l’historique des troubles alimentaires : quand sont-ils apparus ? Quel(s) événement(s) pourraient être liés ? Comment l’alimentation influence le moral, la vie sociale, la confiance en soi ? On pointe aussi les tentatives précédentes : régimes, sport, consultations chez le nutritionniste, etc.

À ce stade, la psychologue rassure beaucoup. Elle explique que la récupération est possible, même si on a des hauts et des bas. Que le but n’est pas de tout “contrôler”, mais de réapprivoiser les sensations – faim, satiété, plaisir, dégoût… On explore ce qui se cache derrière le trouble alimentaire. Un peu comme ouvrir les tiroirs d’un meuble pour voir ce qu’ils contiennent : douleurs anciennes, peurs, croyances sur le corps, honte, culpabilité. Ce n’est jamais simple. Mais jamais inutile.

Les moments de la vie – comme le cycle menstruel, la grossesse ou la ménopause – jouent d’ailleurs souvent un rôle, perturbant l’image corporelle ou bousculant le lien à la nourriture. Tout cela s’étudie, sans pression.

Première ligne ? Cela veut dire que la rencontre avec une psychologue conventionnée INAMI offre un accès facile, rapide, à l’écoute et à des soins adaptés. Le but : agir le plus tôt possible, avant que les difficultés ne se chronicisent et ne retentissent sur l’ensemble de votre vie.

D’ailleurs, Mme Widart propose aussi des séances de relaxation de groupe adaptées aux adultes – une manière de retrouver une certaine sagesse corporelle, de calmer l’anxiété, d’apprendre à se reconnecter à ses signaux internes… Le collectif aide à se sentir moins seul, à échanger des astuces. Certains reprennent goût au plaisir de manger, tout simplement, grâce à ces moments partagés.

Psychologue – Mme Samanta Widart

📍 Adresse : Rue Sous les Roches 86, 4130 Esneux

📞 Téléphone RDV : 0484 96 18 21

Quels sont les troubles alimentaires adultes les plus fréquents ? Savoir les reconnaître

Si on devait dresser le portrait-robot des troubles alimentaires chez l’adulte aux alentours de Liège, ce serait une mosaïque. Personne ne ressemble tout à fait à un “cas d’école”, mais il existe des grandes catégories. Les connaissez-vous toutes ?

Anorexie mentale : souvent cachée, elle se manifeste par des restrictions draconiennes, une peur intense de prendre du poids, malgré un corps déjà maigre. Mais il existe aussi des formes “atypiques” : patients très sportifs, ou personnes qui cachent leur perte de poids derrière un mode de vie “healthy”. L’anorexie de l’adulte est sournoise, rarement flagrante. D’ailleurs, un adulte “fonctionne” souvent très bien professionnellement malgré ce trouble – cela nourrit la croyance : “tout va bien, inutile de consulter”.

Boulimie nerveuse : ici, des crises intenses de consommation rapide et excessive de nourriture, suivies de comportements compensatoires (vomissements, jeûnes, sport à outrance). Hantises, culpabilité, secrets. La boulimie se camoufle derrière des allures “ordinaires”. On peut manger normalement en public, tout en perdant pied en privé.

Hyperphagie boulimique : c’est la “cousine” de la boulimie, mais sans compensation après la crise. On mange beaucoup, trop, jusqu’à l’inconfort, puis on se noie dans la honte. La différence majeure ? Ici, la souffrance porte moins sur la peur du poids que sur l’incapacité à contrôler les épisodes alimentaires.

Il existe aussi des formes “mixtes” ou sous-diagnostiquées : patients obsédés par une alimentation parfaite (orthorexie), refus d’aliments jugés “malsains”, “punitions” alimentaires (“je ne mange pas ce soir, j’ai craqué ce midi”), contrôle féroce du sport ou du jeûne, alternances de restrictions et de craquages… Souvent, ces troubles ne se voient pas. Un collègue, un ami, un conjoint peut vivre avec depuis des années.

Vous vous identifiez ? Ou vous pensez à quelqu’un ? Parlez-en. Ces symptômes ne doivent plus être une fin en soi. Ils sont des signaux. Des messages du corps et de l’esprit. Ce n’est jamais simplement “un manque de volonté”.

L’autre mythe tenace : les troubles alimentaires seraient rares chez l’homme, ou chez l’adulte “installé”. Faux. Les chiffres augmentent, notamment après 35 ans, chez les actifs, chez les parents, après une dépression, lors d’une transition de vie. Chez certains, cela surgit après un traumatisme, une séparation, ou un accident de parcours. Chez d’autres, c’est le poids du passé – souvenirs d’enfance difficiles, commentaires familiaux, moqueries…

En consultation psychologique, chaque histoire mérite d’être écoutée, sans case préétablie. Les protocoles ne sont jamais “automatiques” : le psychologue adapte l’accompagnement, selon l’histoire, la sensibilité et le contexte.

Comment se déroule une thérapie adulte pour troubles alimentaires en cabinet ? Les outils concrets

Passé le premier rendez-vous, que se passe-t-il ? Beaucoup s’imaginent des séances axées sur le contrôle du poids, ou une “thérapie de la balance”. En fait, il s’agit avant tout d’un voyage dans son histoire personnelle.

Dans le cabinet de Mme Widart, chaque entretien commence par un échange : comment s’est passée la semaine ? Quelles émotions liées à l’alimentation ? Quand les pensées intrusives reviennent-elles ? On explore les déclencheurs (stress, critique, fatigue, isolement…). La psychothérapie adulte vise à comprendre, mais aussi à transformer. On ne change pas tout du jour au lendemain – mais chaque prise de conscience compte.

Parmi les outils souvent utilisés :

  • Entretien motivationnel : on clarifie vos raisons intimes de changer, vos blocages, vos ambivalences.
  • Cognitivo-comportemental : on chasse les idées fausses (“je dois mériter de manger”, “après un excès, il faut jeûner”, “je n’ai pas le droit de prendre plaisir à table”, etc.).
  • Gestion du stress : Madame Widart propose aussi des exercices d’autohypnose pour aider à apaiser le mental et à gérer l’anxiété isolée ou liée à l’alimentation.
  • Pleine conscience : on apprend à manger lentement, à reconnaître ses signaux de faim, à distinguer la vraie envie de la compensation émotionnelle, à s’accorder enfin le droit au plaisir.
  • Relaxation de groupe : complément utile, surtout pour ceux qui cherchent à se reconnecter à leur corps, apaiser leurs “pulsions”, partager sans honte. Les groupes menés par Mme Widart à Esneux accueillent les adultes avec bienveillance. On s’inspire aussi parfois des techniques de relaxation venues d’autres cultures pour sortir d’un quotidien trop contrôlé.

La relation thérapeutique, c’est la clé. Même la meilleure méthode ne remplace pas la confiance, la patience et l’humour que le psychologue insuffle dans les séances. Parfois, on avance. Parfois, on doute. Mais toujours, le fil d’Ariane, c’est le lien humain. On accueille les larmes, les rires, les silences. On apprend à apprivoiser la honte (“Je ne l’ai jamais dit à personne…”), à relativiser les petits échecs (“Ce n’est pas grave, on recommence”), à reprendre confiance en ses ressources (“Vous voyez, vous avez tenu !”).

Les changements s’observent souvent ailleurs : dans la façon d’aller faire les courses, de partager un repas, de se regarder dans un miroir, de dire non à la pression sociale… On réapprend à écouter les signaux de son corps, comme on tendrait l’oreille devant un morceau de musique ancien. Au fil du temps, la nourriture redevient ce qu’elle devrait toujours être : pas un combat, mais un soutien. Un carburant, une expérience.

Le temps de la thérapie varie. Certains suivront quelques séances, d’autres resteront plusieurs mois. Il n’y a pas de règle. La fréquence s’adapte. On peut cheminer seul, ou en complément d’un travail avec un médecin, un diététicien, un psychiatre si besoin – notamment en cas de complications médicales importantes.

Point important : le travail sur les troubles alimentaires adultes n’est jamais linéaire. Il s’agit d’accepter les rechutes, les hésitations, les doutes : c’est le chemin qui importe, plus que la vitesse. Vous ne serez jamais “jugé” sur vos résultats. Ici, on avance pas à pas.

Enfin, n’oubliez pas : Mme Widart, en tant que psychologue conventionnée INAMI de première ligne, propose un accompagnement accessible et remboursé dans certains cas – renseignez-vous ! Les consultations adultes bénéficient d’un accueil particulièrement bienveillant et d’un ancrage solide dans la psychologie clinique pour adultes.

Quels bénéfices attendre d’une consultation précoce pour trouble alimentaire adulte ?

On a tendance à vouloir “gérer seul”. Mais la littérature scientifique est formelle : plus tôt on consulte, plus on limite les complications. Plus on gagne de temps, d’énergie et même de plaisir.

Tout ce qui s’installe dans le silence ronge intérieurement : anxiété, dévalorisation, épuisement, isolement social… C’est un poison lent. L’enjeu, c’est de rouvrir la porte au vivant : reprendre confiance, créer une alliance avec la nourriture et avec soi-même.

La consultation psychologique précocement, c’est la promesse de :

  • Prévenir les complications médicales : carence, blessure, troubles digestifs, fatigue chronique…
  • Couper court au “cercle vicieux” : restriction, craquage, honte et ainsi de suite.
  • Limiter la durée des troubles alimentaires, et faciliter le retour à une vie “normale” : sociale, professionnelle, familiale.
  • Retrouver la maîtrise de ses émotions, apprendre à les nommer, les “digérer” autrement que par la nourriture.
  • Rétablir – petit à petit – une image corporelle plus apaisée.

Certains patients témoignent du temps retrouvé : “Avant, chaque repas était un défi. Maintenant, c’est juste un moment de partage.” D’autres parlent de leur énergie : “Je ne pense plus tout le temps à la nourriture, c’est comme si le cerveau était enfin libéré.”

Il existe de vrais avantages à choisir une psychologue de première ligne : vous bénéficiez d’un suivi adapté, proche, parfois remboursé. Mme Widart à Esneux a une expérience reconnue, elle adapte chaque accompagnement, selon que vous veniez pour une problématique fraîche, ou un trouble plus installé.

La particularité ? L’offre de relaxation de groupe complémentaire, où les exercices de respiration, de pleine conscience mais aussi les échanges aident à sortir de l’isolement. À voir qu’autour de vous, d’autres adultes ont les mêmes doutes. La même envie d’avancer.

En Belgique, ces structures restent peu nombreuses : c’est pourquoi la mise en réseau de professionnels (médecins, psychiatres, psychologues, diététiciens) reste essentielle pour aider chacun à trouver sa place et à sortir, peu à peu, du labyrinthe du trouble alimentaire.

Et si vous hésitez encore à franchir la porte ? Parfois, un simple appel suffit. Vous découvrirez rapidement combien vous méritez qu’on vous écoute, sans jugement. Que vos difficultés sont légitimes, et qu’une prise en charge personnalisée est possible, même (et surtout) à l’âge adulte. Osez cette rencontre.

FAQ – Questions fréquentes

Comment reconnaître un trouble alimentaire chez l'adulte ?

Chez l’adulte, un trouble alimentaire peut se manifester par des habitudes alimentaires extrêmes, une obsession du contrôle du poids, des épisodes de crises alimentaires incontrôlées ou une restriction importante. Il peut également s’exprimer par des comportements plus discrets : éviter de manger en public, faire du sport de manière excessive, ou avoir une peur démesurée de prendre du poids. Si la nourriture occupe une place centrale dans vos pensées et impacte votre quotidien, il peut être utile de consulter.

Pourquoi consulter un psychologue pour un trouble alimentaire à l'âge adulte ?

Consulter un psychologue permet de sortir de l’isolement et de mettre en lumière les mécanismes à l’origine des troubles alimentaires. Un accompagnement adapté aide à mieux comprendre ses émotions, à rétablir un rapport plus serein à la nourriture et à éviter les complications médicales ou psychiques. La consultation offre un espace bienveillant pour travailler sur le contrôle, l’image de soi et la reconstruction du plaisir de manger.

Quand faut-il s’inquiéter face à des comportements alimentaires inhabituels ?

Dès que les comportements alimentaires (restrictions, excès, contrôle obsessionnel) deviennent source de souffrance, d’épuisement ou de conflits avec l’entourage, il est l’heure de demander de l’aide. Une évolution rapide du poids, un repli social ou des pensées envahissantes sont des signaux d’alerte. Plus la prise en charge est précoce, plus le retour à l’équilibre est possible.

Faut-il associer psychothérapie et autres prises en charge médicales pour les TCA ?

Souvent, la psychothérapie est plus efficace lorsqu’elle s’inscrit dans un travail d’équipe : collaboration avec nutritionniste, médecin généraliste ou psychiatre selon l’intensité des troubles. Cependant, beaucoup d’adultes peuvent commencer le travail en solo avec une psychologue spécialisée, notamment en première ligne, afin d’évaluer besoins et ressources. Le suivi est ajusté au cas par cas, avec une attention constante à la sécurité et au bien-être global.

Références scientifiques

Fairburn CG et al. “Cognitive Behavior Therapy and Eating Disorders”, Guilford, 2008. Ouvrage de référence sur les mécanismes psychologiques et les approches thérapeutiques dans les troubles alimentaires.

Treasure J, Duarte TA, Schmidt U. “Eating disorders”, The Lancet, 2020. Synthèse sur la physiopathologie, la prévalence et les stratégies de prise en charge contemporaine des troubles alimentaires adultes.

Hudson JI, Hiripi E, Pope HG Jr, Kessler RC. “The prevalence and correlates of eating disorders in the National Comorbidity Survey Replication”, Biological Psychiatry, 2007. Article phare sur la fréquence et les comorbidités des troubles alimentaires chez l’adulte aux États-Unis.

Jenkins PE, Hoste RR, Meyer C, Blissett JM. “Eating disorders and quality of life: A review of the literature”, Clinical Psychology Review, 2011. Analyse des répercussions des TCA sur la qualité de vie adulte et l’intérêt d’une approche pluridisciplinaire.

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